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| Cette histoire est celle de Jean le Poète | |
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+5Yves Le Guern philippe de neuville lulli Lunessences sandipoete 9 participants | |
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| Sujet: Cette histoire est celle de Jean le Poète Mer 7 Mar 2007 - 15:02 | |
| Rappel du premier message :
CETTE HISTOIRE EST CELLE DE JEAN LE POETE
Jean le Poète était un | |
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| Sujet: Re: Cette histoire est celle de Jean le Poète Lun 7 Mai 2007 - 0:01 | |
| Jean le Poète était un homme banal qui comprenait bien le Chinois. Il adorait écrire des tas d'énormités. Sa passion était toujours de détailler les limericks (was?), les haïkus que les Européens écrivent sans savoir où les emmèneront les aléas. Libertin, imaginatif mais joueur invétéré, perdant sa fortune et sa notoriété spontanément, il avait rêvé que vivre serait fastueux comme dépenser sans honte ni retenue, pourtant il exagérait beaucoup ! Manger, s'enivrer, forniquer toute effronterie incluse mais écrire, ivresse sensuelle, abrogation de moralité et luxure omniprésente, le coeur toujours prêt d'exploser. Son ambition n'avait point de rivale et sa passion rendait impossible toute démence intellectuelle. Pourtant, souvent déçu, il entreprenait des révisions systématiques de ses abattis qu'il emmitouflait dans une espèce d'adorable pantalon gras, décousu, sans fermeture-éclair. Aujourd'hui, il n'avait point oublié la somme d'efforts fournis par son énorme vit qu'il manipulait toujours dextrement afin d'extraire toute la moelle de son pauvre membre fatigué... Décidément, Jean devait tout faire seul ! Même se vivifier l'esprit qui battait fortement la chamade. Pourtant, sa passion reprenait toujours le dessus en bémol majeur; Quel trublion mirobolant, menteur, casanier, rancunier, obsédé par versifier ce que seul possédait son coeur. Oublier toutes ces niaiseries, stupidités écrites, énormités, pensées réactionnaires débiles qui pervertissaient ses oeuvres. Il préférait dormir, rêvant en poète attardé, qu'il voulait glorifier tardivement, les oeuvres exacerbées d'orgasmes vivifiants et revigorants. Un matin saoulé d'amertume par de l'absinthe frelatée, il eut comme une fulguration cervicale malfaisante, une sorte d'illumination rimbaldienne utopique et positive, pleine comme une cuve de connaissances savantes et bouillonnantes diamétralement incrustées sous la caboche cabossée qui fumait abondamment lorsque vint Marie-Qunégonde: elle qui possédait l'avantage de charmes indéniables, puisque tous les poètes bavaient devant ses charmes inaltérables, rustres et pourtant alléchants. Elle séduisit Jean par ses textes troublants qui sentaient bon la luxure. Marie-Qunégonde, toujours sincère, tomba raide de bonheur lorsque survint l'amour, celui qui tue! Elle réintégra sa culotte rose bonbon qui rougissait encore de plaisir.Ereintée, elle bouda son amant virtuel qui ne suffisait | |
| | | philippe de neuville Grimoirien
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| Sujet: Re: Cette histoire est celle de Jean le Poète Lun 7 Mai 2007 - 0:09 | |
| Jean le Poète était un homme banal qui comprenait bien le Chinois. Il adorait écrire des tas d'énormités. Sa passion était toujours de détailler les limericks (was?), les haïkus que les Européens écrivent sans savoir où les emmèneront les aléas. Libertin, imaginatif mais joueur invétéré, perdant sa fortune et sa notoriété spontanément, il avait rêvé que vivre serait fastueux comme dépenser sans honte ni retenue, pourtant il exagérait beaucoup ! Manger, s'enivrer, forniquer toute effronterie incluse mais écrire, ivresse sensuelle, abrogation de moralité et luxure omniprésente, le coeur toujours prêt d'exploser. Son ambition n'avait point de rivale et sa passion rendait impossible toute démence intellectuelle. Pourtant, souvent déçu, il entreprenait des révisions systématiques de ses abattis qu'il emmitouflait dans une espèce d'adorable pantalon gras, décousu, sans fermeture-éclair. Aujourd'hui, il n'avait point oublié la somme d'efforts fournis par son énorme vit qu'il manipulait toujours dextrement afin d'extraire toute la moelle de son pauvre membre fatigué... Décidément, Jean devait tout faire seul ! Même se vivifier l'esprit qui battait fortement la chamade. Pourtant, sa passion reprenait toujours le dessus en bémol majeur; Quel trublion mirobolant, menteur, casanier, rancunier, obsédé par versifier ce que seul possédait son coeur. Oublier toutes ces niaiseries, stupidités écrites, énormités, pensées réactionnaires débiles qui pervertissaient ses oeuvres. Il préférait dormir, rêvant en poète attardé, qu'il voulait glorifier tardivement, les oeuvres exacerbées d'orgasmes vivifiants et revigorants. Un matin saoulé d'amertume par de l'absinthe frelatée, il eut comme une fulguration cervicale malfaisante, une sorte d'illumination rimbaldienne utopique et positive, pleine comme une cuve de connaissances savantes et bouillonnantes diamétralement incrustées sous la caboche cabossée qui fumait abondamment lorsque vint Marie-Qunégonde: elle qui possédait l'avantage de charmes indéniables, puisque tous les poètes bavaient devant ses charmes inaltérables, rustres et pourtant alléchants. Elle séduisit Jean par ses textes troublants qui sentaient bon la luxure. Marie-Qunégonde, toujours sincère, tomba raide de bonheur lorsque survint l'amour, celui qui tue! Elle réintégra sa culotte rose bonbon qui rougissait encore de plaisir.Ereintée, elle bouda son amant virtuel qui ne suffisait plus | |
| | | apogon Membre d'honneur
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| Sujet: Re: Cette histoire est celle de Jean le Poète Lun 7 Mai 2007 - 0:14 | |
| Jean le Poète était un homme banal qui comprenait bien le Chinois. Il adorait écrire des tas d'énormités. Sa passion était toujours de détailler les limericks (was?), les haïkus que les Européens écrivent sans savoir où les emmèneront les aléas. Libertin, imaginatif mais joueur invétéré, perdant sa fortune et sa notoriété spontanément, il avait rêvé que vivre serait fastueux comme dépenser sans honte ni retenue, pourtant il exagérait beaucoup ! Manger, s'enivrer, forniquer toute effronterie incluse mais écrire, ivresse sensuelle, abrogation de moralité et luxure omniprésente, le coeur toujours prêt d'exploser. Son ambition n'avait point de rivale et sa passion rendait impossible toute démence intellectuelle. Pourtant, souvent déçu, il entreprenait des révisions systématiques de ses abattis qu'il emmitouflait dans une espèce d'adorable pantalon gras, décousu, sans fermeture-éclair. Aujourd'hui, il n'avait point oublié la somme d'efforts fournis par son énorme vit qu'il manipulait toujours dextrement afin d'extraire toute la moelle de son pauvre membre fatigué... Décidément, Jean devait tout faire seul ! Même se vivifier l'esprit qui battait fortement la chamade. Pourtant, sa passion reprenait toujours le dessus en bémol majeur; Quel trublion mirobolant, menteur, casanier, rancunier, obsédé par versifier ce que seul possédait son coeur. Oublier toutes ces niaiseries, stupidités écrites, énormités, pensées réactionnaires débiles qui pervertissaient ses oeuvres. Il préférait dormir, rêvant en poète attardé, qu'il voulait glorifier tardivement, les oeuvres exacerbées d'orgasmes vivifiants et revigorants. Un matin saoulé d'amertume par de l'absinthe frelatée, il eut comme une fulguration cervicale malfaisante, une sorte d'illumination rimbaldienne utopique et positive, pleine comme une cuve de connaissances savantes et bouillonnantes diamétralement incrustées sous la caboche cabossée qui fumait abondamment lorsque vint Marie-Qunégonde: elle qui possédait l'avantage de charmes indéniables, puisque tous les poètes bavaient devant ses charmes inaltérables, rustres et pourtant alléchants. Elle séduisit Jean par ses textes troublants qui sentaient bon la luxure. Marie-Qunégonde, toujours sincère, tomba raide de bonheur lorsque survint l'amour, celui qui tue! Elle réintégra sa culotte rose bonbon qui rougissait encore de plaisir.Ereintée, elle bouda son amant virtuel qui ne suffisait plus à | |
| | | philippe de neuville Grimoirien
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| Sujet: Re: Cette histoire est celle de Jean le Poète Lun 7 Mai 2007 - 0:41 | |
