L'esclave libre de Gorée

Je fus jadis un esclave noir,je suis un esclave affranchi
Dans l'océan des requins blancs,un acte notarié est ma branchie
Mes frères noyé dans l'avidité ,nous trahissaient pour un métal doré
Mes frère vienne du Sénégal mais je viens des mers de Gorée
Mes oppresseurs ont la peau pâle, mais ma peau est cuivrée
Nous voyagions dans des cales si affreuses que vous vous y évanouiriez
Ils m'ont dénigrer,Ils m'ont noircit et torturé parce que j'ai trop de mélanine
Je fus déshumanisé,je fus haché,et vendu moins chère qu'un grain de platine
A ce qu'il paraît que je suis résistant,robuste,dur et très fort
Mon maître réparaît mes blessure pour que je travail plus encore
Tel un bovin de pâture attelé,je labourais d'immenses champs
Mes plais sont de grands gouffres, ce sont des cratères béants
Bien souvent j'ai souffert,ma souffrance me mord
Mes courbatures tel des loups,chaque jour me dévorent
J'ai été attacher,enchaîner et emprisonné dans ma douleur
Mes pâles tyrans ont le cœur démolit par leurs sombre noirceur
Je voulais souvent fuir les champs, les maître et les fouet
Ils aimaient punir ces maîtres, ils étaient méchant à souhait
Ils louai souvent un Dieu,lisaient une très belle bible
Mais ils torturaient nos enfants,leur rendaient la vie pénible
j'ai des insultes dans la tête,de profondes tâche de haine sur la peau
Je hais ces incultes qui brisaient mon squelette,et broyaient tous mes os
Ils étaient des spécialiste de la chasse, nous étions leurs pauvres cible
Je n'ai pas peur des balles, toutes les nuits mes cauchemars me crible
Mon corps est une fresque qu'un fer rouge à doucement peint
Les rochers sous mes pieds plus mous que les cals sur mes mains

Ceci est un petit poème en vers libre pour ces esclaves qui ont souffert ce poème me tient à cœur,j'ai essayer de l'écrire de plusieurs façon,de changer les vers mais c'est bon maintenant.