L’horloge des temps vacants

J’ai esquivé le temps ? Phase inachevée
A la ronde du néant j’ai imprimé ma volonté
Aiguilles aux reins d’acier bousculez l’insuffisance des âges
S’engouffrent un air irradié et des sons métalliques

La machine à explorer le temps décline le futur
Emergeance du passé où se pressent les entités
Visiter des lieux endoloris, éveiller les revenants
Sommeillez sortilèges mon vaisseau chevauche la destinée

Partance vers un futur évasif vers une planète où stagne l’eau
Dévoiler les étapes scellées sous une terre endolorie
Le cosmos happe mes désirs, je flotte dans les nuées, éthéré
Au passage je cueille la rose des vents

L’horloge épingle mes souvenirs incertains
Le devenir appréhende une réalité fichée dans des chimères
Q’importe ! L’impossible a devancé l’absurde
J’ai crée la machine qui décline l’infini

Raymonde verney

Quelle chance d'avoir créé une telle machine. J'aimerai bien pouvoir circuler dans un tel engin..A moi, les étoiles, la galaxie, les petits hommes verts, et plus près de moi, la terre. et tous les gens d'hier, et de demain que je rencontrerai, sans compter les paysages admirables que je survolerai (les autres, j'essaierai de les contourner)...Une chouette machine vraiment. Tu n'aurais pas un spécimen à me louer ?

Quelle sont tes sources d'inspirations, pour arriver à créer de tels rêves éveillés:!Bravo!:

ilnous faut demander so créateur mon collègue de travail lui saurait t'en louer une
bisous
raymonde
imagination et fait réel
dans ce cas ce monsieur a reproduit la machine à remonter le temps