| Jean le Poète était un homme banal qui comprenait bien le Chinois. Il adorait écrire des tas d'énormités. Sa passion était toujours de détailler les limericks (was?), les haïkus que les Européens écrivent sans savoir où les emmèneront les aléas. Libertin, imaginatif mais joueur invétéré, perdant sa fortune et sa notoriété spontanément, il avait rêvé que vivre serait fastueux comme dépenser sans honte ni retenue, pourtant il exagérait beaucoup ! Manger, s'enivrer, forniquer toute effronterie incluse mais écrire, ivresse sensuelle, abrogation de moralité et luxure omniprésente, le coeur toujours prêt d'exploser. Son ambition n'avait point de rivale et sa passion rendait impossible toute démence intellectuelle. Pourtant, souvent déçu, il entreprenait des révisions systématiques de ses abattis qu'il emmitouflait dans une espèce d'adorable pantalon gras, décousu, sans fermeture-éclair. Aujourd'hui, il n'avait point oublié la somme d'efforts fournis par son énorme vit qu'il manipulait toujours dextrement afin d'extraire toute la moelle de son pauvre membre fatigué... Décidément, Jean devait tout faire seul ! Même se vivifier l'esprit qui battait fortement la chamade. Pourtant, sa passion reprenait toujours le dessus en bémol majeur; Quel trublion mirobolant, menteur, casanier, rancunier, obsédé par versifier ce que seul possédait son coeur. Oublier toutes ces niaiseries, stupidités écrites, énormités, pensées réactionnaires débiles qui pervertissaient ses oeuvres. Il préférait dormir, rêvant en poète attardé, qu'il voulait glorifier tardivement, les oeuvres exacerbées d'orgasmes vivifiants et revigorants. Un matin saoulé d'amertume par de l'absinthe frelatée, il eut comme une fulguration cervicale malfaisante, une sorte d'illumination rimbaldienne utopique et positive, pleine comme une cuve de connaissances savantes et bouillonnantes diamétralement incrustées sous la caboche cabossée qui fumait abondamment lorsque vint Marie-Qunégonde: elle qui possédait l'avantage de charmes indéniables, puisque tous les poètes bavaient devant ses charmes inaltérables, rustres et pourtant alléchants. Elle séduisit Jean par ses textes troublants qui sentaient bon la luxure. Marie-Qunégonde, toujours sincère, tomba raide de bonheur lorsque survint l'amour, celui qui tue! Elle réintégra sa culotte rose bonbon qui rougissait encore de plaisir.Ereintée, elle bouda son amant virtuel qui ne suffisait plus à lui | |
| | | philippe de neuville Grimoirien
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| Sujet: Re: Cette histoire est celle de Jean le Poète Lun 7 Mai 2007 - 0:46 | |
| Jean le Poète était un homme banal qui comprenait bien le Chinois. Il adorait écrire des tas d'énormités. Sa passion était toujours de détailler les limericks (was?), les haïkus que les Européens écrivent sans savoir où les emmèneront les aléas. Libertin, imaginatif mais joueur invétéré, perdant sa fortune et sa notoriété spontanément, il avait rêvé que vivre serait fastueux comme dépenser sans honte ni retenue, pourtant il exagérait beaucoup ! Manger, s'enivrer, forniquer toute effronterie incluse mais écrire, ivresse sensuelle, abrogation de moralité et luxure omniprésente, le coeur toujours prêt d'exploser. Son ambition n'avait point de rivale et sa passion rendait impossible toute démence intellectuelle. Pourtant, souvent déçu, il entreprenait des révisions systématiques de ses abattis qu'il emmitouflait dans une espèce d'adorable pantalon gras, décousu, sans fermeture-éclair. Aujourd'hui, il n'avait point oublié la somme d'efforts fournis par son énorme vit qu'il manipulait toujours dextrement afin d'extraire toute la moelle de son pauvre membre fatigué... Décidément, Jean devait tout faire seul ! Même se vivifier l'esprit qui battait fortement la chamade. Pourtant, sa passion reprenait toujours le dessus en bémol majeur; Quel trublion mirobolant, menteur, casanier, rancunier, obsédé par versifier ce que seul possédait son coeur. Oublier toutes ces niaiseries, stupidités écrites, énormités, pensées réactionnaires débiles qui pervertissaient ses oeuvres. Il préférait dormir, rêvant en poète attardé, qu'il voulait glorifier tardivement, les oeuvres exacerbées d'orgasmes vivifiants et revigorants. Un matin saoulé d'amertume par de l'absinthe frelatée, il eut comme une fulguration cervicale malfaisante, une sorte d'illumination rimbaldienne utopique et positive, pleine comme une cuve de connaissances savantes et bouillonnantes diamétralement incrustées sous la caboche cabossée qui fumait abondamment lorsque vint Marie-Qunégonde: elle qui possédait l'avantage de charmes indéniables, puisque tous les poètes bavaient devant ses charmes inaltérables, rustres et pourtant alléchants. Elle séduisit Jean par ses textes troublants qui sentaient bon la luxure. Marie-Qunégonde, toujours sincère, tomba raide de bonheur lorsque survint l'amour, celui qui tue! Elle réintégra sa culotte rose bonbon qui rougissait encore de plaisir.Ereintée, elle bouda son amant virtuel qui ne suffisait plus à lui | |
| | | sandipoete Fondateur
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| Sujet: Re: Cette histoire est celle de Jean le Poète Lun 7 Mai 2007 - 6:27 | |
| Jean le Poète était un homme banal qui comprenait bien le Chinois. Il adorait écrire des tas d'énormités. Sa passion était toujours de détailler les limericks (was?), les haïkus que les Européens écrivent sans savoir où les emmèneront les aléas. Libertin, imaginatif mais joueur invétéré, perdant sa fortune et sa notoriété spontanément, il avait rêvé que vivre serait fastueux comme dépenser sans honte ni retenue, pourtant il exagérait beaucoup ! Manger, s'enivrer, forniquer toute effronterie incluse mais écrire, ivresse sensuelle, abrogation de moralité et luxure omniprésente, le coeur toujours prêt d'exploser. Son ambition n'avait point de rivale et sa passion rendait impossible toute démence intellectuelle. Pourtant, souvent déçu, il entreprenait des révisions systématiques de ses abattis qu'il emmitouflait dans une espèce d'adorable pantalon gras, décousu, sans fermeture-éclair. Aujourd'hui, il n'avait point oublié la somme d'efforts fournis par son énorme vit qu'il manipulait toujours dextrement afin d'extraire toute la moelle de son pauvre membre fatigué... Décidément, Jean devait tout faire seul ! Même se vivifier l'esprit qui battait fortement la chamade. Pourtant, sa passion reprenait toujours le dessus en bémol majeur; Quel trublion mirobolant, menteur, casanier, rancunier, obsédé par versifier ce que seul possédait son coeur. Oublier toutes ces niaiseries, stupidités écrites, énormités, pensées réactionnaires débiles qui pervertissaient ses oeuvres. Il préférait dormir, rêvant en poète attardé, qu'il voulait glorifier tardivement, les oeuvres exacerbées d'orgasmes vivifiants et revigorants. Un matin saoulé d'amertume par de l'absinthe frelatée, il eut comme une fulguration cervicale malfaisante, une sorte d'illumination rimbaldienne utopique et positive, pleine comme une cuve de connaissances savantes et bouillonnantes diamétralement incrustées sous la caboche cabossée qui fumait abondamment lorsque vint Marie-Qunégonde: elle qui possédait l'avantage de charmes indéniables, puisque tous les poètes bavaient devant ses charmes inaltérables, rustres et pourtant alléchants. Elle séduisit Jean par ses textes troublants qui sentaient bon la luxure. Marie-Qunégonde, toujours sincère, tomba raide de bonheur lorsque survint l'amour, celui qui tue ! Elle réintégra sa culotte rose bonbon qui rougissait encore de plaisir. Ereintée, elle bouda son amant virtuel qui ne suffisait plus à lui donner | |
| | | philippe de neuville Grimoirien
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| Sujet: Re: Cette histoire est celle de Jean le Poète Lun 7 Mai 2007 - 17:16 | |
| Jean le Poète était un homme banal qui comprenait bien le Chinois. Il adorait écrire des tas d'énormités. Sa passion était toujours de détailler les limericks (was?), les haïkus que les Européens écrivent sans savoir où les emmèneront les aléas. Libertin, imaginatif mais joueur invétéré, perdant sa fortune et sa notoriété spontanément, il avait rêvé que vivre serait fastueux comme dépenser sans honte ni retenue, pourtant il exagérait beaucoup ! Manger, s'enivrer, forniquer toute effronterie incluse mais écrire, ivresse sensuelle, abrogation de moralité et luxure omniprésente, le coeur toujours prêt d'exploser. Son ambition n'avait point de rivale et sa passion rendait impossible toute démence intellectuelle. Pourtant, souvent déçu, il entreprenait des révisions systématiques de ses abattis qu'il emmitouflait dans une espèce d'adorable pantalon gras, décousu, sans fermeture-éclair. Aujourd'hui, il n'avait point oublié la somme d'efforts fournis par son énorme vit qu'il manipulait toujours dextrement afin d'extraire toute la moelle de son pauvre membre fatigué... Décidément, Jean devait tout faire seul ! Même se vivifier l'esprit qui battait fortement la chamade. Pourtant, sa passion reprenait toujours le dessus en bémol majeur; Quel trublion mirobolant, menteur, casanier, rancunier, obsédé par versifier ce que seul possédait son coeur. Oublier toutes ces niaiseries, stupidités écrites, énormités, pensées réactionnaires débiles qui pervertissaient ses oeuvres. Il préférait dormir, rêvant en poète attardé, qu'il voulait glorifier tardivement, les oeuvres exacerbées d'orgasmes vivifiants et revigorants. Un matin saoulé d'amertume par de l'absinthe frelatée, il eut comme une fulguration cervicale malfaisante, une sorte d'illumination rimbaldienne utopique et positive, pleine comme une cuve de connaissances savantes et bouillonnantes diamétralement incrustées sous la caboche cabossée qui fumait abondamment lorsque vint Marie-Qunégonde: elle qui possédait l'avantage de charmes indéniables, puisque tous les poètes bavaient devant ses charmes inaltérables, rustres et pourtant alléchants. Elle séduisit Jean par ses textes troublants qui sentaient bon la luxure. Marie-Qunégonde, toujours sincère, tomba raide de bonheur lorsque survint l'amour, celui qui tue ! Elle réintégra sa culotte rose bonbon qui rougissait encore de plaisir. Ereintée, elle bouda son amant virtuel qui ne suffisait plus à lui donner sa ration | |
