L’Enfant De La Consommation…

Ce poème en écho à celui de Wiwu « La chute », des commentaires qu’il a engendrés, dont le magnifique poème de SANDI « Debout les Jeunes ». Il exprime un peu le même sentiment.[b]

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Mon enfant, mon demain, mon cœur n’est pas serein
Dans ce monde insensé ou rien n’est plus certain
Le superflu pour toi et d’autres êtres, abonde
L’indigence est profonde dans d’autres coins du Monde

Mon enfant, mon demain, ces appâts qui t’inondent
N’amènent pas ta joie, mais colère inféconde
Il y a des escrocs pour toujours te faire croire
Que l’on ne t’offre pas suffisamment à boire

Mon enfant, mon demain, tu es à la merci
Du fiel, de faux gentils, qui font l’autocratie
Bien te manipuler, écartant tes devoirs
Présenté en cadeau, ils te privent du savoir

Mon enfant, mon demain, réfléchis par toi-même
Tant d’Institutions incitent qui tu aimes
Tu n’en as pas besoin, ton cœur est grand ouvert
A toi d’évaluer où se trouve l'enfer

Mon enfant, mon demain, pour de beaux lendemains
Si ton esprit est juste et reste très humain
Ce que dit le tribun, c’est pour avoir ton vote
Écoute bien ton cœur, ne sois pas à sa botte

C’est mon âme qui parle aux enfants de la terre
Il faut bien résister aux chants endoctrinaires
Ne recherchez pas quelques faux boucs émissaires
Quelque soit l’ennemi votre Union l'ulcère

Mes enfants de demain, réinventez un Monde
Où les riches et pauvres feraient une belle ronde
Pour ne laisser aucun, vivre dans l’incurie
Et où de l’ambition n’engendre pas furie.

Où alors incendiez tous les contes de fées
Les Princes et Princesses de nos jouvences on fait
Nos rêves délicieux donnant de l’espérance
A notre être futur, au sortir de l’enfance.

Et bien voilà un bien beau réquisitoire contre les lendemains que nous laisserons à nos enfants. En lisant votre beau poème, il me vient à me demander si les mamans d'aujourd'hui content encore à leur enfant chéri les contes d'autrefois, ceux qui nous ont construits ! C'est un poème prenant, c'est un poème parlant qu'il faut partager pour faire toucher du doigt aux générations futures que tous, n'étions pas de mauvais bougres, que certains croyaient, espéraient ou souhaitaient un monde meilleur ! Félicitations pour ce texte qui s'il se fait l'écho d'un autre n'en reste pas moins unique en sa teneur.

Huit quatrains en alexandrins touchants pour le coté attentif aux jeunes.
Notre devoir est de les mettre sur le bon chemin.
À eux de construire ensuite mieux qu'on l'aura fait.
J'espère de tout cœur que l'humanité se réveillera afin de leur laisser de quoi prouver à leur descendance que nous n'étions pas des fous en croyant qu'ils feraient encore mieux que nous.

C'est le monde d'aujourd'hui que tu as traduis avec justesse, mais il faut toujours garder espoir en nos enfants d'aujourd'hui, que demain leur ouvre grand un monde plus clément et moins égoiste
Bien dit, pour la construction quelques alexandrins claudiquent un peu, mais ce n'est rien ... la poésie moderne va bien à ce que tu écris.

Merci Pagnolesque, Claude, SANDI.

En effet, je me demande ce qui se passe dans la tête des enfants d'aujourd'hui, si les contes classiques, sont mêlés aux jeux si violents et sadiques numériques ! Un drôle de mélange...qui peut troubler.

Où bien les contes sont à abandonner, parce qu'ils font injure à l'égalité des classes ?
Je suis pour un monde équitable et juste, mais où le rêve, le phantasme sont nécessaires et l'envie de réussir ne devraient pas être réfrénés. Comment concilier cela avec des politiciens, qui d'un côté ou de l'autre, ne savent flatter le peuple, qu'en créant des clivages de toutes natures ? Diviser, au lieu de réunir.

