JEU D'UNE SUITE D'ALEXANDRINS

Voilà une nouvelle série dans ce jeu qui a pour intérêt de dynamiser le forum.

Explication Nouvelle série:

Sandipoete :
Dans ce siècle déjà l'humain a fait la guerre
La nature et son calme ne lui suffit pas
Il abime toujours son monde pauvre terre
Un jour n'en pouvant plus des coups elle rendra

Bravo mon cher Roger !
Et merci de participer en entrant dans ce nouveau jeu !
Mais... Ne pourrais-tu pas nous composer à la place de tes 10 vers en tétrasyllabes
4 vers en alexandrins ?
En effet, c'est ainsi qu'est la règle de ce jeu...

Ce jeu qui a l'air de vous plaire avait besoin d'être peaufiné...
J'ai donc modifié un peu la règle en ce sens...
Chaque participant écrira un quatrain à la suite des autres en faisant attention que ce quatrain suive la règle prosodique de l'alexandrin dont les rimes respectent l'alternance féminines/masculines et que d'autre part les vers soient construits en rimes croisées (A-B-A-B)
Chaque participant devra attendre qu'au moins un quatrain nouveau au sien soit composé avant d'en écrire un autre.
BON AMUSEMENT !

Mon cher Gérard, cette façon de faire m'a semblée plus percutante...

Je vais tenter l'alexandrin. après quoi je reviendrai sur le site...

Amicalement.

Voici ma modeste prestation :

Renversant la barrière où se niche ia haine
Nous tuerons la misère en enlevant ses chaines
Retrouvant la raison, nous crierons halte là !
Dédaignant le canon, nous irons aux lilas
Nous livrerons l'assaut, oui, mais contre la faim
Au sortir du berceau : le nécessaire, enfin !

Gérard, ton premier quatrain était de la forme ABAB
Moi j'ai complété le quatrain initié par Véro dans la même forme croisée
Tu es revenu avec un quatrain ABBA, c'est pas croisé cela...

Tu as raison Firefox199
J'y reviens

Important...
Certains textes ne vous conviennent pas ?
Envoyez un MP (Message Privé) au membre qui a créé le dît sujet en lui demandant de le changer, mais n'écrivez pas directement sur ce sujet votre correction.
J'ai donc effacé les deux interventions de Silverfox199

Sandipoete
Dans ce siècle déjà l'humain a fait la guerre
La nature et son calme ne lui suffit pas
Il abime toujours son monde pauvre terre
Un jour n'en pouvant plus des coups elle rendra
Vero
Notre propre agressivité elle renverra
Miroitera nos éclats à nous pauvres erres
Silverfox199
Aussi qu'allons-nous faire on ne sait pas on verra
Pourtant c'est notre affaire on n'en donne pas l'air
Sandipoete
On entend comme un cri dans la brise légère
Un hurlement ténu ravivé du dégât
Qu'insuffle le mauvais engendré de son père
Il ressemble à l'appel de chaque renégat
Sandipoete
Pourquoi a-t-il fallu que l'humain sache faire
Tous les outils de mort le menant au trépas
Mais pour qu'il soit nourri de plantes florifères
Il aurait mieux valu qu'il ait de bons repas
Roger Massé
Renversant la barrière où se niche la haine
Nous tuerons la misère en enlevant ses chaines
Retrouvant la raison, nous crierons halte là !
Dédaignant le canon, nous irons aux lilas
Nous livrerons l'assaut, oui, mais contre la faim
Au sortir du berceau : le nécessaire, enfin !
vero
Oublions toutes les famines délétères
Pour combler ventres et cœurs même ici bas
Ne pas attendre le Ciel et tous ses mystères
Qui a besoin de l'Homme pour les mettre bas
Sandipoete
Qu'attendez-vous humains pour jeter vos bannières
Ça ne ressemble à rien de lutter ici-bas
Pour un morceau de toile au nom de vôtre terre
Alors que vous tuez ceux qui suivent vos pas

