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| | Quand il se retourna... | |
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+6philippe de neuville Meliz brumes apogon Yves Le Guern sandipoete 10 participants | |
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| Sujet: Re: Quand il se retourna... Ven 27 Avr 2007 - 21:40 | |
| Rappel du premier message :
Quand il se retourna, le coeur empli d'une douce joie, il n'y avait plus personne. Pourquoi avait-elle | |
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raymonde Invité
| Sujet: Re: Quand il se retourna... Mar 8 Mai 2007 - 17:23 | |
| Quand il se retourna, le coeur empli d'une douce joie, il n'y avait plus personne. Pourquoi avait-elle donc fuit ainsi ? Un instant, il pensa en son for intérieur, que tout ceci n'était qu'un mauvais rêve, et pourtant...et pourtant, sans un remords sans un regret il lui fallait tourner la page définitivement. Partir droit devant lui, esquiver ces regards, ne pas montrer sa peur, partir sans espoir de retour, oublier, tout effacer, mais pas trop, juste ce qu'il fallait pour ne pas souffrir ne pas se montrer faible car l'absence stagnait et elle le freinerait. Un horizon différent s'ouvrait devant lui mais il l'ignorait. Comment aurait-il pu s'imaginer que sa vie allait enfin commencer ?... Durablement vivre l'éternité et aimer à nouveau, comme si demain n'existait pas... Mais aujourd'hui, la pierre qu'il devait mettre à la construction de son destin pesait si lourd, et son coeur si léger oscillait dangereusement car l'amour allait le terrasser à nouveau. C'est quand il rencontra son regard qu'il fut saisi d'une sorte de malaise, pas cardiaque, mais il sentait au plus profond de lui comme une sorte de renaissance due au formidable sentiment qui l'envahissait. Sa joie fut de courte durée car il connaissait déjà la fragilité du lien affectif puisqu'il avait déjà fait l'expérience de l'amour-passion; et pourtant il se sentait bien incapable de résister à cette attraction, tout en refusant de se laisser entraîner malgré lui. Mais il savait, connaissant très bien la théorie de Newton, que la gravitation universelle le ramènerait vers Elle -LA femme-! Mais pourquoi Dieu, avait-il créé cette créature, se dit-il ! Il n'arrêtait pas de retourner la question dans sa caboche, quand il eut la révélation : "Bon sang ! Mais c'est bien sûr", Aragon l'avait comprit lui ! Il se rendit compte que Dieu n'avait absolument rien à voir la dedans. Car en la regardant de plus près, il venait de remarquer son visage métallique... Cette femme magnifique était en fait un robot ! La toute dernière génération humanoïde de Eve, rien à envier à l'humaine ! s'avisa t-il dépité.son corps était serré dans une combinaison étrange faite de fibres et de lumière lui sembla-t-il _________________ [b] |
| | | philippe de neuville Grimoirien
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| Sujet: Re: Quand il se retourna... Mar 8 Mai 2007 - 23:02 | |
| Quand il se retourna, le coeur empli d'une douce joie, il n'y avait plus personne. Pourquoi avait-elle donc fuit ainsi ? Un instant, il pensa en son for intérieur, que tout ceci n'était qu'un mauvais rêve, et pourtant...et pourtant, sans un remords sans un regret il lui fallait tourner la page définitivement. Partir droit devant lui, esquiver ces regards, ne pas montrer sa peur, partir sans espoir de retour, oublier, tout effacer, mais pas trop, juste ce qu'il fallait pour ne pas souffrir ne pas se montrer faible car l'absence stagnait et elle le freinerait. Un horizon différent s'ouvrait devant lui mais il l'ignorait. Comment aurait-il pu s'imaginer que sa vie allait enfin commencer ?... Durablement vivre l'éternité et aimer à nouveau, comme si demain n'existait pas... Mais aujourd'hui, la pierre qu'il devait mettre à la construction de son destin pesait si lourd, et son coeur si léger oscillait dangereusement car l'amour allait le terrasser à nouveau. C'est quand il rencontra son regard qu'il fut saisi d'une sorte de malaise, pas cardiaque, mais il sentait au plus profond de lui comme une sorte de renaissance due au formidable sentiment qui l'envahissait. Sa joie fut de courte durée car il connaissait déjà la fragilité du lien affectif puisqu'il avait déjà fait l'expérience de l'amour-passion; et pourtant il se sentait bien incapable de résister à cette attraction, tout en refusant de se laisser entraîner malgré lui. Mais il savait, connaissant très bien la théorie de Newton, que la gravitation universelle le ramènerait vers Elle -LA femme-! Mais pourquoi Dieu, avait-il créé cette créature, se dit-il ! Il n'arrêtait pas de retourner la question dans sa caboche, quand il eut la révélation : "Bon sang ! Mais c'est bien sûr", Aragon l'avait comprit lui ! Il se rendit compte que Dieu n'avait absolument rien à voir la dedans. Car en la regardant de plus près, il venait de remarquer son visage métallique... Cette femme magnifique était en fait un robot ! La toute dernière génération humanoïde de Eve, rien à envier à l'humaine ! s'avisa t-il dépité (et à l'inverse d'Aragon il ne put plus dire "La femme est l'avenir de l'homme"...) Son corps était serré dans une combinaison étrange faite de fibres et de lumière lui sembla-t-il, et qui collait à des formes un peu trop...humaines: un comble! | |
| | | apogon Membre d'honneur
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| Sujet: Re: Quand il se retourna... Mar 8 Mai 2007 - 23:44 | |
| Quand il se retourna, le coeur empli d'une douce joie, il n'y avait plus personne. Pourquoi avait-elle donc fuit ainsi ? Un instant, il pensa en son for intérieur, que tout ceci n'était qu'un mauvais rêve, et pourtant...et pourtant, sans un remords sans un regret il lui fallait tourner la page définitivement. Partir droit devant lui, esquiver ces regards, ne pas montrer sa peur, partir sans espoir de retour, oublier, tout effacer, mais pas trop, juste ce qu'il fallait pour ne pas souffrir ne pas se montrer faible car l'absence stagnait et elle le freinerait. Un horizon différent s'ouvrait devant lui mais il l'ignorait. Comment aurait-il pu s'imaginer que sa vie allait enfin commencer ?... Durablement vivre l'éternité et aimer à nouveau, comme si demain n'existait pas... Mais aujourd'hui, la pierre qu'il devait mettre à la construction de son destin pesait si lourd, et son coeur si léger oscillait dangereusement car l'amour allait le terrasser à nouveau. C'est quand il rencontra son regard qu'il fut saisi d'une sorte de malaise, pas cardiaque, mais il sentait au plus profond de lui comme une sorte de renaissance due au formidable sentiment qui l'envahissait. Sa joie fut de courte durée car il connaissait déjà la fragilité du lien affectif puisqu'il avait déjà fait l'expérience de l'amour-passion; et pourtant il se sentait bien incapable de résister à cette attraction, tout en refusant de se laisser entraîner malgré lui. Mais il savait, connaissant très bien la théorie de Newton, que la gravitation universelle le ramènerait vers Elle -LA femme-! Mais pourquoi Dieu, avait-il créé cette créature, se dit-il ! Il n'arrêtait pas de retourner la question dans sa caboche, quand il eut la révélation : "Bon sang ! Mais c'est bien sûr", Aragon l'avait comprit lui ! Il se rendit compte que Dieu n'avait absolument rien à voir la dedans. Car en la regardant de plus près, il venait de remarquer son visage métallique... Cette femme magnifique était en fait un robot ! La toute dernière génération humanoïde de Eve, rien à envier à l'humaine ! s'avisa t-il dépité (et à l'inverse d'Aragon il ne put plus dire "La femme est l'avenir de l'homme"...) Son corps était serré dans une combinaison étrange faite de fibres et de lumière lui sembla-t-il, et qui collait à des formes un peu trop...humaines: un comble! Il était fasciné | |
| | | philippe de neuville Grimoirien
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| Sujet: Re: Quand il se retourna... Mar 8 Mai 2007 - 23:59 | |
| Quand il se retourna, le coeur empli d'une douce joie, il n'y avait plus personne. Pourquoi avait-elle donc fuit ainsi ? Un instant, il pensa en son for intérieur, que tout ceci n'était qu'un mauvais rêve, et pourtant...et pourtant, sans un remords sans un regret il lui fallait tourner la page définitivement. Partir droit devant lui, esquiver ces regards, ne pas montrer sa peur, partir sans espoir de retour, oublier, tout effacer, mais pas trop, juste ce qu'il fallait pour ne pas souffrir ne pas se montrer faible car l'absence stagnait et elle le freinerait. Un horizon différent s'ouvrait devant lui mais il l'ignorait. Comment aurait-il pu s'imaginer que sa vie allait enfin commencer ?... Durablement vivre l'éternité et aimer à nouveau, comme si demain n'existait pas... Mais aujourd'hui, la pierre qu'il devait mettre à la construction de son destin pesait si lourd, et son coeur si léger oscillait dangereusement car l'amour allait le terrasser à nouveau. C'est quand il rencontra son regard qu'il fut saisi d'une sorte de malaise, pas cardiaque, mais il sentait au plus profond de lui comme une sorte de renaissance due au formidable sentiment qui l'envahissait. Sa joie fut de courte durée car il connaissait déjà la fragilité du lien affectif puisqu'il avait déjà fait l'expérience de l'amour-passion; et pourtant il se sentait bien incapable de résister à cette attraction, tout en refusant de se laisser entraîner malgré lui. Mais il savait, connaissant très bien la théorie de Newton, que la gravitation universelle le ramènerait vers Elle -LA femme-! Mais pourquoi Dieu, avait-il créé cette créature, se dit-il ! Il n'arrêtait pas de retourner la question dans sa caboche, quand il eut la révélation : "Bon sang ! Mais c'est bien sûr", Aragon l'avait comprit lui ! Il se rendit compte que Dieu n'avait absolument rien à voir la dedans. Car en la regardant de plus près, il venait de remarquer son visage métallique... Cette femme magnifique était en fait un robot ! La toute dernière génération humanoïde de Eve, rien à envier à l'humaine ! s'avisa t-il dépité (et à l'inverse d'Aragon il ne put plus dire "La femme est l'avenir de l'homme"...) Son corps était serré dans une combinaison étrange faite de fibres et de lumière lui sembla-t-il, et qui collait à des formes un peu trop...humaines: un comble! Il était fasciné par cette silhouette supra humaine obsédante | |
| | | Ninon Plume de Corail
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| Sujet: Re: Quand il se retourna... Mer 9 Mai 2007 - 1:22 | |
| Quand il se retourna, le coeur empli d'une douce joie, il n'y avait plus personne. Pourquoi avait-elle donc fuit ainsi ? Un instant, il pensa en son for intérieur, que tout ceci n'était qu'un mauvais rêve, et pourtant...et pourtant, sans un remords sans un regret il lui fallait tourner la page définitivement. Partir droit devant lui, esquiver ces regards, ne pas montrer sa peur, partir sans espoir de retour, oublier, tout effacer, mais pas trop, juste ce qu'il fallait pour ne pas souffrir ne pas se montrer faible car l'absence stagnait et elle le freinerait. Un horizon différent s'ouvrait devant lui mais il l'ignorait. Comment aurait-il pu s'imaginer que sa vie allait enfin commencer ?... Durablement vivre l'éternité et aimer à nouveau, comme si demain n'existait pas... Mais aujourd'hui, la pierre qu'il devait mettre à la construction de son destin pesait si lourd, et son coeur si léger oscillait dangereusement car l'amour allait le terrasser à nouveau. C'est quand il rencontra son regard qu'il fut saisi d'une sorte de malaise, pas cardiaque, mais il sentait au plus profond de lui comme une sorte de renaissance due au formidable sentiment qui l'envahissait. Sa joie fut de courte durée car il connaissait déjà la fragilité du lien affectif puisqu'il avait déjà fait l'expérience de l'amour-passion; et pourtant il se sentait bien incapable de résister à cette attraction, tout en refusant de se laisser entraîner malgré lui. Mais il savait, connaissant très bien la théorie de Newton, que la gravitation universelle le ramènerait vers Elle -LA femme-! Mais pourquoi Dieu, avait-il créé cette créature, se dit-il ! Il n'arrêtait pas de retourner la question dans sa caboche, quand il eut la révélation : "Bon sang ! Mais c'est bien sûr", Aragon l'avait comprit lui ! Il se rendit compte que Dieu n'avait absolument rien à voir la dedans. Car en la regardant de plus près, il venait de remarquer son visage métallique... Cette femme magnifique était en fait un robot ! La toute dernière génération humanoïde de Eve, rien à envier à l'humaine ! s'avisa t-il dépité (et à l'inverse d'Aragon il ne put plus dire "La femme est l'avenir de l'homme"...) Son corps était serré dans une combinaison étrange faite de fibres et de lumière lui sembla-t-il, et qui collait à des formes un peu trop...humaines: un comble! Il était fasciné par cette silhouette supra humaine obsédante, qui le sondait en profondeur, de ses yeux bleus si cristallins, qu'il | |
| | | philippe de neuville Grimoirien
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| Sujet: Re: Quand il se retourna... Mer 9 Mai 2007 - 4:04 | |
| Quand il se retourna, le coeur empli d'une douce joie, il n'y avait plus personne. Pourquoi avait-elle donc fuit ainsi ? Un instant, il pensa en son for intérieur, que tout ceci n'était qu'un mauvais rêve, et pourtant...et pourtant, sans un remords sans un regret il lui fallait tourner la page définitivement. Partir droit devant lui, esquiver ces regards, ne pas montrer sa peur, partir sans espoir de retour, oublier, tout effacer, mais pas trop, juste ce qu'il fallait pour ne pas souffrir ne pas se montrer faible car l'absence stagnait et elle le freinerait. Un horizon différent s'ouvrait devant lui mais il l'ignorait. Comment aurait-il pu s'imaginer que sa vie allait enfin commencer ?... Durablement vivre l'éternité et aimer à nouveau, comme si demain n'existait pas... Mais aujourd'hui, la pierre qu'il devait mettre à la construction de son destin pesait si lourd, et son coeur si léger oscillait dangereusement car l'amour allait le terrasser à nouveau. C'est quand il rencontra son regard qu'il fut saisi d'une sorte de malaise, pas cardiaque, mais il sentait au plus profond de lui comme une sorte de renaissance due au formidable sentiment qui l'envahissait. Sa joie fut de courte durée car il connaissait déjà la fragilité du lien affectif puisqu'il avait déjà fait l'expérience de l'amour-passion; et pourtant il se sentait bien incapable de résister à cette attraction, tout en refusant de se laisser entraîner malgré lui. Mais il savait, connaissant très bien la théorie de Newton, que la gravitation universelle le ramènerait vers Elle -LA femme-! Mais pourquoi Dieu, avait-il créé cette créature, se dit-il ! Il n'arrêtait pas de retourner la question dans sa caboche, quand il eut la révélation : "Bon sang ! Mais c'est bien sûr", Aragon l'avait comprit lui ! Il se rendit compte que Dieu n'avait absolument rien à voir la dedans. Car en la regardant de plus près, il venait de remarquer son visage métallique... Cette femme magnifique était en fait un robot ! La toute dernière génération humanoïde de Eve, rien à envier à l'humaine ! s'avisa t-il dépité (et à l'inverse d'Aragon il ne put plus dire "La femme est l'avenir de l'homme"...) Son corps était serré dans une combinaison étrange faite de fibres et de lumière lui sembla-t-il, et qui collait à des formes un peu trop...humaines: un comble! Il était fasciné par cette silhouette supra humaine obsédante, qui le sondait en profondeur, de ses yeux bleus si cristallins, qu'il en oubliait d'écrire. Il se jura | |
| | | apogon Membre d'honneur
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| Sujet: Re: Quand il se retourna... Mer 9 Mai 2007 - 6:40 | |
| Quand il se retourna, le coeur empli d'une douce joie, il n'y avait plus personne. Pourquoi avait-elle donc fuit ainsi ? Un instant, il pensa en son for intérieur, que tout ceci n'était qu'un mauvais rêve, et pourtant...et pourtant, sans un remords sans un regret il lui fallait tourner la page définitivement. Partir droit devant lui, esquiver ces regards, ne pas montrer sa peur, partir sans espoir de retour, oublier, tout effacer, mais pas trop, juste ce qu'il fallait pour ne pas souffrir ne pas se montrer faible car l'absence stagnait et elle le freinerait. Un horizon différent s'ouvrait devant lui mais il l'ignorait. Comment aurait-il pu s'imaginer que sa vie allait enfin commencer ?... Durablement vivre l'éternité et aimer à nouveau, comme si demain n'existait pas... Mais aujourd'hui, la pierre qu'il devait mettre à la construction de son destin pesait si lourd, et son coeur si léger oscillait dangereusement car l'amour allait le terrasser à nouveau. C'est quand il rencontra son regard qu'il fut saisi d'une sorte de malaise, pas cardiaque, mais il sentait au plus profond de lui comme une sorte de renaissance due au formidable sentiment qui l'envahissait. Sa joie fut de courte durée car il connaissait déjà la fragilité du lien affectif puisqu'il avait déjà fait l'expérience de l'amour-passion; et pourtant il se sentait bien incapable de résister à cette attraction, tout en refusant de se laisser entraîner malgré lui. Mais il savait, connaissant très bien la théorie de Newton, que la gravitation universelle le ramènerait vers Elle -LA femme-! Mais pourquoi Dieu, avait-il créé cette créature, se dit-il ! Il n'arrêtait pas de retourner la question dans sa caboche, quand il eut la révélation : "Bon sang ! Mais c'est bien sûr", Aragon l'avait comprit lui ! Il se rendit compte que Dieu n'avait absolument rien à voir la dedans. Car en la regardant de plus près, il venait de remarquer son visage métallique... Cette femme magnifique était en fait un robot ! La toute dernière génération humanoïde de Eve, rien à envier à l'humaine ! s'avisa t-il dépité (et à l'inverse d'Aragon il ne put plus dire "La femme est l'avenir de l'homme"...) Son corps était serré dans une combinaison étrange faite de fibres et de lumière lui sembla-t-il, et qui collait à des formes un peu trop...humaines: un comble! Il était si fasciné par cette silhouette supra humaine obsédante, qui le sondait en profondeur, de ses yeux bleus si cristallins, qu'il en oubliait d'écrire. Il se jura que plus jamais il ne | |
| | | philippe de neuville Grimoirien
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| Sujet: Re: Quand il se retourna... Mer 9 Mai 2007 - 8:02 | |
| Quand il se retourna, le coeur empli d'une douce joie, il n'y avait plus personne. Pourquoi avait-elle donc fuit ainsi ? Un instant, il pensa en son for intérieur, que tout ceci n'était qu'un mauvais rêve, et pourtant...et pourtant, sans un remords sans un regret il lui fallait tourner la page définitivement. Partir droit devant lui, esquiver ces regards, ne pas montrer sa peur, partir sans espoir de retour, oublier, tout effacer, mais pas trop, juste ce qu'il fallait pour ne pas souffrir ne pas se montrer faible car l'absence stagnait et elle le freinerait. Un horizon différent s'ouvrait devant lui mais il l'ignorait. Comment aurait-il pu s'imaginer que sa vie allait enfin commencer ?... Durablement vivre l'éternité et aimer à nouveau, comme si demain n'existait pas... Mais aujourd'hui, la pierre qu'il devait mettre à la construction de son destin pesait si lourd, et son coeur si léger oscillait dangereusement car l'amour allait le terrasser à nouveau. C'est quand il rencontra son regard qu'il fut saisi d'une sorte de malaise, pas cardiaque, mais il sentait au plus profond de lui comme une sorte de renaissance due au formidable sentiment qui l'envahissait. Sa joie fut de courte durée car il connaissait déjà la fragilité du lien affectif puisqu'il avait déjà fait l'expérience de l'amour-passion; et pourtant il se sentait bien incapable de résister à cette attraction, tout en refusant de se laisser entraîner malgré lui. Mais il savait, connaissant très bien la théorie de Newton, que la gravitation universelle le ramènerait vers Elle -LA femme-! Mais pourquoi Dieu, avait-il créé cette créature, se dit-il ! Il n'arrêtait pas de retourner la question dans sa caboche, quand il eut la révélation : "Bon sang ! Mais c'est bien sûr", Aragon l'avait comprit lui ! Il se rendit compte que Dieu n'avait absolument rien à voir la dedans. Car en la regardant de plus près, il venait de remarquer son visage métallique... Cette femme magnifique était en fait un robot ! La toute dernière génération humanoïde de Eve, rien à envier à l'humaine ! s'avisa t-il dépité (et à l'inverse d'Aragon il ne put plus dire "La femme est l'avenir de l'homme"...) Son corps était serré dans une combinaison étrange faite de fibres et de lumière lui sembla-t-il, et qui collait à des formes un peu trop...humaines: un comble! Il était si fasciné par cette silhouette supra humaine obsédante, qui le sondait en profondeur, de ses yeux bleus si cristallins, qu'il en oubliait d'écrire. Il se jura que plus jamais il ne l'approcherait ni simplement ne la regarderait. | |
| | | raymonde Invité
| Sujet: Re: Quand il se retourna... Mer 9 Mai 2007 - 9:01 | |
| Quand il se retourna, le coeur empli d'une douce joie, il n'y avait plus personne. Pourquoi avait-elle donc fuit ainsi ? Un instant, il pensa en son for intérieur, que tout ceci n'était qu'un mauvais rêve, et pourtant...et pourtant, sans un remords sans un regret il lui fallait tourner la page définitivement. Partir droit devant lui, esquiver ces regards, ne pas montrer sa peur, partir sans espoir de retour, oublier, tout effacer, mais pas trop, juste ce qu'il fallait pour ne pas souffrir ne pas se montrer faible car l'absence stagnait et elle le freinerait. Un horizon différent s'ouvrait devant lui mais il l'ignorait. Comment aurait-il pu s'imaginer que sa vie allait enfin commencer ?... Durablement vivre l'éternité et aimer à nouveau, comme si demain n'existait pas... Mais aujourd'hui, la pierre qu'il devait mettre à la construction de son destin pesait si lourd, et son coeur si léger oscillait dangereusement car l'amour allait le terrasser à nouveau. C'est quand il rencontra son regard qu'il fut saisi d'une sorte de malaise, pas cardiaque, mais il sentait au plus profond de lui comme une sorte de renaissance due au formidable sentiment qui l'envahissait. Sa joie fut de courte durée car il connaissait déjà la fragilité du lien affectif puisqu'il avait déjà fait l'expérience de l'amour-passion; et pourtant il se sentait bien incapable de résister à cette attraction, tout en refusant de se laisser entraîner malgré lui. Mais il savait, connaissant très bien la théorie de Newton, que la gravitation universelle le ramènerait vers Elle -LA femme-! Mais pourquoi Dieu, avait-il créé cette créature, se dit-il ! Il n'arrêtait pas de retourner la question dans sa caboche, quand il eut la révélation : "Bon sang ! Mais c'est bien sûr", Aragon l'avait comprit lui ! Il se rendit compte que Dieu n'avait absolument rien à voir la dedans. Car en la regardant de plus près, il venait de remarquer son visage métallique... Cette femme magnifique était en fait un robot ! La toute dernière génération humanoïde de Eve, rien à envier à l'humaine ! s'avisa t-il dépité (et à l'inverse d'Aragon il ne put plus dire "La femme est l'avenir de l'homme"...) Son corps était serré dans une combinaison étrange faite de fibres et de lumière lui sembla-t-il, et qui collait à des formes un peu trop...humaines: un comble! Il était fasciné par cette femme venue d'une planète inconnue ,attirée par ce mystère qui l'enveloppait _________________ ^ ^ ô ô |
| | | apogon Membre d'honneur
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| Sujet: Re: Quand il se retourna... Mer 9 Mai 2007 - 10:20 | |
| Quand il se retourna, le coeur empli d'une douce joie, il n'y avait plus personne. Pourquoi avait-elle donc fuit ainsi ? Un instant, il pensa en son for intérieur, que tout ceci n'était qu'un mauvais rêve, et pourtant...et pourtant, sans un remords sans un regret il lui fallait tourner la page définitivement. Partir droit devant lui, esquiver ces regards, ne pas montrer sa peur, partir sans espoir de retour, oublier, tout effacer, mais pas trop, juste ce qu'il fallait pour ne pas souffrir ne pas se montrer faible car l'absence stagnait et elle le freinerait. Un horizon différent s'ouvrait devant lui mais il l'ignorait. Comment aurait-il pu s'imaginer que sa vie allait enfin commencer ?... Durablement vivre l'éternité et aimer à nouveau, comme si demain n'existait pas... Mais aujourd'hui, la pierre qu'il devait mettre à la construction de son destin pesait si lourd, et son coeur si léger oscillait dangereusement car l'amour allait le terrasser à nouveau. C'est quand il rencontra son regard qu'il fut saisi d'une sorte de malaise, pas cardiaque, mais il sentait au plus profond de lui comme une sorte de renaissance due au formidable sentiment qui l'envahissait. Sa joie fut de courte durée car il connaissait déjà la fragilité du lien affectif puisqu'il avait déjà fait l'expérience de l'amour-passion; et pourtant il se sentait bien incapable de résister à cette attraction, tout en refusant de se laisser entraîner malgré lui. Mais il savait, connaissant très bien la théorie de Newton, que la gravitation universelle le ramènerait vers Elle -LA femme-! Mais pourquoi Dieu, avait-il créé cette créature, se dit-il ! Il n'arrêtait pas de retourner la question dans sa caboche, quand il eut la révélation : "Bon sang ! Mais c'est bien sûr", Aragon l'avait comprit lui ! Il se rendit compte que Dieu n'avait absolument rien à voir la dedans. Car en la regardant de plus près, il venait de remarquer son visage métallique... Cette femme magnifique était en fait un robot ! La toute dernière génération humanoïde de Eve, rien à envier à l'humaine ! s'avisa t-il dépité (et à l'inverse d'Aragon il ne put plus dire "La femme est l'avenir de l'homme"...) Son corps était serré dans une combinaison étrange faite de fibres et de lumière lui sembla-t-il, et qui collait à des formes un peu trop...humaines: un comble! Il était si fasciné par cette femme venue d'une planète inconnue, attiré par ce mystère qui l'enveloppait, cette silhouette supra humaine obsédante, qui le sondait en profondeur, de ses yeux bleus si cristallins, qu'il en oubliait d'écrire. Il se jura que plus jamais il ne l'approcherait ni simplement ne la regarderait.