On ne peut ni ne doit abandonner les contes... certes on peu peut-être transformer les princesses en demoiselles modernes, les princes en jeunes hommes ayant bonne éducation, mais en aucun cas on ne doit supprimer à l'enfant le droit de rêver, le droit de croire encore au merveilleux. Sans ce merveilleux, l'éveil est (pour moi et à mon sens) impossible, car quel enfant pourrait vivre heureux si on lui dressait sans cesse devant ses pas le tableau des réalités de la vie ?

Tout d'abord, bravo pour ce poème criant de vérité... J'aime beaucoup, d'autant plus car je me sens concerné par vos mots, j'espère que ma génération saura faire ce qu'il faut pour faire évoluer les choses, j'espère que nous serons à la hauteur, et je m'accrocherai à cet espoir qui me permet d'avancer.

Ensuite je suis d'accord avec pagnolesque, cette capacité et ce droit de rêver qu'on les enfants ne doit pas être supprimé, c'est ce qui permet de grandir, je pense.

C'est une bonne chose que certains poèmes postés auparavant en inspire d'autres… ça montre une certaine connexion, un même état d'âme, et puis on peut comparer pour voir où l'originalité se pointe, quels points sont différents aussi, etc… c'est une bonne chose en soit.

Un petit commentaire sur la forme pour commencer, je viendrais sur le fond ensuite. Un poème en alexandrins mais quelques vers "résistent" contre cette ligne directive :
"Le superflu pour toi et d’autres êtres, abonde" (v.3) qui fait 13
"L’indigence est profonde dans d’autres coins du Monde" (v.4) qui fait 14
"Présenté en cadeau, ils te privent du savoir" (v.12) qui fait 13 (pri-vent normalement)
"Ne recherchez pas un faux bouc émissaire" (v.23) qui fait 11.
"Quelque soit l’ennemi votre Union l'ulcère" (v.24) qui fait 11.
"Où les riches et pauvres feraient une belle ronde" (v.26) qui fait 14 : pau-vres et u-ne.
"Les Princes et Princesses de nos jouvences on fait" (v.30) qui fait 14 : prin-ces-ses et jou-ven-ces.

Quelques vers bancales aussi :
"Que l’on ne t’offre pas suffisamment à boire" (v.8) ; je m'explique : ta négation à l'hémistiche ne donne pas un bon effet, selon moi… normalement, l'hémistiche, dans l'alexandrin, est faite pour souffler un coup, qu'il y ait ou non de virgules (on s'arrangera pour que le 6è temps tombe sur une syllabe pleine, ou alors un "e" lié à une voyelle). Là, ton "pas" est certes une syllabe pleine, mais elle appelle à la suite. Dans ce cas, ce n'est pas une vraie pause car on est "bousculé" pour aller lire la suite. Enfin, je ressens ça comme ça, mais sinon ton vers est correctement construit, et la césure d'hémistiche "théorique" est respectée (mais pas dans la pratique, car on est poussé pour lire tout d'un coup, ce qui peut paraître instable, ou alors peut-être est-ce fait exprès pour un effet d'allure, ça dépend de tes exigences, pensées).
"Ne recherchez pas un faux bouc émissaire" (v.23)". Là ton hémistiche arrive sur le "un", ce qui fausse un peu, comme la remarque précédente. Bon, ce vers n'étant pas parfait par sa métrique, ça le rend encore plus instable je trouve. Donc il serait à retravailler, surtout que la notion de bouc émissaire est, selon moi, primordiale dans ton poème, du moins au stade où tu viens d'arriver ! (référence à la mythologie entre autre). Peut-être devrais-tu pousser la comparaison au bouc émissaire dans le quatrain en reparlant de Jésus, de juifs ou autres boucs émissaires (aujourd'hui ce serait les musulmans, les terroristes plus précisemment, mais les médias font que l'on englobe terrorisme et islamisme, et là tu pointerais l'ignorance de l'enfant à réfléchir seul, comme tu le préconise plus en amont dans le poème).


