Si toi aussi, tu entends souvent ton cœur parler à ta plume, viens déposer tes escarpins dans l'empreinte de nos pas.
Tu pourras alors alimenter cette rivière afin qu'elle devienne un fleuve prolifique de douceurs où tous, nous venons à notre tour, pour y tremper notre plume féconde.
Et cet affluent de pensées innombrables finit sa course magnifique dans un océan de lumières.
J'aime cet idée de partage.
Elle devrait régir le monde sans aucune faille.
Pour que nous regardions tous dans la même direction.
C'est pour cette raison que nous aimons tant la poésie... Et les poètes !...
Gérard SANDIFORT alias Sandipoete
Forum poétique
Si toi aussi, tu entends souvent ton cœur parler à ta plume, viens déposer tes escarpins dans l'empreinte de nos pas.
Tu pourras alors alimenter cette rivière afin qu'elle devienne un fleuve prolifique de douceurs où tous, nous venons à notre tour, pour y tremper notre plume féconde.
Et cet affluent de pensées innombrables finit sa course magnifique dans un océan de lumières.
J'aime cet idée de partage.
Elle devrait régir le monde sans aucune faille.
Pour que nous regardions tous dans la même direction.
C'est pour cette raison que nous aimons tant la poésie... Et les poètes !...
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UN ENDROIT QUI RESPIRE LE BIEN ÉCRIRE ET L'AMITIÉ
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Nombre de messages : 1473 Age : 71 Localisation : Ile de France et Normandie Date d'inscription : 29/03/2016
Sujet: Sous le pont Ven 11 Juin 2021 - 5:59
Sous le pont
Au loin, un doux appel, un fin carillon sonne, Mes pas me mènent sous l'arche de Montabon, Où fleurissent asters, géraniums bourbon, Tressés en tes cheveux, lumineuse couronne.
Le peuple des ondins murmure sa chaconne, Ton visage sourit puis voilà que d'un bond Tu m'offris des baisers en touches de sent-bon, En as-tu souvenir toi que j'affectionne ?
Rien n'a vraiment changé si ce n'est ce regard Dans lequel joue et dort l'ombre d'un bleu brouillard, Qui recouvre tes yeux d'une triste fatigue;
Qu'importe ! Nos esquifs près des portes du temps, Accosteront bientôt l'ultime et grande digue Pour nous conduire enfin vers l'éternel printemps.