j'ai recollé les morceaux, ça vous va ? Raymonde, réactualise tes pages! Textes protégés par © Copyright N° 79Z516A ^----^ (='Y'=) (")_(")
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| | | sandipoete Fondateur
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| Sujet: Re: Quand il se retourna... Mer 9 Mai 2007 - 10:39 | |
| Quand il se retourna, le coeur empli d'une douce joie, il n'y avait plus personne. Pourquoi avait-elle donc fuit ainsi ? Un instant, il pensa en son for intérieur, que tout ceci n'était qu'un mauvais rêve, et pourtant...et pourtant, sans un remords sans un regret il lui fallait tourner la page définitivement. Partir droit devant lui, esquiver ces regards, ne pas montrer sa peur, partir sans espoir de retour, oublier, tout effacer, mais pas trop, juste ce qu'il fallait pour ne pas souffrir ne pas se montrer faible car l'absence stagnait et elle le freinerait. Un horizon différent s'ouvrait devant lui mais il l'ignorait. Comment aurait-il pu s'imaginer que sa vie allait enfin commencer ?... Durablement vivre l'éternité et aimer à nouveau, comme si demain n'existait pas... Mais aujourd'hui, la pierre qu'il devait mettre à la construction de son destin pesait si lourd, et son coeur si léger oscillait dangereusement car l'amour allait le terrasser à nouveau. C'est quand il rencontra son regard qu'il fut saisi d'une sorte de malaise, pas cardiaque, mais il sentait au plus profond de lui comme une sorte de renaissance due au formidable sentiment qui l'envahissait. Sa joie fut de courte durée car il connaissait déjà la fragilité du lien affectif puisqu'il avait déjà fait l'expérience de l'amour-passion; et pourtant il se sentait bien incapable de résister à cette attraction, tout en refusant de se laisser entraîner malgré lui. Mais il savait, connaissant très bien la théorie de Newton, que la gravitation universelle le ramènerait vers Elle -LA femme-! Mais pourquoi Dieu, avait-il créé cette créature, se dit-il ! Il n'arrêtait pas de retourner la question dans sa caboche, quand il eut la révélation : "Bon sang ! Mais c'est bien sûr", Aragon l'avait comprit lui ! Il se rendit compte que Dieu n'avait absolument rien à voir la dedans. Car en la regardant de plus près, il venait de remarquer son visage métallique... Cette femme magnifique était en fait un robot ! La toute dernière génération humanoïde de Eve, rien à envier à l'humaine ! s'avisa t-il dépité (et à l'inverse d'Aragon il ne put plus dire "La femme est l'avenir de l'homme"...) Son corps était serré dans une combinaison étrange faite de fibres et de lumière lui sembla-t-il, et qui collait à des formes un peu trop...humaines: un comble! Il était si fasciné par cette femme venue d'une planète inconnue, attiré par ce mystère qui l'enveloppait, cette silhouette supra humaine obsédante, qui le sondait en profondeur, de ses yeux bleus si cristallins, qu'il en oubliait d'écrire. Il se jura que plus jamais il ne l'approcherait ni simplement ne la regarderait. Mais cette superbe créature exra-terrestre savait parfaitement qu'il ne pourrait jamais tenir ce genre de promesse. | |
| | | Ninon Plume de Corail
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| Sujet: Re: Quand il se retourna... Mer 9 Mai 2007 - 11:24 | |
| Quand il se retourna, le coeur empli d'une douce joie, il n'y avait plus personne. Pourquoi avait-elle donc fuit ainsi ? Un instant, il pensa en son for intérieur, que tout ceci n'était qu'un mauvais rêve, et pourtant...et pourtant, sans un remords sans un regret il lui fallait tourner la page définitivement. Partir droit devant lui, esquiver ces regards, ne pas montrer sa peur, partir sans espoir de retour, oublier, tout effacer, mais pas trop, juste ce qu'il fallait pour ne pas souffrir ne pas se montrer faible car l'absence stagnait et elle le freinerait. Un horizon différent s'ouvrait devant lui mais il l'ignorait. Comment aurait-il pu s'imaginer que sa vie allait enfin commencer ?... Durablement vivre l'éternité et aimer à nouveau, comme si demain n'existait pas... Mais aujourd'hui, la pierre qu'il devait mettre à la construction de son destin pesait si lourd, et son coeur si léger oscillait dangereusement car l'amour allait le terrasser à nouveau. C'est quand il rencontra son regard qu'il fut saisi d'une sorte de malaise, pas cardiaque, mais il sentait au plus profond de lui comme une sorte de renaissance due au formidable sentiment qui l'envahissait. Sa joie fut de courte durée car il connaissait déjà la fragilité du lien affectif puisqu'il avait déjà fait l'expérience de l'amour-passion; et pourtant il se sentait bien incapable de résister à cette attraction, tout en refusant de se laisser entraîner malgré lui. Mais il savait, connaissant très bien la théorie de Newton, que la gravitation universelle le ramènerait vers Elle -LA femme-! Mais pourquoi Dieu, avait-il créé cette créature, se dit-il ! Il n'arrêtait pas de retourner la question dans sa caboche, quand il eut la révélation : "Bon sang ! Mais c'est bien sûr", Aragon l'avait comprit lui ! Il se rendit compte que Dieu n'avait absolument rien à voir la dedans. Car en la regardant de plus près, il venait de remarquer son visage métallique... Cette femme magnifique était en fait un robot ! La toute dernière génération humanoïde de Eve, rien à envier à l'humaine ! s'avisa t-il dépité (et à l'inverse d'Aragon il ne put plus dire "La femme est l'avenir de l'homme"...) Son corps était serré dans une combinaison étrange faite de fibres et de lumière lui sembla-t-il, et qui collait à des formes un peu trop...humaines: un comble! Il était si fasciné par cette femme venue d'une planète inconnue, attiré par ce mystère qui l'enveloppait, cette silhouette supra humaine obsédante, qui le sondait en profondeur, de ses yeux bleus si cristallins, qu'il en oubliait d'écrire. Il se jura que plus jamais il ne l'approcherait ni simplement ne la regarderait. Mais cette superbe créature exra-terrestre savait parfaitement qu'il ne pourrait jamais tenir ce genre de promesse. C'était dans son programme, elle connaissait bien les faiblesses de l'homme : C'était sa mission ! | |
| | | apogon Membre d'honneur
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| Sujet: Re: Quand il se retourna... Mer 9 Mai 2007 - 11:56 | |
| Quand il se retourna, le coeur empli d'une douce joie, il n'y avait plus personne. Pourquoi avait-elle donc fuit ainsi ? Un instant, il pensa en son for intérieur, que tout ceci n'était qu'un mauvais rêve, et pourtant...et pourtant, sans un remords sans un regret il lui fallait tourner la page définitivement. Partir droit devant lui, esquiver ces regards, ne pas montrer sa peur, partir sans espoir de retour, oublier, tout effacer, mais pas trop, juste ce qu'il fallait pour ne pas souffrir ne pas se montrer faible car l'absence stagnait et elle le freinerait. Un horizon différent s'ouvrait devant lui mais il l'ignorait. Comment aurait-il pu s'imaginer que sa vie allait enfin commencer ?... Durablement vivre l'éternité et aimer à nouveau, comme si demain n'existait pas... Mais aujourd'hui, la pierre qu'il devait mettre à la construction de son destin pesait si lourd, et son coeur si léger oscillait dangereusement car l'amour allait le terrasser à nouveau. C'est quand il rencontra son regard qu'il fut saisi d'une sorte de malaise, pas cardiaque, mais il sentait au plus profond de lui comme une sorte de renaissance due au formidable sentiment qui l'envahissait. Sa joie fut de courte durée car il connaissait déjà la fragilité du lien affectif puisqu'il avait déjà fait l'expérience de l'amour-passion; et pourtant il se sentait bien incapable de résister à cette attraction, tout en refusant de se laisser entraîner malgré lui. Mais il savait, connaissant très bien la théorie de Newton, que la gravitation universelle le ramènerait vers Elle -LA femme-! Mais pourquoi Dieu, avait-il créé cette créature, se dit-il ! Il n'arrêtait pas de retourner la question dans sa caboche, quand il eut la révélation : "Bon sang ! Mais c'est bien sûr", Aragon l'avait comprit lui ! Il se rendit compte que Dieu n'avait absolument rien à voir la dedans. Car en la regardant de plus près, il venait de remarquer son visage métallique... Cette femme magnifique était en fait un robot ! La toute dernière génération humanoïde de Eve, rien à envier à l'humaine ! s'avisa t-il dépité (et à l'inverse d'Aragon il ne put plus dire "La femme est l'avenir de l'homme"...) Son corps était serré dans une combinaison étrange faite de fibres et de lumière lui sembla-t-il, et qui collait à des formes un peu trop...humaines: un comble! Il était si fasciné par cette femme venue d'une planète inconnue, attiré par ce mystère qui l'enveloppait, cette silhouette supra humaine obsédante, qui le sondait en profondeur, de ses yeux bleus si cristallins, qu'il en oubliait d'écrire. Il se jura que plus jamais il ne l'approcherait ni simplement ne la regarderait. Mais cette superbe créature exra-terrestre savait parfaitement qu'il ne pourrait jamais tenir ce genre de promesse. C'était dans son programme, elle connaissait bien les faiblesses de l'homme : C'était sa mission ! Elle émit un soupir programmé Textes protégés par © Copyright N° 79Z516A ^----^ (='Y'=) (")_(")
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| | | Ninon Plume de Corail
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| Sujet: Re: Quand il se retourna... Mer 9 Mai 2007 - 11:58 | |
| Quand il se retourna, le coeur empli d'une douce joie, il n'y avait plus personne. Pourquoi avait-elle donc fuit ainsi ? Un instant, il pensa en son for intérieur, que tout ceci n'était qu'un mauvais rêve, et pourtant...et pourtant, sans un remords sans un regret il lui fallait tourner la page définitivement. Partir droit devant lui, esquiver ces regards, ne pas montrer sa peur, partir sans espoir de retour, oublier, tout effacer, mais pas trop, juste ce qu'il fallait pour ne pas souffrir ne pas se montrer faible car l'absence stagnait et elle le freinerait. Un horizon différent s'ouvrait devant lui mais il l'ignorait. Comment aurait-il pu s'imaginer que sa vie allait enfin commencer ?... Durablement vivre l'éternité et aimer à nouveau, comme si demain n'existait pas... Mais aujourd'hui, la pierre qu'il devait mettre à la construction de son destin pesait si lourd, et son coeur si léger oscillait dangereusement car l'amour allait le terrasser à nouveau. C'est quand il rencontra son regard qu'il fut saisi d'une sorte de malaise, pas cardiaque, mais il sentait au plus profond de lui comme une sorte de renaissance due au formidable sentiment qui l'envahissait. Sa joie fut de courte durée car il connaissait déjà la fragilité du lien affectif puisqu'il avait déjà fait l'expérience de l'amour-passion; et pourtant il se sentait bien incapable de résister à cette attraction, tout en refusant de se laisser entraîner malgré lui. Mais il savait, connaissant très bien la théorie de Newton, que la gravitation universelle le ramènerait vers Elle -LA femme-! Mais pourquoi Dieu, avait-il créé cette créature, se dit-il ! Il n'arrêtait pas de retourner la question dans sa caboche, quand il eut la révélation : "Bon sang ! Mais c'est bien sûr", Aragon l'avait comprit lui ! Il se rendit compte que Dieu n'avait absolument rien à voir la dedans. Car en la regardant de plus près, il venait de remarquer son visage métallique... Cette femme magnifique était en fait un robot ! La toute dernière génération humanoïde de Eve, rien à envier à l'humaine ! s'avisa t-il dépité (et à l'inverse d'Aragon il ne put plus dire "La femme est l'avenir de l'homme"...) Son corps était serré dans une combinaison étrange faite de fibres et de lumière lui sembla-t-il, et qui collait à des formes un peu trop...humaines: un comble! Il était si fasciné par cette femme venue d'une planète inconnue, attiré par ce mystère qui l'enveloppait, cette silhouette supra humaine obsédante, qui le sondait en profondeur, de ses yeux bleus si cristallins, qu'il en oubliait d'écrire. Il se jura que plus jamais il ne l'approcherait ni simplement ne la regarderait. Mais cette superbe créature exra-terrestre savait parfaitement qu'il ne pourrait jamais tenir ce genre de promesse. C'était dans son programme, elle connaissait bien les faiblesses de l'homme : C'était sa mission ! Elle émit un soupir programmé, mais si sensuel, qu'il en perdit le controle de son palpitant | |
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| Sujet: Re: Quand il se retourna... Mer 9 Mai 2007 - 12:04 | |
| Quand il se retourna, le coeur empli d'une douce joie, il n'y avait plus personne. Pourquoi avait-elle donc fuit ainsi ? Un instant, il pensa en son for intérieur, que tout ceci n'était qu'un mauvais rêve, et pourtant...et pourtant, sans un remords sans un regret il lui fallait tourner la page définitivement. Partir droit devant lui, esquiver ces regards, ne pas montrer sa peur, partir sans espoir de retour, oublier, tout effacer, mais pas trop, juste ce qu'il fallait pour ne pas souffrir ne pas se montrer faible car l'absence stagnait et elle le freinerait. Un horizon différent s'ouvrait devant lui mais il l'ignorait. Comment aurait-il pu s'imaginer que sa vie allait enfin commencer ?... Durablement vivre l'éternité et aimer à nouveau, comme si demain n'existait pas... Mais aujourd'hui, la pierre qu'il devait mettre à la construction de son destin pesait si lourd, et son coeur si léger oscillait dangereusement car l'amour allait le terrasser à nouveau. C'est quand il rencontra son regard qu'il fut saisi d'une sorte de malaise, pas cardiaque, mais il sentait au plus profond de lui comme une sorte de renaissance due au formidable sentiment qui l'envahissait. Sa joie fut de courte durée car il connaissait déjà la fragilité du lien affectif puisqu'il avait déjà fait l'expérience de l'amour-passion; et pourtant il se sentait bien incapable de résister à cette attraction, tout en refusant de se laisser entraîner malgré lui. Mais il savait, connaissant très bien la théorie de Newton, que la gravitation universelle le ramènerait vers Elle -LA femme-! Mais pourquoi Dieu, avait-il créé cette créature, se dit-il ! Il n'arrêtait pas de retourner la question dans sa caboche, quand il eut la révélation : "Bon sang ! Mais c'est bien sûr", Aragon l'avait comprit lui ! Il se rendit compte que Dieu n'avait absolument rien à voir la dedans. Car en la regardant de plus près, il venait de remarquer son visage métallique... Cette femme magnifique était en fait un robot ! La toute dernière génération humanoïde de Eve, rien à envier à l'humaine ! s'avisa t-il dépité (et à l'inverse d'Aragon il ne put plus dire "La femme est l'avenir de l'homme"...) Son corps était serré dans une combinaison étrange faite de fibres et de lumière lui sembla-t-il, et qui collait à des formes un peu trop...humaines: un comble! Il était si fasciné par cette femme venue d'une planète inconnue, attiré par ce mystère qui l'enveloppait, cette silhouette supra humaine obsédante, qui le sondait en profondeur, de ses yeux bleus si cristallins, qu'il en oubliait d'écrire. Il se jura que plus jamais il ne l'approcherait ni simplement ne la regarderait. Mais cette superbe créature exra-terrestre savait parfaitement qu'il ne pourrait jamais tenir ce genre de promesse. C'était dans son programme, elle connaissait bien les faiblesses de l'homme : C'était sa mission ! Elle émit un soupir programmé, mais si sensuel, qu'il en perdit le controle de son palpitant. Pouvait-il sèrieusement envisager une histoire d'amour avec une femme en féraille ? | |
| | | Ninon Plume de Corail
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| Sujet: Re: Quand il se retourna... Mer 9 Mai 2007 - 12:16 | |
| Quand il se retourna, le coeur empli d'une douce joie, il n'y avait plus personne. Pourquoi avait-elle donc fuit ainsi ? Un instant, il pensa en son for intérieur, que tout ceci n'était qu'un mauvais rêve, et pourtant...et pourtant, sans un remords sans un regret il lui fallait tourner la page définitivement. Partir droit devant lui, esquiver ces regards, ne pas montrer sa peur, partir sans espoir de retour, oublier, tout effacer, mais pas trop, juste ce qu'il fallait pour ne pas souffrir ne pas se montrer faible car l'absence stagnait et elle le freinerait. Un horizon différent s'ouvrait devant lui mais il l'ignorait. Comment aurait-il pu s'imaginer que sa vie allait enfin commencer ?... Durablement vivre l'éternité et aimer à nouveau, comme si demain n'existait pas... Mais aujourd'hui, la pierre qu'il devait mettre à la construction de son destin pesait si lourd, et son coeur si léger oscillait dangereusement car l'amour allait le terrasser à nouveau. C'est quand il rencontra son regard qu'il fut saisi d'une sorte de malaise, pas cardiaque, mais il sentait au plus profond de lui comme une sorte de renaissance due au formidable sentiment qui l'envahissait. Sa joie fut de courte durée car il connaissait déjà la fragilité du lien affectif puisqu'il avait déjà fait l'expérience de l'amour-passion; et pourtant il se sentait bien incapable de résister à cette attraction, tout en refusant de se laisser entraîner malgré lui. Mais il savait, connaissant très bien la théorie de Newton, que la gravitation universelle le ramènerait vers Elle -LA femme-! Mais pourquoi Dieu, avait-il créé cette créature, se dit-il ! Il n'arrêtait pas de retourner la question dans sa caboche, quand il eut la révélation : "Bon sang ! Mais c'est bien sûr", Aragon l'avait comprit lui ! Il se rendit compte que Dieu n'avait absolument rien à voir la dedans. Car en la regardant de plus près, il venait de remarquer son visage métallique... Cette femme magnifique était en fait un robot ! La toute dernière génération humanoïde de Eve, rien à envier à l'humaine ! s'avisa t-il dépité (et à l'inverse d'Aragon il ne put plus dire "La femme est l'avenir de l'homme"...) Son corps était serré dans une combinaison étrange faite de fibres et de lumière lui sembla-t-il, et qui collait à des formes un peu trop...humaines: un comble! Il était si fasciné par cette femme venue d'une planète inconnue, attiré par ce mystère qui l'enveloppait, cette silhouette supra humaine obsédante, qui le sondait en profondeur, de ses yeux bleus si cristallins, qu'il en oubliait d'écrire. Il se jura que plus jamais il ne l'approcherait ni simplement ne la regarderait. Mais cette superbe créature exra-terrestre savait parfaitement qu'il ne pourrait jamais tenir ce genre de promesse. C'était dans son programme, elle connaissait bien les faiblesses de l'homme : C'était sa mission ! Elle émit un soupir programmé, mais si sensuel, qu'il en perdit le controle de son palpitant. Pouvait-il sèrieusement envisager une histoire d'amour avec une femme en féraille ? Elle éclata de rire. Comme si elle avait perçu les remous causés par ses interrogations, | |
| | | sissi Plume de Bois
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| Sujet: Re: Quand il se retourna... Mer 9 Mai 2007 - 12:59 | |
| Quand il se retourna, le coeur empli d'une douce joie, il n'y avait plus personne. Pourquoi avait-elle donc fuit ainsi ? Un instant, il pensa en son for intérieur, que tout ceci n'était qu'un mauvais rêve, et pourtant...et pourtant, sans un remords sans un regret il lui fallait tourner la page définitivement. Partir droit devant lui, esquiver ces regards, ne pas montrer sa peur, partir sans espoir de retour, oublier, tout effacer, mais pas trop, juste ce qu'il fallait pour ne pas souffrir ne pas se montrer faible car l'absence stagnait et elle le freinerait. Un horizon différent s'ouvrait devant lui mais il l'ignorait. Comment aurait-il pu s'imaginer que sa vie allait enfin commencer ?... Durablement vivre l'éternité et aimer à nouveau, comme si demain n'existait pas... Mais aujourd'hui, la pierre qu'il devait mettre à la construction de son destin pesait si lourd, et son coeur si léger oscillait dangereusement car l'amour allait le terrasser à nouveau. C'est quand il rencontra son regard qu'il fut saisi d'une sorte de malaise, pas cardiaque, mais il sentait au plus profond de lui comme une sorte de renaissance due au formidable sentiment qui l'envahissait. Sa joie fut de courte durée car il connaissait déjà la fragilité du lien affectif puisqu'il avait déjà fait l'expérience de l'amour-passion; et pourtant il se sentait bien incapable de résister à cette attraction, tout en refusant de se laisser entraîner malgré lui. Mais il savait, connaissant très bien la théorie de Newton, que la gravitation universelle le ramènerait vers Elle -LA femme-! Mais pourquoi Dieu, avait-il créé cette créature, se dit-il ! Il n'arrêtait pas de retourner la question dans sa caboche, quand il eut la révélation : "Bon sang ! Mais c'est bien sûr", Aragon l'avait comprit lui ! Il se rendit compte que Dieu n'avait absolument rien à voir la dedans. Car en la regardant de plus près, il venait de remarquer son visage métallique... Cette femme magnifique était en fait un robot ! La toute dernière génération humanoïde de Eve, rien à envier à l'humaine ! s'avisa t-il dépité (et à l'inverse d'Aragon il ne put plus dire "La femme est l'avenir de l'homme"...) Son corps était serré dans une combinaison étrange faite de fibres et de lumière lui sembla-t-il, et qui collait à des formes un peu trop...humaines: un comble! Il était si fasciné par cette femme venue d'une planète inconnue, attiré par ce mystère qui l'enveloppait, cette silhouette supra humaine obsédante, qui le sondait en profondeur, de ses yeux bleus si cristallins, qu'il en oubliait d'écrire. Il se jura que plus jamais il ne l'approcherait ni simplement ne la regarderait. Mais cette superbe créature exra-terrestre savait parfaitement qu'il ne pourrait jamais tenir ce genre de promesse. C'était dans son programme, elle connaissait bien les faiblesses de l'homme : C'était sa mission ! Elle émit un soupir programmé, mais si sensuel, qu'il en perdit le controle de son palpitant. Pouvait-il sèrieusement envisager une histoire d'amour avec une femme en féraille ? Elle éclata de rire. Comme si elle avait perçu les remous causés par ses interrogations,et continua de le séduire pour voir où étaient ses limites. _________________ | |
| | | Ninon Plume de Corail
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| Sujet: Re: Quand il se retourna... Mer 9 Mai 2007 - 13:15 | |
| Quand il se retourna, le coeur empli d'une douce joie, il n'y avait plus personne. Pourquoi avait-elle donc fuit ainsi ? Un instant, il pensa en son for intérieur, que tout ceci n'était qu'un mauvais rêve, et pourtant...et pourtant, sans un remords sans un regret il lui fallait tourner la page définitivement. Partir droit devant lui, esquiver ces regards, ne pas montrer sa peur, partir sans espoir de retour, oublier, tout effacer, mais pas trop, juste ce qu'il fallait pour ne pas souffrir ne pas se montrer faible car l'absence stagnait et elle le freinerait. Un horizon différent s'ouvrait devant lui mais il l'ignorait. Comment aurait-il pu s'imaginer que sa vie allait enfin commencer ?... Durablement vivre l'éternité et aimer à nouveau, comme si demain n'existait pas... Mais aujourd'hui, la pierre qu'il devait mettre à la construction de son destin pesait si lourd, et son coeur si léger oscillait dangereusement car l'amour allait le terrasser à nouveau. C'est quand il rencontra son regard qu'il fut saisi d'une sorte de malaise, pas cardiaque, mais il sentait au plus profond de lui comme une sorte de renaissance due au formidable sentiment qui l'envahissait. Sa joie fut de courte durée car il connaissait déjà la fragilité du lien affectif puisqu'il avait déjà fait l'expérience de l'amour-passion; et pourtant il se sentait bien incapable de résister à cette attraction, tout en refusant de se laisser entraîner malgré lui. Mais il savait, connaissant très bien la théorie de Newton, que la gravitation universelle le ramènerait vers Elle -LA femme-! Mais pourquoi Dieu, avait-il créé cette créature, se dit-il ! Il n'arrêtait pas de retourner la question dans sa caboche, quand il eut la révélation : "Bon sang ! Mais c'est bien sûr", Aragon l'avait comprit lui ! Il se rendit compte que Dieu n'avait absolument rien à voir la dedans. Car en la regardant de plus près, il venait de remarquer son visage métallique... Cette femme magnifique était en fait un robot ! La toute dernière génération humanoïde de Eve, rien à envier à l'humaine ! s'avisa t-il dépité (et à l'inverse d'Aragon il ne put plus dire "La femme est l'avenir de l'homme"...) Son corps était serré dans une combinaison étrange faite de fibres et de lumière lui sembla-t-il, et qui collait à des formes un peu trop...humaines: un comble! Il était si fasciné par cette femme venue d'une planète inconnue, attiré par ce mystère qui l'enveloppait, cette silhouette supra humaine obsédante, qui le sondait en profondeur, de ses yeux bleus si cristallins, qu'il en oubliait d'écrire. Il se jura que plus jamais il ne l'approcherait ni simplement ne la regarderait. Mais cette superbe créature exra-terrestre savait parfaitement qu'il ne pourrait jamais tenir ce genre de promesse. C'était dans son programme, elle connaissait bien les faiblesses de l'homme : C'était sa mission ! Elle émit un soupir programmé, mais si sensuel, qu'il en perdit le controle de son palpitant. Pouvait-il sèrieusement envisager une histoire d'amour avec une femme en féraille ? Elle éclata de rire. Comme si elle avait perçu les remous causés par ses interrogations,et continua de le séduire pour voir où étaient ses limites. Pauvre Victor ! Il bomba du torse, essayant de résister à la tentation | |
| | | philippe de neuville Grimoirien
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| Sujet: Re: Quand il se retourna... Mer 9 Mai 2007 - 16:54 | |
| Quand il se retourna, le coeur empli d'une douce joie, il n'y avait plus personne. Pourquoi avait-elle donc fuit ainsi ? Un instant, il pensa en son for intérieur, que tout ceci n'était qu'un mauvais rêve, et pourtant...et pourtant, sans un remords sans un regret il lui fallait tourner la page définitivement. Partir droit devant lui, esquiver ces regards, ne pas montrer sa peur, partir sans espoir de retour, oublier, tout effacer, mais pas trop, juste ce qu'il fallait pour ne pas souffrir ne pas se montrer faible car l'absence stagnait et elle le freinerait. Un horizon différent s'ouvrait devant lui mais il l'ignorait. Comment aurait-il pu s'imaginer que sa vie allait enfin commencer ?... Durablement vivre l'éternité et aimer à nouveau, comme si demain n'existait pas... Mais aujourd'hui, la pierre qu'il devait mettre à la construction de son destin pesait si lourd, et son coeur si léger oscillait dangereusement car l'amour allait le terrasser à nouveau. C'est quand il rencontra son regard qu'il fut saisi d'une sorte de malaise, pas cardiaque, mais il sentait au plus profond de lui comme une sorte de renaissance due au formidable sentiment qui l'envahissait. Sa joie fut de courte durée car il connaissait déjà la fragilité du lien affectif puisqu'il avait déjà fait l'expérience de l'amour-passion; et pourtant il se sentait bien incapable de résister à cette attraction, tout en refusant de se laisser entraîner malgré lui. Mais il savait, connaissant très bien la théorie de Newton, que la gravitation universelle le ramènerait vers Elle -LA femme-! Mais pourquoi Dieu, avait-il créé cette créature, se dit-il ! Il n'arrêtait pas de retourner la question dans sa caboche, quand il eut la révélation : "Bon sang ! Mais c'est bien sûr", Aragon l'avait compris lui ! Il se rendit compte que Dieu n'avait absolument rien à voir là-dedans. Car en la regardant de plus près, il venait de remarquer son visage métallique... Cette femme magnifique était en fait un robot ! La toute dernière génération humanoïde de Eve, rien à envier à l'humaine ! s'avisa t-il dépité (et à l'inverse d'Aragon il ne put plus dire "La femme est l'avenir de l'homme"...) Son corps était serré dans une combinaison étrange faite de fibres et de lumière lui sembla-t-il, et qui collait à des formes un peu trop...humaines: un comble! Il était si fasciné par cette femme venue d'une planète inconnue, attiré par ce mystère qui l'enveloppait, cette silhouette supra humaine obsédante, qui le sondait en profondeur, de ses yeux bleus si cristallins, qu'il en oubliait d'écrire. Il se jura que plus jamais il ne l'approcherait ni simplement ne la regarderait. Mais cette superbe créature exra-terrestre savait parfaitement qu'il ne pourrait jamais tenir ce genre de promesse. C'était dans son programme, elle connaissait bien les faiblesses de l'homme : C'était sa mission ! Elle émit un soupir programmé, mais si sensuel, qu'il en perdit le contrôle de son palpitant. Pouvait-il sèrieusement envisager une histoire d'amour avec une femme en ferraille ? Elle éclata de rire. Comme si elle avait perçu les remous causés par ses interrogations,et continua de le séduire pour voir où étaient ses limites. Pauvre Victor ! Il bomba le torse, essayant de résister à la tentation: mais quel effort surhumain! Jusqu'où l'homme Textes protégés par © Copyright N° 79Z516A In Pace cum Patribus (devise des Neuville) | |
| | | apogon Membre d'honneur
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| Sujet: Re: Quand il se retourna... Mer 9 Mai 2007 - 17:13 | |
| Quand il se retourna, le coeur empli d'une douce joie, il n'y avait plus personne. Pourquoi avait-elle donc fuit ainsi ? Un instant, il pensa en son for intérieur, que tout ceci n'était qu'un mauvais rêve, et pourtant...et pourtant, sans un remords sans un regret il lui fallait tourner la page définitivement. Partir droit devant lui, esquiver ces regards, ne pas montrer sa peur, partir sans espoir de retour, oublier, tout effacer, mais pas trop, juste ce qu'il fallait pour ne pas souffrir ne pas se montrer faible car l'absence stagnait et elle le freinerait. Un horizon différent s'ouvrait devant lui mais il l'ignorait. Comment aurait-il pu s'imaginer que sa vie allait enfin commencer ?... Durablement vivre l'éternité et aimer à nouveau, comme si demain n'existait pas... Mais aujourd'hui, la pierre qu'il devait mettre à la construction de son destin pesait si lourd, et son coeur si léger oscillait dangereusement car l'amour allait le terrasser à nouveau. C'est quand il rencontra son regard qu'il fut saisi d'une sorte de malaise, pas cardiaque, mais il sentait au plus profond de lui comme une sorte de renaissance due au formidable sentiment qui l'envahissait. Sa joie fut de courte durée car il connaissait déjà la fragilité du lien affectif puisqu'il avait déjà fait l'expérience de l'amour-passion; et pourtant il se sentait bien incapable de résister à cette attraction, tout en refusant de se laisser entrainer malgré lui. Mais il savait, connaissant très bien la théorie de Newton, que la gravitation universelle le ramènerait vers Elle -LA femme-! Mais pourquoi Dieu, avait-il créé cette créature, se dit-il ! Il n'arrêtait pas de retourner la question dans sa caboche, quand il eut la révélation : "Bon sang ! Mais c'est bien sûr", Aragon l'avait compris lui ! Il se rendit compte que Dieu n'avait absolument rien à voir là-dedans. Car en la regardant de plus près, il venait de remarquer son visage métallique... Cette femme magnifique était en fait un robot ! La toute dernière génération humanoïde de Eve, rien à envier à l'humaine ! s'avisa t-il dépité (et à l'inverse d'Aragon il ne put plus dire "La femme est l'avenir de l'homme"...) Son corps était serré dans une combinaison étrange faite de fibres et de lumière lui sembla-t-il, et qui collait à des formes un peu trop...humaines: un comble! Il était si fasciné par cette femme venue d'une planète inconnue, attiré par ce mystère qui l'enveloppait, cette silhouette supra humaine obsédante, qui le sondait en profondeur, de ses yeux bleus si cristallins, qu'il en oubliait d'écrire. Il se jura que plus jamais il ne l'approcherait ni simplement ne la regarderait. Mais cette superbe créature exra-terrestre savait parfaitement qu'il ne pourrait jamais tenir ce genre de promesse. C'était dans son programme, elle connaissait bien les faiblesses de l'homme : C'était sa mission ! Elle émit un soupir programmé, mais si sensuel, qu'il en perdit le contrôle de son palpitant. Pouvait-il sérieusement envisager une histoire d'amour avec une femme en ferraille ? Elle éclata de rire. Comme si elle avait perçu les remous causés par ses interrogations,et continua de le séduire pour voir où étaient ses limites. Pauvre Victor ! Il bomba le torse, essayant de résister à la tentation: mais quel effort surhumain! Jusqu'où l'homme pourrait-il réfréner ses pulsions ?
