Le néant

Le néant
Des pas dans le vide
A poursuivre cet idéal
Qui mène partout et nulle part
Aimer à la folie sans retenue
Miracle le secret de ta beauté
Parmi un million de silhouettes
Qui avancent en ces rêves
Éveillés mais récalcitrants
Par-c i par_là tout est vague
Un je ne sais quoi nous retient prisonniers
En ces grottes lugubres du verbe « écrire »
Est-ce un vent de sable ou une tempête
Qui nous retiens en ces parages
De vie et de mort ?
Dire vrai
L’ombre nous suit
Guette et épie
Poursuit sans relâche
travers ces flutes brisées
Du roseau saturé de sagesse
Du Bambou qui devient de plus en plus viril
Mirage à l’horizon
Rien que des illusions
En mots muets
Qui hantent cet immense espace verrouillé
Où le flux des soupirs
Cède le pas à la parole
Je me ressaisis à corriger
Tous ces passages de nostalgie
Par ce chas d’aiguille
Je m’amuse à caresser ma muse
Prendre ta mains sirène
A diluer ces lotions amères de coloquintes
Plutôt à refermer les volets de ma fenêtre
pour dormir tranquille loin de cet enfer...

Un néant bien rempli de divers sentiments et ressentis.
Exprimé joliment.

Le néant est un vide empli d'amours mortes, de colères, de chagrins, de regrets, d'amertume... Le néant n'est pas creux et mieux vaut ne pas se laisser emprisonner dedans.
J'ai beaucoup aimé ton texte, comme tous ceux de toi que j'ai lus jusqu'à présent.
Amicalement

Ténébreux et courageux,
violent et métaphorique,
passionné et délicat.
J'ai fait un très beau voyage.
Merci

salut mes chers poètes
prière ,oserais -je vous présenter mes excuses concernant ce retard et /ou oubli pour vous de répondre ...
voire ,je vous remercient tous pour vos commentaires dont vous avez défini le néant pertinemment veillerai à ce que j'en tire profit incessamment de vos conseils merci ...

toutes mes amitiés