L'enfant

Sandipoete
Non, ne t'alarme pas, douce mère inquiète,
De le voir seul chérir ce coin de la maison.
S'il réfléchit ainsi, c'est qu'il devient poète.
Laisse le s'évader... Son corps n'est que prison !

Sandipoete
Non, ne t'alarme pas, douce mère inquiète,
De le voir seul chérir ce coin de la maison.
S'il réfléchit ainsi, c'est qu'il devient poète.
Laisse le s'évader... Son corps n'est que prison !

Lémuel
Alors que son esprit croûle sous la moisson
D'une imagination sans borne et sans limite.
Qu'importe donc le lieu, seule vaut la passion,
La joie libératrice est tout ce qu'il mérite.

Sandipoete
Non, ne t'alarme pas, douce mère inquiète,
De le voir seul chérir ce coin de la maison.
S'il réfléchit ainsi, c'est qu'il devient poète.
Laisse le s'évader... Son corps n'est que prison !
Lémuel
Alors que son esprit croule sous la moisson
D'une imagination sans borne et sans limite.
Qu'importe donc le lieu, seule vaut la passion,
La joie libératrice est tout ce qu'il mérite.
Ninon
Ne lui dit surtout pas, combien tu désespères
D’être si loin de lui, bannie de ses pensées
Son cœur lui est tout près, il vogue dans les airs
Pour te cueillir des rimes, douces et parfumées

Sandipoete
Non, ne t'alarme pas, douce mère inquiète,
De le voir seul chérir ce coin de la maison.
S'il réfléchit ainsi, c'est qu'il devient poète.
Laisse le s'évader... Son corps n'est que prison !
Lémuel
Alors que son esprit croule sous la moisson
D'une imagination sans borne et sans limite.
Qu'importe donc le lieu, seule vaut la passion,
La joie libératrice est tout ce qu'il mérite.
Ninon
Ne lui dit surtout pas, combien tu désespères
D’être si loin de lui, bannie de ses pensées
Son cœur lui est tout près, il vogue dans les airs
Pour te cueillir des rimes, douces et parfumées
Sandipoete
Et peut-être qu'un jour sur ces pages où nos coeurs
Sont venus pour écrire ce qu'ils disent en poète
Il viendra plein d'amour vous offrir. Oh ! bonheur
Ce que sur notre lyre, trouva l'anachorète.

Sandipoete
Non, ne t'alarme pas, douce mère inquiète,
De le voir seul chérir ce coin de la maison.
S'il réfléchit ainsi, c'est qu'il devient poète.
Laisse le s'évader... Son corps n'est que prison !
Lémuel
Alors que son esprit croule sous la moisson
D'une imagination sans borne et sans limite.
Qu'importe donc le lieu, seule vaut la passion,
La joie libératrice est tout ce qu'il mérite.
Ninon
Ne lui dit surtout pas, combien tu désespères
D’être si loin de lui, bannie de ses pensées
Son cœur lui est tout près, il vogue dans les airs
Pour te cueillir des rimes, douces et parfumées
Sandipoete
Et peut-être qu'un jour sur ces pages où nos coeurs
Sont venus pour écrire ce qu'ils disent en poète
Il viendra plein d'amour vous offrir. Oh ! bonheur
Ce que sur notre lyre, trouva l'anachorète.
Léopoldine Bourgin
Dans le silence, sous le charme de temps;
Il part rêver sur des Infinis
Il voit les couleurs de chaque instants;
Grandir sous la belle Etoile de la nuit.

Sandipoete
Non, ne t'alarme pas, douce mère inquiète,
De le voir seul chérir ce coin de la maison.
S'il réfléchit ainsi, c'est qu'il devient poète.
Laisse le s'évader... Son corps n'est que prison !
Lémuel
Alors que son esprit croule sous la moisson
D'une imagination sans borne et sans limite.
Qu'importe donc le lieu, seule vaut la passion,
La joie libératrice est tout ce qu'il mérite.
Ninon
Ne lui dit surtout pas, combien tu désespères
D’être si loin de lui, bannie de ses pensées
Son cœur lui est tout près, il vogue dans les airs
Pour te cueillir des rimes, douces et parfumées
Sandipoete
Et peut-être qu'un jour sur ces pages où nos coeurs
Sont venus pour écrire ce qu'ils disent en poète
Il viendra plein d'amour vous offrir. Oh ! bonheur
Ce que sur notre lyre, trouva l'anachorète.
Léopoldine Bourgin
Dans le silence, sous le charme de temps;
Il part rêver sur des Infinis
Il voit les couleurs de chaque instants;
Grandir sous la belle Étoile de la nuit.
Alain Meyer Abbatucci
Qu'il caresse de sa plume une étoile errante,
Mille feux en son cerveau brillent dans sa poitrine,
Un amour infini, une forte fièvre dévorante,
Tourne les pages de sa vie en de précieuses rimes.