(je sens que ça va faire mal quand il va se lâcher!) Textes protégés par © Copyright N° 79Z516A ^----^ (='Y'=) (")_(")
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| | | Ninon Plume de Corail
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| Sujet: Re: Quand il se retourna... Mer 9 Mai 2007 - 17:41 | |
| Quand il se retourna, le coeur empli d'une douce joie, il n'y avait plus personne. Pourquoi avait-elle donc fuit ainsi ? Un instant, il pensa en son for intérieur, que tout ceci n'était qu'un mauvais rêve, et pourtant...et pourtant, sans un remords sans un regret il lui fallait tourner la page définitivement. Partir droit devant lui, esquiver ces regards, ne pas montrer sa peur, partir sans espoir de retour, oublier, tout effacer, mais pas trop, juste ce qu'il fallait pour ne pas souffrir ne pas se montrer faible car l'absence stagnait et elle le freinerait. Un horizon différent s'ouvrait devant lui mais il l'ignorait. Comment aurait-il pu s'imaginer que sa vie allait enfin commencer ?... Durablement vivre l'éternité et aimer à nouveau, comme si demain n'existait pas... Mais aujourd'hui, la pierre qu'il devait mettre à la construction de son destin pesait si lourd, et son coeur si léger oscillait dangereusement car l'amour allait le terrasser à nouveau. C'est quand il rencontra son regard qu'il fut saisi d'une sorte de malaise, pas cardiaque, mais il sentait au plus profond de lui comme une sorte de renaissance due au formidable sentiment qui l'envahissait. Sa joie fut de courte durée car il connaissait déjà la fragilité du lien affectif puisqu'il avait déjà fait l'expérience de l'amour-passion; et pourtant il se sentait bien incapable de résister à cette attraction, tout en refusant de se laisser entrainer malgré lui. Mais il savait, connaissant très bien la théorie de Newton, que la gravitation universelle le ramènerait vers Elle -LA femme-! Mais pourquoi Dieu, avait-il créé cette créature, se dit-il ! Il n'arrêtait pas de retourner la question dans sa caboche, quand il eut la révélation : "Bon sang ! Mais c'est bien sûr", Aragon l'avait compris lui ! Il se rendit compte que Dieu n'avait absolument rien à voir là-dedans. Car en la regardant de plus près, il venait de remarquer son visage métallique... Cette femme magnifique était en fait un robot ! La toute dernière génération humanoïde de Eve, rien à envier à l'humaine ! s'avisa t-il dépité (et à l'inverse d'Aragon il ne put plus dire "La femme est l'avenir de l'homme"...) Son corps était serré dans une combinaison étrange faite de fibres et de lumière lui sembla-t-il, et qui collait à des formes un peu trop...humaines: un comble! Il était si fasciné par cette femme venue d'une planète inconnue, attiré par ce mystère qui l'enveloppait, cette silhouette supra humaine obsédante, qui le sondait en profondeur, de ses yeux bleus si cristallins, qu'il en oubliait d'écrire. Il se jura que plus jamais il ne l'approcherait ni simplement ne la regarderait. Mais cette superbe créature exra-terrestre savait parfaitement qu'il ne pourrait jamais tenir ce genre de promesse. C'était dans son programme, elle connaissait bien les faiblesses de l'homme : C'était sa mission ! Elle émit un soupir programmé, mais si sensuel, qu'il en perdit le contrôle de son palpitant. Pouvait-il sérieusement envisager une histoire d'amour avec une femme en ferraille ? Elle éclata de rire. Comme si elle avait perçu les remous causés par ses interrogations,et continua de le séduire pour voir où étaient ses limites. Pauvre Victor ! Il bomba le torse, essayant de résister à la tentation: mais quel effort surhumain! Jusqu'où l'homme pourrait-il réfréner ses pulsions ? Il n'en savait rien bien entendu, lui, qui avait toujours obéi qu'à ses bas instincts
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| | | sissi Plume de Bois
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| Sujet: Re: Quand il se retourna... Mer 9 Mai 2007 - 20:08 | |
| Quand il se retourna, le coeur empli d'une douce joie, il n'y avait plus personne. Pourquoi avait-elle donc fuit ainsi ? Un instant, il pensa en son for intérieur, que tout ceci n'était qu'un mauvais rêve, et pourtant...et pourtant, sans un remords sans un regret il lui fallait tourner la page définitivement. Partir droit devant lui, esquiver ces regards, ne pas montrer sa peur, partir sans espoir de retour, oublier, tout effacer, mais pas trop, juste ce qu'il fallait pour ne pas souffrir ne pas se montrer faible car l'absence stagnait et elle le freinerait. Un horizon différent s'ouvrait devant lui mais il l'ignorait. Comment aurait-il pu s'imaginer que sa vie allait enfin commencer ?... Durablement vivre l'éternité et aimer à nouveau, comme si demain n'existait pas... Mais aujourd'hui, la pierre qu'il devait mettre à la construction de son destin pesait si lourd, et son coeur si léger oscillait dangereusement car l'amour allait le terrasser à nouveau. C'est quand il rencontra son regard qu'il fut saisi d'une sorte de malaise, pas cardiaque, mais il sentait au plus profond de lui comme une sorte de renaissance due au formidable sentiment qui l'envahissait. Sa joie fut de courte durée car il connaissait déjà la fragilité du lien affectif puisqu'il avait déjà fait l'expérience de l'amour-passion; et pourtant il se sentait bien incapable de résister à cette attraction, tout en refusant de se laisser entrainer malgré lui. Mais il savait, connaissant très bien la théorie de Newton, que la gravitation universelle le ramènerait vers Elle -LA femme-! Mais pourquoi Dieu, avait-il créé cette créature, se dit-il ! Il n'arrêtait pas de retourner la question dans sa caboche, quand il eut la révélation : "Bon sang ! Mais c'est bien sûr", Aragon l'avait compris lui ! Il se rendit compte que Dieu n'avait absolument rien à voir là-dedans. Car en la regardant de plus près, il venait de remarquer son visage métallique... Cette femme magnifique était en fait un robot ! La toute dernière génération humanoïde de Eve, rien à envier à l'humaine ! s'avisa t-il dépité (et à l'inverse d'Aragon il ne put plus dire "La femme est l'avenir de l'homme"...) Son corps était serré dans une combinaison étrange faite de fibres et de lumière lui sembla-t-il, et qui collait à des formes un peu trop...humaines: un comble! Il était si fasciné par cette femme venue d'une planète inconnue, attiré par ce mystère qui l'enveloppait, cette silhouette supra humaine obsédante, qui le sondait en profondeur, de ses yeux bleus si cristallins, qu'il en oubliait d'écrire. Il se jura que plus jamais il ne l'approcherait ni simplement ne la regarderait. Mais cette superbe créature exra-terrestre savait parfaitement qu'il ne pourrait jamais tenir ce genre de promesse. C'était dans son programme, elle connaissait bien les faiblesses de l'homme : C'était sa mission ! Elle émit un soupir programmé, mais si sensuel, qu'il en perdit le contrôle de son palpitant. Pouvait-il sérieusement envisager une histoire d'amour avec une femme en ferraille ? Elle éclata de rire. Comme si elle avait perçu les remous causés par ses interrogations,et continua de le séduire pour voir où étaient ses limites. Pauvre Victor ! Il bomba le torse, essayant de résister à la tentation: mais quel effort surhumain! Jusqu'où l'homme pourrait-il réfréner ses pulsions ? Il n'en savait rien bien entendu, lui, qui avait toujours obéit qu'à ses bas instincts, et soudain il la vi s'avancer _________________ | |
| | | Yves Le Guern Grimoirien
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| Sujet: Re: Quand il se retourna... Mer 9 Mai 2007 - 20:14 | |
| Quand il se retourna, le coeur empli d'une douce joie, il n'y avait plus personne. Pourquoi avait-elle donc fuit ainsi ? Un instant, il pensa en son for intérieur, que tout ceci n'était qu'un mauvais rêve, et pourtant...et pourtant, sans un remords sans un regret il lui fallait tourner la page définitivement. Partir droit devant lui, esquiver ces regards, ne pas montrer sa peur, partir sans espoir de retour, oublier, tout effacer, mais pas trop, juste ce qu'il fallait pour ne pas souffrir ne pas se montrer faible car l'absence stagnait et elle le freinerait. Un horizon différent s'ouvrait devant lui mais il l'ignorait. Comment aurait-il pu s'imaginer que sa vie allait enfin commencer ?... Durablement vivre l'éternité et aimer à nouveau, comme si demain n'existait pas... Mais aujourd'hui, la pierre qu'il devait mettre à la construction de son destin pesait si lourd, et son coeur si léger oscillait dangereusement car l'amour allait le terrasser à nouveau. C'est quand il rencontra son regard qu'il fut saisi d'une sorte de malaise, pas cardiaque, mais il sentait au plus profond de lui comme une sorte de renaissance due au formidable sentiment qui l'envahissait. Sa joie fut de courte durée car il connaissait déjà la fragilité du lien affectif puisqu'il avait déjà fait l'expérience de l'amour-passion; et pourtant il se sentait bien incapable de résister à cette attraction, tout en refusant de se laisser entrainer malgré lui. Mais il savait, connaissant très bien la théorie de Newton, que la gravitation universelle le ramènerait vers Elle -LA femme-! Mais pourquoi Dieu, avait-il créé cette créature, se dit-il ! Il n'arrêtait pas de retourner la question dans sa caboche, quand il eut la révélation : "Bon sang ! Mais c'est bien sûr", Aragon l'avait compris lui ! Il se rendit compte que Dieu n'avait absolument rien à voir là-dedans. Car en la regardant de plus près, il venait de remarquer son visage métallique... Cette femme magnifique était en fait un robot ! La toute dernière génération humanoïde de Eve, rien à envier à l'humaine ! s'avisa t-il dépité (et à l'inverse d'Aragon il ne put plus dire "La femme est l'avenir de l'homme"...) Son corps était serré dans une combinaison étrange faite de fibres et de lumière lui sembla-t-il, et qui collait à des formes un peu trop...humaines: un comble! Il était si fasciné par cette femme venue d'une planète inconnue, attiré par ce mystère qui l'enveloppait, cette silhouette supra humaine obsédante, qui le sondait en profondeur, de ses yeux bleus si cristallins, qu'il en oubliait d'écrire. Il se jura que plus jamais il ne l'approcherait ni simplement ne la regarderait. Mais cette superbe créature exra-terrestre savait parfaitement qu'il ne pourrait jamais tenir ce genre de promesse. C'était dans son programme, elle connaissait bien les faiblesses de l'homme : C'était sa mission ! Elle émit un soupir programmé, mais si sensuel, qu'il en perdit le contrôle de son palpitant. Pouvait-il sérieusement envisager une histoire d'amour avec une femme en ferraille ? Elle éclata de rire. Comme si elle avait perçu les remous causés par ses interrogations,et continua de le séduire pour voir où étaient ses limites. Pauvre Victor ! Il bomba le torse, essayant de résister à la tentation: mais quel effort surhumain! Jusqu'où l'homme pourrait-il réfréner ses pulsions ? Il n'en savait rien bien entendu, lui, qui avait toujours obéit qu'à ses bas instincts, et soudain il la vi s'avancer sa bielle à la main. Textes protégés par © Copyright N° 79Z516A Invité de m'avoir lu. | |
| | | philippe de neuville Grimoirien
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| Sujet: Re: Quand il se retourna... Mer 9 Mai 2007 - 20:24 | |
| Quand il se retourna, le coeur empli d'une douce joie, il n'y avait plus personne. Pourquoi avait-elle donc fuit ainsi ? Un instant, il pensa en son for intérieur, que tout ceci n'était qu'un mauvais rêve, et pourtant...et pourtant, sans un remords sans un regret il lui fallait tourner la page définitivement. Partir droit devant lui, esquiver ces regards, ne pas montrer sa peur, partir sans espoir de retour, oublier, tout effacer, mais pas trop, juste ce qu'il fallait pour ne pas souffrir ne pas se montrer faible car l'absence stagnait et elle le freinerait. Un horizon différent s'ouvrait devant lui mais il l'ignorait. Comment aurait-il pu s'imaginer que sa vie allait enfin commencer ?... Durablement vivre l'éternité et aimer à nouveau, comme si demain n'existait pas... Mais aujourd'hui, la pierre qu'il devait mettre à la construction de son destin pesait si lourd, et son coeur si léger oscillait dangereusement car l'amour allait le terrasser à nouveau. C'est quand il rencontra son regard qu'il fut saisi d'une sorte de malaise, pas cardiaque, mais il sentait au plus profond de lui comme une sorte de renaissance due au formidable sentiment qui l'envahissait. Sa joie fut de courte durée car il connaissait déjà la fragilité du lien affectif puisqu'il avait déjà fait l'expérience de l'amour-passion; et pourtant il se sentait bien incapable de résister à cette attraction, tout en refusant de se laisser entrainer malgré lui. Mais il savait, connaissant très bien la théorie de Newton, que la gravitation universelle le ramènerait vers Elle -LA femme-! Mais pourquoi Dieu, avait-il créé cette créature, se dit-il ! Il n'arrêtait pas de retourner la question dans sa caboche, quand il eut la révélation : "Bon sang ! Mais c'est bien sûr", Aragon l'avait compris lui ! Il se rendit compte que Dieu n'avait absolument rien à voir là-dedans. Car en la regardant de plus près, il venait de remarquer son visage métallique... Cette femme magnifique était en fait un robot ! La toute dernière génération humanoïde de Eve, rien à envier à l'humaine ! s'avisa t-il dépité (et à l'inverse d'Aragon il ne put plus dire "La femme est l'avenir de l'homme"...) Son corps était serré dans une combinaison étrange faite de fibres et de lumière lui sembla-t-il, et qui collait à des formes un peu trop...humaines: un comble! Il était si fasciné par cette femme venue d'une planète inconnue, attiré par ce mystère qui l'enveloppait, cette silhouette supra humaine obsédante, qui le sondait en profondeur, de ses yeux bleus si cristallins, qu'il en oubliait d'écrire. Il se jura que plus jamais il ne l'approcherait ni simplement ne la regarderait. Mais cette superbe créature exra-terrestre savait parfaitement qu'il ne pourrait jamais tenir ce genre de promesse. C'était dans son programme, elle connaissait bien les faiblesses de l'homme : C'était sa mission ! Elle émit un soupir programmé, mais si sensuel, qu'il en perdit le contrôle de son palpitant. Pouvait-il sérieusement envisager une histoire d'amour avec une femme en ferraille ? Elle éclata de rire. Comme si elle avait perçu les remous causés par ses interrogations,et continua de le séduire pour voir où étaient ses limites. Pauvre Victor ! Il bomba le torse, essayant de résister à la tentation: mais quel effort surhumain! Jusqu'où l'homme pourrait-il réfréner ses pulsions ? Il n'en savait rien bien entendu, lui, qui n'avait toujours obéi qu'à ses bas instincts, et soudain il la vit s'avancer sa bielle à la main. Qu'allait-il faire? Cur, comodo, quando? Textes protégés par © Copyright N° 79Z516A In Pace cum Patribus (devise des Neuville) | |
| | | sissi Plume de Bois
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| Sujet: Re: Quand il se retourna... Mer 9 Mai 2007 - 20:34 | |
| Quand il se retourna, le coeur empli d'une douce joie, il n'y avait plus personne. Pourquoi avait-elle donc fuit ainsi ? Un instant, il pensa en son for intérieur, que tout ceci n'était qu'un mauvais rêve, et pourtant...et pourtant, sans un remords sans un regret il lui fallait tourner la page définitivement. Partir droit devant lui, esquiver ces regards, ne pas montrer sa peur, partir sans espoir de retour, oublier, tout effacer, mais pas trop, juste ce qu'il fallait pour ne pas souffrir ne pas se montrer faible car l'absence stagnait et elle le freinerait. Un horizon différent s'ouvrait devant lui mais il l'ignorait. Comment aurait-il pu s'imaginer que sa vie allait enfin commencer ?... Durablement vivre l'éternité et aimer à nouveau, comme si demain n'existait pas... Mais aujourd'hui, la pierre qu'il devait mettre à la construction de son destin pesait si lourd, et son coeur si léger oscillait dangereusement car l'amour allait le terrasser à nouveau. C'est quand il rencontra son regard qu'il fut saisi d'une sorte de malaise, pas cardiaque, mais il sentait au plus profond de lui comme une sorte de renaissance due au formidable sentiment qui l'envahissait. Sa joie fut de courte durée car il connaissait déjà la fragilité du lien affectif puisqu'il avait déjà fait l'expérience de l'amour-passion; et pourtant il se sentait bien incapable de résister à cette attraction, tout en refusant de se laisser entrainer malgré lui. Mais il savait, connaissant très bien la théorie de Newton, que la gravitation universelle le ramènerait vers Elle -LA femme-! Mais pourquoi Dieu, avait-il créé cette créature, se dit-il ! Il n'arrêtait pas de retourner la question dans sa caboche, quand il eut la révélation : "Bon sang ! Mais c'est bien sûr", Aragon l'avait compris lui ! Il se rendit compte que Dieu n'avait absolument rien à voir là-dedans. Car en la regardant de plus près, il venait de remarquer son visage métallique... Cette femme magnifique était en fait un robot ! La toute dernière génération humanoïde de Eve, rien à envier à l'humaine ! s'avisa t-il dépité (et à l'inverse d'Aragon il ne put plus dire "La femme est l'avenir de l'homme"...) Son corps était serré dans une combinaison étrange faite de fibres et de lumière lui sembla-t-il, et qui collait à des formes un peu trop...humaines: un comble! Il était si fasciné par cette femme venue d'une planète inconnue, attiré par ce mystère qui l'enveloppait, cette silhouette supra humaine obsédante, qui le sondait en profondeur, de ses yeux bleus si cristallins, qu'il en oubliait d'écrire. Il se jura que plus jamais il ne l'approcherait ni simplement ne la regarderait. Mais cette superbe créature exra-terrestre savait parfaitement qu'il ne pourrait jamais tenir ce genre de promesse. C'était dans son programme, elle connaissait bien les faiblesses de l'homme : C'était sa mission ! Elle émit un soupir programmé, mais si sensuel, qu'il en perdit le contrôle de son palpitant. Pouvait-il sérieusement envisager une histoire d'amour avec une femme en ferraille ? Elle éclata de rire. Comme si elle avait perçu les remous causés par ses interrogations,et continua de le séduire pour voir où étaient ses limites. Pauvre Victor ! Il bomba le torse, essayant de résister à la tentation: mais quel effort surhumain! Jusqu'où l'homme pourrait-il réfréner ses pulsions ? Il n'en savait rien bien entendu, lui, qui n'avait toujours obéi qu'à ses bas instincts, et soudain il la vit s'avancer sa bielle à la main. Qu'allait-il faire? Cur, comodo, quando? et que penser t'elle la! a ce moment précis? | |
| | | apogon Membre d'honneur
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| Sujet: Re: Quand il se retourna... Mer 9 Mai 2007 - 21:32 | |
| Quand il se retourna, le coeur empli d'une douce joie, il n'y avait plus personne. Pourquoi avait-elle donc fuit ainsi ? Un instant, il pensa en son for intérieur, que tout ceci n'était qu'un mauvais rêve, et pourtant...et pourtant, sans un remords sans un regret il lui fallait tourner la page définitivement. Partir droit devant lui, esquiver ces regards, ne pas montrer sa peur, partir sans espoir de retour, oublier, tout effacer, mais pas trop, juste ce qu'il fallait pour ne pas souffrir ne pas se montrer faible car l'absence stagnait et elle le freinerait. Un horizon différent s'ouvrait devant lui mais il l'ignorait. Comment aurait-il pu s'imaginer que sa vie allait enfin commencer ?... Durablement vivre l'éternité et aimer à nouveau, comme si demain n'existait pas... Mais aujourd'hui, la pierre qu'il devait mettre à la construction de son destin pesait si lourd, et son coeur si léger oscillait dangereusement car l'amour allait le terrasser à nouveau. C'est quand il rencontra son regard qu'il fut saisi d'une sorte de malaise, pas cardiaque, mais il sentait au plus profond de lui comme une sorte de renaissance due au formidable sentiment qui l'envahissait. Sa joie fut de courte durée car il connaissait déjà la fragilité du lien affectif puisqu'il avait déjà fait l'expérience de l'amour-passion; et pourtant il se sentait bien incapable de résister à cette attraction, tout en refusant de se laisser entrainer malgré lui. Mais il savait, connaissant très bien la théorie de Newton, que la gravitation universelle le ramènerait vers Elle -LA femme-! Mais pourquoi Dieu, avait-il créé cette créature, se dit-il ! Il n'arrêtait pas de retourner la question dans sa caboche, quand il eut la révélation : "Bon sang ! Mais c'est bien sûr", Aragon l'avait compris lui ! Il se rendit compte que Dieu n'avait absolument rien à voir là-dedans. Car en la regardant de plus près, il venait de remarquer son visage métallique... Cette femme magnifique était en fait un robot ! La toute dernière génération humanoïde de Eve, rien à envier à l'humaine ! s'avisa t-il dépité (et à l'inverse d'Aragon il ne put plus dire "La femme est l'avenir de l'homme"...) Son corps était serré dans une combinaison étrange faite de fibres et de lumière lui sembla-t-il, et qui collait à des formes un peu trop...humaines: un comble! Il était si fasciné par cette femme venue d'une planète inconnue, attiré par ce mystère qui l'enveloppait, cette silhouette supra humaine obsédante, qui le sondait en profondeur, de ses yeux bleus si cristallins, qu'il en oubliait d'écrire. Il se jura que plus jamais il ne l'approcherait ni simplement ne la regarderait. Mais cette superbe créature exra-terrestre savait parfaitement qu'il ne pourrait jamais tenir ce genre de promesse. C'était dans son programme, elle connaissait bien les faiblesses de l'homme : C'était sa mission ! Elle émit un soupir programmé, mais si sensuel, qu'il en perdit le contrôle de son palpitant. Pouvait-il sérieusement envisager une histoire d'amour avec une femme en ferraille ? Elle éclata de rire. Comme si elle avait perçu les remous causés par ses interrogations,et continua de le séduire pour voir où étaient ses limites. Pauvre Victor ! Il bomba le torse, essayant de résister à la tentation: mais quel effort surhumain! Jusqu'où l'homme pourrait-il réfréner ses pulsions ? Il n'en savait rien bien entendu, lui, qui n'avait toujours obéi qu'à ses bas instincts, et soudain il la vit s'avancer sa bielle à la main. Qu'allait-il faire? Cur, comodo, quando? et à quoi pensait-elle à ce moment précis ? Du coup, il n'osait plus se retourner... Textes protégés par © Copyright N° 79Z516A ^----^ (='Y'=) (")_(")
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| | | philippe de neuville Grimoirien
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| Sujet: Re: Quand il se retourna... Mer 9 Mai 2007 - 23:01 | |
| Quand il se retourna, le coeur empli d'une douce joie, il n'y avait plus personne. Pourquoi avait-elle donc fuit ainsi ? Un instant, il pensa en son for intérieur, que tout ceci n'était qu'un mauvais rêve, et pourtant...et pourtant, sans un remords sans un regret il lui fallait tourner la page définitivement. Partir droit devant lui, esquiver ces regards, ne pas montrer sa peur, partir sans espoir de retour, oublier, tout effacer, mais pas trop, juste ce qu'il fallait pour ne pas souffrir ne pas se montrer faible car l'absence stagnait et elle le freinerait. Un horizon différent s'ouvrait devant lui mais il l'ignorait. Comment aurait-il pu s'imaginer que sa vie allait enfin commencer ?... Durablement vivre l'éternité et aimer à nouveau, comme si demain n'existait pas... Mais aujourd'hui, la pierre qu'il devait mettre à la construction de son destin pesait si lourd, et son coeur si léger oscillait dangereusement car l'amour allait le terrasser à nouveau. C'est quand il rencontra son regard qu'il fut saisi d'une sorte de malaise, pas cardiaque, mais il sentait au plus profond de lui comme une sorte de renaissance due au formidable sentiment qui l'envahissait. Sa joie fut de courte durée car il connaissait déjà la fragilité du lien affectif puisqu'il avait déjà fait l'expérience de l'amour-passion; et pourtant il se sentait bien incapable de résister à cette attraction, tout en refusant de se laisser entrainer malgré lui. Mais il savait, connaissant très bien la théorie de Newton, que la gravitation universelle le ramènerait vers Elle -LA femme-! Mais pourquoi Dieu, avait-il créé cette créature, se dit-il ! Il n'arrêtait pas de retourner la question dans sa caboche, quand il eut la révélation : "Bon sang ! Mais c'est bien sûr", Aragon l'avait compris lui ! Il se rendit compte que Dieu n'avait absolument rien à voir là-dedans. Car en la regardant de plus près, il venait de remarquer son visage métallique... Cette femme magnifique était en fait un robot ! La toute dernière génération humanoïde de Eve, rien à envier à l'humaine ! s'avisa t-il dépité (et à l'inverse d'Aragon il ne put plus dire "La femme est l'avenir de l'homme"...) Son corps était serré dans une combinaison étrange faite de fibres et de lumière lui sembla-t-il, et qui collait à des formes un peu trop...humaines: un comble! Il était si fasciné par cette femme venue d'une planète inconnue, attiré par ce mystère qui l'enveloppait, cette silhouette supra humaine obsédante, qui le sondait en profondeur, de ses yeux bleus si cristallins, qu'il en oubliait d'écrire. Il se jura que plus jamais il ne l'approcherait ni simplement ne la regarderait. Mais cette superbe créature exra-terrestre savait parfaitement qu'il ne pourrait jamais tenir ce genre de promesse. C'était dans son programme, elle connaissait bien les faiblesses de l'homme : C'était sa mission ! Elle émit un soupir programmé, mais si sensuel, qu'il en perdit le contrôle de son palpitant. Pouvait-il sérieusement envisager une histoire d'amour avec une femme en ferraille ? Elle éclata de rire. Comme si elle avait perçu les remous causés par ses interrogations,et continua de le séduire pour voir où étaient ses limites. Pauvre Victor ! Il bomba le torse, essayant de résister à la tentation: mais quel effort surhumain! Jusqu'où l'homme pourrait-il réfréner ses pulsions ? Il n'en savait rien bien entendu, lui, qui n'avait toujours obéi qu'à ses bas instincts, et soudain il la vit s'avancer sa bielle à la main. Qu'allait-il faire? Cur, comodo, quando? et à quoi pensait-elle à ce moment précis ? Du coup, il n'osait plus se retourner... Peut-être attendait-il le coup fatal? Textes protégés par © Copyright N° 79Z516A In Pace cum Patribus (devise des Neuville) | |
| | | apogon Membre d'honneur
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| Sujet: Re: Quand il se retourna... Mer 9 Mai 2007 - 23:13 | |
| Quand il se retourna, le coeur empli d'une douce joie, il n'y avait plus personne. Pourquoi avait-elle donc fuit ainsi ? Un instant, il pensa en son for intérieur, que tout ceci n'était qu'un mauvais rêve, et pourtant...et pourtant, sans un remords sans un regret il lui fallait tourner la page définitivement. Partir droit devant lui, esquiver ces regards, ne pas montrer sa peur, partir sans espoir de retour, oublier, tout effacer, mais pas trop, juste ce qu'il fallait pour ne pas souffrir ne pas se montrer faible car l'absence stagnait et elle le freinerait. Un horizon différent s'ouvrait devant lui mais il l'ignorait. Comment aurait-il pu s'imaginer que sa vie allait enfin commencer ?... Durablement vivre l'éternité et aimer à nouveau, comme si demain n'existait pas... Mais aujourd'hui, la pierre qu'il devait mettre à la construction de son destin pesait si lourd, et son coeur si léger oscillait dangereusement car l'amour allait le terrasser à nouveau. C'est quand il rencontra son regard qu'il fut saisi d'une sorte de malaise, pas cardiaque, mais il sentait au plus profond de lui comme une sorte de renaissance due au formidable sentiment qui l'envahissait. Sa joie fut de courte durée car il connaissait déjà la fragilité du lien affectif puisqu'il avait déjà fait l'expérience de l'amour-passion; et pourtant il se sentait bien incapable de résister à cette attraction, tout en refusant de se laisser entrainer malgré lui. Mais il savait, connaissant très bien la théorie de Newton, que la gravitation universelle le ramènerait vers Elle -LA femme-! Mais pourquoi Dieu, avait-il créé cette créature, se dit-il ! Il n'arrêtait pas de retourner la question dans sa caboche, quand il eut la révélation : "Bon sang ! Mais c'est bien sûr", Aragon l'avait compris lui ! Il se rendit compte que Dieu n'avait absolument rien à voir là-dedans. Car en la regardant de plus près, il venait de remarquer son visage métallique... Cette femme magnifique était en fait un robot ! La toute dernière génération humanoïde de Eve, rien à envier à l'humaine ! s'avisa t-il dépité (et à l'inverse d'Aragon il ne put plus dire "La femme est l'avenir de l'homme"...) Son corps était serré dans une combinaison étrange faite de fibres et de lumière lui sembla-t-il, et qui collait à des formes un peu trop...humaines: un comble! Il était si fasciné par cette femme venue d'une planète inconnue, attiré par ce mystère qui l'enveloppait, cette silhouette supra humaine obsédante, qui le sondait en profondeur, de ses yeux bleus si cristallins, qu'il en oubliait d'écrire. Il se jura que plus jamais il ne l'approcherait ni simplement ne la regarderait. Mais cette superbe créature exra-terrestre savait parfaitement qu'il ne pourrait jamais tenir ce genre de promesse. C'était dans son programme, elle connaissait bien les faiblesses de l'homme : C'était sa mission ! Elle émit un soupir programmé, mais si sensuel, qu'il en perdit le contrôle de son palpitant. Pouvait-il sérieusement envisager une histoire d'amour avec une femme en ferraille ? Elle éclata de rire. Comme si elle avait perçu les remous causés par ses interrogations,et continua de le séduire pour voir où étaient ses limites. Pauvre Victor ! Il bomba le torse, essayant de résister à la tentation: mais quel effort surhumain! Jusqu'où l'homme pourrait-il réfréner ses pulsions ? Il n'en savait rien bien entendu, lui, qui n'avait toujours obéi qu'à ses bas instincts, et soudain il la vit s'avancer sa bielle à la main. Qu'allait-il faire? Cur, comodo, quando? et à quoi pensait-elle à ce moment précis ? Du coup, il n'osait plus se retourner... Peut-être attendait-il le coup fatal ? Il ne pouvait détacher son regard du cache-culbuteurs de la belle Textes protégés par © Copyright N° 79Z516A ^----^ (='Y'=) (")_(")
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| | | philippe de neuville Grimoirien
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| Sujet: Re: Quand il se retourna... Mer 9 Mai 2007 - 23:18 | |