| | | raymonde Invité
| Sujet: Re: Cette histoire est celle de Jean le Poète Mar 8 Mai 2007 - 9:49 | |
| Jean le Poète était un homme banal qui comprenait bien le Chinois. Il adorait écrire des tas d'énormités. Sa passion était toujours de détailler les limericks (was?), les haïkus que les Européens écrivent sans savoir où les emmèneront les aléas. Libertin, imaginatif mais joueur invétéré, perdant sa fortune et sa notoriété spontanément, il avait rêvé que vivre serait fastueux comme dépenser sans honte ni retenue, pourtant il exagérait beaucoup ! Manger, s'enivrer, forniquer toute effronterie incluse mais écrire, ivresse sensuelle, abrogation de moralité et luxure omniprésente, le coeur toujours prêt d'exploser. Son ambition n'avait point de rivale et sa passion rendait impossible toute démence intellectuelle. Pourtant, souvent déçu, il entreprenait des révisions systématiques de ses abattis qu'il emmitouflait dans une espèce d'adorable pantalon gras, décousu, sans fermeture-éclair. Aujourd'hui, il n'avait point oublié la somme d'efforts fournis par son énorme vit qu'il manipulait toujours dextrement afin d'extraire toute la moelle de son pauvre membre fatigué... Décidément, Jean devait tout faire seul ! Même se vivifier l'esprit qui battait fortement la chamade. Pourtant, sa passion reprenait toujours le dessus en bémol majeur; Quel trublion mirobolant, menteur, casanier, rancunier, obsédé par versifier ce que seul possédait son coeur. Oublier toutes ces niaiseries, stupidités écrites, énormités, pensées réactionnaires débiles qui pervertissaient ses oeuvres. Il préférait dormir, rêvant en poète attardé, qu'il voulait glorifier tardivement, les oeuvres exacerbées d'orgasmes vivifiants et revigorants. Un matin saoulé d'amertume par de l'absinthe frelatée, il eut comme une fulguration cervicale malfaisante, une sorte d'illumination rimbaldienne utopique et positive, pleine comme une cuve de connaissances savantes et bouillonnantes diamétralement incrustées sous la caboche cabossée qui fumait abondamment lorsque vint Marie-Qunégonde: elle qui possédait l'avantage de charmes indéniables, puisque tous les poètes bavaient devant ses charmes inaltérables, rustres et pourtant alléchants. Elle séduisit Jean par ses textes troublants qui sentaient bon la luxure. Marie-Qunégonde, toujours sincère, tomba raide de bonheur lorsque survint l'amour, celui qui tue ! Elle réintégra sa culotte rose bonbon qui rougissait encore de plaisir. Ereintée, elle bouda son amant virtuel qui ne suffisait plus à lui donner sa ration quotidienne |
| | | philippe de neuville Grimoirien
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| Sujet: Re: Cette histoire est celle de Jean le Poète Mar 8 Mai 2007 - 16:32 | |
| Jean le Poète était un homme banal qui comprenait bien le Chinois. Il adorait écrire des tas d'énormités. Sa passion était toujours de détailler les limericks (was?), les haïkus que les Européens écrivent sans savoir où les emmèneront les aléas. Libertin, imaginatif mais joueur invétéré, perdant sa fortune et sa notoriété spontanément, il avait rêvé que vivre serait fastueux comme dépenser sans honte ni retenue, pourtant il exagérait beaucoup ! Manger, s'enivrer, forniquer toute effronterie incluse mais écrire, ivresse sensuelle, abrogation de moralité et luxure omniprésente, le coeur toujours prêt d'exploser. Son ambition n'avait point de rivale et sa passion rendait impossible toute démence intellectuelle. Pourtant, souvent déçu, il entreprenait des révisions systématiques de ses abattis qu'il emmitouflait dans une espèce d'adorable pantalon gras, décousu, sans fermeture-éclair. Aujourd'hui, il n'avait point oublié la somme d'efforts fournis par son énorme vit qu'il manipulait toujours dextrement afin d'extraire toute la moelle de son pauvre membre fatigué... Décidément, Jean devait tout faire seul ! Même se vivifier l'esprit qui battait fortement la chamade. Pourtant, sa passion reprenait toujours le dessus en bémol majeur; Quel trublion mirobolant, menteur, casanier, rancunier, obsédé par versifier ce que seul possédait son coeur. Oublier toutes ces niaiseries, stupidités écrites, énormités, pensées réactionnaires débiles qui pervertissaient ses oeuvres. Il préférait dormir, rêvant en poète attardé, qu'il voulait glorifier tardivement, les oeuvres exacerbées d'orgasmes vivifiants et revigorants. Un matin saoulé d'amertume par de l'absinthe frelatée, il eut comme une fulguration cervicale malfaisante, une sorte d'illumination rimbaldienne utopique et positive, pleine comme une cuve de connaissances savantes et bouillonnantes diamétralement incrustées sous la caboche cabossée qui fumait abondamment lorsque vint Marie-Qunégonde: elle qui possédait l'avantage de charmes indéniables, puisque tous les poètes bavaient devant ses charmes inaltérables, rustres et pourtant alléchants. Elle séduisit Jean par ses textes troublants qui sentaient bon la luxure. Marie-Qunégonde, toujours sincère, tomba raide de bonheur lorsque survint l'amour, celui qui tue ! Elle réintégra sa culotte rose bonbon qui rougissait encore de plaisir. Ereintée, elle bouda son amant virtuel qui ne suffisait plus à lui donner sa ration quotidienne de stupre. | |
| | | apogon Membre d'honneur
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| Sujet: Re: Cette histoire est celle de Jean le Poète Mar 8 Mai 2007 - 23:47 | |
| Jean le Poète était un homme banal qui comprenait bien le Chinois. Il adorait écrire des tas d'énormités. Sa passion était toujours de détailler les limericks (was?), les haïkus que les Européens écrivent sans savoir où les emmèneront les aléas. Libertin, imaginatif mais joueur invétéré, perdant sa fortune et sa notoriété spontanément, il avait rêvé que vivre serait fastueux comme dépenser sans honte ni retenue, pourtant il exagérait beaucoup ! Manger, s'enivrer, forniquer toute effronterie incluse mais écrire, ivresse sensuelle, abrogation de moralité et luxure omniprésente, le coeur toujours prêt d'exploser. Son ambition n'avait point de rivale et sa passion rendait impossible toute démence intellectuelle. Pourtant, souvent déçu, il entreprenait des révisions systématiques de ses abattis qu'il emmitouflait dans une espèce d'adorable pantalon gras, décousu, sans fermeture-éclair. Aujourd'hui, il n'avait point oublié la somme d'efforts fournis par son énorme vit qu'il manipulait toujours dextrement afin d'extraire toute la moelle de son pauvre membre fatigué... Décidément, Jean devait tout faire seul ! Même se vivifier l'esprit qui battait fortement la chamade. Pourtant, sa passion reprenait toujours le dessus en bémol majeur; Quel trublion mirobolant, menteur, casanier, rancunier, obsédé par versifier ce que seul possédait son coeur. Oublier toutes ces niaiseries, stupidités écrites, énormités, pensées réactionnaires débiles qui pervertissaient ses oeuvres. Il préférait dormir, rêvant en poète attardé, qu'il voulait glorifier tardivement, les oeuvres exacerbées d'orgasmes vivifiants et revigorants. Un matin saoulé d'amertume par de l'absinthe frelatée, il eut comme une fulguration cervicale malfaisante, une sorte d'illumination rimbaldienne utopique et positive, pleine comme une cuve de connaissances savantes et bouillonnantes diamétralement incrustées sous la caboche cabossée qui fumait abondamment lorsque vint Marie-Qunégonde: elle qui possédait l'avantage de charmes indéniables, puisque tous les poètes bavaient devant ses charmes inaltérables, rustres et pourtant alléchants. Elle séduisit Jean par ses textes troublants qui sentaient bon la luxure. Marie-Qunégonde, toujours sincère, tomba raide de bonheur lorsque survint l'amour, celui qui tue ! Elle réintégra sa culotte rose bonbon qui rougissait encore de plaisir. Ereintée, elle bouda son amant virtuel qui ne suffisait plus à lui donner sa ration quotidienne de stupre. Humilié, Textes protégés par © Copyright N° 79Z516A ^----^ (='Y'=) (")_(")
