Si toi aussi, tu entends souvent ton cœur parler à ta plume, viens déposer tes escarpins dans l'empreinte de nos pas.
Tu pourras alors alimenter cette rivière afin qu'elle devienne un fleuve prolifique de douceurs où tous, nous venons à notre tour, pour y tremper notre plume féconde.
Et cet affluent de pensées innombrables finit sa course magnifique dans un océan de lumières.
J'aime cet idée de partage.
Elle devrait régir le monde sans aucune faille.
Pour que nous regardions tous dans la même direction.
C'est pour cette raison que nous aimons tant la poésie... Et les poètes !...
Gérard SANDIFORT alias Sandipoete
Forum poétique
Si toi aussi, tu entends souvent ton cœur parler à ta plume, viens déposer tes escarpins dans l'empreinte de nos pas.
Tu pourras alors alimenter cette rivière afin qu'elle devienne un fleuve prolifique de douceurs où tous, nous venons à notre tour, pour y tremper notre plume féconde.
Et cet affluent de pensées innombrables finit sa course magnifique dans un océan de lumières.
J'aime cet idée de partage.
Elle devrait régir le monde sans aucune faille.
Pour que nous regardions tous dans la même direction.
C'est pour cette raison que nous aimons tant la poésie... Et les poètes !...
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UN ENDROIT QUI RESPIRE LE BIEN ÉCRIRE ET L'AMITIÉ
Vous souhaitez faire plaisir à votre ami(e) ou à un(e) proche Avec des mots bien choisis mais vous ne savez pas comment l'exprimer ? Demandez-nous de vous écrire un poème !... Réponse assurée. Nous vous donnerons en réponse l'endroit où vous pourrez Lire, copier et même donner votre avis sur le texte que vous aurez préféré Mais d'abord...
Inspiré par cette saison, François FABIÉ nous en parle dans son œuvre Le clocher, 1887. Comme j'aime beaucoup ce poète je vous soumets son poème intitulé l'automne J'espère qu'il vous donnera des idées de rédaction d'œuvres poétiques
François FABIÉ a écrit:
À toute autre saison je préfère l’automne ; Et je préfère aux chants des arbres pleins de nids La lamentation confuse et monotone Que rend la harpe d’or des grands chênes jaunis.
Je préfère aux gazons semés de pâquerettes Où la source égrenait son collier d’argent vif, La clairière déserte où, tristes et discrètes, Les feuilles mortes font leur bruit doux et plaintif.
Plus de moissons aux champs, ni de foin aux vallées ; Mais le seigle futur rit sur les bruns sillons, Et le saule penchant ses branches désolées Sert de perchoir nocturne aux frileux oisillons.
Et, depuis le ruisseau que recouvrent les aulnes Jusqu’aux sommets où, seuls, les ajoncs ont des fleurs, Les feuillages divers qui s’étagent par zones Doublent le chant des bruits de l’hymne des couleurs.
Et les pommiers sont beaux, courbés sous leurs fruits roses, Et beaux les ceps sanglants marbrés de raisins noirs ; Mais plus beaux s’écroulant sous leurs langues décloses, Les châtaigniers vêtus de la pourpre des soirs.
Ici c’est un grand feu de fougère flétrie D’où monte dans le ciel la fumée aux flots bleus, Et, comme elle, la vague et lente rêverie Du pâtre regardant l’horizon nébuleux.
Plus loin un laboureur, sur la lande muette, S’appuie à la charrue, et le soleil couchant Détache sur fond d’or la fière silhouette Du bouvier et des bœufs arrêtés en plein champ.
L’on se croirait devant un vitrail grandiose Où quelque artiste ancien, saintement inspiré, Aurait représenté dans une apothéose Le serf et l’attelage et l’araire sacré…