L’armauresque

Ils étaient beaux, des pierres la force et des blé la couleur,
De ces airs magiques se voulant envouteurs,
Invitant au départ pour des nuits étoilées.
La Grande Ourse n'est plus, mes mots s'en sont allés...

Le souvenir brumeux dans un coin de tes songes,
Gravé dedans ton cœur symbolisant les sorts,
Allant du pays Maure jusqu'aux côtes d'Armor,
Des terres qui sont tiennes là où le soleil plonge.

Des dunes de Merzouga à la pointe du Raz,
Des landes de Lanveaux au cœur de Ouazazate,
De la rivière R'bia au fin fond d'Arcoat,
Là où parlent les arbres, un langage, une sonate.

Me narrant pays d'Inde allant du beau Maroc en partance pour Chine.
Epidermes cuivrés par soleil ou la mer de ceux là qui sont tiens,
Et du vieux druide celte célébrant ciel et gui, Princesse maghrébine
Offert à tes amis cette amulette du cœur et ceux que tu veux miens.

De cette gorge suave nul son ne sortait, sa voix s'est tue.
Des sirènes le chant, dangereuses mélopées pour écueils mortels,
Allant jusqu'a la nymphe dansant poitrine nue sur les pierres et les stèles,
Son ode s'en est allé en des temps et légendes que l'on sait révolus.

que de joli paysage à travers ta plume tout en beauté , je me suis laisser berçé par tes mots enchantés merci de ce beau partage Merci

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Aucune grâce extérieure n'est complète si la beauté intérieure ne la vivifie.
La beauté de l'âme se répand comme une lumière mystérieuse sur la beauté du corps.

My pleasure Princesse...
La paix

Méphisto