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| | | philippe de neuville Grimoirien
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| Sujet: Re: Cette histoire est celle de Jean le Poète Mar 8 Mai 2007 - 23:56 | |
| Jean le Poète était un homme banal qui comprenait bien le Chinois. Il adorait écrire des tas d'énormités. Sa passion était toujours de détailler les limericks (was?), les haïkus que les Européens écrivent sans savoir où les emmèneront les aléas. Libertin, imaginatif mais joueur invétéré, perdant sa fortune et sa notoriété spontanément, il avait rêvé que vivre serait fastueux comme dépenser sans honte ni retenue, pourtant il exagérait beaucoup ! Manger, s'enivrer, forniquer toute effronterie incluse mais écrire, ivresse sensuelle, abrogation de moralité et luxure omniprésente, le coeur toujours prêt d'exploser. Son ambition n'avait point de rivale et sa passion rendait impossible toute démence intellectuelle. Pourtant, souvent déçu, il entreprenait des révisions systématiques de ses abattis qu'il emmitouflait dans une espèce d'adorable pantalon gras, décousu, sans fermeture-éclair. Aujourd'hui, il n'avait point oublié la somme d'efforts fournis par son énorme vit qu'il manipulait toujours dextrement afin d'extraire toute la moelle de son pauvre membre fatigué... Décidément, Jean devait tout faire seul ! Même se vivifier l'esprit qui battait fortement la chamade. Pourtant, sa passion reprenait toujours le dessus en bémol majeur; Quel trublion mirobolant, menteur, casanier, rancunier, obsédé par versifier ce que seul possédait son coeur. Oublier toutes ces niaiseries, stupidités écrites, énormités, pensées réactionnaires débiles qui pervertissaient ses oeuvres. Il préférait dormir, rêvant en poète attardé, qu'il voulait glorifier tardivement, les oeuvres exacerbées d'orgasmes vivifiants et revigorants. Un matin saoulé d'amertume par de l'absinthe frelatée, il eut comme une fulguration cervicale malfaisante, une sorte d'illumination rimbaldienne utopique et positive, pleine comme une cuve de connaissances savantes et bouillonnantes diamétralement incrustées sous la caboche cabossée qui fumait abondamment lorsque vint Marie-Qunégonde: elle qui possédait l'avantage de charmes indéniables, puisque tous les poètes bavaient devant ses charmes inaltérables, rustres et pourtant alléchants. Elle séduisit Jean par ses textes troublants qui sentaient bon la luxure. Marie-Qunégonde, toujours sincère, tomba raide de bonheur lorsque survint l'amour, celui qui tue ! Elle réintégra sa culotte rose bonbon qui rougissait encore de plaisir. Ereintée, elle bouda son amant virtuel qui ne suffisait plus à lui donner sa ration quotidienne de stupre. Humilié, Jean décida Textes protégés par © Copyright N° 79Z516A In Pace cum Patribus (devise des Neuville) | |
| | | raymonde Invité
| Sujet: Re: Cette histoire est celle de Jean le Poète Mer 9 Mai 2007 - 8:56 | |
| Jean le Poète était un homme banal qui comprenait bien le Chinois. Il adorait écrire des tas d'énormités. Sa passion était toujours de détailler les limericks (was?), les haïkus que les Européens écrivent sans savoir où les emmèneront les aléas. Libertin, imaginatif mais joueur invétéré, perdant sa fortune et sa notoriété spontanément, il avait rêvé que vivre serait fastueux comme dépenser sans honte ni retenue, pourtant il exagérait beaucoup ! Manger, s'enivrer, forniquer toute effronterie incluse mais écrire, ivresse sensuelle, abrogation de moralité et luxure omniprésente, le coeur toujours prêt d'exploser. Son ambition n'avait point de rivale et sa passion rendait impossible toute démence intellectuelle. Pourtant, souvent déçu, il entreprenait des révisions systématiques de ses abattis qu'il emmitouflait dans une espèce d'adorable pantalon gras, décousu, sans fermeture-éclair. Aujourd'hui, il n'avait point oublié la somme d'efforts fournis par son énorme vit qu'il manipulait toujours dextrement afin d'extraire toute la moelle de son pauvre membre fatigué... Décidément, Jean devait tout faire seul ! Même se vivifier l'esprit qui battait fortement la chamade. Pourtant, sa passion reprenait toujours le dessus en bémol majeur; Quel trublion mirobolant, menteur, casanier, rancunier, obsédé par versifier ce que seul possédait son coeur. Oublier toutes ces niaiseries, stupidités écrites, énormités, pensées réactionnaires débiles qui pervertissaient ses oeuvres. Il préférait dormir, rêvant en poète attardé, qu'il voulait glorifier tardivement, les oeuvres exacerbées d'orgasmes vivifiants et revigorants. Un matin saoulé d'amertume par de l'absinthe frelatée, il eut comme une fulguration cervicale malfaisante, une sorte d'illumination rimbaldienne utopique et positive, pleine comme une cuve de connaissances savantes et bouillonnantes diamétralement incrustées sous la caboche cabossée qui fumait abondamment lorsque vint Marie-Qunégonde: elle qui possédait l'avantage de charmes indéniables, puisque tous les poètes bavaient devant ses charmes inaltérables, rustres et pourtant alléchants. Elle séduisit Jean par ses textes troublants qui sentaient bon la luxure. Marie-Qunégonde, toujours sincère, tomba raide de bonheur lorsque survint l'amour, celui qui tue ! Elle réintégra sa culotte rose bonbon qui rougissait encore de plaisir. Ereintée, elle bouda son amant virtuel qui ne suffisait plus à lui donner sa ration quotidienne de stupre. Humilié, Jean décida de l'ignorer |
| | | philippe de neuville Grimoirien
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| Sujet: Re: Cette histoire est celle de Jean le Poète Mer 9 Mai 2007 - 16:48 | |
| Jean le Poète était un homme banal qui comprenait bien le Chinois. Il adorait écrire des tas d'énormités. Sa passion était toujours de détailler les limericks (was?), les haïkus que les Européens écrivent sans savoir où les emmèneront les aléas. Libertin, imaginatif mais joueur invétéré, perdant sa fortune et sa notoriété spontanément, il avait rêvé que vivre serait fastueux comme dépenser sans honte ni retenue, pourtant il exagérait beaucoup ! Manger, s'enivrer, forniquer toute effronterie incluse mais écrire, ivresse sensuelle, abrogation de moralité et luxure omniprésente, le coeur toujours prêt d'exploser. Son ambition n'avait point de rivale et sa passion rendait impossible toute démence intellectuelle. Pourtant, souvent déçu, il entreprenait des révisions systématiques de ses abattis qu'il emmitouflait dans une espèce d'adorable pantalon gras, décousu, sans fermeture-éclair. Aujourd'hui, il n'avait point oublié la somme d'efforts fournis par son énorme vit qu'il manipulait toujours dextrement afin d'extraire toute la moelle de son pauvre membre fatigué... Décidément, Jean devait tout faire seul ! Même se vivifier l'esprit qui battait fortement la chamade. Pourtant, sa passion reprenait toujours le dessus en bémol majeur; Quel trublion mirobolant, menteur, casanier, rancunier, obsédé par versifier ce que seul possédait son coeur. Oublier toutes ces niaiseries, stupidités écrites, énormités, pensées réactionnaires débiles qui pervertissaient ses oeuvres. Il préférait dormir, rêvant en poète attardé, qu'il voulait glorifier tardivement, les oeuvres exacerbées d'orgasmes vivifiants et revigorants. Un matin saoulé d'amertume par de l'absinthe frelatée, il eut comme une fulguration cervicale malfaisante, une sorte d'illumination rimbaldienne utopique et positive, pleine comme une cuve de connaissances savantes et bouillonnantes diamétralement incrustées sous la caboche cabossée qui fumait abondamment lorsque vint Marie-Qunégonde: elle qui possédait l'avantage de charmes indéniables, puisque tous les poètes bavaient devant ses charmes inaltérables, rustres et pourtant alléchants. Elle séduisit Jean par ses textes troublants qui sentaient bon la luxure. Marie-Qunégonde, toujours sincère, tomba raide de bonheur lorsque survint l'amour, celui qui tue ! Elle réintégra sa culotte rose bonbon qui rougissait encore de plaisir. Ereintée, elle bouda son amant virtuel qui ne suffisait plus à lui donner sa ration quotidienne de stupre. Humilié, Jean décida de l'ignorer et se ferma Textes protégés par © Copyright N° 79Z516A In Pace cum Patribus (devise des Neuville) | |
| | | Yves Le Guern Grimoirien
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| Sujet: Re: Cette histoire est celle de Jean le Poète Mer 9 Mai 2007 - 20:12 | |