| Quand il se retourna, le coeur empli d'une douce joie, il n'y avait plus personne. Pourquoi avait-elle donc fuit ainsi ? Un instant, il pensa en son for intérieur, que tout ceci n'était qu'un mauvais rêve, et pourtant...et pourtant, sans un remords sans un regret il lui fallait tourner la page définitivement. Partir droit devant lui, esquiver ces regards, ne pas montrer sa peur, partir sans espoir de retour, oublier, tout effacer, mais pas trop, juste ce qu'il fallait pour ne pas souffrir ne pas se montrer faible car l'absence stagnait et elle le freinerait. Un horizon différent s'ouvrait devant lui mais il l'ignorait. Comment aurait-il pu s'imaginer que sa vie allait enfin commencer ?... Durablement vivre l'éternité et aimer à nouveau, comme si demain n'existait pas... Mais aujourd'hui, la pierre qu'il devait mettre à la construction de son destin pesait si lourd, et son coeur si léger oscillait dangereusement car l'amour allait le terrasser à nouveau. C'est quand il rencontra son regard qu'il fut saisi d'une sorte de malaise, pas cardiaque, mais il sentait au plus profond de lui comme une sorte de renaissance due au formidable sentiment qui l'envahissait. Sa joie fut de courte durée car il connaissait déjà la fragilité du lien affectif puisqu'il avait déjà fait l'expérience de l'amour-passion; et pourtant il se sentait bien incapable de résister à cette attraction, tout en refusant de se laisser entrainer malgré lui. Mais il savait, connaissant très bien la théorie de Newton, que la gravitation universelle le ramènerait vers Elle -LA femme-! Mais pourquoi Dieu, avait-il créé cette créature, se dit-il ! Il n'arrêtait pas de retourner la question dans sa caboche, quand il eut la révélation : "Bon sang ! Mais c'est bien sûr", Aragon l'avait compris lui ! Il se rendit compte que Dieu n'avait absolument rien à voir là-dedans. Car en la regardant de plus près, il venait de remarquer son visage métallique... Cette femme magnifique était en fait un robot ! La toute dernière génération humanoïde de Eve, rien à envier à l'humaine ! s'avisa t-il dépité (et à l'inverse d'Aragon il ne put plus dire "La femme est l'avenir de l'homme"...) Son corps était serré dans une combinaison étrange faite de fibres et de lumière lui sembla-t-il, et qui collait à des formes un peu trop...humaines: un comble! Il était si fasciné par cette femme venue d'une planète inconnue, attiré par ce mystère qui l'enveloppait, cette silhouette supra humaine obsédante, qui le sondait en profondeur, de ses yeux bleus si cristallins, qu'il en oubliait d'écrire. Il se jura que plus jamais il ne l'approcherait ni simplement ne la regarderait. Mais cette superbe créature exra-terrestre savait parfaitement qu'il ne pourrait jamais tenir ce genre de promesse. C'était dans son programme, elle connaissait bien les faiblesses de l'homme : C'était sa mission ! Elle émit un soupir programmé, mais si sensuel, qu'il en perdit le contrôle de son palpitant. Pouvait-il sérieusement envisager une histoire d'amour avec une femme en ferraille ? Elle éclata de rire. Comme si elle avait perçu les remous causés par ses interrogations,et continua de le séduire pour voir où étaient ses limites. Pauvre Victor ! Il bomba le torse, essayant de résister à la tentation: mais quel effort surhumain! Jusqu'où l'homme pourrait-il réfréner ses pulsions ? Il n'en savait rien bien entendu, lui, qui n'avait toujours obéi qu'à ses bas instincts, et soudain il la vit s'avancer sa bielle à la main. Qu'allait-il faire? Cur, comodo, quando? et à quoi pensait-elle à ce moment précis ? Du coup, il n'osait plus se retourner... Peut-être attendait-il le coup fatal ? Il ne pouvait détacher son regard du cache-culbuteurs de la belle, ce qui, ma foi, l'enverrait dans l'autre monde en gardant un bon souvenir de celui-ci! Textes protégés par © Copyright N° 79Z516A In Pace cum Patribus (devise des Neuville) | |
| | | sissi Plume de Bois
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| Sujet: Re: Quand il se retourna... Mer 9 Mai 2007 - 23:36 | |
| Quand il se retourna, le coeur empli d'une douce joie, il n'y avait plus personne. Pourquoi avait-elle donc fuit ainsi ? Un instant, il pensa en son for intérieur, que tout ceci n'était qu'un mauvais rêve, et pourtant...et pourtant, sans un remords sans un regret il lui fallait tourner la page définitivement. Partir droit devant lui, esquiver ces regards, ne pas montrer sa peur, partir sans espoir de retour, oublier, tout effacer, mais pas trop, juste ce qu'il fallait pour ne pas souffrir ne pas se montrer faible car l'absence stagnait et elle le freinerait. Un horizon différent s'ouvrait devant lui mais il l'ignorait. Comment aurait-il pu s'imaginer que sa vie allait enfin commencer ?... Durablement vivre l'éternité et aimer à nouveau, comme si demain n'existait pas... Mais aujourd'hui, la pierre qu'il devait mettre à la construction de son destin pesait si lourd, et son coeur si léger oscillait dangereusement car l'amour allait le terrasser à nouveau. C'est quand il rencontra son regard qu'il fut saisi d'une sorte de malaise, pas cardiaque, mais il sentait au plus profond de lui comme une sorte de renaissance due au formidable sentiment qui l'envahissait. Sa joie fut de courte durée car il connaissait déjà la fragilité du lien affectif puisqu'il avait déjà fait l'expérience de l'amour-passion; et pourtant il se sentait bien incapable de résister à cette attraction, tout en refusant de se laisser entrainer malgré lui. Mais il savait, connaissant très bien la théorie de Newton, que la gravitation universelle le ramènerait vers Elle -LA femme-! Mais pourquoi Dieu, avait-il créé cette créature, se dit-il ! Il n'arrêtait pas de retourner la question dans sa caboche, quand il eut la révélation : "Bon sang ! Mais c'est bien sûr", Aragon l'avait compris lui ! Il se rendit compte que Dieu n'avait absolument rien à voir là-dedans. Car en la regardant de plus près, il venait de remarquer son visage métallique... Cette femme magnifique était en fait un robot ! La toute dernière génération humanoïde de Eve, rien à envier à l'humaine ! s'avisa t-il dépité (et à l'inverse d'Aragon il ne put plus dire "La femme est l'avenir de l'homme"...) Son corps était serré dans une combinaison étrange faite de fibres et de lumière lui sembla-t-il, et qui collait à des formes un peu trop...humaines: un comble! Il était si fasciné par cette femme venue d'une planète inconnue, attiré par ce mystère qui l'enveloppait, cette silhouette supra humaine obsédante, qui le sondait en profondeur, de ses yeux bleus si cristallins, qu'il en oubliait d'écrire. Il se jura que plus jamais il ne l'approcherait ni simplement ne la regarderait. Mais cette superbe créature exra-terrestre savait parfaitement qu'il ne pourrait jamais tenir ce genre de promesse. C'était dans son programme, elle connaissait bien les faiblesses de l'homme : C'était sa mission ! Elle émit un soupir programmé, mais si sensuel, qu'il en perdit le contrôle de son palpitant. Pouvait-il sérieusement envisager une histoire d'amour avec une femme en ferraille ? Elle éclata de rire. Comme si elle avait perçu les remous causés par ses interrogations,et continua de le séduire pour voir où étaient ses limites. Pauvre Victor ! Il bomba le torse, essayant de résister à la tentation: mais quel effort surhumain! Jusqu'où l'homme pourrait-il réfréner ses pulsions ? Il n'en savait rien bien entendu, lui, qui n'avait toujours obéi qu'à ses bas instincts, et soudain il la vit s'avancer sa bielle à la main. Qu'allait-il faire? Cur, comodo, quando? et à quoi pensait-elle à ce moment précis ? Du coup, il n'osait plus se retourner... Peut-être attendait-il le coup fatal ? Il ne pouvait détacher son regard du cache-culbuteurs de la belle, ce qui, ma foi, l'enverrait dans l'autre monde en gardant un bon souvenir de celui-ci!mais ensuite si tel etai le ca ,qu'adviendrait il de lui et de ces sentiments si fort qu'il l'attire ver elle? est il pret réellement a tout cela? | |
| | | philippe de neuville Grimoirien
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| Sujet: Re: Quand il se retourna... Mer 9 Mai 2007 - 23:48 | |
| Quand il se retourna, le coeur empli d'une douce joie, il n'y avait plus personne. Pourquoi avait-elle donc fuit ainsi ? Un instant, il pensa en son for intérieur, que tout ceci n'était qu'un mauvais rêve, et pourtant...et pourtant, sans un remords sans un regret il lui fallait tourner la page définitivement. Partir droit devant lui, esquiver ces regards, ne pas montrer sa peur, partir sans espoir de retour, oublier, tout effacer, mais pas trop, juste ce qu'il fallait pour ne pas souffrir ne pas se montrer faible car l'absence stagnait et elle le freinerait. Un horizon différent s'ouvrait devant lui mais il l'ignorait. Comment aurait-il pu s'imaginer que sa vie allait enfin commencer ?... Durablement vivre l'éternité et aimer à nouveau, comme si demain n'existait pas... Mais aujourd'hui, la pierre qu'il devait mettre à la construction de son destin pesait si lourd, et son coeur si léger oscillait dangereusement car l'amour allait le terrasser à nouveau. C'est quand il rencontra son regard qu'il fut saisi d'une sorte de malaise, pas cardiaque, mais il sentait au plus profond de lui comme une sorte de renaissance due au formidable sentiment qui l'envahissait. Sa joie fut de courte durée car il connaissait déjà la fragilité du lien affectif puisqu'il avait déjà fait l'expérience de l'amour-passion; et pourtant il se sentait bien incapable de résister à cette attraction, tout en refusant de se laisser entrainer malgré lui. Mais il savait, connaissant très bien la théorie de Newton, que la gravitation universelle le ramènerait vers Elle -LA femme-! Mais pourquoi Dieu, avait-il créé cette créature, se dit-il ! Il n'arrêtait pas de retourner la question dans sa caboche, quand il eut la révélation : "Bon sang ! Mais c'est bien sûr", Aragon l'avait compris lui ! Il se rendit compte que Dieu n'avait absolument rien à voir là-dedans. Car en la regardant de plus près, il venait de remarquer son visage métallique... Cette femme magnifique était en fait un robot ! La toute dernière génération humanoïde de Eve, rien à envier à l'humaine ! s'avisa t-il dépité (et à l'inverse d'Aragon il ne put plus dire "La femme est l'avenir de l'homme"...) Son corps était serré dans une combinaison étrange faite de fibres et de lumière lui sembla-t-il, et qui collait à des formes un peu trop...humaines: un comble! Il était si fasciné par cette femme venue d'une planète inconnue, attiré par ce mystère qui l'enveloppait, cette silhouette supra humaine obsédante, qui le sondait en profondeur, de ses yeux bleus si cristallins, qu'il en oubliait d'écrire. Il se jura que plus jamais il ne l'approcherait ni simplement ne la regarderait. Mais cette superbe créature exra-terrestre savait parfaitement qu'il ne pourrait jamais tenir ce genre de promesse. C'était dans son programme, elle connaissait bien les faiblesses de l'homme : C'était sa mission ! Elle émit un soupir programmé, mais si sensuel, qu'il en perdit le contrôle de son palpitant. Pouvait-il sérieusement envisager une histoire d'amour avec une femme en ferraille ? Elle éclata de rire. Comme si elle avait perçu les remous causés par ses interrogations,et continua de le séduire pour voir où étaient ses limites. Pauvre Victor ! Il bomba le torse, essayant de résister à la tentation: mais quel effort surhumain! Jusqu'où l'homme pourrait-il réfréner ses pulsions ? Il n'en savait rien bien entendu, lui, qui n'avait toujours obéi qu'à ses bas instincts, et soudain il la vit s'avancer sa bielle à la main. Qu'allait-il faire? Cur, comodo, quando? et à quoi pensait-elle à ce moment précis ? Du coup, il n'osait plus se retourner... Peut-être attendait-il le coup fatal ? Il ne pouvait détacher son regard du cache-culbuteurs de la belle, ce qui, ma foi, l'enverrait dans l'autre monde en gardant un bon souvenir de celui-ci! Mais ensuite si tel était le cas ,qu'adviendrait-il de lui et de ces sentiments si forts qui l'attirent vers elle? est-il prêt réellement à tout cela? Pourra-t-il se passer d'elle, vivre sans elle? Telle était la question qu'il se posait quand Textes protégés par © Copyright N° 79Z516A In Pace cum Patribus (devise des Neuville) | |
| | | Ninon Plume de Corail
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| Sujet: Re: Quand il se retourna... Jeu 10 Mai 2007 - 0:05 | |
| Quand il se retourna, le coeur empli d'une douce joie, il n'y avait plus personne. Pourquoi avait-elle donc fuit ainsi ? Un instant, il pensa en son for intérieur, que tout ceci n'était qu'un mauvais rêve, et pourtant...et pourtant, sans un remords sans un regret il lui fallait tourner la page définitivement. Partir droit devant lui, esquiver ces regards, ne pas montrer sa peur, partir sans espoir de retour, oublier, tout effacer, mais pas trop, juste ce qu'il fallait pour ne pas souffrir ne pas se montrer faible car l'absence stagnait et elle le freinerait. Un horizon différent s'ouvrait devant lui mais il l'ignorait. Comment aurait-il pu s'imaginer que sa vie allait enfin commencer ?... Durablement vivre l'éternité et aimer à nouveau, comme si demain n'existait pas... Mais aujourd'hui, la pierre qu'il devait mettre à la construction de son destin pesait si lourd, et son coeur si léger oscillait dangereusement car l'amour allait le terrasser à nouveau. C'est quand il rencontra son regard qu'il fut saisi d'une sorte de malaise, pas cardiaque, mais il sentait au plus profond de lui comme une sorte de renaissance due au formidable sentiment qui l'envahissait. Sa joie fut de courte durée car il connaissait déjà la fragilité du lien affectif puisqu'il avait déjà fait l'expérience de l'amour-passion; et pourtant il se sentait bien incapable de résister à cette attraction, tout en refusant de se laisser entrainer malgré lui. Mais il savait, connaissant très bien la théorie de Newton, que la gravitation universelle le ramènerait vers Elle -LA femme-! Mais pourquoi Dieu, avait-il créé cette créature, se dit-il ! Il n'arrêtait pas de retourner la question dans sa caboche, quand il eut la révélation : "Bon sang ! Mais c'est bien sûr", Aragon l'avait compris lui ! Il se rendit compte que Dieu n'avait absolument rien à voir là-dedans. Car en la regardant de plus près, il venait de remarquer son visage métallique... Cette femme magnifique était en fait un robot ! La toute dernière génération humanoïde de Eve, rien à envier à l'humaine ! s'avisa t-il dépité (et à l'inverse d'Aragon il ne put plus dire "La femme est l'avenir de l'homme"...) Son corps était serré dans une combinaison étrange faite de fibres et de lumière lui sembla-t-il, et qui collait à des formes un peu trop...humaines: un comble! Il était si fasciné par cette femme venue d'une planète inconnue, attiré par ce mystère qui l'enveloppait, cette silhouette supra humaine obsédante, qui le sondait en profondeur, de ses yeux bleus si cristallins, qu'il en oubliait d'écrire. Il se jura que plus jamais il ne l'approcherait ni simplement ne la regarderait. Mais cette superbe créature exra-terrestre savait parfaitement qu'il ne pourrait jamais tenir ce genre de promesse. C'était dans son programme, elle connaissait bien les faiblesses de l'homme : C'était sa mission ! Elle émit un soupir programmé, mais si sensuel, qu'il en perdit le contrôle de son palpitant. Pouvait-il sérieusement envisager une histoire d'amour avec une femme en ferraille ? Elle éclata de rire. Comme si elle avait perçu les remous causés par ses interrogations,et continua de le séduire pour voir où étaient ses limites. Pauvre Victor ! Il bomba le torse, essayant de résister à la tentation: mais quel effort surhumain! Jusqu'où l'homme pourrait-il réfréner ses pulsions ? Il n'en savait rien bien entendu, lui, qui n'avait toujours obéi qu'à ses bas instincts, et soudain il la vit s'avancer sa bielle à la main. Qu'allait-il faire? Cur, comodo, quando? et à quoi pensait-elle à ce moment précis ? Du coup, il n'osait plus se retourner... Peut-être attendait-il le coup fatal ? Il ne pouvait détacher son regard du cache-culbuteurs de la belle, ce qui, ma foi, l'enverrait dans l'autre monde en gardant un bon souvenir de celui-ci! Mais ensuite si tel était le cas ,qu'adviendrait-il de lui et de ces sentiments si forts qui l'attirent vers elle? est-il prêt réellement à tout cela? Pourra-t-il se passer d'elle, vivre sans elle? Telle était la question qu'il se posait quand, Bérénice, posa ses lèvres pulpeuses, sur sa bouche béate | |
| | | philippe de neuville Grimoirien
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| Sujet: Re: Quand il se retourna... Jeu 10 Mai 2007 - 8:17 | |
| Quand il se retourna, le coeur empli d'une douce joie, il n'y avait plus personne. Pourquoi avait-elle donc fuit ainsi ? Un instant, il pensa en son for intérieur, que tout ceci n'était qu'un mauvais rêve, et pourtant...et pourtant, sans un remords sans un regret il lui fallait tourner la page définitivement. Partir droit devant lui, esquiver ces regards, ne pas montrer sa peur, partir sans espoir de retour, oublier, tout effacer, mais pas trop, juste ce qu'il fallait pour ne pas souffrir ne pas se montrer faible car l'absence stagnait et elle le freinerait. Un horizon différent s'ouvrait devant lui mais il l'ignorait. Comment aurait-il pu s'imaginer que sa vie allait enfin commencer ?... Durablement vivre l'éternité et aimer à nouveau, comme si demain n'existait pas... Mais aujourd'hui, la pierre qu'il devait mettre à la construction de son destin pesait si lourd, et son coeur si léger oscillait dangereusement car l'amour allait le terrasser à nouveau. C'est quand il rencontra son regard qu'il fut saisi d'une sorte de malaise, pas cardiaque, mais il sentait au plus profond de lui comme une sorte de renaissance due au formidable sentiment qui l'envahissait. Sa joie fut de courte durée car il connaissait déjà la fragilité du lien affectif puisqu'il avait déjà fait l'expérience de l'amour-passion; et pourtant il se sentait bien incapable de résister à cette attraction, tout en refusant de se laisser entrainer malgré lui. Mais il savait, connaissant très bien la théorie de Newton, que la gravitation universelle le ramènerait vers Elle -LA femme-! Mais pourquoi Dieu, avait-il créé cette créature, se dit-il ! Il n'arrêtait pas de retourner la question dans sa caboche, quand il eut la révélation : "Bon sang ! Mais c'est bien sûr", Aragon l'avait compris lui ! Il se rendit compte que Dieu n'avait absolument rien à voir là-dedans. Car en la regardant de plus près, il venait de remarquer son visage métallique... Cette femme magnifique était en fait un robot ! La toute dernière génération humanoïde de Eve, rien à envier à l'humaine ! s'avisa t-il dépité (et à l'inverse d'Aragon il ne put plus dire "La femme est l'avenir de l'homme"...) Son corps était serré dans une combinaison étrange faite de fibres et de lumière lui sembla-t-il, et qui collait à des formes un peu trop...humaines: un comble! Il était si fasciné par cette femme venue d'une planète inconnue, attiré par ce mystère qui l'enveloppait, cette silhouette supra humaine obsédante, qui le sondait en profondeur, de ses yeux bleus si cristallins, qu'il en oubliait d'écrire. Il se jura que plus jamais il ne l'approcherait ni simplement ne la regarderait. Mais cette superbe créature exra-terrestre savait parfaitement qu'il ne pourrait jamais tenir ce genre de promesse. C'était dans son programme, elle connaissait bien les faiblesses de l'homme : C'était sa mission ! Elle émit un soupir programmé, mais si sensuel, qu'il en perdit le contrôle de son palpitant. Pouvait-il sérieusement envisager une histoire d'amour avec une femme en ferraille ? Elle éclata de rire. Comme si elle avait perçu les remous causés par ses interrogations,et continua de le séduire pour voir où étaient ses limites. Pauvre Victor ! Il bomba le torse, essayant de résister à la tentation: mais quel effort surhumain! Jusqu'où l'homme pourrait-il réfréner ses pulsions ? Il n'en savait rien bien entendu, lui, qui n'avait toujours obéi qu'à ses bas instincts, et soudain il la vit s'avancer sa bielle à la main. Qu'allait-il faire? Cur, comodo, quando? et à quoi pensait-elle à ce moment précis ? Du coup, il n'osait plus se retourner... Peut-être attendait-il le coup fatal ? Il ne pouvait détacher son regard du cache-culbuteurs de la belle, ce qui, ma foi, l'enverrait dans l'autre monde en gardant un bon souvenir de celui-ci! Mais ensuite si tel était le cas ,qu'adviendrait-il de lui et de ces sentiments si forts qui l'attirent vers elle? est-il prêt réellement à tout cela? Pourra-t-il se passer d'elle, vivre sans elle? Telle était la question qu'il se posait quand, Bérénice, posa ses lèvres pulpeuses, sur sa bouche béate déjà toute offerte à l'emploi. Textes protégés par © Copyright N° 79Z516A In Pace cum Patribus (devise des Neuville) | |
| | | sissi Plume de Bois
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| Sujet: Re: Quand il se retourna... Jeu 10 Mai 2007 - 13:10 | |
| Quand il se retourna, le coeur empli d'une douce joie, il n'y avait plus personne. Pourquoi avait-elle donc fuit ainsi ? Un instant, il pensa en son for intérieur, que tout ceci n'était qu'un mauvais rêve, et pourtant...et pourtant, sans un remords sans un regret il lui fallait tourner la page définitivement. Partir droit devant lui, esquiver ces regards, ne pas montrer sa peur, partir sans espoir de retour, oublier, tout effacer, mais pas trop, juste ce qu'il fallait pour ne pas souffrir ne pas se montrer faible car l'absence stagnait et elle le freinerait. Un horizon différent s'ouvrait devant lui mais il l'ignorait. Comment aurait-il pu s'imaginer que sa vie allait enfin commencer ?... Durablement vivre l'éternité et aimer à nouveau, comme si demain n'existait pas... Mais aujourd'hui, la pierre qu'il devait mettre à la construction de son destin pesait si lourd, et son coeur si léger oscillait dangereusement car l'amour allait le terrasser à nouveau. C'est quand il rencontra son regard qu'il fut saisi d'une sorte de malaise, pas cardiaque, mais il sentait au plus profond de lui comme une sorte de renaissance due au formidable sentiment qui l'envahissait. Sa joie fut de courte durée car il connaissait déjà la fragilité du lien affectif puisqu'il avait déjà fait l'expérience de l'amour-passion; et pourtant il se sentait bien incapable de résister à cette attraction, tout en refusant de se laisser entrainer malgré lui. Mais il savait, connaissant très bien la théorie de Newton, que la gravitation universelle le ramènerait vers Elle -LA femme-! Mais pourquoi Dieu, avait-il créé cette créature, se dit-il ! Il n'arrêtait pas de retourner la question dans sa caboche, quand il eut la révélation : "Bon sang ! Mais c'est bien sûr", Aragon l'avait compris lui ! Il se rendit compte que Dieu n'avait absolument rien à voir là-dedans. Car en la regardant de plus près, il venait de remarquer son visage métallique... Cette femme magnifique était en fait un robot ! La toute dernière génération humanoïde de Eve, rien à envier à l'humaine ! s'avisa t-il dépité (et à l'inverse d'Aragon il ne put plus dire "La femme est l'avenir de l'homme"...) Son corps était serré dans une combinaison étrange faite de fibres et de lumière lui sembla-t-il, et qui collait à des formes un peu trop...humaines: un comble! Il était si fasciné par cette femme venue d'une planète inconnue, attiré par ce mystère qui l'enveloppait, cette silhouette supra humaine obsédante, qui le sondait en profondeur, de ses yeux bleus si cristallins, qu'il en oubliait d'écrire. Il se jura que plus jamais il ne l'approcherait ni simplement ne la regarderait. Mais cette superbe créature exra-terrestre savait parfaitement qu'il ne pourrait jamais tenir ce genre de promesse. C'était dans son programme, elle connaissait bien les faiblesses de l'homme : C'était sa mission ! Elle émit un soupir programmé, mais si sensuel, qu'il en perdit le contrôle de son palpitant. Pouvait-il sérieusement envisager une histoire d'amour avec une femme en ferraille ? Elle éclata de rire. Comme si elle avait perçu les remous causés par ses interrogations,et continua de le séduire pour voir où étaient ses limites. Pauvre Victor ! Il bomba le torse, essayant de résister à la tentation: mais quel effort surhumain! Jusqu'où l'homme pourrait-il réfréner ses pulsions ? Il n'en savait rien bien entendu, lui, qui n'avait toujours obéi qu'à ses bas instincts, et soudain il la vit s'avancer sa bielle à la main. Qu'allait-il faire? Cur, comodo, quando? et à quoi pensait-elle à ce moment précis ? Du coup, il n'osait plus se retourner... Peut-être attendait-il le coup fatal ? Il ne pouvait détacher son regard du cache-culbuteurs de la belle, ce qui, ma foi, l'enverrait dans l'autre monde en gardant un bon souvenir de celui-ci! Mais ensuite si tel était le cas ,qu'adviendrait-il de lui et de ces sentiments si forts qui l'attirent vers elle? est-il prêt réellement à tout cela? Pourra-t-il se passer d'elle, vivre sans elle? Telle était la question qu'il se posait quand, Bérénice, posa ses lèvres pulpeuses, sur sa bouche béate déjà toute offerte à l'emploi. Et la l’impensable ce produisît , il ce rendît compte qu’il était follement amoureux d’une machine. | |
| | | philippe de neuville Grimoirien
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| Sujet: Re: Quand il se retourna... Jeu 10 Mai 2007 - 17:09 | |
| Quand il se retourna, le coeur empli d'une douce joie, il n'y avait plus personne. Pourquoi avait-elle donc fuit ainsi ? Un instant, il pensa en son for intérieur, que tout ceci n'était qu'un mauvais rêve, et pourtant...et pourtant, sans un remords sans un regret il lui fallait tourner la page définitivement. Partir droit devant lui, esquiver ces regards, ne pas montrer sa peur, partir sans espoir de retour, oublier, tout effacer, mais pas trop, juste ce qu'il fallait pour ne pas souffrir ne pas se montrer faible car l'absence stagnait et elle le freinerait. Un horizon différent s'ouvrait devant lui mais il l'ignorait. Comment aurait-il pu s'imaginer que sa vie allait enfin commencer ?... Durablement vivre l'éternité et aimer à nouveau, comme si demain n'existait pas... Mais aujourd'hui, la pierre qu'il devait mettre à la construction de son destin pesait si lourd, et son coeur si léger oscillait dangereusement car l'amour allait le terrasser à nouveau. C'est quand il rencontra son regard qu'il fut saisi d'une sorte de malaise, pas cardiaque, mais il sentait au plus profond de lui comme une sorte de renaissance due au formidable sentiment qui l'envahissait. Sa joie fut de courte durée car il connaissait déjà la fragilité du lien affectif puisqu'il avait déjà fait l'expérience de l'amour-passion; et pourtant il se sentait bien incapable de résister à cette attraction, tout en refusant de se laisser entrainer malgré lui. Mais il savait, connaissant très bien la théorie de Newton, que la gravitation universelle le ramènerait vers Elle -LA femme-! Mais pourquoi Dieu, avait-il créé cette créature, se dit-il ! Il n'arrêtait pas de retourner la question dans sa caboche, quand il eut la révélation : "Bon sang ! Mais c'est bien sûr", Aragon l'avait compris lui ! Il se rendit compte que Dieu n'avait absolument rien à voir là-dedans. Car en la regardant de plus près, il venait de remarquer son visage métallique... Cette femme magnifique était en fait un robot ! La toute dernière génération humanoïde de Eve, rien à envier à l'humaine ! s'avisa t-il dépité (et à l'inverse d'Aragon il ne put plus dire "La femme est l'avenir de l'homme"...) Son corps était serré dans une combinaison étrange faite de fibres et de lumière lui sembla-t-il, et qui collait à des formes un peu trop...humaines: un comble! Il était si fasciné par cette femme venue d'une planète inconnue, attiré par ce mystère qui l'enveloppait, cette silhouette supra humaine obsédante, qui le sondait en profondeur, de ses yeux bleus si cristallins, qu'il en oubliait d'écrire. Il se jura que plus jamais il ne l'approcherait ni simplement ne la regarderait. Mais cette superbe créature exra-terrestre savait parfaitement qu'il ne pourrait jamais tenir ce genre de promesse. C'était dans son programme, elle connaissait bien les faiblesses de l'homme : C'était sa mission ! Elle émit un soupir programmé, mais si sensuel, qu'il en perdit le contrôle de son palpitant. Pouvait-il sérieusement envisager une histoire d'amour avec une femme en ferraille ? Elle éclata de rire. Comme si elle avait perçu les remous causés par ses interrogations,et continua de le séduire pour voir où étaient ses limites. Pauvre Victor ! Il bomba le torse, essayant de résister à la tentation: mais quel effort surhumain! Jusqu'où l'homme pourrait-il réfréner ses pulsions ? Il n'en savait rien bien entendu, lui, qui n'avait toujours obéi qu'à ses bas instincts, et soudain il la vit s'avancer sa bielle à la main. Qu'allait-il faire? Cur, comodo, quando? et à quoi pensait-elle à ce moment précis ? Du coup, il n'osait plus se retourner... Peut-être attendait-il le coup fatal ? Il ne pouvait détacher son regard du cache-culbuteurs de la belle, ce qui, ma foi, l'enverrait dans l'autre monde en gardant un bon souvenir de celui-ci! Mais ensuite si tel était le cas ,qu'adviendrait-il de lui et de ces sentiments si forts qui l'attirent vers elle? est-il prêt réellement à tout cela? Pourra-t-il se passer d'elle, vivre sans elle? Telle était la question qu'il se posait quand, Bérénice, posa ses lèvres pulpeuses, sur sa bouche béate déjà toute offerte à l'emploi. Et là l’impensable se produisit , il se rendit compte qu’il était follement amoureux d’une machine. Stupeur! quel choc mes aÎeux! une machine! et ça tombe sur moi... Textes protégés par © Copyright N° 79Z516A In Pace cum Patribus (devise des Neuville) | |
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| Sujet: Re: Quand il se retourna... Jeu 10 Mai 2007 - 17:29 | |
| Quand il se retourna, le coeur empli d'une douce joie, il n'y avait plus personne. Pourquoi avait-elle donc fuit ainsi ? Un instant, il pensa en son for intérieur, que tout ceci n'était qu'un mauvais rêve, et pourtant...et pourtant, sans un remords sans un regret il lui fallait tourner la page définitivement. Partir droit devant lui, esquiver ces regards, ne pas montrer sa peur, partir sans espoir de retour, oublier, tout effacer, mais pas trop, juste ce qu'il fallait pour ne pas souffrir ne pas se montrer faible car l'absence stagnait et elle le freinerait. Un horizon différent s'ouvrait devant lui mais il l'ignorait. Comment aurait-il pu s'imaginer que sa vie allait enfin commencer ?... Durablement vivre l'éternité et aimer à nouveau, comme si demain n'existait pas... Mais aujourd'hui, la pierre qu'il devait mettre à la construction de son destin pesait si lourd, et son coeur si léger oscillait dangereusement car l'amour allait le terrasser à nouveau. C'est quand il rencontra son regard qu'il fut saisi d'une sorte de malaise, pas cardiaque, mais il sentait au plus profond de lui comme une sorte de renaissance due au formidable sentiment qui l'envahissait. Sa joie fut de courte durée car il connaissait déjà la fragilité du lien affectif puisqu'il avait déjà fait l'expérience de l'amour-passion; et pourtant il se sentait bien incapable de résister à cette attraction, tout en refusant de se laisser entrainer malgré lui. Mais il savait, connaissant très bien la théorie de Newton, que la gravitation universelle le ramènerait vers Elle -LA femme-! Mais pourquoi Dieu, avait-il créé cette créature, se dit-il ! Il n'arrêtait pas de retourner la question dans sa caboche, quand il eut la révélation : "Bon sang ! Mais c'est bien sûr", Aragon l'avait compris lui ! Il se rendit compte que Dieu n'avait absolument rien à voir là-dedans. Car en la regardant de plus près, il venait de remarquer son visage métallique... Cette femme magnifique était en fait un robot ! La toute dernière génération humanoïde de Eve, rien à envier à l'humaine ! s'avisa t-il dépité (et à l'inverse d'Aragon il ne put plus dire "La femme est l'avenir de l'homme"...) Son corps était serré dans une combinaison étrange faite de fibres et de lumière lui sembla-t-il, et qui collait à des formes un peu trop...humaines: un comble! Il était si fasciné par cette femme venue d'une planète inconnue, attiré par ce mystère qui l'enveloppait, cette silhouette supra humaine obsédante, qui le sondait en profondeur, de ses yeux bleus si cristallins, qu'il en oubliait d'écrire. Il se jura que plus jamais il ne l'approcherait ni simplement ne la regarderait. Mais cette superbe créature exra-terrestre savait parfaitement qu'il ne pourrait jamais tenir ce genre de promesse. C'était dans son programme, elle connaissait bien les faiblesses de l'homme : C'était sa mission ! Elle émit un soupir programmé, mais si sensuel, qu'il en perdit le contrôle de son palpitant. Pouvait-il sérieusement envisager une histoire d'amour avec une femme en ferraille ? Elle éclata de rire. Comme si elle avait perçu les remous causés par ses interrogations,et continua de le séduire pour voir où étaient ses limites. Pauvre Victor ! Il bomba le torse, essayant de résister à la tentation: mais quel effort surhumain! Jusqu'où l'homme pourrait-il réfréner ses pulsions ? Il n'en savait rien bien entendu, lui, qui n'avait toujours obéi qu'à ses bas instincts, et soudain il la vit s'avancer sa bielle à la main. Qu'allait-il faire? Cur, comodo, quando? et à quoi pensait-elle à ce moment précis ? Du coup, il n'osait plus se retourner... Peut-être attendait-il le coup fatal ? Il ne pouvait détacher son regard du cache-culbuteurs de la belle, ce qui, ma foi, l'enverrait dans l'autre monde en gardant un bon souvenir de celui-ci! Mais ensuite si tel était le cas ,qu'adviendrait-il de lui et de ces sentiments si forts qui l'attirent vers elle? est-il prêt réellement à tout cela? Pourra-t-il se passer d'elle, vivre sans elle? Telle était la question qu'il se posait quand, Bérénice, posa ses lèvres pulpeuses, sur sa bouche béate déjà toute offerte à l'emploi. Et là l’impensable se produisit , il se rendit compte qu’il était follement amoureux d’une machine. Stupeur! quel choc mes aÎeux! une machine! et ça tombe sur moi... Mais il savait aussi qu’a partir de cet instant jamais plus il ne pourrai vivre sans elle | |
