L’évidente révélation. (2)

                              J’ai beau contempler dans le ciel tous les nuages
                              Surtout les blancs qui sont messagers de beau temps
                                      Je l'ai bien cherché et n'ai pas vu son visage
                              Je l’espérais pourtant ne serait-ce qu’un instant.

                              Les prêcheurs au « caté » nous le certifié
                              Au ciel Dieu est, et créateur de toute chose
                              Dans toute sa splendeur, qu’il soit glorifié
                              Dans les cieux notre Dieu créa la symbiose.

                              En haut de la montagne sous un beau soleil
                              Le sol sentait l'odeur du thym et de lavande
                              Et la douceur fut l’instant cérémoniel
                              De la paix qui coulait en gracieuse offrande.

                              Près d’un bel arbre une source sortait de terre
                              L'eau de la vie claire et généreuse y coulait
                              Et s’en allait pour abreuver l’humanitaire
                              En y allant heureuse, elle se faufilait

.                             Moi au milieu de toutes ses beautés offertes
                              Je me fonds complémentaire, dans ce tableau
                            Là est bien vivant le créateur des prophètes
                              Dans tous les hommes, dans la nature et dans l’eau.

                            Je me dissocie des dieux des religions
                            Qui l’invente en le créant à leurs convenances
                            Contraignant les êtres à leurs soumissions
                            Et en son nom, ils justifient leurs violences.

                                                                                          Hubert.
Poème retravaillé.

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