| Jean le Poète était un homme banal qui comprenait bien le Chinois. Il adorait écrire des tas d'énormités. Sa passion était toujours de détailler les limericks (was?), les haïkus que les Européens écrivent sans savoir où les emmèneront les aléas. Libertin, imaginatif mais joueur invétéré, perdant sa fortune et sa notoriété spontanément, il avait rêvé que vivre serait fastueux comme dépenser sans honte ni retenue, pourtant il exagérait beaucoup ! Manger, s'enivrer, forniquer toute effronterie incluse mais écrire, ivresse sensuelle, abrogation de moralité et luxure omniprésente, le coeur toujours prêt d'exploser. Son ambition n'avait point de rivale et sa passion rendait impossible toute démence intellectuelle. Pourtant, souvent déçu, il entreprenait des révisions systématiques de ses abattis qu'il emmitouflait dans une espèce d'adorable pantalon gras, décousu, sans fermeture-éclair. Aujourd'hui, il n'avait point oublié la somme d'efforts fournis par son énorme vit qu'il manipulait toujours dextrement afin d'extraire toute la moelle de son pauvre membre fatigué... Décidément, Jean devait tout faire seul ! Même se vivifier l'esprit qui battait fortement la chamade. Pourtant, sa passion reprenait toujours le dessus en bémol majeur; Quel trublion mirobolant, menteur, casanier, rancunier, obsédé par versifier ce que seul possédait son coeur. Oublier toutes ces niaiseries, stupidités écrites, énormités, pensées réactionnaires débiles qui pervertissaient ses oeuvres. Il préférait dormir, rêvant en poète attardé, qu'il voulait glorifier tardivement, les oeuvres exacerbées d'orgasmes vivifiants et revigorants. Un matin saoulé d'amertume par de l'absinthe frelatée, il eut comme une fulguration cervicale malfaisante, une sorte d'illumination rimbaldienne utopique et positive, pleine comme une cuve de connaissances savantes et bouillonnantes diamétralement incrustées sous la caboche cabossée qui fumait abondamment lorsque vint Marie-Qunégonde: elle qui possédait l'avantage de charmes indéniables, puisque tous les poètes bavaient devant ses charmes inaltérables, rustres et pourtant alléchants. Elle séduisit Jean par ses textes troublants qui sentaient bon la luxure. Marie-Qunégonde, toujours sincère, tomba raide de bonheur lorsque survint l'amour, celui qui tue ! Elle réintégra sa culotte rose bonbon qui rougissait encore de plaisir. Ereintée, elle bouda son amant virtuel qui ne suffisait plus à lui donner sa ration quotidienne de stupre. Humilié, Jean décida de l'ignorer et se ferma comme Textes protégés par © Copyright N° 79Z516A Invité de m'avoir lu. | |
| | | philippe de neuville Grimoirien
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| Sujet: Re: Cette histoire est celle de Jean le Poète Mer 9 Mai 2007 - 20:26 | |
| Jean le Poète était un homme banal qui comprenait bien le Chinois. Il adorait écrire des tas d'énormités. Sa passion était toujours de détailler les limericks (was?), les haïkus que les Européens écrivent sans savoir où les emmèneront les aléas. Libertin, imaginatif mais joueur invétéré, perdant sa fortune et sa notoriété spontanément, il avait rêvé que vivre serait fastueux comme dépenser sans honte ni retenue, pourtant il exagérait beaucoup ! Manger, s'enivrer, forniquer toute effronterie incluse mais écrire, ivresse sensuelle, abrogation de moralité et luxure omniprésente, le coeur toujours prêt d'exploser. Son ambition n'avait point de rivale et sa passion rendait impossible toute démence intellectuelle. Pourtant, souvent déçu, il entreprenait des révisions systématiques de ses abattis qu'il emmitouflait dans une espèce d'adorable pantalon gras, décousu, sans fermeture-éclair. Aujourd'hui, il n'avait point oublié la somme d'efforts fournis par son énorme vit qu'il manipulait toujours dextrement afin d'extraire toute la moelle de son pauvre membre fatigué... Décidément, Jean devait tout faire seul ! Même se vivifier l'esprit qui battait fortement la chamade. Pourtant, sa passion reprenait toujours le dessus en bémol majeur; Quel trublion mirobolant, menteur, casanier, rancunier, obsédé par versifier ce que seul possédait son coeur. Oublier toutes ces niaiseries, stupidités écrites, énormités, pensées réactionnaires débiles qui pervertissaient ses oeuvres. Il préférait dormir, rêvant en poète attardé, qu'il voulait glorifier tardivement, les oeuvres exacerbées d'orgasmes vivifiants et revigorants. Un matin saoulé d'amertume par de l'absinthe frelatée, il eut comme une fulguration cervicale malfaisante, une sorte d'illumination rimbaldienne utopique et positive, pleine comme une cuve de connaissances savantes et bouillonnantes diamétralement incrustées sous la caboche cabossée qui fumait abondamment lorsque vint Marie-Qunégonde: elle qui possédait l'avantage de charmes indéniables, puisque tous les poètes bavaient devant ses charmes inaltérables, rustres et pourtant alléchants. Elle séduisit Jean par ses textes troublants qui sentaient bon la luxure. Marie-Qunégonde, toujours sincère, tomba raide de bonheur lorsque survint l'amour, celui qui tue ! Elle réintégra sa culotte rose bonbon qui rougissait encore de plaisir. Ereintée, elle bouda son amant virtuel qui ne suffisait plus à lui donner sa ration quotidienne de stupre. Humilié, Jean décida de l'ignorer et se ferma comme une huître. Textes protégés par © Copyright N° 79Z516A In Pace cum Patribus (devise des Neuville) | |
| | | apogon Membre d'honneur
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| Sujet: Re: Cette histoire est celle de Jean le Poète Mer 9 Mai 2007 - 23:04 | |
| Jean le Poète était un homme banal qui comprenait bien le Chinois. Il adorait écrire des tas d'énormités. Sa passion était toujours de détailler les limericks (was?), les haïkus que les Européens écrivent sans savoir où les emmèneront les aléas. Libertin, imaginatif mais joueur invétéré, perdant sa fortune et sa notoriété spontanément, il avait rêvé que vivre serait fastueux comme dépenser sans honte ni retenue, pourtant il exagérait beaucoup ! Manger, s'enivrer, forniquer toute effronterie incluse mais écrire, ivresse sensuelle, abrogation de moralité et luxure omniprésente, le coeur toujours prêt d'exploser. Son ambition n'avait point de rivale et sa passion rendait impossible toute démence intellectuelle. Pourtant, souvent déçu, il entreprenait des révisions systématiques de ses abattis qu'il emmitouflait dans une espèce d'adorable pantalon gras, décousu, sans fermeture-éclair. Aujourd'hui, il n'avait point oublié la somme d'efforts fournis par son énorme vit qu'il manipulait toujours dextrement afin d'extraire toute la moelle de son pauvre membre fatigué... Décidément, Jean devait tout faire seul ! Même se vivifier l'esprit qui battait fortement la chamade. Pourtant, sa passion reprenait toujours le dessus en bémol majeur; Quel trublion mirobolant, menteur, casanier, rancunier, obsédé par versifier ce que seul possédait son coeur. Oublier toutes ces niaiseries, stupidités écrites, énormités, pensées réactionnaires débiles qui pervertissaient ses oeuvres. Il préférait dormir, rêvant en poète attardé, qu'il voulait glorifier tardivement, les oeuvres exacerbées d'orgasmes vivifiants et revigorants. Un matin saoulé d'amertume par de l'absinthe frelatée, il eut comme une fulguration cervicale malfaisante, une sorte d'illumination rimbaldienne utopique et positive, pleine comme une cuve de connaissances savantes et bouillonnantes diamétralement incrustées sous la caboche cabossée qui fumait abondamment lorsque vint Marie-Qunégonde: elle qui possédait l'avantage de charmes indéniables, puisque tous les poètes bavaient devant ses charmes inaltérables, rustres et pourtant alléchants. Elle séduisit Jean par ses textes troublants qui sentaient bon la luxure. Marie-Qunégonde, toujours sincère, tomba raide de bonheur lorsque survint l'amour, celui qui tue ! Elle réintégra sa culotte rose bonbon qui rougissait encore de plaisir. Ereintée, elle bouda son amant virtuel qui ne suffisait plus à lui donner sa ration quotidienne de stupre. Humilié, Jean décida de l'ignorer et se ferma comme une huître. Depuis Textes protégés par © Copyright N° 79Z516A ^----^ (='Y'=) (")_(")
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| | | philippe de neuville Grimoirien
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| Sujet: Re: Cette histoire est celle de Jean le Poète Mer 9 Mai 2007 - 23:08 | |
