Ô doux rêves: fuyants

Ô doux rêves: fuyants…
Venez à moi, je vous en prie!
Par mon faux: fuyant…
J’assure, en paître le prix!

« Patience, Possèdes-tu?
Sa vertus, la Tueras-tu?
S’accroche à tes sandales;
Un parfum de scandale »

Quoi donc encore, Morphée?
J’ai compté sur toi
Et me suis tû
Suis-je donc, déjà papa?
Dis moi, que me fais-tu?

« Je me fais ton baromètre 
Et s’il me plaît comme un devoir;
De tes nuits dev’nir le maître,
C’est qu’il me faut tuer l’espoir »

Tuer l’espoir?
Quel monstre, que voilà!
Sur ce fait, mon entrelacs 
J’ai ma déter’ pour der’ devoir!

« Voilà bien là un sage « aplat »!
Mais de la patience, qu’en fais-tu?
Tu te vois, je le vois: déjà papa!
Gardes! aux Dieux, Aux dieux qui tuent»

Bien sûr je me réveille
Le bonheur, ne compte-t-il pas?
Toujours vient il après combat?
Les Dieux Comme prime-éveil!

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