Un monde imaginaire

Chaque matin je voyais le soleil se réveiller,
Ses rayons m'acquiesçaient, sa lueur m'embrassait,
Les oiseaux soufflaient pour moi des airs enchantés,
Et les fleurs me partageaient leurs bouquets parfaits.
 
Maintenant, je ne vois que l'obscurité,
Elle me prend dans ses bras si invitants,
Elle embrouille mes pensées et les remplit de peur,
Elle dit qu'elle m'aime alors qu'elle empoisonne mon cœur.
 
Je pense que ma vie passée n'était qu'un rêve bien improvisé,
Car un si beau monde ne peut qu'être imaginaire,
La réalité n'est pas aussi belle, si idéalisée,
Moi je le sais, sa cruauté m'entoure toujours, elle flotte dans l'air.
 
Elle me suit toute la journée, décidée à ne pas lâcher,
Même cachée par le voile de la nuit, elle se trouve éparpillée,
Moi à chaque coin j'essaie de l'évader,
Mais hélas, la vie n'est ni si indulgente, ni si sensibilisée.
 
Maintenant sans espoir, j'accepte la vérité,
Les contes ne sont que pour les enfants, la réalité est beaucoup plus compliquée.

Je partage exactement ta pensée.

Bien dit,monsieur le comte!

Eric 94 a écrit:

Bonjour Jensal.

Ces "comptes"-là sont pour les adultes. Ce sont les contes qui sont pour les enfants.

Ah, bien noté, c'était une erreur d'inattention.

Merci pour votre aide et bonne journée!