| Jean le Poète était un homme banal qui comprenait bien le Chinois. Il adorait écrire des tas d'énormités. Sa passion était toujours de détailler les limericks (was?), les haïkus que les Européens écrivent sans savoir où les emmèneront les aléas. Libertin, imaginatif mais joueur invétéré, perdant sa fortune et sa notoriété spontanément, il avait rêvé que vivre serait fastueux comme dépenser sans honte ni retenue, pourtant il exagérait beaucoup ! Manger, s'enivrer, forniquer toute effronterie incluse mais écrire, ivresse sensuelle, abrogation de moralité et luxure omniprésente, le coeur toujours prêt d'exploser. Son ambition n'avait point de rivale et sa passion rendait impossible toute démence intellectuelle. Pourtant, souvent déçu, il entreprenait des révisions systématiques de ses abattis qu'il emmitouflait dans une espèce d'adorable pantalon gras, décousu, sans fermeture-éclair. Aujourd'hui, il n'avait point oublié la somme d'efforts fournis par son énorme vit qu'il manipulait toujours dextrement afin d'extraire toute la moelle de son pauvre membre fatigué... Décidément, Jean devait tout faire seul ! Même se vivifier l'esprit qui battait fortement la chamade. Pourtant, sa passion reprenait toujours le dessus en bémol majeur; Quel trublion mirobolant, menteur, casanier, rancunier, obsédé par versifier ce que seul possédait son coeur. Oublier toutes ces niaiseries, stupidités écrites, énormités, pensées réactionnaires débiles qui pervertissaient ses oeuvres. Il préférait dormir, rêvant en poète attardé, qu'il voulait glorifier tardivement, les oeuvres exacerbées d'orgasmes vivifiants et revigorants. Un matin saoulé d'amertume par de l'absinthe frelatée, il eut comme une fulguration cervicale malfaisante, une sorte d'illumination rimbaldienne utopique et positive, pleine comme une cuve de connaissances savantes et bouillonnantes diamétralement incrustées sous la caboche cabossée qui fumait abondamment lorsque vint Marie-Qunégonde: elle qui possédait l'avantage de charmes indéniables, puisque tous les poètes bavaient devant ses charmes inaltérables, rustres et pourtant alléchants. Elle séduisit Jean par ses textes troublants qui sentaient bon la luxure. Marie-Qunégonde, toujours sincère, tomba raide de bonheur lorsque survint l'amour, celui qui tue ! Elle réintégra sa culotte rose bonbon qui rougissait encore de plaisir. Ereintée, elle bouda son amant virtuel qui ne suffisait plus à lui donner sa ration quotidienne de stupre. Humilié, Jean décida de l'ignorer et se ferma comme une huître. Depuis lors il Textes protégés par © Copyright N° 79Z516A In Pace cum Patribus (devise des Neuville) | |
| | | apogon Membre d'honneur
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| Sujet: Re: Cette histoire est celle de Jean le Poète Jeu 10 Mai 2007 - 23:44 | |
| Jean le Poète était un homme banal qui comprenait bien le Chinois. Il adorait écrire des tas d'énormités. Sa passion était toujours de détailler les limericks (was?), les haïkus que les Européens écrivent sans savoir où les emmèneront les aléas. Libertin, imaginatif mais joueur invétéré, perdant sa fortune et sa notoriété spontanément, il avait rêvé que vivre serait fastueux comme dépenser sans honte ni retenue, pourtant il exagérait beaucoup ! Manger, s'enivrer, forniquer toute effronterie incluse mais écrire, ivresse sensuelle, abrogation de moralité et luxure omniprésente, le coeur toujours prêt d'exploser. Son ambition n'avait point de rivale et sa passion rendait impossible toute démence intellectuelle. Pourtant, souvent déçu, il entreprenait des révisions systématiques de ses abattis qu'il emmitouflait dans une espèce d'adorable pantalon gras, décousu, sans fermeture-éclair. Aujourd'hui, il n'avait point oublié la somme d'efforts fournis par son énorme vit qu'il manipulait toujours dextrement afin d'extraire toute la moelle de son pauvre membre fatigué... Décidément, Jean devait tout faire seul ! Même se vivifier l'esprit qui battait fortement la chamade. Pourtant, sa passion reprenait toujours le dessus en bémol majeur; Quel trublion mirobolant, menteur, casanier, rancunier, obsédé par versifier ce que seul possédait son coeur. Oublier toutes ces niaiseries, stupidités écrites, énormités, pensées réactionnaires débiles qui pervertissaient ses oeuvres. Il préférait dormir, rêvant en poète attardé, qu'il voulait glorifier tardivement, les oeuvres exacerbées d'orgasmes vivifiants et revigorants. Un matin saoulé d'amertume par de l'absinthe frelatée, il eut comme une fulguration cervicale malfaisante, une sorte d'illumination rimbaldienne utopique et positive, pleine comme une cuve de connaissances savantes et bouillonnantes diamétralement incrustées sous la caboche cabossée qui fumait abondamment lorsque vint Marie-Qunégonde: elle qui possédait l'avantage de charmes indéniables, puisque tous les poètes bavaient devant ses charmes inaltérables, rustres et pourtant alléchants. Elle séduisit Jean par ses textes troublants qui sentaient bon la luxure. Marie-Qunégonde, toujours sincère, tomba raide de bonheur lorsque survint l'amour, celui qui tue ! Elle réintégra sa culotte rose bonbon qui rougissait encore de plaisir. Ereintée, elle bouda son amant virtuel qui ne suffisait plus à lui donner sa ration quotidienne de stupre. Humilié, Jean décida de l'ignorer et se ferma comme une huître. Depuis lors il consacra Textes protégés par © Copyright N° 79Z516A ^----^ (='Y'=) (")_(")
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| | | philippe de neuville Grimoirien
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| Sujet: Re: Cette histoire est celle de Jean le Poète Jeu 10 Mai 2007 - 23:55 | |
| Jean le Poète était un homme banal qui comprenait bien le Chinois. Il adorait écrire des tas d'énormités. Sa passion était toujours de détailler les limericks (was?), les haïkus que les Européens écrivent sans savoir où les emmèneront les aléas. Libertin, imaginatif mais joueur invétéré, perdant sa fortune et sa notoriété spontanément, il avait rêvé que vivre serait fastueux comme dépenser sans honte ni retenue, pourtant il exagérait beaucoup ! Manger, s'enivrer, forniquer toute effronterie incluse mais écrire, ivresse sensuelle, abrogation de moralité et luxure omniprésente, le coeur toujours prêt d'exploser. Son ambition n'avait point de rivale et sa passion rendait impossible toute démence intellectuelle. Pourtant, souvent déçu, il entreprenait des révisions systématiques de ses abattis qu'il emmitouflait dans une espèce d'adorable pantalon gras, décousu, sans fermeture-éclair. Aujourd'hui, il n'avait point oublié la somme d'efforts fournis par son énorme vit qu'il manipulait toujours dextrement afin d'extraire toute la moelle de son pauvre membre fatigué... Décidément, Jean devait tout faire seul ! Même se vivifier l'esprit qui battait fortement la chamade. Pourtant, sa passion reprenait toujours le dessus en bémol majeur; Quel trublion mirobolant, menteur, casanier, rancunier, obsédé par versifier ce que seul possédait son coeur. Oublier toutes ces niaiseries, stupidités écrites, énormités, pensées réactionnaires débiles qui pervertissaient ses oeuvres. Il préférait dormir, rêvant en poète attardé, qu'il voulait glorifier tardivement, les oeuvres exacerbées d'orgasmes vivifiants et revigorants. Un matin saoulé d'amertume par de l'absinthe frelatée, il eut comme une fulguration cervicale malfaisante, une sorte d'illumination rimbaldienne utopique et positive, pleine comme une cuve de connaissances savantes et bouillonnantes diamétralement incrustées sous la caboche cabossée qui fumait abondamment lorsque vint Marie-Qunégonde: elle qui possédait l'avantage de charmes indéniables, puisque tous les poètes bavaient devant ses charmes inaltérables, rustres et pourtant alléchants. Elle séduisit Jean par ses textes troublants qui sentaient bon la luxure. Marie-Qunégonde, toujours sincère, tomba raide de bonheur lorsque survint l'amour, celui qui tue ! Elle réintégra sa culotte rose bonbon qui rougissait encore de plaisir. Ereintée, elle bouda son amant virtuel qui ne suffisait plus à lui donner sa ration quotidienne de stupre. Humilié, Jean décida de l'ignorer et se ferma comme une huître. Depuis lors il consacra sa vie Textes protégés par © Copyright N° 79Z516A In Pace cum Patribus (devise des Neuville) | |
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| Sujet: Re: Cette histoire est celle de Jean le Poète Jeu 10 Mai 2007 - 23:58 | |
