TOUS LA BAS

TOUT LA BAS

Cet air plein d’embruns c’était de l’air marin
L’atmosphère du coin, d’un lieu sans malandrins.
Un environnement de courte somnolence
Pour rêver du bon temps et de longue échéance.

Je te vois tout là bas, sans être tout a fait là
Dans un beau pyjama dans un grand lit de soie
En espérant tout bas, être encore près de toi
Si ce n’est plus de corps, mais par esprit pour toi.

Je me sens tout perdu puisque tu ne reviens plus
Pensant être l’élu de ce bonheur perdu.
Mais par tes coups de fils, en moi tout s’illumine.
Resserrant notre idylle dans un chant de sibylles.

N’attendant que demain pour avoir le prochain
Entendre ce refrain de ta voix au lointain
De l’état new-yorkais, je ne cesse de rêver
Non point de tous leurs quais, mais de toi mon aimée.