| | | philippe de neuville Grimoirien
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| Sujet: Re: Quand il se retourna... Jeu 10 Mai 2007 - 18:13 | |
| Quand il se retourna, le coeur empli d'une douce joie, il n'y avait plus personne. Pourquoi avait-elle donc fuit ainsi ? Un instant, il pensa en son for intérieur, que tout ceci n'était qu'un mauvais rêve, et pourtant...et pourtant, sans un remords sans un regret il lui fallait tourner la page définitivement. Partir droit devant lui, esquiver ces regards, ne pas montrer sa peur, partir sans espoir de retour, oublier, tout effacer, mais pas trop, juste ce qu'il fallait pour ne pas souffrir ne pas se montrer faible car l'absence stagnait et elle le freinerait. Un horizon différent s'ouvrait devant lui mais il l'ignorait. Comment aurait-il pu s'imaginer que sa vie allait enfin commencer ?... Durablement vivre l'éternité et aimer à nouveau, comme si demain n'existait pas... Mais aujourd'hui, la pierre qu'il devait mettre à la construction de son destin pesait si lourd, et son coeur si léger oscillait dangereusement car l'amour allait le terrasser à nouveau. C'est quand il rencontra son regard qu'il fut saisi d'une sorte de malaise, pas cardiaque, mais il sentait au plus profond de lui comme une sorte de renaissance due au formidable sentiment qui l'envahissait. Sa joie fut de courte durée car il connaissait déjà la fragilité du lien affectif puisqu'il avait déjà fait l'expérience de l'amour-passion; et pourtant il se sentait bien incapable de résister à cette attraction, tout en refusant de se laisser entrainer malgré lui. Mais il savait, connaissant très bien la théorie de Newton, que la gravitation universelle le ramènerait vers Elle -LA femme-! Mais pourquoi Dieu, avait-il créé cette créature, se dit-il ! Il n'arrêtait pas de retourner la question dans sa caboche, quand il eut la révélation : "Bon sang ! Mais c'est bien sûr", Aragon l'avait compris lui ! Il se rendit compte que Dieu n'avait absolument rien à voir là-dedans. Car en la regardant de plus près, il venait de remarquer son visage métallique... Cette femme magnifique était en fait un robot ! La toute dernière génération humanoïde de Eve, rien à envier à l'humaine ! s'avisa t-il dépité (et à l'inverse d'Aragon il ne put plus dire "La femme est l'avenir de l'homme"...) Son corps était serré dans une combinaison étrange faite de fibres et de lumière lui sembla-t-il, et qui collait à des formes un peu trop...humaines: un comble! Il était si fasciné par cette femme venue d'une planète inconnue, attiré par ce mystère qui l'enveloppait, cette silhouette supra humaine obsédante, qui le sondait en profondeur, de ses yeux bleus si cristallins, qu'il en oubliait d'écrire. Il se jura que plus jamais il ne l'approcherait ni simplement ne la regarderait. Mais cette superbe créature exra-terrestre savait parfaitement qu'il ne pourrait jamais tenir ce genre de promesse. C'était dans son programme, elle connaissait bien les faiblesses de l'homme : C'était sa mission ! Elle émit un soupir programmé, mais si sensuel, qu'il en perdit le contrôle de son palpitant. Pouvait-il sérieusement envisager une histoire d'amour avec une femme en ferraille ? Elle éclata de rire. Comme si elle avait perçu les remous causés par ses interrogations,et continua de le séduire pour voir où étaient ses limites. Pauvre Victor ! Il bomba le torse, essayant de résister à la tentation: mais quel effort surhumain! Jusqu'où l'homme pourrait-il réfréner ses pulsions ? Il n'en savait rien bien entendu, lui, qui n'avait toujours obéi qu'à ses bas instincts, et soudain il la vit s'avancer sa bielle à la main. Qu'allait-il faire? Cur, comodo, quando? et à quoi pensait-elle à ce moment précis ? Du coup, il n'osait plus se retourner... Peut-être attendait-il le coup fatal ? Il ne pouvait détacher son regard du cache-culbuteurs de la belle, ce qui, ma foi, l'enverrait dans l'autre monde en gardant un bon souvenir de celui-ci! Mais ensuite si tel était le cas ,qu'adviendrait-il de lui et de ces sentiments si forts qui l'attirent vers elle? est-il prêt réellement à tout cela? Pourra-t-il se passer d'elle, vivre sans elle? Telle était la question qu'il se posait quand, Bérénice, posa ses lèvres pulpeuses, sur sa bouche béate déjà toute offerte à l'emploi. Et là l’impensable se produisit , il se rendit compte qu’il était follement amoureux d’une machine. Stupeur! quel choc mes aÎeux! une machine! et ça tombe sur moi... Mais il savait aussi qu’à partir de cet instant jamais plus il ne pourrait vivre sans elle. Seulement voilà: nouveau problème! Comment faire accepter ce couple hors-normes par les autres humains?.. Textes protégés par © Copyright N° 79Z516A In Pace cum Patribus (devise des Neuville) | |
| | | apogon Membre d'honneur
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| Sujet: Re: Quand il se retourna... Jeu 10 Mai 2007 - 23:49 | |
| Quand il se retourna, le coeur empli d'une douce joie, il n'y avait plus personne. Pourquoi avait-elle donc fuit ainsi ? Un instant, il pensa en son for intérieur, que tout ceci n'était qu'un mauvais rêve, et pourtant...et pourtant, sans un remords sans un regret il lui fallait tourner la page définitivement. Partir droit devant lui, esquiver ces regards, ne pas montrer sa peur, partir sans espoir de retour, oublier, tout effacer, mais pas trop, juste ce qu'il fallait pour ne pas souffrir ne pas se montrer faible car l'absence stagnait et elle le freinerait. Un horizon différent s'ouvrait devant lui mais il l'ignorait. Comment aurait-il pu s'imaginer que sa vie allait enfin commencer ?... Durablement vivre l'éternité et aimer à nouveau, comme si demain n'existait pas... Mais aujourd'hui, la pierre qu'il devait mettre à la construction de son destin pesait si lourd, et son coeur si léger oscillait dangereusement car l'amour allait le terrasser à nouveau. C'est quand il rencontra son regard qu'il fut saisi d'une sorte de malaise, pas cardiaque, mais il sentait au plus profond de lui comme une sorte de renaissance due au formidable sentiment qui l'envahissait. Sa joie fut de courte durée car il connaissait déjà la fragilité du lien affectif puisqu'il avait déjà fait l'expérience de l'amour-passion; et pourtant il se sentait bien incapable de résister à cette attraction, tout en refusant de se laisser entrainer malgré lui. Mais il savait, connaissant très bien la théorie de Newton, que la gravitation universelle le ramènerait vers Elle -LA femme-! Mais pourquoi Dieu, avait-il créé cette créature, se dit-il ! Il n'arrêtait pas de retourner la question dans sa caboche, quand il eut la révélation : "Bon sang ! Mais c'est bien sûr", Aragon l'avait compris lui ! Il se rendit compte que Dieu n'avait absolument rien à voir là-dedans. Car en la regardant de plus près, il venait de remarquer son visage métallique... Cette femme magnifique était en fait un robot ! La toute dernière génération humanoïde de Eve, rien à envier à l'humaine ! s'avisa t-il dépité (et à l'inverse d'Aragon il ne put plus dire "La femme est l'avenir de l'homme"...) Son corps était serré dans une combinaison étrange faite de fibres et de lumière lui sembla-t-il, et qui collait à des formes un peu trop...humaines: un comble! Il était si fasciné par cette femme venue d'une planète inconnue, attiré par ce mystère qui l'enveloppait, cette silhouette supra humaine obsédante, qui le sondait en profondeur, de ses yeux bleus si cristallins, qu'il en oubliait d'écrire. Il se jura que plus jamais il ne l'approcherait ni simplement ne la regarderait. Mais cette superbe créature exra-terrestre savait parfaitement qu'il ne pourrait jamais tenir ce genre de promesse. C'était dans son programme, elle connaissait bien les faiblesses de l'homme : C'était sa mission ! Elle émit un soupir programmé, mais si sensuel, qu'il en perdit le contrôle de son palpitant. Pouvait-il sérieusement envisager une histoire d'amour avec une femme en ferraille ? Elle éclata de rire. Comme si elle avait perçu les remous causés par ses interrogations,et continua de le séduire pour voir où étaient ses limites. Pauvre Victor ! Il bomba le torse, essayant de résister à la tentation: mais quel effort surhumain! Jusqu'où l'homme pourrait-il réfréner ses pulsions ? Il n'en savait rien bien entendu, lui, qui n'avait toujours obéi qu'à ses bas instincts, et soudain il la vit s'avancer sa bielle à la main. Qu'allait-il faire? Cur, comodo, quando? et à quoi pensait-elle à ce moment précis ? Du coup, il n'osait plus se retourner... Peut-être attendait-il le coup fatal ? Il ne pouvait détacher son regard du cache-culbuteurs de la belle, ce qui, ma foi, l'enverrait dans l'autre monde en gardant un bon souvenir de celui-ci! Mais ensuite si tel était le cas ,qu'adviendrait-il de lui et de ces sentiments si forts qui l'attirent vers elle? est-il prêt réellement à tout cela? Pourra-t-il se passer d'elle, vivre sans elle? Telle était la question qu'il se posait quand, Bérénice, posa ses lèvres pulpeuses, sur sa bouche béate déjà toute offerte à l'emploi. Et là l’impensable se produisit , il se rendit compte qu’il était follement amoureux d’une machine. Stupeur! quel choc mes aÎeux! une machine! et ça tombe sur moi... Mais il savait aussi qu’à partir de cet instant jamais plus il ne pourrait vivre sans elle. Seulement voilà: nouveau problème! Comment faire accepter ce couple hors-normes par les autres humains?... Curieusement, Victor ne Textes protégés par © Copyright N° 79Z516A ^----^ (='Y'=) (")_(")
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| Sujet: Re: Quand il se retourna... Jeu 10 Mai 2007 - 23:57 | |
| Quand il se retourna, le coeur empli d'une douce joie, il n'y avait plus personne. Pourquoi avait-elle donc fuit ainsi ? Un instant, il pensa en son for intérieur, que tout ceci n'était qu'un mauvais rêve, et pourtant...et pourtant, sans un remords sans un regret il lui fallait tourner la page définitivement. Partir droit devant lui, esquiver ces regards, ne pas montrer sa peur, partir sans espoir de retour, oublier, tout effacer, mais pas trop, juste ce qu'il fallait pour ne pas souffrir ne pas se montrer faible car l'absence stagnait et elle le freinerait. Un horizon différent s'ouvrait devant lui mais il l'ignorait. Comment aurait-il pu s'imaginer que sa vie allait enfin commencer ?... Durablement vivre l'éternité et aimer à nouveau, comme si demain n'existait pas... Mais aujourd'hui, la pierre qu'il devait mettre à la construction de son destin pesait si lourd, et son coeur si léger oscillait dangereusement car l'amour allait le terrasser à nouveau. C'est quand il rencontra son regard qu'il fut saisi d'une sorte de malaise, pas cardiaque, mais il sentait au plus profond de lui comme une sorte de renaissance due au formidable sentiment qui l'envahissait. Sa joie fut de courte durée car il connaissait déjà la fragilité du lien affectif puisqu'il avait déjà fait l'expérience de l'amour-passion; et pourtant il se sentait bien incapable de résister à cette attraction, tout en refusant de se laisser entrainer malgré lui. Mais il savait, connaissant très bien la théorie de Newton, que la gravitation universelle le ramènerait vers Elle -LA femme-! Mais pourquoi Dieu, avait-il créé cette créature, se dit-il ! Il n'arrêtait pas de retourner la question dans sa caboche, quand il eut la révélation : "Bon sang ! Mais c'est bien sûr", Aragon l'avait compris lui ! Il se rendit compte que Dieu n'avait absolument rien à voir là-dedans. Car en la regardant de plus près, il venait de remarquer son visage métallique... Cette femme magnifique était en fait un robot ! La toute dernière génération humanoïde de Eve, rien à envier à l'humaine ! s'avisa t-il dépité (et à l'inverse d'Aragon il ne put plus dire "La femme est l'avenir de l'homme"...) Son corps était serré dans une combinaison étrange faite de fibres et de lumière lui sembla-t-il, et qui collait à des formes un peu trop...humaines: un comble! Il était si fasciné par cette femme venue d'une planète inconnue, attiré par ce mystère qui l'enveloppait, cette silhouette supra humaine obsédante, qui le sondait en profondeur, de ses yeux bleus si cristallins, qu'il en oubliait d'écrire. Il se jura que plus jamais il ne l'approcherait ni simplement ne la regarderait. Mais cette superbe créature exra-terrestre savait parfaitement qu'il ne pourrait jamais tenir ce genre de promesse. C'était dans son programme, elle connaissait bien les faiblesses de l'homme : C'était sa mission ! Elle émit un soupir programmé, mais si sensuel, qu'il en perdit le contrôle de son palpitant. Pouvait-il sérieusement envisager une histoire d'amour avec une femme en ferraille ? Elle éclata de rire. Comme si elle avait perçu les remous causés par ses interrogations,et continua de le séduire pour voir où étaient ses limites. Pauvre Victor ! Il bomba le torse, essayant de résister à la tentation: mais quel effort surhumain! Jusqu'où l'homme pourrait-il réfréner ses pulsions ? Il n'en savait rien bien entendu, lui, qui n'avait toujours obéi qu'à ses bas instincts, et soudain il la vit s'avancer sa bielle à la main. Qu'allait-il faire? Cur, comodo, quando? et à quoi pensait-elle à ce moment précis ? Du coup, il n'osait plus se retourner... Peut-être attendait-il le coup fatal ? Il ne pouvait détacher son regard du cache-culbuteurs de la belle, ce qui, ma foi, l'enverrait dans l'autre monde en gardant un bon souvenir de celui-ci! Mais ensuite si tel était le cas ,qu'adviendrait-il de lui et de ces sentiments si forts qui l'attirent vers elle? est-il prêt réellement à tout cela? Pourra-t-il se passer d'elle, vivre sans elle? Telle était la question qu'il se posait quand, Bérénice, posa ses lèvres pulpeuses, sur sa bouche béate déjà toute offerte à l'emploi. Et là l’impensable se produisit , il se rendit compte qu’il était follement amoureux d’une machine. Stupeur! quel choc mes aÎeux! une machine! et ça tombe sur moi... Mais il savait aussi qu’à partir de cet instant jamais plus il ne pourrait vivre sans elle. Seulement voilà: nouveau problème! Comment faire accepter ce couple hors-normes par les autres humains?... Curieusement, Victor ne se préoccupait pas encore trop de la question; il Textes protégés par © Copyright N° 79Z516A In Pace cum Patribus (devise des Neuville) | |
| | | Ninon Plume de Corail
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| Sujet: Re: Quand il se retourna... Ven 11 Mai 2007 - 0:35 | |
| Quand il se retourna, le coeur empli d'une douce joie, il n'y avait plus personne. Pourquoi avait-elle donc fuit ainsi ? Un instant, il pensa en son for intérieur, que tout ceci n'était qu'un mauvais rêve, et pourtant...et pourtant, sans un remords sans un regret il lui fallait tourner la page définitivement. Partir droit devant lui, esquiver ces regards, ne pas montrer sa peur, partir sans espoir de retour, oublier, tout effacer, mais pas trop, juste ce qu'il fallait pour ne pas souffrir ne pas se montrer faible car l'absence stagnait et elle le freinerait. Un horizon différent s'ouvrait devant lui mais il l'ignorait. Comment aurait-il pu s'imaginer que sa vie allait enfin commencer ?... Durablement vivre l'éternité et aimer à nouveau, comme si demain n'existait pas... Mais aujourd'hui, la pierre qu'il devait mettre à la construction de son destin pesait si lourd, et son coeur si léger oscillait dangereusement car l'amour allait le terrasser à nouveau. C'est quand il rencontra son regard qu'il fut saisi d'une sorte de malaise, pas cardiaque, mais il sentait au plus profond de lui comme une sorte de renaissance due au formidable sentiment qui l'envahissait. Sa joie fut de courte durée car il connaissait déjà la fragilité du lien affectif puisqu'il avait déjà fait l'expérience de l'amour-passion; et pourtant il se sentait bien incapable de résister à cette attraction, tout en refusant de se laisser entrainer malgré lui. Mais il savait, connaissant très bien la théorie de Newton, que la gravitation universelle le ramènerait vers Elle -LA femme-! Mais pourquoi Dieu, avait-il créé cette créature, se dit-il ! Il n'arrêtait pas de retourner la question dans sa caboche, quand il eut la révélation : "Bon sang ! Mais c'est bien sûr", Aragon l'avait compris lui ! Il se rendit compte que Dieu n'avait absolument rien à voir là-dedans. Car en la regardant de plus près, il venait de remarquer son visage métallique... Cette femme magnifique était en fait un robot ! La toute dernière génération humanoïde de Eve, rien à envier à l'humaine ! s'avisa t-il dépité (et à l'inverse d'Aragon il ne put plus dire "La femme est l'avenir de l'homme"...) Son corps était serré dans une combinaison étrange faite de fibres et de lumière lui sembla-t-il, et qui collait à des formes un peu trop...humaines: un comble! Il était si fasciné par cette femme venue d'une planète inconnue, attiré par ce mystère qui l'enveloppait, cette silhouette supra humaine obsédante, qui le sondait en profondeur, de ses yeux bleus si cristallins, qu'il en oubliait d'écrire. Il se jura que plus jamais il ne l'approcherait ni simplement ne la regarderait. Mais cette superbe créature exra-terrestre savait parfaitement qu'il ne pourrait jamais tenir ce genre de promesse. C'était dans son programme, elle connaissait bien les faiblesses de l'homme : C'était sa mission ! Elle émit un soupir programmé, mais si sensuel, qu'il en perdit le contrôle de son palpitant. Pouvait-il sérieusement envisager une histoire d'amour avec une femme en ferraille ? Elle éclata de rire. Comme si elle avait perçu les remous causés par ses interrogations,et continua de le séduire pour voir où étaient ses limites. Pauvre Victor ! Il bomba le torse, essayant de résister à la tentation: mais quel effort surhumain! Jusqu'où l'homme pourrait-il réfréner ses pulsions ? Il n'en savait rien bien entendu, lui, qui n'avait toujours obéi qu'à ses bas instincts, et soudain il la vit s'avancer sa bielle à la main. Qu'allait-il faire? Cur, comodo, quando? et à quoi pensait-elle à ce moment précis ? Du coup, il n'osait plus se retourner... Peut-être attendait-il le coup fatal ? Il ne pouvait détacher son regard du cache-culbuteurs de la belle, ce qui, ma foi, l'enverrait dans l'autre monde en gardant un bon souvenir de celui-ci! Mais ensuite si tel était le cas ,qu'adviendrait-il de lui et de ces sentiments si forts qui l'attirent vers elle? est-il prêt réellement à tout cela? Pourra-t-il se passer d'elle, vivre sans elle? Telle était la question qu'il se posait quand, Bérénice, posa ses lèvres pulpeuses, sur sa bouche béate déjà toute offerte à l'emploi. Et là l’impensable se produisit , il se rendit compte qu’il était follement amoureux d’une machine. Stupeur! quel choc mes aÎeux! une machine! et ça tombe sur moi... Mais il savait aussi qu’à partir de cet instant jamais plus il ne pourrait vivre sans elle. Seulement voilà: nouveau problème! Comment faire accepter ce couple hors-normes par les autres humains?... Curieusement, Victor ne se préoccupait pas encore trop de la question; il avait bien trop à faire. Et pour commencer, il lui fallait gérer ce trop plein d'ardeur qui l'envahissait | |
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| Sujet: Re: Quand il se retourna... Ven 11 Mai 2007 - 2:28 | |
| Quand il se retourna, le coeur empli d'une douce joie, il n'y avait plus personne. Pourquoi avait-elle donc fuit ainsi ? Un instant, il pensa en son for intérieur, que tout ceci n'était qu'un mauvais rêve, et pourtant...et pourtant, sans un remords sans un regret il lui fallait tourner la page définitivement. Partir droit devant lui, esquiver ces regards, ne pas montrer sa peur, partir sans espoir de retour, oublier, tout effacer, mais pas trop, juste ce qu'il fallait pour ne pas souffrir ne pas se montrer faible car l'absence stagnait et elle le freinerait. Un horizon différent s'ouvrait devant lui mais il l'ignorait. Comment aurait-il pu s'imaginer que sa vie allait enfin commencer ?... Durablement vivre l'éternité et aimer à nouveau, comme si demain n'existait pas... Mais aujourd'hui, la pierre qu'il devait mettre à la construction de son destin pesait si lourd, et son coeur si léger oscillait dangereusement car l'amour allait le terrasser à nouveau. C'est quand il rencontra son regard qu'il fut saisi d'une sorte de malaise, pas cardiaque, mais il sentait au plus profond de lui comme une sorte de renaissance due au formidable sentiment qui l'envahissait. Sa joie fut de courte durée car il connaissait déjà la fragilité du lien affectif puisqu'il avait déjà fait l'expérience de l'amour-passion; et pourtant il se sentait bien incapable de résister à cette attraction, tout en refusant de se laisser entrainer malgré lui. Mais il savait, connaissant très bien la théorie de Newton, que la gravitation universelle le ramènerait vers Elle -LA femme-! Mais pourquoi Dieu, avait-il créé cette créature, se dit-il ! Il n'arrêtait pas de retourner la question dans sa caboche, quand il eut la révélation : "Bon sang ! Mais c'est bien sûr", Aragon l'avait compris lui ! Il se rendit compte que Dieu n'avait absolument rien à voir là-dedans. Car en la regardant de plus près, il venait de remarquer son visage métallique... Cette femme magnifique était en fait un robot ! La toute dernière génération humanoïde de Eve, rien à envier à l'humaine ! s'avisa t-il dépité (et à l'inverse d'Aragon il ne put plus dire "La femme est l'avenir de l'homme"...) Son corps était serré dans une combinaison étrange faite de fibres et de lumière lui sembla-t-il, et qui collait à des formes un peu trop...humaines: un comble! Il était si fasciné par cette femme venue d'une planète inconnue, attiré par ce mystère qui l'enveloppait, cette silhouette supra humaine obsédante, qui le sondait en profondeur, de ses yeux bleus si cristallins, qu'il en oubliait d'écrire. Il se jura que plus jamais il ne l'approcherait ni simplement ne la regarderait. Mais cette superbe créature exra-terrestre savait parfaitement qu'il ne pourrait jamais tenir ce genre de promesse. C'était dans son programme, elle connaissait bien les faiblesses de l'homme : C'était sa mission ! Elle émit un soupir programmé, mais si sensuel, qu'il en perdit le contrôle de son palpitant. Pouvait-il sérieusement envisager une histoire d'amour avec une femme en ferraille ? Elle éclata de rire. Comme si elle avait perçu les remous causés par ses interrogations,et continua de le séduire pour voir où étaient ses limites. Pauvre Victor ! Il bomba le torse, essayant de résister à la tentation: mais quel effort surhumain! Jusqu'où l'homme pourrait-il réfréner ses pulsions ? Il n'en savait rien bien entendu, lui, qui n'avait toujours obéi qu'à ses bas instincts, et soudain il la vit s'avancer sa bielle à la main. Qu'allait-il faire? Cur, comodo, quando? et à quoi pensait-elle à ce moment précis ? Du coup, il n'osait plus se retourner... Peut-être attendait-il le coup fatal ? Il ne pouvait détacher son regard du cache-culbuteurs de la belle, ce qui, ma foi, l'enverrait dans l'autre monde en gardant un bon souvenir de celui-ci! Mais ensuite si tel était le cas ,qu'adviendrait-il de lui et de ces sentiments si forts qui l'attirent vers elle? est-il prêt réellement à tout cela? Pourra-t-il se passer d'elle, vivre sans elle? Telle était la question qu'il se posait quand, Bérénice, posa ses lèvres pulpeuses, sur sa bouche béate déjà toute offerte à l'emploi. Et là l’impensable se produisit , il se rendit compte qu’il était follement amoureux d’une machine. Stupeur! quel choc mes aÎeux! une machine! et ça tombe sur moi... Mais il savait aussi qu’à partir de cet instant jamais plus il ne pourrait vivre sans elle. Seulement voilà: nouveau problème! Comment faire accepter ce couple hors-normes par les autres humains?... Curieusement, Victor ne se préoccupait pas encore trop de la question; il avait bien trop à faire. Et pour commencer, il lui fallait gérer ce trop plein d'ardeur qui l'envahissait. "Allons -se dit-il- vais-je poursuivre mes études sur la poésie post-symboliste, ou bien vais-je me défouler sur une de mes égéries chéries?". Textes protégés par © Copyright N° 79Z516A In Pace cum Patribus (devise des Neuville) | |
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| Sujet: Re: Quand il se retourna... Sam 12 Mai 2007 - 7:02 | |
| Quand il se retourna, le coeur empli d'une douce joie, il n'y avait plus personne. Pourquoi avait-elle donc fuit ainsi ? Un instant, il pensa en son for intérieur, que tout ceci n'était qu'un mauvais rêve, et pourtant...et pourtant, sans un remords sans un regret il lui fallait tourner la page définitivement. Partir droit devant lui, esquiver ces regards, ne pas montrer sa peur, partir sans espoir de retour, oublier, tout effacer, mais pas trop, juste ce qu'il fallait pour ne pas souffrir ne pas se montrer faible car l'absence stagnait et elle le freinerait. Un horizon différent s'ouvrait devant lui mais il l'ignorait. Comment aurait-il pu s'imaginer que sa vie allait enfin commencer ?... Durablement vivre l'éternité et aimer à nouveau, comme si demain n'existait pas... Mais aujourd'hui, la pierre qu'il devait mettre à la construction de son destin pesait si lourd, et son coeur si léger oscillait dangereusement car l'amour allait le terrasser à nouveau. C'est quand il rencontra son regard qu'il fut saisi d'une sorte de malaise, pas cardiaque, mais il sentait au plus profond de lui comme une sorte de renaissance due au formidable sentiment qui l'envahissait. Sa joie fut de courte durée car il connaissait déjà la fragilité du lien affectif puisqu'il avait déjà fait l'expérience de l'amour-passion; et pourtant il se sentait bien incapable de résister à cette attraction, tout en refusant de se laisser entrainer malgré lui. Mais il savait, connaissant très bien la théorie de Newton, que la gravitation universelle le ramènerait vers Elle -LA femme-! Mais pourquoi Dieu, avait-il créé cette créature, se dit-il ! Il n'arrêtait pas de retourner la question dans sa caboche, quand il eut la révélation : "Bon sang ! Mais c'est bien sûr", Aragon l'avait compris lui ! Il se rendit compte que Dieu n'avait absolument rien à voir là-dedans. Car en la regardant de plus près, il venait de remarquer son visage métallique... Cette femme magnifique était en fait un robot ! La toute dernière génération humanoïde de Eve, rien à envier à l'humaine ! s'avisa t-il dépité (et à l'inverse d'Aragon il ne put plus dire "La femme est l'avenir de l'homme"...) Son corps était serré dans une combinaison étrange faite de fibres et de lumière lui sembla-t-il, et qui collait à des formes un peu trop...humaines: un comble! Il était si fasciné par cette femme venue d'une planète inconnue, attiré par ce mystère qui l'enveloppait, cette silhouette supra humaine obsédante, qui le sondait en profondeur, de ses yeux bleus si cristallins, qu'il en oubliait d'écrire. Il se jura que plus jamais il ne l'approcherait ni simplement ne la regarderait. Mais cette superbe créature exra-terrestre savait parfaitement qu'il ne pourrait jamais tenir ce genre de promesse. C'était dans son programme, elle connaissait bien les faiblesses de l'homme : C'était sa mission ! Elle émit un soupir programmé, mais si sensuel, qu'il en perdit le contrôle de son palpitant. Pouvait-il sérieusement envisager une histoire d'amour avec une femme en ferraille ? Elle éclata de rire. Comme si elle avait perçu les remous causés par ses interrogations,et continua de le séduire pour voir où étaient ses limites. Pauvre Victor ! Il bomba le torse, essayant de résister à la tentation: mais quel effort surhumain! Jusqu'où l'homme pourrait-il réfréner ses pulsions ? Il n'en savait rien bien entendu, lui, qui n'avait toujours obéi qu'à ses bas instincts, et soudain il la vit s'avancer sa bielle à la main. Qu'allait-il faire? Cur, comodo, quando? et à quoi pensait-elle à ce moment précis ? Du coup, il n'osait plus se retourner... Peut-être attendait-il le coup fatal ? Il ne pouvait détacher son regard du cache-culbuteurs de la belle, ce qui, ma foi, l'enverrait dans l'autre monde en gardant un bon souvenir de celui-ci! Mais ensuite si tel était le cas ,qu'adviendrait-il de lui et de ces sentiments si forts qui l'attirent vers elle? est-il prêt réellement à tout cela? Pourra-t-il se passer d'elle, vivre sans elle? Telle était la question qu'il se posait quand, Bérénice, posa ses lèvres pulpeuses, sur sa bouche béate déjà toute offerte à l'emploi. Et là l’impensable se produisit , il se rendit compte qu’il était follement amoureux d’une machine. Stupeur! quel choc mes aÎeux! une machine! et ça tombe sur moi... Mais il savait aussi qu’à partir de cet instant jamais plus il ne pourrait vivre sans elle. Seulement voilà: nouveau problème! Comment faire accepter ce couple hors-normes par les autres humains?... Curieusement, Victor ne se préoccupait pas encore trop de la question; il avait bien trop à faire. Et pour commencer, il lui fallait gérer ce trop plein d'ardeur qui l'envahissait. "Allons -se dit-il- vais-je poursuivre mes études sur la poésie post-symboliste, ou bien vais-je me défouler sur une de mes égéries chéries?". Bérénice rejeta alors sa tête en arrière, sa chevelure scintilla
Manifestement, nous prenons bien des libertés quant à la règle de départ, mais bon, les règles peuvent évoluer. Limitons-nous alors à une proposition, voire deux ou même une phrase... Textes protégés par © Copyright N° 79Z516A ^----^ (='Y'=) (")_(")
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| | | philippe de neuville Grimoirien
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| Sujet: Re: Quand il se retourna... Sam 12 Mai 2007 - 13:56 | |