Sandipoete
Non, ne t'alarme pas, douce mère inquiète,
De le voir seul chérir ce coin de la maison.
S'il réfléchit ainsi, c'est qu'il devient poète.
Laisse le s'évader... Son corps n'est que prison !
Lémuel
Alors que son esprit croule sous la moisson
D'une imagination sans borne et sans limite.
Qu'importe donc le lieu, seule vaut la passion,
La joie libératrice est tout ce qu'il mérite.
Ninon
Ne lui dit surtout pas, combien tu désespères
D’être si loin de lui, bannie de ses pensées
Son cœur lui est tout près, il vogue dans les airs
Pour te cueillir des rimes, douces et parfumées
Sandipoete
Et peut-être qu'un jour sur ces pages où nos coeurs
Sont venus pour écrire ce qu'ils disent en poète
Il viendra plein d'amour vous offrir. Oh ! bonheur
Ce que sur notre lyre, trouva l'anachorète.
Léopoldine Bourgin
Dans le silence, sous le charme de temps;
Il part rêver sur des Infinis
Il voit les couleurs de chaque instants;
Grandir sous la belle Étoile de la nuit.
Alain Meyer Abbatucci
Qu'il caresse de sa plume une étoile errante,
Mille feux en son cerveau brillent dans sa poitrine,
Un amour infini, une forte fièvre dévorante,
Tourne les pages de sa vie en de précieuses rimes.
Fred
Assise là parmi ses étoiles scintillantes
Elle ne peut oublier son regard si brûlant
Ses yeux perdus cherchant la lumière chatoyante
Elle est là, triste, errante, à trouver son enfant

Sandipoete
Non, ne t'alarme pas, douce mère inquiète,
De le voir seul chérir ce coin de la maison.
S'il réfléchit ainsi, c'est qu'il devient poète.
Laisse le s'évader... Son corps n'est que prison !
Lémuel
Alors que son esprit croule sous la moisson
D'une imagination sans borne et sans limite.
Qu'importe donc le lieu, seule vaut la passion,
La joie libératrice est tout ce qu'il mérite.
Ninon
Ne lui dit surtout pas, combien tu désespères
D’être si loin de lui, bannie de ses pensées
Son cœur lui est tout près, il vogue dans les airs
Pour te cueillir des rimes, douces et parfumées
Sandipoete
Et peut-être qu'un jour sur ces pages où nos coeurs
Sont venus pour écrire ce qu'ils disent en poète
Il viendra plein d'amour vous offrir. Oh ! bonheur
Ce que sur notre lyre, trouva l'anachorète.
Léopoldine Bourgin
Dans le silence doux, sous le charme du temps
Il part souvent rêver sur de beaux Infinis
Où il voit les couleurs irrisant chaque instant
Pour peindre l'Étoile illuminant ses nuits.
Alain Meyer Abbatucci
Caressant de sa plume l'Étoile errante,
Mille feux en son cerveau brillent dans sa poitrine,
D'un amour infini, fièvre dévorante.
La page de sa vie tourne en précieuses rimes.
Fred
Assise là parmi ses étoiles scintillantes
Elle ne peut oublier son regard si brûlant
Ses yeux perdus cherchant la lumière chatoyante
Elle est là, triste, errante, à trouver son enfant
Michel
Et l'enfant dans son dos sentant sa mère inquète
Allume comme autant de mouvants sémaphores
Des mots en papillons et des fleurs en trompettes
Et lui tend son bouquet de blanches métaphores

Sandipoete
Non, ne t'alarme pas, douce mère inquiète,
De le voir seul chérir ce coin de la maison.
S'il réfléchit ainsi, c'est qu'il devient poète.
Laisse le s'évader... Son corps n'est que prison !

Lémuel
Alors que son esprit croule sous la moisson
D'une imagination sans borne et sans limite.
Qu'importe donc le lieu, seule vaut la passion,
La joie libératrice est tout ce qu'il mérite.

Ninon
Ne lui dit surtout pas, combien tu désespères
D’être si loin de lui, bannie de ses pensées
Son cœur lui est tout près, il vogue dans les airs
Pour te cueillir des rimes, douces et parfumées

Sandipoete
Et peut-être qu'un jour sur ces pages où nos coeurs
Sont venus pour écrire ce qu'ils disent en poète
Il viendra plein d'amour vous offrir. Oh ! bonheur
Ce que sur notre lyre, trouva l'anachorète.

Léopoldine Bourgin
Dans le silence doux, sous le charme du temps
Il part souvent rêver sur de beaux Infinis
Où il voit les couleurs irrisant chaque instant
Pour peindre l'Étoile illuminant ses nuits.

Alain Meyer Abbatucci
Caressant de sa plume l'Étoile errante,
Mille feux en son cerveau brillent dans sa poitrine,
D'un amour infini, fièvre dévorante.
La page de sa vie tourne en précieuses rimes.

Fred
Assise là parmi ses étoiles scintillantes
Elle ne peut oublier son regard si brûlant
Ses yeux perdus cherchant la lumière chatoyante
Elle est là, triste, errante, à trouver son enfant

Michel
Et l'enfant dans son dos sentant sa mère inquète
Allume comme autant de mouvants sémaphores
Des mots en papillons et des fleurs en trompettes
Et lui tend son bouquet de blanches métaphores

BL
Ô Merci mon chéri ! Les fleurs que tu me portes
Viennent pour me donner un baume à ma douleur
Je reconnais en toi, l'amour que tu me portes
A chaque pleur, tes mots viennent apaiser mon coeur