Pour le fond je trouve ton poème très réussi. Très didactique dans le sens où tu cherches à passer un enseignement. Etant donné que tu t'adresses plus à des jeunes parents je penses, ou à des adolescents, je penses que tu devrais peut-être changer de forme au poème. Je veux dire que dans un premier quatrain tu donnerais une consigne avec un ou deux arguments ("désillusionnez-vous, enfants" par ex), et dans le quatrain suivant tu exploite une image concrète, mythologique ou biblique ou extrait du coran (ou autre source) pour illustrer ton propos.

Sinon, contrairement à Wiwu et pagnolesque je serais partisan quant aux rêves à bannir. Peut-être pas être aussi radical, peut-être préserver des rêves d'innocences, mais au moins supprimer ceux qui les mèneraient à leur pertes (ambition démesurée, princes et princesses, etc…).

Voilà, premier commentaire depuis les vacances et la rentrée, j'espère qu'il te rendra service et que tu t'y retrouveras !

Bonne continuation,

F.

Tout à fait d'accord avec vous pagnolesque, les contes peuvent s'adapter, mais continuer à transmettre du merveilleux, du droit au rêve. Sinon quelle envie de se projeter et de s'accomplir ?

Wiwi, Tiens aurais-je rêvé, ou tu es passé de 17 à 18 ans ? Si c'est le cas, Bon Anniversaire - si erreur : partie remise.
Et les trois plumes ? Cela se fête aussi...

Pour mon poème, en le soutenant, tu fais preuve d'une belle maturité.

Je suis d'accord avec Frollo pour ce qui est des rêves à bannir!
Princes charmants et ambitions démesurées..
Spécialement ce sont ces fameux rêves qui m'ont fait le plus souffrir...
Le rêve n'est rien s'il n'est pas transposable à la réalité, à l'action...
Mais bon... Y a t' il une bonne direction?
Il est tout de même bon de rêver... C'est ce que je fais le mieux... mais quand même la princesse... Hummmm, je n'y crois plus trop!
Vaste question, Je trouve la remarque de Frollo intéressante!!!
Cela pourrais faire un excellent sujet de concours/ débat!

Pour ma part je pense que l'innocence va de paire avec la "croyance" (ou espérance ?) aux princes et princesses. Donc dans ce que j'avance plus haut je me contredit en même temps.

Un prince, au sens métaphorique, se doit être vertueux, d'avoir des qualités, sinon il ne serait pas prince (ce qui est loin d'être le cas dans l'histoire concrète). Idem pour les princesses.

L'innocence envers la réalité : refus de croire aux violences du monde, mais au bout d'un moment il faudra entrer dans la société. Et en refusant toute horreur extérieure nous nous enfermons dans une bulle, et quand on rencontre des obstacles, on souffre, quand notre bulle éclate, on souffre aussi… et au final, on finit par être idéalistes, comme cette "croyance" aux princes et princesses, qui de nos jours sont plus des Dom Juan et salopes alcoliques et fétardes (je grossis les traits, je vous l'accorde, et ma généralité peut choquer, mais c'est pour montrer la contradiction, loin de moi la pensée de généraliser ce cas à toutes les jeunes femmes, car certaines font exception, sinon où irait le monde ?)

Tout d'abord Frollo, je te remercie d'être passé sur mon poème et d'avoir pris le temps de l'étudier et prendre la peine de me suggérer des corrections.

Il y en a une, que je vais faire d'office :
Ne recherchez pas un faux bouc émissaire.
Je vais mettre :
Ne recherchez pas quelques faux boucs émissaires.

Ce qui corrigera, en effet le décompte des vers, pour lesquels, ici, je suis d'accord avec toi, et en même temps, ne voulant lui donner ni référence politique, ni mythologique
« Positionnée » mais plutôt universaliste - le pluriel, m'épargnera cette obligation.

Pour les autres décomptes de vers, je vais regarder cela de plus près, car, selon différentes écoles, on ne tombe pas sur le même résultat.

Et je ne suis pas d'accord avec toi, Pour les tous jeunes, les contes de Princes et Princesses, ne sont pas démesurés, ils sont évanescents à cet âge là, et les réalités les rattrapent bien vite, et de partout. Je puis t'assurer, que relire ces contes avant même l'adolescence, font sourire tendrement, sans que l'on y croie (en tout cas pour la grande majorité de personnes).