| Quand il se retourna, le coeur empli d'une douce joie, il n'y avait plus personne. Pourquoi avait-elle donc fuit ainsi ? Un instant, il pensa en son for intérieur, que tout ceci n'était qu'un mauvais rêve, et pourtant...et pourtant, sans un remords sans un regret il lui fallait tourner la page définitivement. Partir droit devant lui, esquiver ces regards, ne pas montrer sa peur, partir sans espoir de retour, oublier, tout effacer, mais pas trop, juste ce qu'il fallait pour ne pas souffrir ne pas se montrer faible car l'absence stagnait et elle le freinerait. Un horizon différent s'ouvrait devant lui mais il l'ignorait. Comment aurait-il pu s'imaginer que sa vie allait enfin commencer ?... Durablement vivre l'éternité et aimer à nouveau, comme si demain n'existait pas... Mais aujourd'hui, la pierre qu'il devait mettre à la construction de son destin pesait si lourd, et son coeur si léger oscillait dangereusement car l'amour allait le terrasser à nouveau. C'est quand il rencontra son regard qu'il fut saisi d'une sorte de malaise, pas cardiaque, mais il sentait au plus profond de lui comme une sorte de renaissance due au formidable sentiment qui l'envahissait. Sa joie fut de courte durée car il connaissait déjà la fragilité du lien affectif puisqu'il avait déjà fait l'expérience de l'amour-passion; et pourtant il se sentait bien incapable de résister à cette attraction, tout en refusant de se laisser entrainer malgré lui. Mais il savait, connaissant très bien la théorie de Newton, que la gravitation universelle le ramènerait vers Elle -LA femme-! Mais pourquoi Dieu, avait-il créé cette créature, se dit-il ! Il n'arrêtait pas de retourner la question dans sa caboche, quand il eut la révélation : "Bon sang ! Mais c'est bien sûr", Aragon l'avait compris lui ! Il se rendit compte que Dieu n'avait absolument rien à voir là-dedans. Car en la regardant de plus près, il venait de remarquer son visage métallique... Cette femme magnifique était en fait un robot ! La toute dernière génération humanoïde de Eve, rien à envier à l'humaine ! s'avisa t-il dépité (et à l'inverse d'Aragon il ne put plus dire "La femme est l'avenir de l'homme"...) Son corps était serré dans une combinaison étrange faite de fibres et de lumière lui sembla-t-il, et qui collait à des formes un peu trop...humaines: un comble! Il était si fasciné par cette femme venue d'une planète inconnue, attiré par ce mystère qui l'enveloppait, cette silhouette supra humaine obsédante, qui le sondait en profondeur, de ses yeux bleus si cristallins, qu'il en oubliait d'écrire. Il se jura que plus jamais il ne l'approcherait ni simplement ne la regarderait. Mais cette superbe créature exra-terrestre savait parfaitement qu'il ne pourrait jamais tenir ce genre de promesse. C'était dans son programme, elle connaissait bien les faiblesses de l'homme : C'était sa mission ! Elle émit un soupir programmé, mais si sensuel, qu'il en perdit le contrôle de son palpitant. Pouvait-il sérieusement envisager une histoire d'amour avec une femme en ferraille ? Elle éclata de rire. Comme si elle avait perçu les remous causés par ses interrogations,et continua de le séduire pour voir où étaient ses limites. Pauvre Victor ! Il bomba le torse, essayant de résister à la tentation: mais quel effort surhumain! Jusqu'où l'homme pourrait-il réfréner ses pulsions ? Il n'en savait rien bien entendu, lui, qui n'avait toujours obéi qu'à ses bas instincts, et soudain il la vit s'avancer sa bielle à la main. Qu'allait-il faire? Cur, comodo, quando? et à quoi pensait-elle à ce moment précis ? Du coup, il n'osait plus se retourner... Peut-être attendait-il le coup fatal ? Il ne pouvait détacher son regard du cache-culbuteurs de la belle, ce qui, ma foi, l'enverrait dans l'autre monde en gardant un bon souvenir de celui-ci! Mais ensuite si tel était le cas ,qu'adviendrait-il de lui et de ces sentiments si forts qui l'attirent vers elle? est-il prêt réellement à tout cela? Pourra-t-il se passer d'elle, vivre sans elle? Telle était la question qu'il se posait quand, Bérénice, posa ses lèvres pulpeuses, sur sa bouche béate déjà toute offerte à l'emploi. Et là l’impensable se produisit , il se rendit compte qu’il était follement amoureux d’une machine. Stupeur! quel choc mes aÎeux! une machine! et ça tombe sur moi... Mais il savait aussi qu’à partir de cet instant jamais plus il ne pourrait vivre sans elle. Seulement voilà: nouveau problème! Comment faire accepter ce couple hors-normes par les autres humains?... Curieusement, Victor ne se préoccupait pas encore trop de la question; il avait bien trop à faire. Et pour commencer, il lui fallait gérer ce trop plein d'ardeur qui l'envahissait. "Allons -se dit-il- vais-je poursuivre mes études sur la poésie post-symboliste, ou bien vais-je me défouler sur une de mes égéries chéries?". Bérénice rejeta alors sa tête en arrière, sa chevelure scintilla au soleil du matin qui fouetta le visage de Victor. Textes protégés par © Copyright N° 79Z516A In Pace cum Patribus (devise des Neuville) | |
| | | sissi Plume de Bois
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| Sujet: Re: Quand il se retourna... Dim 13 Mai 2007 - 19:55 | |
| Quand il se retourna, le coeur empli d'une douce joie, il n'y avait plus personne. Pourquoi avait-elle donc fuit ainsi ? Un instant, il pensa en son for intérieur, que tout ceci n'était qu'un mauvais rêve, et pourtant...et pourtant, sans un remords sans un regret il lui fallait tourner la page définitivement. Partir droit devant lui, esquiver ces regards, ne pas montrer sa peur, partir sans espoir de retour, oublier, tout effacer, mais pas trop, juste ce qu'il fallait pour ne pas souffrir ne pas se montrer faible car l'absence stagnait et elle le freinerait. Un horizon différent s'ouvrait devant lui mais il l'ignorait. Comment aurait-il pu s'imaginer que sa vie allait enfin commencer ?... Durablement vivre l'éternité et aimer à nouveau, comme si demain n'existait pas... Mais aujourd'hui, la pierre qu'il devait mettre à la construction de son destin pesait si lourd, et son coeur si léger oscillait dangereusement car l'amour allait le terrasser à nouveau. C'est quand il rencontra son regard qu'il fut saisi d'une sorte de malaise, pas cardiaque, mais il sentait au plus profond de lui comme une sorte de renaissance due au formidable sentiment qui l'envahissait. Sa joie fut de courte durée car il connaissait déjà la fragilité du lien affectif puisqu'il avait déjà fait l'expérience de l'amour-passion; et pourtant il se sentait bien incapable de résister à cette attraction, tout en refusant de se laisser entrainer malgré lui. Mais il savait, connaissant très bien la théorie de Newton, que la gravitation universelle le ramènerait vers Elle -LA femme-! Mais pourquoi Dieu, avait-il créé cette créature, se dit-il ! Il n'arrêtait pas de retourner la question dans sa caboche, quand il eut la révélation : "Bon sang ! Mais c'est bien sûr", Aragon l'avait compris lui ! Il se rendit compte que Dieu n'avait absolument rien à voir là-dedans. Car en la regardant de plus près, il venait de remarquer son visage métallique... Cette femme magnifique était en fait un robot ! La toute dernière génération humanoïde de Eve, rien à envier à l'humaine ! s'avisa t-il dépité (et à l'inverse d'Aragon il ne put plus dire "La femme est l'avenir de l'homme"...) Son corps était serré dans une combinaison étrange faite de fibres et de lumière lui sembla-t-il, et qui collait à des formes un peu trop...humaines: un comble! Il était si fasciné par cette femme venue d'une planète inconnue, attiré par ce mystère qui l'enveloppait, cette silhouette supra humaine obsédante, qui le sondait en profondeur, de ses yeux bleus si cristallins, qu'il en oubliait d'écrire. Il se jura que plus jamais il ne l'approcherait ni simplement ne la regarderait. Mais cette superbe créature exra-terrestre savait parfaitement qu'il ne pourrait jamais tenir ce genre de promesse. C'était dans son programme, elle connaissait bien les faiblesses de l'homme : C'était sa mission ! Elle émit un soupir programmé, mais si sensuel, qu'il en perdit le contrôle de son palpitant. Pouvait-il sérieusement envisager une histoire d'amour avec une femme en ferraille ? Elle éclata de rire. Comme si elle avait perçu les remous causés par ses interrogations,et continua de le séduire pour voir où étaient ses limites. Pauvre Victor ! Il bomba le torse, essayant de résister à la tentation: mais quel effort surhumain! Jusqu'où l'homme pourrait-il réfréner ses pulsions ? Il n'en savait rien bien entendu, lui, qui n'avait toujours obéi qu'à ses bas instincts, et soudain il la vit s'avancer sa bielle à la main. Qu'allait-il faire? Cur, comodo, quando? et à quoi pensait-elle à ce moment précis ? Du coup, il n'osait plus se retourner... Peut-être attendait-il le coup fatal ? Il ne pouvait détacher son regard du cache-culbuteurs de la belle, ce qui, ma foi, l'enverrait dans l'autre monde en gardant un bon souvenir de celui-ci! Mais ensuite si tel était le cas ,qu'adviendrait-il de lui et de ces sentiments si forts qui l'attirent vers elle? est-il prêt réellement à tout cela? Pourra-t-il se passer d'elle, vivre sans elle? Telle était la question qu'il se posait quand, Bérénice, posa ses lèvres pulpeuses, sur sa bouche béate déjà toute offerte à l'emploi. Et là l’impensable se produisit , il se rendit compte qu’il était follement amoureux d’une machine. Stupeur! quel choc mes aÎeux! une machine! et ça tombe sur moi... Mais il savait aussi qu’à partir de cet instant jamais plus il ne pourrait vivre sans elle. Seulement voilà: nouveau problème! Comment faire accepter ce couple hors-normes par les autres humains?... Curieusement, Victor ne se préoccupait pas encore trop de la question; il avait bien trop à faire. Et pour commencer, il lui fallait gérer ce trop plein d'ardeur qui l'envahissait. "Allons -se dit-il- vais-je poursuivre mes études sur la poésie post-symboliste, ou bien vais-je me défouler sur une de mes égéries chéries?". Bérénice rejeta alors sa tête en arrière, sa chevelure scintilla au soleil du matin qui fouetta le visage de Victor.La! il ne pu contenir ces émotions | |
| | | apogon Membre d'honneur
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| Sujet: Re: Quand il se retourna... Dim 13 Mai 2007 - 20:57 | |
| Quand il se retourna, le coeur empli d'une douce joie, il n'y avait plus personne. Pourquoi avait-elle donc fuit ainsi ? Un instant, il pensa en son for intérieur, que tout ceci n'était qu'un mauvais rêve, et pourtant...et pourtant, sans un remords sans un regret il lui fallait tourner la page définitivement. Partir droit devant lui, esquiver ces regards, ne pas montrer sa peur, partir sans espoir de retour, oublier, tout effacer, mais pas trop, juste ce qu'il fallait pour ne pas souffrir ne pas se montrer faible car l'absence stagnait et elle le freinerait. Un horizon différent s'ouvrait devant lui mais il l'ignorait. Comment aurait-il pu s'imaginer que sa vie allait enfin commencer ?... Durablement vivre l'éternité et aimer à nouveau, comme si demain n'existait pas... Mais aujourd'hui, la pierre qu'il devait mettre à la construction de son destin pesait si lourd, et son coeur si léger oscillait dangereusement car l'amour allait le terrasser à nouveau. C'est quand il rencontra son regard qu'il fut saisi d'une sorte de malaise, pas cardiaque, mais il sentait au plus profond de lui comme une sorte de renaissance due au formidable sentiment qui l'envahissait. Sa joie fut de courte durée car il connaissait déjà la fragilité du lien affectif puisqu'il avait déjà fait l'expérience de l'amour-passion; et pourtant il se sentait bien incapable de résister à cette attraction, tout en refusant de se laisser entrainer malgré lui. Mais il savait, connaissant très bien la théorie de Newton, que la gravitation universelle le ramènerait vers Elle -LA femme-! Mais pourquoi Dieu, avait-il créé cette créature, se dit-il ! Il n'arrêtait pas de retourner la question dans sa caboche, quand il eut la révélation : "Bon sang ! Mais c'est bien sûr", Aragon l'avait compris lui ! Il se rendit compte que Dieu n'avait absolument rien à voir là-dedans. Car en la regardant de plus près, il venait de remarquer son visage métallique... Cette femme magnifique était en fait un robot ! La toute dernière génération humanoïde de Eve, rien à envier à l'humaine ! s'avisa t-il dépité (et à l'inverse d'Aragon il ne put plus dire "La femme est l'avenir de l'homme"...) Son corps était serré dans une combinaison étrange faite de fibres et de lumière lui sembla-t-il, et qui collait à des formes un peu trop...humaines: un comble! Il était si fasciné par cette femme venue d'une planète inconnue, attiré par ce mystère qui l'enveloppait, cette silhouette supra humaine obsédante, qui le sondait en profondeur, de ses yeux bleus si cristallins, qu'il en oubliait d'écrire. Il se jura que plus jamais il ne l'approcherait ni simplement ne la regarderait. Mais cette superbe créature exra-terrestre savait parfaitement qu'il ne pourrait jamais tenir ce genre de promesse. C'était dans son programme, elle connaissait bien les faiblesses de l'homme : C'était sa mission ! Elle émit un soupir programmé, mais si sensuel, qu'il en perdit le contrôle de son palpitant. Pouvait-il sérieusement envisager une histoire d'amour avec une femme en ferraille ? Elle éclata de rire. Comme si elle avait perçu les remous causés par ses interrogations,et continua de le séduire pour voir où étaient ses limites. Pauvre Victor ! Il bomba le torse, essayant de résister à la tentation: mais quel effort surhumain! Jusqu'où l'homme pourrait-il réfréner ses pulsions ? Il n'en savait rien bien entendu, lui, qui n'avait toujours obéi qu'à ses bas instincts, et soudain il la vit s'avancer sa bielle à la main. Qu'allait-il faire? Cur, comodo, quando? et à quoi pensait-elle à ce moment précis ? Du coup, il n'osait plus se retourner... Peut-être attendait-il le coup fatal ? Il ne pouvait détacher son regard du cache-culbuteurs de la belle, ce qui, ma foi, l'enverrait dans l'autre monde en gardant un bon souvenir de celui-ci! Mais ensuite si tel était le cas ,qu'adviendrait-il de lui et de ces sentiments si forts qui l'attirent vers elle? est-il prêt réellement à tout cela? Pourra-t-il se passer d'elle, vivre sans elle? Telle était la question qu'il se posait quand, Bérénice, posa ses lèvres pulpeuses, sur sa bouche béate déjà toute offerte à l'emploi. Et là l’impensable se produisit , il se rendit compte qu’il était follement amoureux d’une machine. Stupeur! quel choc mes aÎeux! une machine! et ça tombe sur moi... Mais il savait aussi qu’à partir de cet instant jamais plus il ne pourrait vivre sans elle. Seulement voilà: nouveau problème! Comment faire accepter ce couple hors-normes par les autres humains?... Curieusement, Victor ne se préoccupait pas encore trop de la question; il avait bien trop à faire. Et pour commencer, il lui fallait gérer ce trop plein d'ardeur qui l'envahissait. "Allons -se dit-il- vais-je poursuivre mes études sur la poésie post-symboliste, ou bien vais-je me défouler sur une de mes égéries chéries?". Bérénice rejeta alors sa tête en arrière, sa chevelure scintilla au soleil du matin qui fouetta le visage de Victor.Là, il ne put contenir ses émotions, il tendit ses deux mains vers elle Textes protégés par © Copyright N° 79Z516A ^----^ (='Y'=) (")_(")
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| | | Ninon Plume de Corail
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| Sujet: Re: Quand il se retourna... Dim 13 Mai 2007 - 21:26 | |
| Quand il se retourna, le coeur empli d'une douce joie, il n'y avait plus personne. Pourquoi avait-elle donc fuit ainsi ? Un instant, il pensa en son for intérieur, que tout ceci n'était qu'un mauvais rêve, et pourtant...et pourtant, sans un remords sans un regret il lui fallait tourner la page définitivement. Partir droit devant lui, esquiver ces regards, ne pas montrer sa peur, partir sans espoir de retour, oublier, tout effacer, mais pas trop, juste ce qu'il fallait pour ne pas souffrir ne pas se montrer faible car l'absence stagnait et elle le freinerait. Un horizon différent s'ouvrait devant lui mais il l'ignorait. Comment aurait-il pu s'imaginer que sa vie allait enfin commencer ?... Durablement vivre l'éternité et aimer à nouveau, comme si demain n'existait pas... Mais aujourd'hui, la pierre qu'il devait mettre à la construction de son destin pesait si lourd, et son coeur si léger oscillait dangereusement car l'amour allait le terrasser à nouveau. C'est quand il rencontra son regard qu'il fut saisi d'une sorte de malaise, pas cardiaque, mais il sentait au plus profond de lui comme une sorte de renaissance due au formidable sentiment qui l'envahissait. Sa joie fut de courte durée car il connaissait déjà la fragilité du lien affectif puisqu'il avait déjà fait l'expérience de l'amour-passion; et pourtant il se sentait bien incapable de résister à cette attraction, tout en refusant de se laisser entrainer malgré lui. Mais il savait, connaissant très bien la théorie de Newton, que la gravitation universelle le ramènerait vers Elle -LA femme-! Mais pourquoi Dieu, avait-il créé cette créature, se dit-il ! Il n'arrêtait pas de retourner la question dans sa caboche, quand il eut la révélation : "Bon sang ! Mais c'est bien sûr", Aragon l'avait compris lui ! Il se rendit compte que Dieu n'avait absolument rien à voir là-dedans. Car en la regardant de plus près, il venait de remarquer son visage métallique... Cette femme magnifique était en fait un robot ! La toute dernière génération humanoïde de Eve, rien à envier à l'humaine ! s'avisa t-il dépité (et à l'inverse d'Aragon il ne put plus dire "La femme est l'avenir de l'homme"...) Son corps était serré dans une combinaison étrange faite de fibres et de lumière lui sembla-t-il, et qui collait à des formes un peu trop...humaines: un comble! Il était si fasciné par cette femme venue d'une planète inconnue, attiré par ce mystère qui l'enveloppait, cette silhouette supra humaine obsédante, qui le sondait en profondeur, de ses yeux bleus si cristallins, qu'il en oubliait d'écrire. Il se jura que plus jamais il ne l'approcherait ni simplement ne la regarderait. Mais cette superbe créature exra-terrestre savait parfaitement qu'il ne pourrait jamais tenir ce genre de promesse. C'était dans son programme, elle connaissait bien les faiblesses de l'homme : C'était sa mission ! Elle émit un soupir programmé, mais si sensuel, qu'il en perdit le contrôle de son palpitant. Pouvait-il sérieusement envisager une histoire d'amour avec une femme en ferraille ? Elle éclata de rire. Comme si elle avait perçu les remous causés par ses interrogations,et continua de le séduire pour voir où étaient ses limites. Pauvre Victor ! Il bomba le torse, essayant de résister à la tentation: mais quel effort surhumain! Jusqu'où l'homme pourrait-il réfréner ses pulsions ? Il n'en savait rien bien entendu, lui, qui n'avait toujours obéi qu'à ses bas instincts, et soudain il la vit s'avancer sa bielle à la main. Qu'allait-il faire? Cur, comodo, quando? et à quoi pensait-elle à ce moment précis ? Du coup, il n'osait plus se retourner... Peut-être attendait-il le coup fatal ? Il ne pouvait détacher son regard du cache-culbuteurs de la belle, ce qui, ma foi, l'enverrait dans l'autre monde en gardant un bon souvenir de celui-ci! Mais ensuite si tel était le cas ,qu'adviendrait-il de lui et de ces sentiments si forts qui l'attirent vers elle? est-il prêt réellement à tout cela? Pourra-t-il se passer d'elle, vivre sans elle? Telle était la question qu'il se posait quand, Bérénice, posa ses lèvres pulpeuses, sur sa bouche béate déjà toute offerte à l'emploi. Et là l’impensable se produisit , il se rendit compte qu’il était follement amoureux d’une machine. Stupeur! quel choc mes aÎeux! une machine! et ça tombe sur moi... Mais il savait aussi qu’à partir de cet instant jamais plus il ne pourrait vivre sans elle. Seulement voilà: nouveau problème! Comment faire accepter ce couple hors-normes par les autres humains?... Curieusement, Victor ne se préoccupait pas encore trop de la question; il avait bien trop à faire. Et pour commencer, il lui fallait gérer ce trop plein d'ardeur qui l'envahissait. "Allons -se dit-il- vais-je poursuivre mes études sur la poésie post-symboliste, ou bien vais-je me défouler sur une de mes égéries chéries?". Bérénice rejeta alors sa tête en arrière, sa chevelure scintilla au soleil du matin qui fouetta le visage de Victor.Là, il ne put contenir ses émotions, il tendit ses deux mains vers elle, quand elle lui déposa sa bielle. "C'est pas vrai ! Tout ce manège pour que je lui répare sa mécanique", pensa-il, déçu. | |
| | | apogon Membre d'honneur
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Nombre de messages : 578 Age : 66 Date d'inscription : 07/03/2006
| Sujet: Re: Quand il se retourna... Mer 16 Mai 2007 - 11:59 | |
| Quand il se retourna, le coeur empli d'une douce joie, il n'y avait plus personne. Pourquoi avait-elle donc fuit ainsi ? Un instant, il pensa en son for intérieur, que tout ceci n'était qu'un mauvais rêve, et pourtant...et pourtant, sans un remords sans un regret il lui fallait tourner la page définitivement. Partir droit devant lui, esquiver ces regards, ne pas montrer sa peur, partir sans espoir de retour, oublier, tout effacer, mais pas trop, juste ce qu'il fallait pour ne pas souffrir ne pas se montrer faible car l'absence stagnait et elle le freinerait. Un horizon différent s'ouvrait devant lui mais il l'ignorait. Comment aurait-il pu s'imaginer que sa vie allait enfin commencer ?... Durablement vivre l'éternité et aimer à nouveau, comme si demain n'existait pas... Mais aujourd'hui, la pierre qu'il devait mettre à la construction de son destin pesait si lourd, et son coeur si léger oscillait dangereusement car l'amour allait le terrasser à nouveau. C'est quand il rencontra son regard qu'il fut saisi d'une sorte de malaise, pas cardiaque, mais il sentait au plus profond de lui comme une sorte de renaissance due au formidable sentiment qui l'envahissait. Sa joie fut de courte durée car il connaissait déjà la fragilité du lien affectif puisqu'il avait déjà fait l'expérience de l'amour-passion; et pourtant il se sentait bien incapable de résister à cette attraction, tout en refusant de se laisser entrainer malgré lui. Mais il savait, connaissant très bien la théorie de Newton, que la gravitation universelle le ramènerait vers Elle -LA femme-! Mais pourquoi Dieu, avait-il créé cette créature, se dit-il ! Il n'arrêtait pas de retourner la question dans sa caboche, quand il eut la révélation : "Bon sang ! Mais c'est bien sûr", Aragon l'avait compris lui ! Il se rendit compte que Dieu n'avait absolument rien à voir là-dedans. Car en la regardant de plus près, il venait de remarquer son visage métallique... Cette femme magnifique était en fait un robot ! La toute dernière génération humanoïde de Eve, rien à envier à l'humaine ! s'avisa t-il dépité (et à l'inverse d'Aragon il ne put plus dire "La femme est l'avenir de l'homme"...) Son corps était serré dans une combinaison étrange faite de fibres et de lumière lui sembla-t-il, et qui collait à des formes un peu trop...humaines: un comble! Il était si fasciné par cette femme venue d'une planète inconnue, attiré par ce mystère qui l'enveloppait, cette silhouette supra humaine obsédante, qui le sondait en profondeur, de ses yeux bleus si cristallins, qu'il en oubliait d'écrire. Il se jura que plus jamais il ne l'approcherait ni simplement ne la regarderait. Mais cette superbe créature exra-terrestre savait parfaitement qu'il ne pourrait jamais tenir ce genre de promesse. C'était dans son programme, elle connaissait bien les faiblesses de l'homme : C'était sa mission ! Elle émit un soupir programmé, mais si sensuel, qu'il en perdit le contrôle de son palpitant. Pouvait-il sérieusement envisager une histoire d'amour avec une femme en ferraille ? Elle éclata de rire. Comme si elle avait perçu les remous causés par ses interrogations,et continua de le séduire pour voir où étaient ses limites. Pauvre Victor ! Il bomba le torse, essayant de résister à la tentation: mais quel effort surhumain! Jusqu'où l'homme pourrait-il réfréner ses pulsions ? Il n'en savait rien bien entendu, lui, qui n'avait toujours obéi qu'à ses bas instincts, et soudain il la vit s'avancer sa bielle à la main. Qu'allait-il faire? Cur, comodo, quando? et à quoi pensait-elle à ce moment précis ? Du coup, il n'osait plus se retourner... Peut-être attendait-il le coup fatal ? Il ne pouvait détacher son regard du cache-culbuteurs de la belle, ce qui, ma foi, l'enverrait dans l'autre monde en gardant un bon souvenir de celui-ci! Mais ensuite si tel était le cas ,qu'adviendrait-il de lui et de ces sentiments si forts qui l'attirent vers elle? est-il prêt réellement à tout cela? Pourra-t-il se passer d'elle, vivre sans elle? Telle était la question qu'il se posait quand, Bérénice, posa ses lèvres pulpeuses, sur sa bouche béate déjà toute offerte à l'emploi. Et là l’impensable se produisit , il se rendit compte qu’il était follement amoureux d’une machine. Stupeur! quel choc mes aÎeux! une machine! et ça tombe sur moi... Mais il savait aussi qu’à partir de cet instant jamais plus il ne pourrait vivre sans elle. Seulement voilà: nouveau problème! Comment faire accepter ce couple hors-normes par les autres humains?... Curieusement, Victor ne se préoccupait pas encore trop de la question; il avait bien trop à faire. Et pour commencer, il lui fallait gérer ce trop plein d'ardeur qui l'envahissait. "Allons -se dit-il- vais-je poursuivre mes études sur la poésie post-symboliste, ou bien vais-je me défouler sur une de mes égéries chéries?". Bérénice rejeta alors sa tête en arrière, sa chevelure scintilla au soleil du matin qui fouetta le visage de Victor.Là, il ne put contenir ses émotions, il tendit ses deux mains vers elle, quand elle lui déposa sa bielle. "C'est pas vrai ! Tout ce manège pour que je lui répare sa mécanique", pensa-il, déçu. Comment aurait-il pu imaginer que Textes protégés par © Copyright N° 79Z516A ^----^ (='Y'=) (")_(")
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| | | Ninon Plume de Corail
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| Sujet: Re: Quand il se retourna... Mer 16 Mai 2007 - 13:01 | |
| Quand il se retourna, le coeur empli d'une douce joie, il n'y avait plus personne. Pourquoi avait-elle donc fuit ainsi ? Un instant, il pensa en son for intérieur, que tout ceci n'était qu'un mauvais rêve, et pourtant...et pourtant, sans un remords sans un regret il lui fallait tourner la page définitivement. Partir droit devant lui, esquiver ces regards, ne pas montrer sa peur, partir sans espoir de retour, oublier, tout effacer, mais pas trop, juste ce qu'il fallait pour ne pas souffrir ne pas se montrer faible car l'absence stagnait et elle le freinerait. Un horizon différent s'ouvrait devant lui mais il l'ignorait. Comment aurait-il pu s'imaginer que sa vie allait enfin commencer ?... Durablement vivre l'éternité et aimer à nouveau, comme si demain n'existait pas... Mais aujourd'hui, la pierre qu'il devait mettre à la construction de son destin pesait si lourd, et son coeur si léger oscillait dangereusement car l'amour allait le terrasser à nouveau. C'est quand il rencontra son regard qu'il fut saisi d'une sorte de malaise, pas cardiaque, mais il sentait au plus profond de lui comme une sorte de renaissance due au formidable sentiment qui l'envahissait. Sa joie fut de courte durée car il connaissait déjà la fragilité du lien affectif puisqu'il avait déjà fait l'expérience de l'amour-passion; et pourtant il se sentait bien incapable de résister à cette attraction, tout en refusant de se laisser entrainer malgré lui. Mais il savait, connaissant très bien la théorie de Newton, que la gravitation universelle le ramènerait vers Elle -LA femme-! Mais pourquoi Dieu, avait-il créé cette créature, se dit-il ! Il n'arrêtait pas de retourner la question dans sa caboche, quand il eut la révélation : "Bon sang ! Mais c'est bien sûr", Aragon l'avait compris lui ! Il se rendit compte que Dieu n'avait absolument rien à voir là-dedans. Car en la regardant de plus près, il venait de remarquer son visage métallique... Cette femme magnifique était en fait un robot ! La toute dernière génération humanoïde de Eve, rien à envier à l'humaine ! s'avisa t-il dépité (et à l'inverse d'Aragon il ne put plus dire "La femme est l'avenir de l'homme"...) Son corps était serré dans une combinaison étrange faite de fibres et de lumière lui sembla-t-il, et qui collait à des formes un peu trop...humaines: un comble! Il était si fasciné par cette femme venue d'une planète inconnue, attiré par ce mystère qui l'enveloppait, cette silhouette supra humaine obsédante, qui le sondait en profondeur, de ses yeux bleus si cristallins, qu'il en oubliait d'écrire. Il se jura que plus jamais il ne l'approcherait ni simplement ne la regarderait. Mais cette superbe créature exra-terrestre savait parfaitement qu'il ne pourrait jamais tenir ce genre de promesse. C'était dans son programme, elle connaissait bien les faiblesses de l'homme : C'était sa mission ! Elle émit un soupir programmé, mais si sensuel, qu'il en perdit le contrôle de son palpitant. Pouvait-il sérieusement envisager une histoire d'amour avec une femme en ferraille ? Elle éclata de rire. Comme si elle avait perçu les remous causés par ses interrogations,et continua de le séduire pour voir où étaient ses limites. Pauvre Victor ! Il bomba le torse, essayant de résister à la tentation: mais quel effort surhumain! Jusqu'où l'homme pourrait-il réfréner ses pulsions ? Il n'en savait rien bien entendu, lui, qui n'avait toujours obéi qu'à ses bas instincts, et soudain il la vit s'avancer sa bielle à la main. Qu'allait-il faire? Cur, comodo, quando? et à quoi pensait-elle à ce moment précis ? Du coup, il n'osait plus se retourner... Peut-être attendait-il le coup fatal ? Il ne pouvait détacher son regard du cache-culbuteurs de la belle, ce qui, ma foi, l'enverrait dans l'autre monde en gardant un bon souvenir de celui-ci! Mais ensuite si tel était le cas ,qu'adviendrait-il de lui et de ces sentiments si forts qui l'attirent vers elle? est-il prêt réellement à tout cela? Pourra-t-il se passer d'elle, vivre sans elle? Telle était la question qu'il se posait quand, Bérénice, posa ses lèvres pulpeuses, sur sa bouche béate déjà toute offerte à l'emploi. Et là l’impensable se produisit , il se rendit compte qu’il était follement amoureux d’une machine. Stupeur! quel choc mes aÎeux! une machine! et ça tombe sur moi... Mais il savait aussi qu’à partir de cet instant jamais plus il ne pourrait vivre sans elle. Seulement voilà: nouveau problème! Comment faire accepter ce couple hors-normes par les autres humains?... Curieusement, Victor ne se préoccupait pas encore trop de la question; il avait bien trop à faire. Et pour commencer, il lui fallait gérer ce trop plein d'ardeur qui l'envahissait. "Allons -se dit-il- vais-je poursuivre mes études sur la poésie post-symboliste, ou bien vais-je me défouler sur une de mes égéries chéries?". Bérénice rejeta alors sa tête en arrière, sa chevelure scintilla au soleil du matin qui fouetta le visage de Victor.Là, il ne put contenir ses émotions, il tendit ses deux mains vers elle, quand elle lui déposa sa bielle. "C'est pas vrai ! Tout ce manège pour que je lui répare sa mécanique", pensa-il, déçu. Comment aurait-il pu imaginer que son sex appeal allait le lacher aussi sournoisement. | |
| | | philippe de neuville Grimoirien
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| Sujet: Re: Quand il se retourna... Jeu 17 Mai 2007 - 0:02 | |
