L'ouvrier et le Sablier

Un grand silence écoutes
L'architecte dessine une voûte
Comme un rempart le bel ouvrage
Aux bruits des malheureux sauvages
D'ici les hurlements, les pleurs ne servent à rien.
Debout dans la nuit à ses pieds un grand chien
La matière courbée suit le chemin éclairé
Une prière aux Berger afin que cela cesse
La gâchée ne sens plus sa douce caresse
Leur Noël commercial au son des culasses
Palabres inutiles au grand bien de leurs faces
Elles s'accumulent en décharges
Détritus d'existence au parfum de bronzage
Madame se mire à sa glace avant de légères opérations
Leurs déchets poussent mélangés en frustrations
Fleurs et abeilles armées de minuscules regagnent le château
Animaux étoilés par la voie lactée en chemin bordé de roseaux
Moi dernier ouvrier du chantier
Contemple avec toi le grand Sablier

Si je comprend bien le fond de ton texte,
Sans faire attention aux ouvriers laborieux,
afin de satisfaire son égo, l'être supérieur
abime tout se qu'il touche, simplement pour être contemplé...

Hello
que dire, l' oeuvre est incompréhensible pour l 'ouvrier que je suis.
La révolte est de faite au détriment de mon prochain...
Les dessins les plans ne sont pas miens.
Finalement ma contribution n' est qu' obligation.
Heureusement que l'oeuvre est belle!
Je commence peut etre à comprendre!...
Aussi par respect,je préfère en rester ici bas.
Libre à nous les amis.
Tendrement

Cette obscure clarté qui tombe des étoiles ... C'est si beau, sans ville, la nuit...