Pour la suggestion de changer de forme, non, pas d'accord. Je considère qu'elle correspond à ma manière d'être, et avec tout mon désir profond d'apprendre au maximum les règles, je tiens à ce que mes écris me ressemblent, que ceux qui me connaissent, m'y reconnaissent, d'où l'utilité ici de m'affranchir des obligations que quelques poètes perfectionnistes comme toi, se donnent. Je te félicite pour cela, mais je me suis mise en poésie sur Internet pour occuper mon temps d'une manière agréable et bénéfique, pour remplir un temps de pause assez long qui m'est imposé par des circonstances.

Je ne vise pas d'être publiée - A moins qu'un éditeur vienne me chercher, en me trouvant formidable (sourire), ce à quoi je ne m'attends pas du tout, lol...

Je ne me pense pas poète, je manque de lyrisme et je suis prosaïque, je fais des exercices, seulement pour ne pas être inactive. Cependant, j'ai une valise qui s'est depuis mon enfance, remplie au fur et à mesure de feuillets ou j'écrivais, comme dans un cahier intime, mes sentiments, sur tout et n'importe quoi, dont des poèmes.
Je savais qu'il fallait rimer, et que les vers devaient compter le même nombre de pieds, et je connaissais les alexandrins - Pas en pratique mais par la lecture. Point pas davantage ! C'est ainsi que j'ai écris, il y a deux ans : "J'ai choisi de vivre", que tu peux lire ici, sans même connaître le mot prosodie.

J'apprécie et suis très impressionnée de la rigueur de ta passion. Je t'admire même et te souhaite qu’elle te mène vers tes ambitions, qui ne sont pas démesurés, même si tu n'as pas lu de conte de fées.
Et je compte toujours sur tes remarques très constructives. Comme je l’ai dit dans ma présentation, si je n’en tiens pas compte sur le sujet ponctuel, elles peuvent me faire réfléchir pour les prochains écrits.

Bien à toi.

"Ne recherchez pas quelques faux boucs émissaires."
La correction rectifie le mètre, mais l'hémistiche est passée à la trappe. Bon, si tu préfère ne pas t'encombrer des règles classiques et être plus dans le moderne, je pense que tu peux sans problème, mais avec les autres vers qui respectent l'hémistiche plus ou moins, ça peut paraître bizarre. Après on peut rappeler les poèmes d'Aragon : pas de ponctuation mais alexandrins tout de même avec préservation de l'hémistiche ; on peut faire du moderne en conservant certaines règles.
Mais là c'est juste une question de goût et peut-être d'esprit rebelle ou pas :p

"Pour les autres décomptes de vers, je vais regarder cela de plus près, car, selon différentes écoles, on ne tombe pas sur le même résultat."
Oui, même remarque que je faisais plus haut vis à vis du moderne. Après, permet moi de douter, je pense que tu te trompe pour ce point là ; toutes les écoles (au moins classiques jusqu'à Aragon) comptent le "e" suivi de consonnes et le lie s'il est suivit d'une voyelle. Je pense que tu veux plutôt parler du "décomptage" (excusez la faute ^^) des mots qui finissent genre en "tion" :
"attention" = 3 syllabes si tu comptes comme Musset mais en vaudra 4 si tu comptes à la manière de Racine, de Malherbe et Lamartine (j'ai un doute pour le dernier, à vérifier !).
Personnellement je compte ces types de mots avec une voyelle de plus quand ça m'arrange (c'est mal, ça veut dire que l'alexandrin ne vient pas automatiquement chez moi, que je dois calculer mes mètres… alalala).

