Sensation infinie

Parfois, l'amour coule dans l'infini des pores,
Et un frisson joyeux parcourt la peau d'un homme,
Qui contemple, ses enfants, sa maison, et les insectes qui s'y égarent.

Il voit,
Chaque chose qui l'entoure comme l'aimant en retour,
Chaque chose empreinte d'une histoire triste et douce.

Son amour est né d'une énergie profonde,
Il provient des anciens et du vent dans les cimes,
Souffle qui fait fi de toutes les différences,
Se posant sur beau et laid sans les discriminer,
Baignant ce qui existe d'une aura qui naît juste.

Cet amour peut changer sa vision.
Panser les solitudes,
Prendre soin des absences,
Et survivre après lui,
D'autant qu'il fût ardent.

Merci pour cette agrèable lecture
Amitiés

Merci!

Bel hommage à l'amour des choses et des êtres...Bravo !

Amitiés.

Roger.

"Parfois, l'amour coule dans l'infini des pores"
Que ne faites-vous de l'ombre à notre bon  Jacques Brel, qui lui, voyait l'amour dans la nuit de ce port qu'il nommait Amsterdam. Pourtant, ce nostalgique texte vous sied à ravir et l'espoir est au bout, du moins, il le laisse en suspend

Merci Dreamsister

Cordialement
Ventpré

Merci à vous Roger et Ventpré, vous m'encouragez à continuer d'écrire et essayer de m'améliorer!!