| Jean le Poète était un homme banal qui comprenait bien le Chinois. Il adorait écrire des tas d'énormités. Sa passion était toujours de détailler les limericks (was?), les haïkus que les Européens écrivent sans savoir où les emmèneront les aléas. Libertin, imaginatif mais joueur invétéré, perdant sa fortune et sa notoriété spontanément, il avait rêvé que vivre serait fastueux comme dépenser sans honte ni retenue, pourtant il exagérait beaucoup ! Manger, s'enivrer, forniquer toute effronterie incluse mais écrire, ivresse sensuelle, abrogation de moralité et luxure omniprésente, le coeur toujours prêt d'exploser. Son ambition n'avait point de rivale et sa passion rendait impossible toute démence intellectuelle. Pourtant, souvent déçu, il entreprenait des révisions systématiques de ses abattis qu'il emmitouflait dans une espèce d'adorable pantalon gras, décousu, sans fermeture-éclair. Aujourd'hui, il n'avait point oublié la somme d'efforts fournis par son énorme vit qu'il manipulait toujours dextrement afin d'extraire toute la moelle de son pauvre membre fatigué... Décidément, Jean devait tout faire seul ! Même se vivifier l'esprit qui battait fortement la chamade. Pourtant, sa passion reprenait toujours le dessus en bémol majeur; Quel trublion mirobolant, menteur, casanier, rancunier, obsédé par versifier ce que seul possédait son coeur. Oublier toutes ces niaiseries, stupidités écrites, énormités, pensées réactionnaires débiles qui pervertissaient ses oeuvres. Il préférait dormir, rêvant en poète attardé, qu'il voulait glorifier tardivement, les oeuvres exacerbées d'orgasmes vivifiants et revigorants. Un matin saoulé d'amertume par de l'absinthe frelatée, il eut comme une fulguration cervicale malfaisante, une sorte d'illumination rimbaldienne utopique et positive, pleine comme une cuve de connaissances savantes et bouillonnantes diamétralement incrustées sous la caboche cabossée qui fumait abondamment lorsque vint Marie-Qunégonde: elle qui possédait l'avantage de charmes indéniables, puisque tous les poètes bavaient devant ses charmes inaltérables, rustres et pourtant alléchants. Elle séduisit Jean par ses textes troublants qui sentaient bon la luxure. Marie-Qunégonde, toujours sincère, tomba raide de bonheur lorsque survint l'amour, celui qui tue ! Elle réintégra sa culotte rose bonbon qui rougissait encore de plaisir. Ereintée, elle bouda son amant virtuel qui ne suffisait plus à lui donner sa ration quotidienne de stupre. Humilié, Jean décida de l'ignorer et se ferma comme une huître. Depuis lors il consacra sa vie à Textes protégés par © Copyright N° 79Z516A ^----^ (='Y'=) (")_(")
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| | | philippe de neuville Grimoirien
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| Sujet: Re: Cette histoire est celle de Jean le Poète Ven 11 Mai 2007 - 0:22 | |
| Jean le Poète était un homme banal qui comprenait bien le Chinois. Il adorait écrire des tas d'énormités. Sa passion était toujours de détailler les limericks (was?), les haïkus que les Européens écrivent sans savoir où les emmèneront les aléas. Libertin, imaginatif mais joueur invétéré, perdant sa fortune et sa notoriété spontanément, il avait rêvé que vivre serait fastueux comme dépenser sans honte ni retenue, pourtant il exagérait beaucoup ! Manger, s'enivrer, forniquer toute effronterie incluse mais écrire, ivresse sensuelle, abrogation de moralité et luxure omniprésente, le coeur toujours prêt d'exploser. Son ambition n'avait point de rivale et sa passion rendait impossible toute démence intellectuelle. Pourtant, souvent déçu, il entreprenait des révisions systématiques de ses abattis qu'il emmitouflait dans une espèce d'adorable pantalon gras, décousu, sans fermeture-éclair. Aujourd'hui, il n'avait point oublié la somme d'efforts fournis par son énorme vit qu'il manipulait toujours dextrement afin d'extraire toute la moelle de son pauvre membre fatigué... Décidément, Jean devait tout faire seul ! Même se vivifier l'esprit qui battait fortement la chamade. Pourtant, sa passion reprenait toujours le dessus en bémol majeur; Quel trublion mirobolant, menteur, casanier, rancunier, obsédé par versifier ce que seul possédait son coeur. Oublier toutes ces niaiseries, stupidités écrites, énormités, pensées réactionnaires débiles qui pervertissaient ses oeuvres. Il préférait dormir, rêvant en poète attardé, qu'il voulait glorifier tardivement, les oeuvres exacerbées d'orgasmes vivifiants et revigorants. Un matin saoulé d'amertume par de l'absinthe frelatée, il eut comme une fulguration cervicale malfaisante, une sorte d'illumination rimbaldienne utopique et positive, pleine comme une cuve de connaissances savantes et bouillonnantes diamétralement incrustées sous la caboche cabossée qui fumait abondamment lorsque vint Marie-Qunégonde: elle qui possédait l'avantage de charmes indéniables, puisque tous les poètes bavaient devant ses charmes inaltérables, rustres et pourtant alléchants. Elle séduisit Jean par ses textes troublants qui sentaient bon la luxure. Marie-Qunégonde, toujours sincère, tomba raide de bonheur lorsque survint l'amour, celui qui tue ! Elle réintégra sa culotte rose bonbon qui rougissait encore de plaisir. Ereintée, elle bouda son amant virtuel qui ne suffisait plus à lui donner sa ration quotidienne de stupre. Humilié, Jean décida de l'ignorer et se ferma comme une huître. Depuis lors il consacra sa vie à ses vingt-trois chats... Textes protégés par © Copyright N° 79Z516A In Pace cum Patribus (devise des Neuville) | |
| | | raymonde Invité
| Sujet: Re: Cette histoire est celle de Jean le Poète Ven 11 Mai 2007 - 7:29 | |
| Jean le Poète était un homme banal qui comprenait bien le Chinois. Il adorait écrire des tas d'énormités. Sa passion était toujours de détailler les limericks (was?), les haïkus que les Européens écrivent sans savoir où les emmèneront les aléas. Libertin, imaginatif mais joueur invétéré, perdant sa fortune et sa notoriété spontanément, il avait rêvé que vivre serait fastueux comme dépenser sans honte ni retenue, pourtant il exagérait beaucoup ! Manger, s'enivrer, forniquer toute effronterie incluse mais écrire, ivresse sensuelle, abrogation de moralité et luxure omniprésente, le coeur toujours prêt d'exploser. Son ambition n'avait point de rivale et sa passion rendait impossible toute démence intellectuelle. Pourtant, souvent déçu, il entreprenait des révisions systématiques de ses abattis qu'il emmitouflait dans une espèce d'adorable pantalon gras, décousu, sans fermeture-éclair. Aujourd'hui, il n'avait point oublié la somme d'efforts fournis par son énorme vit qu'il manipulait toujours dextrement afin d'extraire toute la moelle de son pauvre membre fatigué... Décidément, Jean devait tout faire seul ! Même se vivifier l'esprit qui battait fortement la chamade. Pourtant, sa passion reprenait toujours le dessus en bémol majeur; Quel trublion mirobolant, menteur, casanier, rancunier, obsédé par versifier ce que seul possédait son coeur. Oublier toutes ces niaiseries, stupidités écrites, énormités, pensées réactionnaires débiles qui pervertissaient ses oeuvres. Il préférait dormir, rêvant en poète attardé, qu'il voulait glorifier tardivement, les oeuvres exacerbées d'orgasmes vivifiants et revigorants. Un matin saoulé d'amertume par de l'absinthe frelatée, il eut comme une fulguration cervicale malfaisante, une sorte d'illumination rimbaldienne utopique et positive, pleine comme une cuve de connaissances savantes et bouillonnantes diamétralement incrustées sous la caboche cabossée qui fumait abondamment lorsque vint Marie-Qunégonde: elle qui possédait l'avantage de charmes indéniables, puisque tous les poètes bavaient devant ses charmes inaltérables, rustres et pourtant alléchants. Elle séduisit Jean par ses textes troublants qui sentaient bon la luxure. Marie-Qunégonde, toujours sincère, tomba raide de bonheur lorsque survint l'amour, celui qui tue ! Elle réintégra sa culotte rose bonbon qui rougissait encore de plaisir. Ereintée, elle bouda son amant virtuel qui ne suffisait plus à lui donner sa ration quotidienne de stupre. Humilié, Jean décida de l'ignorer et se ferma comme une huître. Depuis lors il consacra sa vie aux araignées _________________
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| | | philippe de neuville Grimoirien
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| Sujet: Re: Cette histoire est celle de Jean le Poète Ven 11 Mai 2007 - 8:46 | |