Tu peux me voir comme un perfectionniste (je le prends bien car j'en ai conscience de temps en temps… et des fois c'est vraiment une plaie et je ne peux m'en défaire).
Mais ce que je te dis ce sont des conseils personnels. Après quelques personnes peuvent creuser mes remarques non pas pour améliorer leur texte, le changer de forme ou quoi, mais juste pour agrandir sa culture en creusant certains mythes ou chercher à comprendre le sens de quelques paraboles biblique (très dur)… curiosité intellectuelle. J'aime fouiller partout, mais le temps… le temps… on ne l'a pas tous malheureusement :(

Je sais pas si tu as lu quelques vers de Boileau, mais tu devrais essayer de lire ses vers. Surtout ceux qui posent les règles du classicisme du théâtre et de la poésie. Pour ce poème j'y retrouve un peu son style (par endroit) : sec, pas très… lyrique, surtout théorique (fait pas si, fait pas ça, mais plutôt cela… => j'exagère bien sûr). J'ai peut-être un extrait à te proposer :
"Que, dès les premiers vers, l'acti-on préparée,
Sans peine, du sujet aplanisse l'entrée.
Je me ris d'un acteur qui lent à s'exprimer,
De ce qu'il veut, d'abord, ne sait pas m'informer,
Et qui, débrouillant mal une pénible intrigue,
D'un divertissement me fait une fatigue."
Art poétique
Bon, Boileau est quelqu'un d'assez sec ; faut pas oublier qu'il est l'auteur des Satires. Mais tu vois, dans ces vers, tu as la grandiloquence de l'alexandrin, certes, mais j'y retrouve un côté consigne d'exercice de maths ; c'est, d'un côté, un peu vexant de se faire dicter une conduite à avoir, c'est assez académique comme règles à suivre, mais la forme du vers nous le fait oublier car c'est fluide, agréable à lire au final.
Je pense que, quand tu te dis prosaïque, c'est que tu te rapproche un peu plus de cela. Si ce n'est pas le cas et que je me trompe je veux bien quelques éclaircissements ! (c'est pas très facile de disserner le style des gens, en prose ou en vers)

Je n'ai jamais lu de compte de fées, même pas les contes de Perrault… mais j'ai vu les Waldisney, et mon dieu que j'ai ris à les discréditer, pour au final rencontrer quelqu'un qui m'a fait y croire pour ensuite bien m'enfoncer (involontairement d'ailleurs, c'est bien pis encore ^^).

Je te parais méthodique… intéressant… J'ai cette impression en lisant Racine ou quelques vers du Malherbes : toutes les syllabes sont comptées, dès qu'une lettre change, paf, nouveau mètre… c'est super déroutant car Musset n'est pas Malherbes dans le comptage ! C'est fou d'ailleurs.

Et puis si tu veux que je développe quelques points de mes remarques, tu me mp et je te réponds si tu veux. Je suis calé sur quelques mythes, si ça t'intéresse (parce que certaines histoires peuvent être adaptée à ta vision des choses, à ton style, et y faire allusion dans tes poèmes et tout ça peut mettre un plus à la profondeur de tes poèmes ; on sentira la matière qu'il y a derrière quoi. Pour moi, je ne me limite pas que à Orphée, j'essaye d'autres mythes, tous ne me convenant pas, et j'ai trouvé récemment Atala et Calchas chez Chateaubriand, qui peut s'assimiler par quelques détails à Orphée, donc je peux, dans mes poèmes, aisément me permettre d'appeler Eurydice Atala ou inversement, si cela me plaît, du moment que je me comprends !).

Bonne soirée !

Bonsoir Frollo,

Tu me sidère, d'admiration. Franchement ! J'aime à te voir passionné sur l'écriture ainsi !
Je te remercie de tout ce que tu m'indique et selon le temps, je ferai le maximum pour tout voir. Pour le plaisir de pas mourir idiote (sourire)
Il faut que tu saches, que je suis curieuse de tellement de choses, en dehors de l'écriture, que je ne peux creuser tout de manière aussi intéressante que toi. Cela peut paraître superficiel, mais j'ai besoin d'être superficielle.

C'est toujours avec plaisir que je prendrais tous tes conseils, qui s'ils ne sont pas "inspectés", sur le moment, seront précieusement copiés, pour me servir, à l'occasion.

Merci à toi,

Bonsoir Evelyne, petit erreur de votre part hihi, ça fait un moment que j'ai 18 ans :) D'ailleurs j'en aurai 19 dans 3 semaines ^^

Je te renouvelle Wiwu, ici mes excuses, pour m'être empêtrée et pour ton âge et pour ton pseudo - Je déraille un peu. lol