| Quand il se retourna, le coeur empli d'une douce joie, il n'y avait plus personne. Pourquoi avait-elle donc fuit ainsi ? Un instant, il pensa en son for intérieur, que tout ceci n'était qu'un mauvais rêve, et pourtant...et pourtant, sans un remords sans un regret il lui fallait tourner la page définitivement. Partir droit devant lui, esquiver ces regards, ne pas montrer sa peur, partir sans espoir de retour, oublier, tout effacer, mais pas trop, juste ce qu'il fallait pour ne pas souffrir ne pas se montrer faible car l'absence stagnait et elle le freinerait. Un horizon différent s'ouvrait devant lui mais il l'ignorait. Comment aurait-il pu s'imaginer que sa vie allait enfin commencer ?... Durablement vivre l'éternité et aimer à nouveau, comme si demain n'existait pas... Mais aujourd'hui, la pierre qu'il devait mettre à la construction de son destin pesait si lourd, et son coeur si léger oscillait dangereusement car l'amour allait le terrasser à nouveau. C'est quand il rencontra son regard qu'il fut saisi d'une sorte de malaise, pas cardiaque, mais il sentait au plus profond de lui comme une sorte de renaissance due au formidable sentiment qui l'envahissait. Sa joie fut de courte durée car il connaissait déjà la fragilité du lien affectif puisqu'il avait déjà fait l'expérience de l'amour-passion; et pourtant il se sentait bien incapable de résister à cette attraction, tout en refusant de se laisser entrainer malgré lui. Mais il savait, connaissant très bien la théorie de Newton, que la gravitation universelle le ramènerait vers Elle -LA femme-! Mais pourquoi Dieu, avait-il créé cette créature, se dit-il ! Il n'arrêtait pas de retourner la question dans sa caboche, quand il eut la révélation : "Bon sang ! Mais c'est bien sûr", Aragon l'avait compris lui ! Il se rendit compte que Dieu n'avait absolument rien à voir là-dedans. Car en la regardant de plus près, il venait de remarquer son visage métallique... Cette femme magnifique était en fait un robot ! La toute dernière génération humanoïde de Eve, rien à envier à l'humaine ! s'avisa t-il dépité (et à l'inverse d'Aragon il ne put plus dire "La femme est l'avenir de l'homme"...) Son corps était serré dans une combinaison étrange faite de fibres et de lumière lui sembla-t-il, et qui collait à des formes un peu trop...humaines: un comble! Il était si fasciné par cette femme venue d'une planète inconnue, attiré par ce mystère qui l'enveloppait, cette silhouette supra humaine obsédante, qui le sondait en profondeur, de ses yeux bleus si cristallins, qu'il en oubliait d'écrire. Il se jura que plus jamais il ne l'approcherait ni simplement ne la regarderait. Mais cette superbe créature exra-terrestre savait parfaitement qu'il ne pourrait jamais tenir ce genre de promesse. C'était dans son programme, elle connaissait bien les faiblesses de l'homme : C'était sa mission ! Elle émit un soupir programmé, mais si sensuel, qu'il en perdit le contrôle de son palpitant. Pouvait-il sérieusement envisager une histoire d'amour avec une femme en ferraille ? Elle éclata de rire. Comme si elle avait perçu les remous causés par ses interrogations,et continua de le séduire pour voir où étaient ses limites. Pauvre Victor ! Il bomba le torse, essayant de résister à la tentation: mais quel effort surhumain! Jusqu'où l'homme pourrait-il réfréner ses pulsions ? Il n'en savait rien bien entendu, lui, qui n'avait toujours obéi qu'à ses bas instincts, et soudain il la vit s'avancer sa bielle à la main. Qu'allait-il faire? Cur, comodo, quando? et à quoi pensait-elle à ce moment précis ? Du coup, il n'osait plus se retourner... Peut-être attendait-il le coup fatal ? Il ne pouvait détacher son regard du cache-culbuteurs de la belle, ce qui, ma foi, l'enverrait dans l'autre monde en gardant un bon souvenir de celui-ci! Mais ensuite si tel était le cas ,qu'adviendrait-il de lui et de ces sentiments si forts qui l'attirent vers elle? est-il prêt réellement à tout cela? Pourra-t-il se passer d'elle, vivre sans elle? Telle était la question qu'il se posait quand, Bérénice, posa ses lèvres pulpeuses, sur sa bouche béate déjà toute offerte à l'emploi. Et là l’impensable se produisit , il se rendit compte qu’il était follement amoureux d’une machine. Stupeur! quel choc mes aÎeux! une machine! et ça tombe sur moi... Mais il savait aussi qu’à partir de cet instant jamais plus il ne pourrait vivre sans elle. Seulement voilà: nouveau problème! Comment faire accepter ce couple hors-normes par les autres humains?... Curieusement, Victor ne se préoccupait pas encore trop de la question; il avait bien trop à faire. Et pour commencer, il lui fallait gérer ce trop plein d'ardeur qui l'envahissait. "Allons -se dit-il- vais-je poursuivre mes études sur la poésie post-symboliste, ou bien vais-je me défouler sur une de mes égéries chéries?". Bérénice rejeta alors sa tête en arrière, sa chevelure scintilla au soleil du matin qui fouetta le visage de Victor.Là, il ne put contenir ses émotions, il tendit ses deux mains vers elle, quand elle lui déposa sa bielle. "C'est pas vrai ! Tout ce manège pour que je lui répare sa mécanique", pensa-il, déçu. Comment aurait-il pu imaginer que son sex-appeal allait le lâcher aussi sournoisement. "Ben zut se dit-il en javanais car il parlait fort bien cette langue, que vais-je faire maintenant?.." Textes protégés par © Copyright N° 79Z516A In Pace cum Patribus (devise des Neuville) | |
| | | apogon Membre d'honneur
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| Sujet: Re: Quand il se retourna... Jeu 17 Mai 2007 - 22:08 | |
| Quand il se retourna, le coeur empli d'une douce joie, il n'y avait plus personne. Pourquoi avait-elle donc fuit ainsi ? Un instant, il pensa en son for intérieur, que tout ceci n'était qu'un mauvais rêve, et pourtant...et pourtant, sans un remords sans un regret il lui fallait tourner la page définitivement. Partir droit devant lui, esquiver ces regards, ne pas montrer sa peur, partir sans espoir de retour, oublier, tout effacer, mais pas trop, juste ce qu'il fallait pour ne pas souffrir ne pas se montrer faible car l'absence stagnait et elle le freinerait. Un horizon différent s'ouvrait devant lui mais il l'ignorait. Comment aurait-il pu s'imaginer que sa vie allait enfin commencer ?... Durablement vivre l'éternité et aimer à nouveau, comme si demain n'existait pas... Mais aujourd'hui, la pierre qu'il devait mettre à la construction de son destin pesait si lourd, et son coeur si léger oscillait dangereusement car l'amour allait le terrasser à nouveau. C'est quand il rencontra son regard qu'il fut saisi d'une sorte de malaise, pas cardiaque, mais il sentait au plus profond de lui comme une sorte de renaissance due au formidable sentiment qui l'envahissait. Sa joie fut de courte durée car il connaissait déjà la fragilité du lien affectif puisqu'il avait déjà fait l'expérience de l'amour-passion; et pourtant il se sentait bien incapable de résister à cette attraction, tout en refusant de se laisser entrainer malgré lui. Mais il savait, connaissant très bien la théorie de Newton, que la gravitation universelle le ramènerait vers Elle -LA femme-! Mais pourquoi Dieu, avait-il créé cette créature, se dit-il ! Il n'arrêtait pas de retourner la question dans sa caboche, quand il eut la révélation : "Bon sang ! Mais c'est bien sûr", Aragon l'avait compris lui ! Il se rendit compte que Dieu n'avait absolument rien à voir là-dedans. Car en la regardant de plus près, il venait de remarquer son visage métallique... Cette femme magnifique était en fait un robot ! La toute dernière génération humanoïde de Eve, rien à envier à l'humaine ! s'avisa t-il dépité (et à l'inverse d'Aragon il ne put plus dire "La femme est l'avenir de l'homme"...) Son corps était serré dans une combinaison étrange faite de fibres et de lumière lui sembla-t-il, et qui collait à des formes un peu trop...humaines: un comble! Il était si fasciné par cette femme venue d'une planète inconnue, attiré par ce mystère qui l'enveloppait, cette silhouette supra humaine obsédante, qui le sondait en profondeur, de ses yeux bleus si cristallins, qu'il en oubliait d'écrire. Il se jura que plus jamais il ne l'approcherait ni simplement ne la regarderait. Mais cette superbe créature exra-terrestre savait parfaitement qu'il ne pourrait jamais tenir ce genre de promesse. C'était dans son programme, elle connaissait bien les faiblesses de l'homme : C'était sa mission ! Elle émit un soupir programmé, mais si sensuel, qu'il en perdit le contrôle de son palpitant. Pouvait-il sérieusement envisager une histoire d'amour avec une femme en ferraille ? Elle éclata de rire. Comme si elle avait perçu les remous causés par ses interrogations,et continua de le séduire pour voir où étaient ses limites. Pauvre Victor ! Il bomba le torse, essayant de résister à la tentation: mais quel effort surhumain! Jusqu'où l'homme pourrait-il réfréner ses pulsions ? Il n'en savait rien bien entendu, lui, qui n'avait toujours obéi qu'à ses bas instincts, et soudain il la vit s'avancer sa bielle à la main. Qu'allait-il faire? Cur, comodo, quando? et à quoi pensait-elle à ce moment précis ? Du coup, il n'osait plus se retourner... Peut-être attendait-il le coup fatal ? Il ne pouvait détacher son regard du cache-culbuteurs de la belle, ce qui, ma foi, l'enverrait dans l'autre monde en gardant un bon souvenir de celui-ci! Mais ensuite si tel était le cas ,qu'adviendrait-il de lui et de ces sentiments si forts qui l'attirent vers elle? est-il prêt réellement à tout cela? Pourra-t-il se passer d'elle, vivre sans elle? Telle était la question qu'il se posait quand, Bérénice, posa ses lèvres pulpeuses, sur sa bouche béate déjà toute offerte à l'emploi. Et là l’impensable se produisit , il se rendit compte qu’il était follement amoureux d’une machine. Stupeur! quel choc mes aÎeux! une machine! et ça tombe sur moi... Mais il savait aussi qu’à partir de cet instant jamais plus il ne pourrait vivre sans elle. Seulement voilà: nouveau problème! Comment faire accepter ce couple hors-normes par les autres humains?... Curieusement, Victor ne se préoccupait pas encore trop de la question; il avait bien trop à faire. Et pour commencer, il lui fallait gérer ce trop plein d'ardeur qui l'envahissait. "Allons -se dit-il- vais-je poursuivre mes études sur la poésie post-symboliste, ou bien vais-je me défouler sur une de mes égéries chéries?". Bérénice rejeta alors sa tête en arrière, sa chevelure scintilla au soleil du matin qui fouetta le visage de Victor.Là, il ne put contenir ses émotions, il tendit ses deux mains vers elle, quand elle lui déposa sa bielle. "C'est pas vrai ! Tout ce manège pour que je lui répare sa mécanique", pensa-il, déçu. Comment aurait-il pu imaginer que son sex-appeal allait le lâcher aussi sournoisement. "Baven zavut se dit-il en javanais car il parlait fort bien cette langue, quave vavais-jave favaire mavaintavenavant?..." Il était loin de se douter que Textes protégés par © Copyright N° 79Z516A ^----^ (='Y'=) (")_(")
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| Sujet: Re: Quand il se retourna... Jeu 17 Mai 2007 - 22:44 | |
| Quand il se retourna, le coeur empli d'une douce joie, il n'y avait plus personne. Pourquoi avait-elle donc fuit ainsi ? Un instant, il pensa en son for intérieur, que tout ceci n'était qu'un mauvais rêve, et pourtant...et pourtant, sans un remords sans un regret il lui fallait tourner la page définitivement. Partir droit devant lui, esquiver ces regards, ne pas montrer sa peur, partir sans espoir de retour, oublier, tout effacer, mais pas trop, juste ce qu'il fallait pour ne pas souffrir ne pas se montrer faible car l'absence stagnait et elle le freinerait. Un horizon différent s'ouvrait devant lui mais il l'ignorait. Comment aurait-il pu s'imaginer que sa vie allait enfin commencer ?... Durablement vivre l'éternité et aimer à nouveau, comme si demain n'existait pas... Mais aujourd'hui, la pierre qu'il devait mettre à la construction de son destin pesait si lourd, et son coeur si léger oscillait dangereusement car l'amour allait le terrasser à nouveau. C'est quand il rencontra son regard qu'il fut saisi d'une sorte de malaise, pas cardiaque, mais il sentait au plus profond de lui comme une sorte de renaissance due au formidable sentiment qui l'envahissait. Sa joie fut de courte durée car il connaissait déjà la fragilité du lien affectif puisqu'il avait déjà fait l'expérience de l'amour-passion; et pourtant il se sentait bien incapable de résister à cette attraction, tout en refusant de se laisser entrainer malgré lui. Mais il savait, connaissant très bien la théorie de Newton, que la gravitation universelle le ramènerait vers Elle -LA femme-! Mais pourquoi Dieu, avait-il créé cette créature, se dit-il ! Il n'arrêtait pas de retourner la question dans sa caboche, quand il eut la révélation : "Bon sang ! Mais c'est bien sûr", Aragon l'avait compris lui ! Il se rendit compte que Dieu n'avait absolument rien à voir là-dedans. Car en la regardant de plus près, il venait de remarquer son visage métallique... Cette femme magnifique était en fait un robot ! La toute dernière génération humanoïde de Eve, rien à envier à l'humaine ! s'avisa t-il dépité (et à l'inverse d'Aragon il ne put plus dire "La femme est l'avenir de l'homme"...) Son corps était serré dans une combinaison étrange faite de fibres et de lumière lui sembla-t-il, et qui collait à des formes un peu trop...humaines: un comble! Il était si fasciné par cette femme venue d'une planète inconnue, attiré par ce mystère qui l'enveloppait, cette silhouette supra humaine obsédante, qui le sondait en profondeur, de ses yeux bleus si cristallins, qu'il en oubliait d'écrire. Il se jura que plus jamais il ne l'approcherait ni simplement ne la regarderait. Mais cette superbe créature exra-terrestre savait parfaitement qu'il ne pourrait jamais tenir ce genre de promesse. C'était dans son programme, elle connaissait bien les faiblesses de l'homme : C'était sa mission ! Elle émit un soupir programmé, mais si sensuel, qu'il en perdit le contrôle de son palpitant. Pouvait-il sérieusement envisager une histoire d'amour avec une femme en ferraille ? Elle éclata de rire. Comme si elle avait perçu les remous causés par ses interrogations,et continua de le séduire pour voir où étaient ses limites. Pauvre Victor ! Il bomba le torse, essayant de résister à la tentation: mais quel effort surhumain! Jusqu'où l'homme pourrait-il réfréner ses pulsions ? Il n'en savait rien bien entendu, lui, qui n'avait toujours obéi qu'à ses bas instincts, et soudain il la vit s'avancer sa bielle à la main. Qu'allait-il faire? Cur, comodo, quando? et à quoi pensait-elle à ce moment précis ? Du coup, il n'osait plus se retourner... Peut-être attendait-il le coup fatal ? Il ne pouvait détacher son regard du cache-culbuteurs de la belle, ce qui, ma foi, l'enverrait dans l'autre monde en gardant un bon souvenir de celui-ci! Mais ensuite si tel était le cas ,qu'adviendrait-il de lui et de ces sentiments si forts qui l'attirent vers elle? est-il prêt réellement à tout cela? Pourra-t-il se passer d'elle, vivre sans elle? Telle était la question qu'il se posait quand, Bérénice, posa ses lèvres pulpeuses, sur sa bouche béate déjà toute offerte à l'emploi. Et là l’impensable se produisit , il se rendit compte qu’il était follement amoureux d’une machine. Stupeur! quel choc mes aÎeux! une machine! et ça tombe sur moi... Mais il savait aussi qu’à partir de cet instant jamais plus il ne pourrait vivre sans elle. Seulement voilà: nouveau problème! Comment faire accepter ce couple hors-normes par les autres humains?... Curieusement, Victor ne se préoccupait pas encore trop de la question; il avait bien trop à faire. Et pour commencer, il lui fallait gérer ce trop plein d'ardeur qui l'envahissait. "Allons -se dit-il- vais-je poursuivre mes études sur la poésie post-symboliste, ou bien vais-je me défouler sur une de mes égéries chéries?". Bérénice rejeta alors sa tête en arrière, sa chevelure scintilla au soleil du matin qui fouetta le visage de Victor.Là, il ne put contenir ses émotions, il tendit ses deux mains vers elle, quand elle lui déposa sa bielle. "C'est pas vrai ! Tout ce manège pour que je lui répare sa mécanique", pensa-il, déçu. Comment aurait-il pu imaginer que son sex-appeal allait le lâcher aussi sournoisement. "Baven zavut se dit-il en javanais car il parlait fort bien cette langue, quave vavais-jave favaire mavaintavenavant?..." Il était loin de se douter que les choses sont rarement ce qu'elles ont l'air d'être! Textes protégés par © Copyright N° 79Z516A In Pace cum Patribus (devise des Neuville) | |
| | | apogon Membre d'honneur
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| Sujet: Re: Quand il se retourna... Dim 20 Mai 2007 - 5:28 | |
| Quand il se retourna, le coeur empli d'une douce joie, il n'y avait plus personne. Pourquoi avait-elle donc fuit ainsi ? Un instant, il pensa en son for intérieur, que tout ceci n'était qu'un mauvais rêve, et pourtant...et pourtant, sans un remords sans un regret il lui fallait tourner la page définitivement. Partir droit devant lui, esquiver ces regards, ne pas montrer sa peur, partir sans espoir de retour, oublier, tout effacer, mais pas trop, juste ce qu'il fallait pour ne pas souffrir ne pas se montrer faible car l'absence stagnait et elle le freinerait. Un horizon différent s'ouvrait devant lui mais il l'ignorait. Comment aurait-il pu s'imaginer que sa vie allait enfin commencer ?... Durablement vivre l'éternité et aimer à nouveau, comme si demain n'existait pas... Mais aujourd'hui, la pierre qu'il devait mettre à la construction de son destin pesait si lourd, et son coeur si léger oscillait dangereusement car l'amour allait le terrasser à nouveau. C'est quand il rencontra son regard qu'il fut saisi d'une sorte de malaise, pas cardiaque, mais il sentait au plus profond de lui comme une sorte de renaissance due au formidable sentiment qui l'envahissait. Sa joie fut de courte durée car il connaissait déjà la fragilité du lien affectif puisqu'il avait déjà fait l'expérience de l'amour-passion; et pourtant il se sentait bien incapable de résister à cette attraction, tout en refusant de se laisser entrainer malgré lui. Mais il savait, connaissant très bien la théorie de Newton, que la gravitation universelle le ramènerait vers Elle -LA femme-! Mais pourquoi Dieu, avait-il créé cette créature, se dit-il ! Il n'arrêtait pas de retourner la question dans sa caboche, quand il eut la révélation : "Bon sang ! Mais c'est bien sûr", Aragon l'avait compris lui ! Il se rendit compte que Dieu n'avait absolument rien à voir là-dedans. Car en la regardant de plus près, il venait de remarquer son visage métallique... Cette femme magnifique était en fait un robot ! La toute dernière génération humanoïde de Eve, rien à envier à l'humaine ! s'avisa t-il dépité (et à l'inverse d'Aragon il ne put plus dire "La femme est l'avenir de l'homme"...) Son corps était serré dans une combinaison étrange faite de fibres et de lumière lui sembla-t-il, et qui collait à des formes un peu trop...humaines: un comble! Il était si fasciné par cette femme venue d'une planète inconnue, attiré par ce mystère qui l'enveloppait, cette silhouette supra humaine obsédante, qui le sondait en profondeur, de ses yeux bleus si cristallins, qu'il en oubliait d'écrire. Il se jura que plus jamais il ne l'approcherait ni simplement ne la regarderait. Mais cette superbe créature exra-terrestre savait parfaitement qu'il ne pourrait jamais tenir ce genre de promesse. C'était dans son programme, elle connaissait bien les faiblesses de l'homme : C'était sa mission ! Elle émit un soupir programmé, mais si sensuel, qu'il en perdit le contrôle de son palpitant. Pouvait-il sérieusement envisager une histoire d'amour avec une femme en ferraille ? Elle éclata de rire. Comme si elle avait perçu les remous causés par ses interrogations,et continua de le séduire pour voir où étaient ses limites. Pauvre Victor ! Il bomba le torse, essayant de résister à la tentation: mais quel effort surhumain! Jusqu'où l'homme pourrait-il réfréner ses pulsions ? Il n'en savait rien bien entendu, lui, qui n'avait toujours obéi qu'à ses bas instincts, et soudain il la vit s'avancer sa bielle à la main. Qu'allait-il faire? Cur, comodo, quando? et à quoi pensait-elle à ce moment précis ? Du coup, il n'osait plus se retourner... Peut-être attendait-il le coup fatal ? Il ne pouvait détacher son regard du cache-culbuteurs de la belle, ce qui, ma foi, l'enverrait dans l'autre monde en gardant un bon souvenir de celui-ci! Mais ensuite si tel était le cas ,qu'adviendrait-il de lui et de ces sentiments si forts qui l'attirent vers elle? est-il prêt réellement à tout cela? Pourra-t-il se passer d'elle, vivre sans elle? Telle était la question qu'il se posait quand, Bérénice, posa ses lèvres pulpeuses, sur sa bouche béate déjà toute offerte à l'emploi. Et là l’impensable se produisit , il se rendit compte qu’il était follement amoureux d’une machine. Stupeur! quel choc mes aÎeux! une machine! et ça tombe sur moi... Mais il savait aussi qu’à partir de cet instant jamais plus il ne pourrait vivre sans elle. Seulement voilà: nouveau problème! Comment faire accepter ce couple hors-normes par les autres humains?... Curieusement, Victor ne se préoccupait pas encore trop de la question; il avait bien trop à faire. Et pour commencer, il lui fallait gérer ce trop plein d'ardeur qui l'envahissait. "Allons -se dit-il- vais-je poursuivre mes études sur la poésie post-symboliste, ou bien vais-je me défouler sur une de mes égéries chéries?". Bérénice rejeta alors sa tête en arrière, sa chevelure scintilla au soleil du matin qui fouetta le visage de Victor.Là, il ne put contenir ses émotions, il tendit ses deux mains vers elle, quand elle lui déposa sa bielle. "C'est pas vrai ! Tout ce manège pour que je lui répare sa mécanique", pensa-il, déçu. Comment aurait-il pu imaginer que son sex-appeal allait le lâcher aussi sournoisement. "Baven zavut se dit-il en javanais car il parlait fort bien cette langue, quave vavais-jave favaire mavaintavenavant?..." Il était loin de se douter que les choses sont rarement ce qu'elles ont l'air d'être! Il tripotait nerveusement sa clé de 14 Textes protégés par © Copyright N° 79Z516A ^----^ (='Y'=) (")_(")
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| Sujet: Re: Quand il se retourna... Dim 20 Mai 2007 - 10:47 | |
| Quand il se retourna, le coeur empli d'une douce joie, il n'y avait plus personne. Pourquoi avait-elle donc fuit ainsi ? Un instant, il pensa en son for intérieur, que tout ceci n'était qu'un mauvais rêve, et pourtant...et pourtant, sans un remords sans un regret il lui fallait tourner la page définitivement. Partir droit devant lui, esquiver ces regards, ne pas montrer sa peur, partir sans espoir de retour, oublier, tout effacer, mais pas trop, juste ce qu'il fallait pour ne pas souffrir ne pas se montrer faible car l'absence stagnait et elle le freinerait. Un horizon différent s'ouvrait devant lui mais il l'ignorait. Comment aurait-il pu s'imaginer que sa vie allait enfin commencer ?... Durablement vivre l'éternité et aimer à nouveau, comme si demain n'existait pas... Mais aujourd'hui, la pierre qu'il devait mettre à la construction de son destin pesait si lourd, et son coeur si léger oscillait dangereusement car l'amour allait le terrasser à nouveau. C'est quand il rencontra son regard qu'il fut saisi d'une sorte de malaise, pas cardiaque, mais il sentait au plus profond de lui comme une sorte de renaissance due au formidable sentiment qui l'envahissait. Sa joie fut de courte durée car il connaissait déjà la fragilité du lien affectif puisqu'il avait déjà fait l'expérience de l'amour-passion; et pourtant il se sentait bien incapable de résister à cette attraction, tout en refusant de se laisser entrainer malgré lui. Mais il savait, connaissant très bien la théorie de Newton, que la gravitation universelle le ramènerait vers Elle -LA femme-! Mais pourquoi Dieu, avait-il créé cette créature, se dit-il ! Il n'arrêtait pas de retourner la question dans sa caboche, quand il eut la révélation : "Bon sang ! Mais c'est bien sûr", Aragon l'avait compris lui ! Il se rendit compte que Dieu n'avait absolument rien à voir là-dedans. Car en la regardant de plus près, il venait de remarquer son visage métallique... Cette femme magnifique était en fait un robot ! La toute dernière génération humanoïde de Eve, rien à envier à l'humaine ! s'avisa t-il dépité (et à l'inverse d'Aragon il ne put plus dire "La femme est l'avenir de l'homme"...) Son corps était serré dans une combinaison étrange faite de fibres et de lumière lui sembla-t-il, et qui collait à des formes un peu trop...humaines: un comble! Il était si fasciné par cette femme venue d'une planète inconnue, attiré par ce mystère qui l'enveloppait, cette silhouette supra humaine obsédante, qui le sondait en profondeur, de ses yeux bleus si cristallins, qu'il en oubliait d'écrire. Il se jura que plus jamais il ne l'approcherait ni simplement ne la regarderait. Mais cette superbe créature exra-terrestre savait parfaitement qu'il ne pourrait jamais tenir ce genre de promesse. C'était dans son programme, elle connaissait bien les faiblesses de l'homme : C'était sa mission ! Elle émit un soupir programmé, mais si sensuel, qu'il en perdit le contrôle de son palpitant. Pouvait-il sérieusement envisager une histoire d'amour avec une femme en ferraille ? Elle éclata de rire. Comme si elle avait perçu les remous causés par ses interrogations,et continua de le séduire pour voir où étaient ses limites. Pauvre Victor ! Il bomba le torse, essayant de résister à la tentation: mais quel effort surhumain! Jusqu'où l'homme pourrait-il réfréner ses pulsions ? Il n'en savait rien bien entendu, lui, qui n'avait toujours obéi qu'à ses bas instincts, et soudain il la vit s'avancer sa bielle à la main. Qu'allait-il faire? Cur, comodo, quando? et à quoi pensait-elle à ce moment précis ? Du coup, il n'osait plus se retourner... Peut-être attendait-il le coup fatal ? Il ne pouvait détacher son regard du cache-culbuteurs de la belle, ce qui, ma foi, l'enverrait dans l'autre monde en gardant un bon souvenir de celui-ci! Mais ensuite si tel était le cas ,qu'adviendrait-il de lui et de ces sentiments si forts qui l'attirent vers elle? est-il prêt réellement à tout cela? Pourra-t-il se passer d'elle, vivre sans elle? Telle était la question qu'il se posait quand, Bérénice, posa ses lèvres pulpeuses, sur sa bouche béate déjà toute offerte à l'emploi. Et là l’impensable se produisit , il se rendit compte qu’il était follement amoureux d’une machine. Stupeur! quel choc mes aÎeux! une machine! et ça tombe sur moi... Mais il savait aussi qu’à partir de cet instant jamais plus il ne pourrait vivre sans elle. Seulement voilà: nouveau problème! Comment faire accepter ce couple hors-normes par les autres humains?... Curieusement, Victor ne se préoccupait pas encore trop de la question; il avait bien trop à faire. Et pour commencer, il lui fallait gérer ce trop plein d'ardeur qui l'envahissait. "Allons -se dit-il- vais-je poursuivre mes études sur la poésie post-symboliste, ou bien vais-je me défouler sur une de mes égéries chéries?". Bérénice rejeta alors sa tête en arrière, sa chevelure scintilla au soleil du matin qui fouetta le visage de Victor.Là, il ne put contenir ses émotions, il tendit ses deux mains vers elle, quand elle lui déposa sa bielle. "C'est pas vrai ! Tout ce manège pour que je lui répare sa mécanique", pensa-il, déçu. Comment aurait-il pu imaginer que son sex-appeal allait le lâcher aussi sournoisement. "Baven zavut se dit-il en javanais car il parlait fort bien cette langue, quave vavais-jave favaire mavaintavenavant?..." Il était loin de se douter que les choses sont rarement ce qu'elles ont l'air d'être! Il tripotait nerveusement sa clé de 14, tout en attendant que son sex-appeal soit enfin à la taille voulue de cette Non de D... de P... de clé !... -"Vava--t-ilav falavloir quave j'atavtenavde enavcoavre unave heurave commave lava deravnièrave foisav ?..." Se disait-il toujours en javanais... Mais c'était sans compter sur | |
| | | philippe de neuville Grimoirien
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| Sujet: Re: Quand il se retourna... Dim 20 Mai 2007 - 15:53 | |
| Quand il se retourna, le coeur empli d'une douce joie, il n'y avait plus personne. Pourquoi avait-elle donc fuit ainsi ? Un instant, il pensa en son for intérieur, que tout ceci n'était qu'un mauvais rêve, et pourtant...et pourtant, sans un remords sans un regret il lui fallait tourner la page définitivement. Partir droit devant lui, esquiver ces regards, ne pas montrer sa peur, partir sans espoir de retour, oublier, tout effacer, mais pas trop, juste ce qu'il fallait pour ne pas souffrir ne pas se montrer faible car l'absence stagnait et elle le freinerait. Un horizon différent s'ouvrait devant lui mais il l'ignorait. Comment aurait-il pu s'imaginer que sa vie allait enfin commencer ?... Durablement vivre l'éternité et aimer à nouveau, comme si demain n'existait pas... Mais aujourd'hui, la pierre qu'il devait mettre à la construction de son destin pesait si lourd, et son coeur si léger oscillait dangereusement car l'amour allait le terrasser à nouveau. C'est quand il rencontra son regard qu'il fut saisi d'une sorte de malaise, pas cardiaque, mais il sentait au plus profond de lui comme une sorte de renaissance due au formidable sentiment qui l'envahissait. Sa joie fut de courte durée car il connaissait déjà la fragilité du lien affectif puisqu'il avait déjà fait l'expérience de l'amour-passion; et pourtant il se sentait bien incapable de résister à cette attraction, tout en refusant de se laisser entrainer malgré lui. Mais il savait, connaissant très bien la théorie de Newton, que la gravitation universelle le ramènerait vers Elle -LA femme-! Mais pourquoi Dieu, avait-il créé cette créature, se dit-il ! Il n'arrêtait pas de retourner la question dans sa caboche, quand il eut la révélation : "Bon sang ! Mais c'est bien sûr", Aragon l'avait compris lui ! Il se rendit compte que Dieu n'avait absolument rien à voir là-dedans. Car en la regardant de plus près, il venait de remarquer son visage métallique... Cette femme magnifique était en fait un robot ! La toute dernière génération humanoïde de Eve, rien à envier à l'humaine ! s'avisa t-il dépité (et à l'inverse d'Aragon il ne put plus dire "La femme est l'avenir de l'homme"...) Son corps était serré dans une combinaison étrange faite de fibres et de lumière lui sembla-t-il, et qui collait à des formes un peu trop...humaines: un comble! Il était si fasciné par cette femme venue d'une planète inconnue, attiré par ce mystère qui l'enveloppait, cette silhouette supra humaine obsédante, qui le sondait en profondeur, de ses yeux bleus si cristallins, qu'il en oubliait d'écrire. Il se jura que plus jamais il ne l'approcherait ni simplement ne la regarderait. Mais cette superbe créature exra-terrestre savait parfaitement qu'il ne pourrait jamais tenir ce genre de promesse. C'était dans son programme, elle connaissait bien les faiblesses de l'homme : C'était sa mission ! Elle émit un soupir programmé, mais si sensuel, qu'il en perdit le contrôle de son palpitant. Pouvait-il sérieusement envisager une histoire d'amour avec une femme en ferraille ? Elle éclata de rire. Comme si elle avait perçu les remous causés par ses interrogations,et continua de le séduire pour voir où étaient ses limites. Pauvre Victor ! Il bomba le torse, essayant de résister à la tentation: mais quel effort surhumain! Jusqu'où l'homme pourrait-il réfréner ses pulsions ? Il n'en savait rien bien entendu, lui, qui n'avait toujours obéi qu'à ses bas instincts, et soudain il la vit s'avancer sa bielle à la main. Qu'allait-il faire? Cur, comodo, quando? et à quoi pensait-elle à ce moment précis ? Du coup, il n'osait plus se retourner... Peut-être attendait-il le coup fatal ? Il ne pouvait détacher son regard du cache-culbuteurs de la belle, ce qui, ma foi, l'enverrait dans l'autre monde en gardant un bon souvenir de celui-ci! Mais ensuite si tel était le cas ,qu'adviendrait-il de lui et de ces sentiments si forts qui l'attirent vers elle? est-il prêt réellement à tout cela? Pourra-t-il se passer d'elle, vivre sans elle? Telle était la question qu'il se posait quand, Bérénice, posa ses lèvres pulpeuses, sur sa bouche béate déjà toute offerte à l'emploi. Et là l’impensable se produisit , il se rendit compte qu’il était follement amoureux d’une machine. Stupeur! quel choc mes aÎeux! une machine! et ça tombe sur moi... Mais il savait aussi qu’à partir de cet instant jamais plus il ne pourrait vivre sans elle. Seulement voilà: nouveau problème! Comment faire accepter ce couple hors-normes par les autres humains?... Curieusement, Victor ne se préoccupait pas encore trop de la question; il avait bien trop à faire. Et pour commencer, il lui fallait gérer ce trop plein d'ardeur qui l'envahissait. "Allons -se dit-il- vais-je poursuivre mes études sur la poésie post-symboliste, ou bien vais-je me défouler sur une de mes égéries chéries?". Bérénice rejeta alors sa tête en arrière, sa chevelure scintilla au soleil du matin qui fouetta le visage de Victor.Là, il ne put contenir ses émotions, il tendit ses deux mains vers elle, quand elle lui déposa sa bielle. "C'est pas vrai ! Tout ce manège pour que je lui répare sa mécanique", pensa-il, déçu. Comment aurait-il pu imaginer que son sex-appeal allait le lâcher aussi sournoisement. "Baven zavut se dit-il en javanais car il parlait fort bien cette langue, quave vavais-jave favaire mavaintavenavant?..." Il était loin de se douter que les choses sont rarement ce qu'elles ont l'air d'être! Il tripotait nerveusement sa clé de 14, tout en attendant que son sex-appeal soit enfin à la taille voulue de cette Non de D... de P... de clé !... -"Vava--t-ilav falavloir quave j'atavtenavde enavcoavre unave heurave commave lava deravnièrave foisav ?..." Se disait-il toujours en javanais... Mais c'était sans compter sur son esprit de compétition encore très alerte pour son âge; adoncques il Textes protégés par © Copyright N° 79Z516A In Pace cum Patribus (devise des Neuville) | |