| Jean le Poète était un homme banal qui comprenait bien le Chinois. Il adorait écrire des tas d'énormités. Sa passion était toujours de détailler les limericks (was?), les haïkus que les Européens écrivent sans savoir où les emmèneront les aléas. Libertin, imaginatif mais joueur invétéré, perdant sa fortune et sa notoriété spontanément, il avait rêvé que vivre serait fastueux comme dépenser sans honte ni retenue, pourtant il exagérait beaucoup ! Manger, s'enivrer, forniquer toute effronterie incluse mais écrire, ivresse sensuelle, abrogation de moralité et luxure omniprésente, le coeur toujours prêt d'exploser. Son ambition n'avait point de rivale et sa passion rendait impossible toute démence intellectuelle. Pourtant, souvent déçu, il entreprenait des révisions systématiques de ses abattis qu'il emmitouflait dans une espèce d'adorable pantalon gras, décousu, sans fermeture-éclair. Aujourd'hui, il n'avait point oublié la somme d'efforts fournis par son énorme vit qu'il manipulait toujours dextrement afin d'extraire toute la moelle de son pauvre membre fatigué... Décidément, Jean devait tout faire seul ! Même se vivifier l'esprit qui battait fortement la chamade. Pourtant, sa passion reprenait toujours le dessus en bémol majeur; Quel trublion mirobolant, menteur, casanier, rancunier, obsédé par versifier ce que seul possédait son coeur. Oublier toutes ces niaiseries, stupidités écrites, énormités, pensées réactionnaires débiles qui pervertissaient ses oeuvres. Il préférait dormir, rêvant en poète attardé, qu'il voulait glorifier tardivement, les oeuvres exacerbées d'orgasmes vivifiants et revigorants. Un matin saoulé d'amertume par de l'absinthe frelatée, il eut comme une fulguration cervicale malfaisante, une sorte d'illumination rimbaldienne utopique et positive, pleine comme une cuve de connaissances savantes et bouillonnantes diamétralement incrustées sous la caboche cabossée qui fumait abondamment lorsque vint Marie-Qunégonde: elle qui possédait l'avantage de charmes indéniables, puisque tous les poètes bavaient devant ses charmes inaltérables, rustres et pourtant alléchants. Elle séduisit Jean par ses textes troublants qui sentaient bon la luxure. Marie-Qunégonde, toujours sincère, tomba raide de bonheur lorsque survint l'amour, celui qui tue ! Elle réintégra sa culotte rose bonbon qui rougissait encore de plaisir. Ereintée, elle bouda son amant virtuel qui ne suffisait plus à lui donner sa ration quotidienne de stupre. Humilié, Jean décida de l'ignorer et se ferma comme une huître. Depuis lors il consacra sa vie aux araignées et à ses vingt-trois chats... Textes protégés par © Copyright N° 79Z516A In Pace cum Patribus (devise des Neuville) | |
| | | apogon Membre d'honneur
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| Sujet: Re: Cette histoire est celle de Jean le Poète Ven 11 Mai 2007 - 21:36 | |
| A ce point, je me demande s'il ne serait pas intéressant d'imaginer une fin, suite ou épilogue chacun de son côté et de les comparer ensuite. Ce n'est qu'une idée... Textes protégés par © Copyright N° 79Z516A ^----^ (='Y'=) (")_(")
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| | | philippe de neuville Grimoirien
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| Sujet: Re: Cette histoire est celle de Jean le Poète Ven 11 Mai 2007 - 22:48 | |
| c'est curieux que tu dises celà car j'y avais pensé aussi en tapant "chats"! comme je pense qu'il faut bien une fin à tout, on peut effectivement en imaginer chacun une -pas trop longue- et les comparer, warum nicht? on planche dessus & le premier qui a fini avertit l'autre (ou même les autres?) Ph........................................... Textes protégés par © Copyright N° 79Z516A In Pace cum Patribus (devise des Neuville) | |
| | | raymonde Invité
| Sujet: Re: Cette histoire est celle de Jean le Poète Sam 12 Mai 2007 - 9:42 | |
| jean le poète se rendit célèbre pour sa passion des araigées et pour avoir adopté 23 chats errants on le fêta mais notre solitaire se fit bâtir un chalet sur la montagne des anges ainsi nommée car elle donnait 'impresson de toucher les nuées il ne fut plus jamais question de marie cunégonde il vécut tranquille et vieux
fin une idée |
| | | apogon Membre d'honneur
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| Sujet: Re: Cette histoire est celle de Jean le Poète Sam 12 Mai 2007 - 18:37 | |
| Depuis lors il consacra sa vie aux araignées et à ses vingt-trois chats... …dont onze femelles qui donnèrent six mois plus tard quarante-quatre chatons. Jean était complètement délivré de ses obsessions qui par un curieux processus de transfert avaient perverti ses chats qui forniquaient abominablement. Après un an, les cent cinquante-deux naissances portèrent leur nombre à deux cent vingt neuf et au bout de deux années seulement d’accouplements frénétiques, mille sept cent cinquante trois chats partouzaient furieusement sous l’œil amusé des araignées, les femelles subissant parfois plus de dix saillies par heure par des mâles différents. Mathématiquement, avec une moyenne de quatre par portée, le surplus venant compenser les décès accidentels, il y avait quinze mille sept cent soixante dix-sept chats l’année suivante, car le matou célibataire avait fini par s’y mettre lui aussi. Lorsque les premiers de la dynastie commencèrent à mourir de vieillesse (leur nombre ayant dépassé le million en 7 ans, triplait tous les six mois) ils étaient alors trois millions quatre cent quatre-vingt-trois mille huit cent quatre-vingt onze milliards. En seulement dix-sept ans. Les araignées ne riaient plus depuis longtemps. La gigantesque boule de poils qu’était devenue la Terre continua à croitre de façon exponentielle en volume et en masse et après un temps ridiculement court à l’échelle de l’univers, elle engloba le soleil qui s’éteignit. Voici donc l’origine des trous noirs. Troublant, non ? Textes protégés par © Copyright N° 79Z516A ^----^ (='Y'=) (")_(")
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| | | philippe de neuville Grimoirien
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| Sujet: Re: Cette histoire est celle de Jean le Poète Sam 12 Mai 2007 - 19:17 | |
| et voici la mienne: Fuyant alors la vie et ce monde de brutes, il se réfugia à Lélouma au pied du Fouta Djalon où il passa ses dernières années à étudier le comportement des lions et celui des araignées géantes...Jamais plus il n'entendit parler de Marie-Cunégonde; par contre il eut vingt-trois mulâtres de ses trois concubines africaines. On l'enterra au village, vénéré comme un sage......................
FIN. ENDE. FINE. KONEC.
(pourquoi 23? c'est un de mes nombres-fétiches avec le 53 et le 7)... Textes protégés par © Copyright N° 79Z516A In Pace cum Patribus (devise des Neuville) | |
| | | sandipoete Fondateur
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| Sujet: Re: Cette histoire est celle de Jean le Poète Lun 14 Mai 2007 - 18:06 | |
| C'est tout ?... Alors la... Saperlipopette de scrongneugneu... Vous pensez vraiment que ça valait la peine de se casser les roubignoles... heu... Pardon Raymonde ! les neuronnes afin d'écrire toute cette histoire pour en arriver là ?... Bon... Très bien... On va laisser là ce pauvre Jean mais il n'est pas dit qu'on y reviendra pas un jour... Alors je le laisse pour plus tard... Et si on en écrivait un autre ? Je vous laisse tous donner ici des idées pour débuter. Alors à vos plumes Messieurs Dames... | |
| | | apogon Membre d'honneur
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| Sujet: Re: Cette histoire est celle de Jean le Poète Ven 22 Fév 2008 - 9:02 | |
| Un sujet qui dure trop longtemps ne peut que dériver de la sorte. Je pense que la fin imaginée par Raymonde est la plus honorable. Celle de Philippe assez tranquille, quant à la mienne, elle illustre justement ce que peut devenir une chaîne de ce type. A mon avis, Sandipoete a tout à fait raison, c'était pas la peine de continuer, on aurait dû d'ailleurs arrêter bien avant ! C'est pourquoi j'ai pris la liberté de supprimer les polémiques qui ont suivi. Par contre l'idée de récidiver n'est pas une bonne idée. Textes protégés par © Copyright N° 79Z516A ^----^ (='Y'=) (")_(")
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| | | sandipoete Fondateur
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| Sujet: Re: Cette histoire est celle de Jean le Poète Ven 22 Fév 2008 - 16:18 | |
| - apogon a écrit:
- Par contre l'idée de récidiver n'est pas une bonne idée.
Et c'est peut-être bien pour cette raison que ma demande ne fut pas suivie. Mais j'aime trop la liberté d'expression, alors, je laisse le sujet en suspend. Qui sait ? | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Cette histoire est celle de Jean le Poète Ven 18 Aoû 2023 - 18:05 | |
| il faut mettre deux vers chacun sinon c'est pas marrant jeannot donc perdit sa virginité dans un endroit adapté
|
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Cette histoire est celle de Jean le Poète Ven 18 Aoû 2023 - 18:06 | |
| il avait peur des femmes car on lui avait dit il y a des dents qui vont te mordre le zizi |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Cette histoire est celle de Jean le Poète Ven 18 Aoû 2023 - 18:16 | |
| gina la dadame de la maisonlui dit viens je vais te montrer comment c'est |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Cette histoire est celle de Jean le Poète Ven 18 Aoû 2023 - 18:17 | |
| et elle s'installe il a peur il serre les poings approche viens je ne touche pas |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Cette histoire est celle de Jean le Poète Ven 18 Aoû 2023 - 18:18 | |
| jje continue puisque personne ne joue il s'approche se penche vers cette chose |
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