Le terrorisme.

Le terroriste agit pour des idéaux d’un autre temps,
Il se récupère dans certain courant,
Et éclabousse les foules,
Comme un vent violent qui se dédouble.
Le terrorisme est synonyme de folie,
Pour ceux qui n’ont pas appris,
Que la violence est une gageure,
Pire que l’alcool et la drogue si l’on en jure.
La violence générale est loin d’être apaisée,
Elle court avec rage sans se tortiller,
Pour assurer sa paranoïa,
Et se vanter d’être le roi.
Aimer ou détester peut devenir la même chose,
Pour des idéaux qui en sont la cause,
Les dieux, les fantasmes, sont du cataplasme,
Qui brûlent et lancine comme une crise d’asthme.
Les guerres me répulsent et ne signifient rien,
Rien comme la plupart des vauriens,
Qui perdent leur valeur pour un grain de sable,
Et tirent à tout va dans les érables.