| | | raymonde Invité
| Sujet: Re: Quand il se retourna... Lun 21 Mai 2007 - 20:07 | |
| Quand il se retourna, le coeur empli d'une douce joie, il n'y avait plus personne. Pourquoi avait-elle donc fuit ainsi ? Un instant, il pensa en son for intérieur, que tout ceci n'était qu'un mauvais rêve, et pourtant...et pourtant, sans un remords sans un regret il lui fallait tourner la page définitivement. Partir droit devant lui, esquiver ces regards, ne pas montrer sa peur, partir sans espoir de retour, oublier, tout effacer, mais pas trop, juste ce qu'il fallait pour ne pas souffrir ne pas se montrer faible car l'absence stagnait et elle le freinerait. Un horizon différent s'ouvrait devant lui mais il l'ignorait. Comment aurait-il pu s'imaginer que sa vie allait enfin commencer ?... Durablement vivre l'éternité et aimer à nouveau, comme si demain n'existait pas... Mais aujourd'hui, la pierre qu'il devait mettre à la construction de son destin pesait si lourd, et son coeur si léger oscillait dangereusement car l'amour allait le terrasser à nouveau. C'est quand il rencontra son regard qu'il fut saisi d'une sorte de malaise, pas cardiaque, mais il sentait au plus profond de lui comme une sorte de renaissance due au formidable sentiment qui l'envahissait. Sa joie fut de courte durée car il connaissait déjà la fragilité du lien affectif puisqu'il avait déjà fait l'expérience de l'amour-passion; et pourtant il se sentait bien incapable de résister à cette attraction, tout en refusant de se laisser entrainer malgré lui. Mais il savait, connaissant très bien la théorie de Newton, que la gravitation universelle le ramènerait vers Elle -LA femme-! Mais pourquoi Dieu, avait-il créé cette créature, se dit-il ! Il n'arrêtait pas de retourner la question dans sa caboche, quand il eut la révélation : "Bon sang ! Mais c'est bien sûr", Aragon l'avait compris lui ! Il se rendit compte que Dieu n'avait absolument rien à voir là-dedans. Car en la regardant de plus près, il venait de remarquer son visage métallique... Cette femme magnifique était en fait un robot ! La toute dernière génération humanoïde de Eve, rien à envier à l'humaine ! s'avisa t-il dépité (et à l'inverse d'Aragon il ne put plus dire "La femme est l'avenir de l'homme"...) Son corps était serré dans une combinaison étrange faite de fibres et de lumière lui sembla-t-il, et qui collait à des formes un peu trop...humaines: un comble! Il était si fasciné par cette femme venue d'une planète inconnue, attiré par ce mystère qui l'enveloppait, cette silhouette supra humaine obsédante, qui le sondait en profondeur, de ses yeux bleus si cristallins, qu'il en oubliait d'écrire. Il se jura que plus jamais il ne l'approcherait ni simplement ne la regarderait. Mais cette superbe créature exra-terrestre savait parfaitement qu'il ne pourrait jamais tenir ce genre de promesse. C'était dans son programme, elle connaissait bien les faiblesses de l'homme : C'était sa mission ! Elle émit un soupir programmé, mais si sensuel, qu'il en perdit le contrôle de son palpitant. Pouvait-il sérieusement envisager une histoire d'amour avec une femme en ferraille ? Elle éclata de rire. Comme si elle avait perçu les remous causés par ses interrogations,et continua de le séduire pour voir où étaient ses limites. Pauvre Victor ! Il bomba le torse, essayant de résister à la tentation: mais quel effort surhumain! Jusqu'où l'homme pourrait-il réfréner ses pulsions ? Il n'en savait rien bien entendu, lui, qui n'avait toujours obéi qu'à ses bas instincts, et soudain il la vit s'avancer sa bielle à la main. Qu'allait-il faire? Cur, comodo, quando? et à quoi pensait-elle à ce moment précis ? Du coup, il n'osait plus se retourner... Peut-être attendait-il le coup fatal ? Il ne pouvait détacher son regard du cache-culbuteurs de la belle, ce qui, ma foi, l'enverrait dans l'autre monde en gardant un bon souvenir de celui-ci! Mais ensuite si tel était le cas ,qu'adviendrait-il de lui et de ces sentiments si forts qui l'attirent vers elle? est-il prêt réellement à tout cela? Pourra-t-il se passer d'elle, vivre sans elle? Telle était la question qu'il se posait quand, Bérénice, posa ses lèvres pulpeuses, sur sa bouche béate déjà toute offerte à l'emploi. Et là l’impensable se produisit , il se rendit compte qu’il était follement amoureux d’une machine. Stupeur! quel choc mes aÎeux! une machine! et ça tombe sur moi... Mais il savait aussi qu’à partir de cet instant jamais plus il ne pourrait vivre sans elle. Seulement voilà: nouveau problème! Comment faire accepter ce couple hors-normes par les autres humains?... Curieusement, Victor ne se préoccupait pas encore trop de la question; il avait bien trop à faire. Et pour commencer, il lui fallait gérer ce trop plein d'ardeur qui l'envahissait. "Allons -se dit-il- vais-je poursuivre mes études sur la poésie post-symboliste, ou bien vais-je me défouler sur une de mes égéries chéries?". Bérénice rejeta alors sa tête en arrière, sa chevelure scintilla au soleil du matin qui fouetta le visage de Victor.Là, il ne put contenir ses émotions, il tendit ses deux mains vers elle, quand elle lui déposa sa bielle. "C'est pas vrai ! Tout ce manège pour que je lui répare sa mécanique", pensa-il, déçu. Comment aurait-il pu imaginer que son sex-appeal allait le lâcher aussi sournoisement. "Baven zavut se dit-il en javanais car il parlait fort bien cette langue, quave vavais-jave favaire mavaintavenavant?..." Il était loin de se douter que les choses sont rarement ce qu'elles ont l'air d'être! Il tripotait nerveusement sa clé de 14, tout en attendant que son sex-appeal soit enfin à la taille voulue de cette Non de D... de P... de clé !... -"Vava--t-ilav falavloir quave j'atavtenavde enavcoavre unave heurave commave lava deravnièrave foisav ?..." Se disait-il toujours en javanais... Mais c'était sans compter sur son esprit de compétition encore très alerte pour son âge; adoncques il stimula ses neurones en buvant un alcool fort il lui fallait retrouver sa beauté antérieure il allait conclure rapidement la mécanique il connaissait |
| | | philippe de neuville Grimoirien
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Nombre de messages : 798 Age : 68 Localisation : au pied du Fouta Djalon... Date d'inscription : 27/02/2007
| Sujet: Re: Quand il se retourna... Lun 21 Mai 2007 - 20:21 | |
| Quand il se retourna, le coeur empli d'une douce joie, il n'y avait plus personne. Pourquoi avait-elle donc fuit ainsi ? Un instant, il pensa en son for intérieur, que tout ceci n'était qu'un mauvais rêve, et pourtant...et pourtant, sans un remords sans un regret il lui fallait tourner la page définitivement. Partir droit devant lui, esquiver ces regards, ne pas montrer sa peur, partir sans espoir de retour, oublier, tout effacer, mais pas trop, juste ce qu'il fallait pour ne pas souffrir ne pas se montrer faible car l'absence stagnait et elle le freinerait. Un horizon différent s'ouvrait devant lui mais il l'ignorait. Comment aurait-il pu s'imaginer que sa vie allait enfin commencer ?... Durablement vivre l'éternité et aimer à nouveau, comme si demain n'existait pas... Mais aujourd'hui, la pierre qu'il devait mettre à la construction de son destin pesait si lourd, et son coeur si léger oscillait dangereusement car l'amour allait le terrasser à nouveau. C'est quand il rencontra son regard qu'il fut saisi d'une sorte de malaise, pas cardiaque, mais il sentait au plus profond de lui comme une sorte de renaissance due au formidable sentiment qui l'envahissait. Sa joie fut de courte durée car il connaissait déjà la fragilité du lien affectif puisqu'il avait déjà fait l'expérience de l'amour-passion; et pourtant il se sentait bien incapable de résister à cette attraction, tout en refusant de se laisser entrainer malgré lui. Mais il savait, connaissant très bien la théorie de Newton, que la gravitation universelle le ramènerait vers Elle -LA femme-! Mais pourquoi Dieu, avait-il créé cette créature, se dit-il ! Il n'arrêtait pas de retourner la question dans sa caboche, quand il eut la révélation : "Bon sang ! Mais c'est bien sûr", Aragon l'avait compris lui ! Il se rendit compte que Dieu n'avait absolument rien à voir là-dedans. Car en la regardant de plus près, il venait de remarquer son visage métallique... Cette femme magnifique était en fait un robot ! La toute dernière génération humanoïde de Eve, rien à envier à l'humaine ! s'avisa t-il dépité (et à l'inverse d'Aragon il ne put plus dire "La femme est l'avenir de l'homme"...) Son corps était serré dans une combinaison étrange faite de fibres et de lumière lui sembla-t-il, et qui collait à des formes un peu trop...humaines: un comble! Il était si fasciné par cette femme venue d'une planète inconnue, attiré par ce mystère qui l'enveloppait, cette silhouette supra humaine obsédante, qui le sondait en profondeur, de ses yeux bleus si cristallins, qu'il en oubliait d'écrire. Il se jura que plus jamais il ne l'approcherait ni simplement ne la regarderait. Mais cette superbe créature exra-terrestre savait parfaitement qu'il ne pourrait jamais tenir ce genre de promesse. C'était dans son programme, elle connaissait bien les faiblesses de l'homme : C'était sa mission ! Elle émit un soupir programmé, mais si sensuel, qu'il en perdit le contrôle de son palpitant. Pouvait-il sérieusement envisager une histoire d'amour avec une femme en ferraille ? Elle éclata de rire. Comme si elle avait perçu les remous causés par ses interrogations,et continua de le séduire pour voir où étaient ses limites. Pauvre Victor ! Il bomba le torse, essayant de résister à la tentation: mais quel effort surhumain! Jusqu'où l'homme pourrait-il réfréner ses pulsions ? Il n'en savait rien bien entendu, lui, qui n'avait toujours obéi qu'à ses bas instincts, et soudain il la vit s'avancer sa bielle à la main. Qu'allait-il faire? Cur, comodo, quando? et à quoi pensait-elle à ce moment précis ? Du coup, il n'osait plus se retourner... Peut-être attendait-il le coup fatal ? Il ne pouvait détacher son regard du cache-culbuteurs de la belle, ce qui, ma foi, l'enverrait dans l'autre monde en gardant un bon souvenir de celui-ci! Mais ensuite si tel était le cas ,qu'adviendrait-il de lui et de ces sentiments si forts qui l'attirent vers elle? est-il prêt réellement à tout cela? Pourra-t-il se passer d'elle, vivre sans elle? Telle était la question qu'il se posait quand, Bérénice, posa ses lèvres pulpeuses, sur sa bouche béate déjà toute offerte à l'emploi. Et là l’impensable se produisit , il se rendit compte qu’il était follement amoureux d’une machine. Stupeur! quel choc mes aÎeux! une machine! et ça tombe sur moi... Mais il savait aussi qu’à partir de cet instant jamais plus il ne pourrait vivre sans elle. Seulement voilà: nouveau problème! Comment faire accepter ce couple hors-normes par les autres humains?... Curieusement, Victor ne se préoccupait pas encore trop de la question; il avait bien trop à faire. Et pour commencer, il lui fallait gérer ce trop plein d'ardeur qui l'envahissait. "Allons -se dit-il- vais-je poursuivre mes études sur la poésie post-symboliste, ou bien vais-je me défouler sur une de mes égéries chéries?". Bérénice rejeta alors sa tête en arrière, sa chevelure scintilla au soleil du matin qui fouetta le visage de Victor.Là, il ne put contenir ses émotions, il tendit ses deux mains vers elle, quand elle lui déposa sa bielle. "C'est pas vrai ! Tout ce manège pour que je lui répare sa mécanique", pensa-il, déçu. Comment aurait-il pu imaginer que son sex-appeal allait le lâcher aussi sournoisement. "Baven zavut se dit-il en javanais car il parlait fort bien cette langue, quave vavais-jave favaire mavaintavenavant?..." Il était loin de se douter que les choses sont rarement ce qu'elles ont l'air d'être! Il tripotait nerveusement sa clé de 14, tout en attendant que son sex-appeal soit enfin à la taille voulue de cette Non de D... de P... de clé !... -"Vava--t-ilav falavloir quave j'atavtenavde enavcoavre unave heurave commave lava deravnièrave foisav ?..." Se disait-il toujours en javanais... Mais c'était sans compter sur son esprit de compétition encore très alerte pour son âge; adoncques il stimula ses neurones en buvant un alcool fort car il lui fallait retrouver sa beauté antérieure; il allait conclure rapidement. La mécanique, il connaissait! Pas une mince affaire que de redevenir un Apollon à 98 ans passés! Textes protégés par © Copyright N° 79Z516A In Pace cum Patribus (devise des Neuville) | |
| | | raymonde Invité
| Sujet: Re: Quand il se retourna... Lun 21 Mai 2007 - 20:30 | |
| Quand il se retourna, le coeur empli d'une douce joie, il n'y avait plus personne. Pourquoi avait-elle donc fuit ainsi ? Un instant, il pensa en son for intérieur, que tout ceci n'était qu'un mauvais rêve, et pourtant...et pourtant, sans un remords sans un regret il lui fallait tourner la page définitivement. Partir droit devant lui, esquiver ces regards, ne pas montrer sa peur, partir sans espoir de retour, oublier, tout effacer, mais pas trop, juste ce qu'il fallait pour ne pas souffrir ne pas se montrer faible car l'absence stagnait et elle le freinerait. Un horizon différent s'ouvrait devant lui mais il l'ignorait. Comment aurait-il pu s'imaginer que sa vie allait enfin commencer ?... Durablement vivre l'éternité et aimer à nouveau, comme si demain n'existait pas... Mais aujourd'hui, la pierre qu'il devait mettre à la construction de son destin pesait si lourd, et son coeur si léger oscillait dangereusement car l'amour allait le terrasser à nouveau. C'est quand il rencontra son regard qu'il fut saisi d'une sorte de malaise, pas cardiaque, mais il sentait au plus profond de lui comme une sorte de renaissance due au formidable sentiment qui l'envahissait. Sa joie fut de courte durée car il connaissait déjà la fragilité du lien affectif puisqu'il avait déjà fait l'expérience de l'amour-passion; et pourtant il se sentait bien incapable de résister à cette attraction, tout en refusant de se laisser entrainer malgré lui. Mais il savait, connaissant très bien la théorie de Newton, que la gravitation universelle le ramènerait vers Elle -LA femme-! Mais pourquoi Dieu, avait-il créé cette créature, se dit-il ! Il n'arrêtait pas de retourner la question dans sa caboche, quand il eut la révélation : "Bon sang ! Mais c'est bien sûr", Aragon l'avait compris lui ! Il se rendit compte que Dieu n'avait absolument rien à voir là-dedans. Car en la regardant de plus près, il venait de remarquer son visage métallique... Cette femme magnifique était en fait un robot ! La toute dernière génération humanoïde de Eve, rien à envier à l'humaine ! s'avisa t-il dépité (et à l'inverse d'Aragon il ne put plus dire "La femme est l'avenir de l'homme"...) Son corps était serré dans une combinaison étrange faite de fibres et de lumière lui sembla-t-il, et qui collait à des formes un peu trop...humaines: un comble! Il était si fasciné par cette femme venue d'une planète inconnue, attiré par ce mystère qui l'enveloppait, cette silhouette supra humaine obsédante, qui le sondait en profondeur, de ses yeux bleus si cristallins, qu'il en oubliait d'écrire. Il se jura que plus jamais il ne l'approcherait ni simplement ne la regarderait. Mais cette superbe créature exra-terrestre savait parfaitement qu'il ne pourrait jamais tenir ce genre de promesse. C'était dans son programme, elle connaissait bien les faiblesses de l'homme : C'était sa mission ! Elle émit un soupir programmé, mais si sensuel, qu'il en perdit le contrôle de son palpitant. Pouvait-il sérieusement envisager une histoire d'amour avec une femme en ferraille ? Elle éclata de rire. Comme si elle avait perçu les remous causés par ses interrogations,et continua de le séduire pour voir où étaient ses limites. Pauvre Victor ! Il bomba le torse, essayant de résister à la tentation: mais quel effort surhumain! Jusqu'où l'homme pourrait-il réfréner ses pulsions ? Il n'en savait rien bien entendu, lui, qui n'avait toujours obéi qu'à ses bas instincts, et soudain il la vit s'avancer sa bielle à la main. Qu'allait-il faire? Cur, comodo, quando? et à quoi pensait-elle à ce moment précis ? Du coup, il n'osait plus se retourner... Peut-être attendait-il le coup fatal ? Il ne pouvait détacher son regard du cache-culbuteurs de la belle, ce qui, ma foi, l'enverrait dans l'autre monde en gardant un bon souvenir de celui-ci! Mais ensuite si tel était le cas ,qu'adviendrait-il de lui et de ces sentiments si forts qui l'attirent vers elle? est-il prêt réellement à tout cela? Pourra-t-il se passer d'elle, vivre sans elle? Telle était la question qu'il se posait quand, Bérénice, posa ses lèvres pulpeuses, sur sa bouche béate déjà toute offerte à l'emploi. Et là l’impensable se produisit , il se rendit compte qu’il était follement amoureux d’une machine. Stupeur! quel choc mes aÎeux! une machine! et ça tombe sur moi... Mais il savait aussi qu’à partir de cet instant jamais plus il ne pourrait vivre sans elle. Seulement voilà: nouveau problème! Comment faire accepter ce couple hors-normes par les autres humains?... Curieusement, Victor ne se préoccupait pas encore trop de la question; il avait bien trop à faire. Et pour commencer, il lui fallait gérer ce trop plein d'ardeur qui l'envahissait. "Allons -se dit-il- vais-je poursuivre mes études sur la poésie post-symboliste, ou bien vais-je me défouler sur une de mes égéries chéries?". Bérénice rejeta alors sa tête en arrière, sa chevelure scintilla au soleil du matin qui fouetta le visage de Victor.Là, il ne put contenir ses émotions, il tendit ses deux mains vers elle, quand elle lui déposa sa bielle. "C'est pas vrai ! Tout ce manège pour que je lui répare sa mécanique", pensa-il, déçu. Comment aurait-il pu imaginer que son sex-appeal allait le lâcher aussi sournoisement. "Baven zavut se dit-il en javanais car il parlait fort bien cette langue, quave vavais-jave favaire mavaintavenavant?..." Il était loin de se douter que les choses sont rarement ce qu'elles ont l'air d'être! Il tripotait nerveusement sa clé de 14, tout en attendant que son sex-appeal soit enfin à la taille voulue de cette Non de D... de P... de clé !... -"Vava--t-ilav falavloir quave j'atavtenavde enavcoavre unave heurave commave lava deravnièrave foisav ?..." Se disait-il toujours en javanais... Mais c'était sans compter sur son esprit de compétition encore très alerte pour son âge; adoncques il stimula ses neurones en buvant un alcool fort car il lui fallait retrouver sa beauté antérieure; il allait conclure rapidement. La mécanique, il connaissait! Pas une mince affaire que de redevenir un Apollon à 98 ans passés! _________________ Neuvillesurtout que le physique hérité de feu son grand père lui semblait très seyant mais il fallait séduire et vite car ses appétits sexuels étaient débordants [email][/email] ... |
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| Sujet: Re: Quand il se retourna... Lun 21 Mai 2007 - 22:33 | |
| Quand il se retourna, le coeur empli d'une douce joie, il n'y avait plus personne. Pourquoi avait-elle donc fuit ainsi ? Un instant, il pensa en son for intérieur, que tout ceci n'était qu'un mauvais rêve, et pourtant...et pourtant, sans un remords sans un regret il lui fallait tourner la page définitivement. Partir droit devant lui, esquiver ces regards, ne pas montrer sa peur, partir sans espoir de retour, oublier, tout effacer, mais pas trop, juste ce qu'il fallait pour ne pas souffrir ne pas se montrer faible car l'absence stagnait et elle le freinerait. Un horizon différent s'ouvrait devant lui mais il l'ignorait. Comment aurait-il pu s'imaginer que sa vie allait enfin commencer ?... Durablement vivre l'éternité et aimer à nouveau, comme si demain n'existait pas... Mais aujourd'hui, la pierre qu'il devait mettre à la construction de son destin pesait si lourd, et son coeur si léger oscillait dangereusement car l'amour allait le terrasser à nouveau. C'est quand il rencontra son regard qu'il fut saisi d'une sorte de malaise, pas cardiaque, mais il sentait au plus profond de lui comme une sorte de renaissance due au formidable sentiment qui l'envahissait. Sa joie fut de courte durée car il connaissait déjà la fragilité du lien affectif puisqu'il avait déjà fait l'expérience de l'amour-passion; et pourtant il se sentait bien incapable de résister à cette attraction, tout en refusant de se laisser entrainer malgré lui. Mais il savait, connaissant très bien la théorie de Newton, que la gravitation universelle le ramènerait vers Elle -LA femme-! Mais pourquoi Dieu, avait-il créé cette créature, se dit-il ! Il n'arrêtait pas de retourner la question dans sa caboche, quand il eut la révélation : "Bon sang ! Mais c'est bien sûr", Aragon l'avait compris lui ! Il se rendit compte que Dieu n'avait absolument rien à voir là-dedans. Car en la regardant de plus près, il venait de remarquer son visage métallique... Cette femme magnifique était en fait un robot ! La toute dernière génération humanoïde de Eve, rien à envier à l'humaine ! s'avisa t-il dépité (et à l'inverse d'Aragon il ne put plus dire "La femme est l'avenir de l'homme"...) Son corps était serré dans une combinaison étrange faite de fibres et de lumière lui sembla-t-il, et qui collait à des formes un peu trop...humaines: un comble! Il était si fasciné par cette femme venue d'une planète inconnue, attiré par ce mystère qui l'enveloppait, cette silhouette supra humaine obsédante, qui le sondait en profondeur, de ses yeux bleus si cristallins, qu'il en oubliait d'écrire. Il se jura que plus jamais il ne l'approcherait ni simplement ne la regarderait. Mais cette superbe créature exra-terrestre savait parfaitement qu'il ne pourrait jamais tenir ce genre de promesse. C'était dans son programme, elle connaissait bien les faiblesses de l'homme : C'était sa mission ! Elle émit un soupir programmé, mais si sensuel, qu'il en perdit le contrôle de son palpitant. Pouvait-il sérieusement envisager une histoire d'amour avec une femme en ferraille ? Elle éclata de rire. Comme si elle avait perçu les remous causés par ses interrogations,et continua de le séduire pour voir où étaient ses limites. Pauvre Victor ! Il bomba le torse, essayant de résister à la tentation: mais quel effort surhumain! Jusqu'où l'homme pourrait-il réfréner ses pulsions ? Il n'en savait rien bien entendu, lui, qui n'avait toujours obéi qu'à ses bas instincts, et soudain il la vit s'avancer sa bielle à la main. Qu'allait-il faire? Cur, comodo, quando? et à quoi pensait-elle à ce moment précis ? Du coup, il n'osait plus se retourner... Peut-être attendait-il le coup fatal ? Il ne pouvait détacher son regard du cache-culbuteurs de la belle, ce qui, ma foi, l'enverrait dans l'autre monde en gardant un bon souvenir de celui-ci! Mais ensuite si tel était le cas ,qu'adviendrait-il de lui et de ces sentiments si forts qui l'attirent vers elle? est-il prêt réellement à tout cela? Pourra-t-il se passer d'elle, vivre sans elle? Telle était la question qu'il se posait quand, Bérénice, posa ses lèvres pulpeuses, sur sa bouche béate déjà toute offerte à l'emploi. Et là l’impensable se produisit , il se rendit compte qu’il était follement amoureux d’une machine. Stupeur! quel choc mes aÎeux! une machine! et ça tombe sur moi... Mais il savait aussi qu’à partir de cet instant jamais plus il ne pourrait vivre sans elle. Seulement voilà: nouveau problème! Comment faire accepter ce couple hors-normes par les autres humains?... Curieusement, Victor ne se préoccupait pas encore trop de la question; il avait bien trop à faire. Et pour commencer, il lui fallait gérer ce trop plein d'ardeur qui l'envahissait. "Allons -se dit-il- vais-je poursuivre mes études sur la poésie post-symboliste, ou bien vais-je me défouler sur une de mes égéries chéries?". Bérénice rejeta alors sa tête en arrière, sa chevelure scintilla au soleil du matin qui fouetta le visage de Victor.Là, il ne put contenir ses émotions, il tendit ses deux mains vers elle, quand elle lui déposa sa bielle. "C'est pas vrai ! Tout ce manège pour que je lui répare sa mécanique", pensa-il, déçu. Comment aurait-il pu imaginer que son sex-appeal allait le lâcher aussi sournoisement. "Baven zavut se dit-il en javanais car il parlait fort bien cette langue, quave vavais-jave favaire mavaintavenavant?..." Il était loin de se douter que les choses sont rarement ce qu'elles ont l'air d'être! Il tripotait nerveusement sa clé de 14, tout en attendant que son sex-appeal soit enfin à la taille voulue de cette Non de D... de P... de clé !... -"Vava--t-ilav falavloir quave j'atavtenavde enavcoavre unave heurave commave lava deravnièrave foisav ?..." Se disait-il toujours en javanais... Mais c'était sans compter sur son esprit de compétition encore très alerte pour son âge; adoncques il stimula ses neurones en buvant un alcool fort car il lui fallait retrouver sa beauté antérieure; il allait conclure rapidement. La mécanique, il connaissait! Pas une mince affaire que de redevenir un Apollon à 98 ans passés! Surtout que le physique hérité de feu son grand père lui semblait très seyant mais il fallait séduire et vite car ses appétits sexuels étaient débordants, d'autant plus que ça commençait à urger fissa!.. Textes protégés par © Copyright N° 79Z516A In Pace cum Patribus (devise des Neuville) | |
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| Sujet: Re: Quand il se retourna... Sam 26 Mai 2007 - 21:49 | |
| Quand il se retourna, le coeur empli d'une douce joie, il n'y avait plus personne. Pourquoi avait-elle donc fuit ainsi ? Un instant, il pensa en son for intérieur, que tout ceci n'était qu'un mauvais rêve, et pourtant...et pourtant, sans un remords sans un regret il lui fallait tourner la page définitivement. Partir droit devant lui, esquiver ces regards, ne pas montrer sa peur, partir sans espoir de retour, oublier, tout effacer, mais pas trop, juste ce qu'il fallait pour ne pas souffrir ne pas se montrer faible car l'absence stagnait et elle le freinerait. Un horizon différent s'ouvrait devant lui mais il l'ignorait. Comment aurait-il pu s'imaginer que sa vie allait enfin commencer ?... Durablement vivre l'éternité et aimer à nouveau, comme si demain n'existait pas... Mais aujourd'hui, la pierre qu'il devait mettre à la construction de son destin pesait si lourd, et son coeur si léger oscillait dangereusement car l'amour allait le terrasser à nouveau. C'est quand il rencontra son regard qu'il fut saisi d'une sorte de malaise, pas cardiaque, mais il sentait au plus profond de lui comme une sorte de renaissance due au formidable sentiment qui l'envahissait. Sa joie fut de courte durée car il connaissait déjà la fragilité du lien affectif puisqu'il avait déjà fait l'expérience de l'amour-passion; et pourtant il se sentait bien incapable de résister à cette attraction, tout en refusant de se laisser entrainer malgré lui. Mais il savait, connaissant très bien la théorie de Newton, que la gravitation universelle le ramènerait vers Elle -LA femme-! Mais pourquoi Dieu, avait-il créé cette créature, se dit-il ! Il n'arrêtait pas de retourner la question dans sa caboche, quand il eut la révélation : "Bon sang ! Mais c'est bien sûr", Aragon l'avait compris lui ! Il se rendit compte que Dieu n'avait absolument rien à voir là-dedans. Car en la regardant de plus près, il venait de remarquer son visage métallique... Cette femme magnifique était en fait un robot ! La toute dernière génération humanoïde de Eve, rien à envier à l'humaine ! s'avisa t-il dépité (et à l'inverse d'Aragon il ne put plus dire "La femme est l'avenir de l'homme"...) Son corps était serré dans une combinaison étrange faite de fibres et de lumière lui sembla-t-il, et qui collait à des formes un peu trop...humaines: un comble! Il était si fasciné par cette femme venue d'une planète inconnue, attiré par ce mystère qui l'enveloppait, cette silhouette supra humaine obsédante, qui le sondait en profondeur, de ses yeux bleus si cristallins, qu'il en oubliait d'écrire. Il se jura que plus jamais il ne l'approcherait ni simplement ne la regarderait. Mais cette superbe créature exra-terrestre savait parfaitement qu'il ne pourrait jamais tenir ce genre de promesse. C'était dans son programme, elle connaissait bien les faiblesses de l'homme : C'était sa mission ! Elle émit un soupir programmé, mais si sensuel, qu'il en perdit le contrôle de son palpitant. Pouvait-il sérieusement envisager une histoire d'amour avec une femme en ferraille ? Elle éclata de rire. Comme si elle avait perçu les remous causés par ses interrogations,et continua de le séduire pour voir où étaient ses limites. Pauvre Victor ! Il bomba le torse, essayant de résister à la tentation: mais quel effort surhumain! Jusqu'où l'homme pourrait-il réfréner ses pulsions ? Il n'en savait rien bien entendu, lui, qui n'avait toujours obéi qu'à ses bas instincts, et soudain il la vit s'avancer sa bielle à la main. Qu'allait-il faire? Cur, comodo, quando? et à quoi pensait-elle à ce moment précis ? Du coup, il n'osait plus se retourner... Peut-être attendait-il le coup fatal ? Il ne pouvait détacher son regard du cache-culbuteurs de la belle, ce qui, ma foi, l'enverrait dans l'autre monde en gardant un bon souvenir de celui-ci! Mais ensuite si tel était le cas ,qu'adviendrait-il de lui et de ces sentiments si forts qui l'attirent vers elle? est-il prêt réellement à tout cela? Pourra-t-il se passer d'elle, vivre sans elle? Telle était la question qu'il se posait quand, Bérénice, posa ses lèvres pulpeuses, sur sa bouche béate déjà toute offerte à l'emploi. Et là l’impensable se produisit , il se rendit compte qu’il était follement amoureux d’une machine. Stupeur! quel choc mes aÎeux! une machine! et ça tombe sur moi... Mais il savait aussi qu’à partir de cet instant jamais plus il ne pourrait vivre sans elle. Seulement voilà: nouveau problème! Comment faire accepter ce couple hors-normes par les autres humains?... Curieusement, Victor ne se préoccupait pas encore trop de la question; il avait bien trop à faire. Et pour commencer, il lui fallait gérer ce trop plein d'ardeur qui l'envahissait. "Allons -se dit-il- vais-je poursuivre mes études sur la poésie post-symboliste, ou bien vais-je me défouler sur une de mes égéries chéries?". Bérénice rejeta alors sa tête en arrière, sa chevelure scintilla au soleil du matin qui fouetta le visage de Victor.Là, il ne put contenir ses émotions, il tendit ses deux mains vers elle, quand elle lui déposa sa bielle. "C'est pas vrai ! Tout ce manège pour que je lui répare sa mécanique", pensa-il, déçu. Comment aurait-il pu imaginer que son sex-appeal allait le lâcher aussi sournoisement. "Baven zavut se dit-il en javanais car il parlait fort bien cette langue, quave vavais-jave favaire mavaintavenavant?..." Il était loin de se douter que les choses sont rarement ce qu'elles ont l'air d'être! Il tripotait nerveusement sa clé de 14, tout en attendant que son sex-appeal soit enfin à la taille voulue de cette Non de D... de P... de clé !... -"Vava--t-ilav falavloir quave j'atavtenavde enavcoavre unave heurave commave lava deravnièrave foisav ?..." Se disait-il toujours en javanais... Mais c'était sans compter sur son esprit de compétition encore très alerte pour son âge; adoncques il stimula ses neurones en buvant un alcool fort car il lui fallait retrouver sa beauté antérieure; il allait conclure rapidement. La mécanique, il connaissait! Pas une mince affaire que de redevenir un Apollon à 98 ans passés! Surtout que le physique hérité de feu son grand père lui semblait très seyant mais il fallait séduire et vite car ses appétits sexuels étaient débordants, d'autant plus que ça commençait à urger fissa! Bérénice l'observait de tous ses capteurs Textes protégés par © Copyright N° 79Z516A ^----^ (='Y'=) (")_(")
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