Sandipoete
Dans ce siècle déjà l'humain a fait la guerre
La nature et son calme ne lui suffit pas
Il abime toujours son monde pauvre terre
Un jour n'en pouvant plus des coups elle rendra
Vero
Notre propre agressivité elle renverra
Miroitera nos éclats à nous pauvres erres
Silverfox199
Aussi qu'allons-nous faire on ne sait pas on verra
Pourtant c'est notre affaire on n'en donne pas l'air
Sandipoete
On entend comme un cri dans la brise légère
Un hurlement ténu ravivé du dégât
Qu'insuffle le mauvais engendré de son père
Il ressemble à l'appel de chaque renégat
Sandipoete
Pourquoi a-t-il fallu que l'humain sache faire
Tous les outils de mort le menant au trépas
Mais pour qu'il soit nourri de plantes florifères
Il aurait mieux valu qu'il ait de bons repas
Roger Massé
Renversant la barrière où se niche la haine
Nous tuerons la misère en enlevant ses chaines
Retrouvant la raison, nous crierons halte là !
Dédaignant le canon, nous irons aux lilas
Nous livrerons l'assaut, oui, mais contre la faim
Au sortir du berceau : le nécessaire, enfin !
Vero
Oublions toutes les famines délétères
Pour combler ventres et cœurs même ici-bas
Ne pas attendre le Ciel et tous ses mystères
Qui a besoin de l'Homme pour les mettre bas
Sandipoete
Qu'attendez-vous humains pour jeter vos bannières
Ça ne ressemble à rien de lutter ici-bas
Pour un morceau de toile au nom de vôtre terre
Alors que vous tuez ceux qui suivent vos pas
Surfeur
Laissez venir à vous ces vagues de lumière
Qui font de tout soldat un tendre troubadour,
Loin des tristes combats, du feu des canonnières,
Déposant le fusil pour embrasser l'amour.
Sandipoete
Il faut que sur nos cœurs infime privilège
S'inscrivent à jamais des mots douceurs velours
Pour nous faire oublier les guerres sacrilèges
Transformons le mauvais insensible aux amours
Surfeur
Rappelons nous toujours ce noir "chemin des dames"
Où d'innocents conscrits périrent par milliers
Sous le feu de l'obus, gémissants, par les flammes
Dévorés et pleurant le sang des humiliés.
Sandipoete
Laissez-nous profiter guerriers, posez vos armes...
C'est Satan envieux qui vous ouvre l'enfer !
Écoutez ce que Dieu vient crier à vos âmes !
Arrêtez d'écouter ce que dit Lucifer.

Sandipoete
Dans ce siècle déjà l'humain a fait la guerre
La nature et son calme ne lui suffit pas
Il abime toujours son monde pauvre terre
Un jour n'en pouvant plus des coups elle rendra
Vero
Notre propre agressivité elle renverra
Miroitera nos éclats à nous pauvres erres
Silverfox199
Aussi qu'allons-nous faire on ne sait pas on verra
Pourtant c'est notre affaire on n'en donne pas l'air
Sandipoete
On entend comme un cri dans la brise légère
Un hurlement ténu ravivé du dégât
Qu'insuffle le mauvais engendré de son père
Il ressemble à l'appel de chaque renégat
Sandipoete
Pourquoi a-t-il fallu que l'humain sache faire
Tous les outils de mort le menant au trépas
Mais pour qu'il soit nourri de plantes florifères
Il aurait mieux valu qu'il ait de bons repas
Roger Massé
Renversant la barrière où se niche la haine
Nous tuerons la misère en enlevant ses chaines
Retrouvant la raison, nous crierons halte là !
Dédaignant le canon, nous irons aux lilas
Nous livrerons l'assaut, oui, mais contre la faim
Au sortir du berceau : le nécessaire, enfin !
Vero
Oublions toutes les famines délétères
Pour combler ventres et cœurs même ici-bas
Ne pas attendre le Ciel et tous ses mystères
Qui a besoin de l'Homme pour les mettre bas
Sandipoete
Qu'attendez-vous humains pour jeter vos bannières
Ça ne ressemble à rien de lutter ici-bas
Pour un morceau de toile au nom de vôtre terre
Alors que vous tuez ceux qui suivent vos pas
Surfeur
Laissez venir à vous ces vagues de lumière
Qui font de tout soldat un tendre troubadour,
Loin des tristes combats, du feu des canonnières,
Déposant le fusil pour embrasser l'amour.
Sandipoete
Il faut que sur nos cœurs infime privilège
S'inscrivent à jamais des mots douceurs velours
Pour nous faire oublier les guerres sacrilèges
Transformons le mauvais insensible aux amours
Surfeur
Rappelons nous toujours ce noir "chemin des dames"
Où d'innocents conscrits périrent par milliers
Sous le feu de l'obus, gémissants, par les flammes
Dévorés et pleurant le sang des humiliés.
Sandipoete
Laissez-nous profiter guerriers, posez vos armes...
C'est Satan envieux qui vous ouvre l'enfer !
Écoutez ce que Dieu vient crier à vos âmes !
Arrêtez d'écouter ce que dit Lucifer.
Sandipoete
Et peut-être qu'un jour écoutant nos prières
L'humain présomptueux finira par ouïr
Ces poèmes d'amour composés par des frères
Pour qui l'affectueux sert à s'épanouir