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Si toi aussi, tu entends souvent ton cœur parler à ta plume, viens déposer tes escarpins dans l'empreinte de nos pas.
Tu pourras alors alimenter cette rivière afin qu'elle devienne un fleuve prolifique de douceurs où tous, nous venons à notre tour, pour y tremper notre plume féconde.
Et cet affluent de pensées innombrables finit sa course magnifique dans un océan de lumières.
J'aime cet idée de partage.
Elle devrait régir le monde sans aucune faille.
Pour que nous regardions tous dans la même direction.
C'est pour cette raison que nous aimons tant la poésie... Et les poètes !...
Gérard SANDIFORT alias Sandipoete
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Si toi aussi, tu entends souvent ton cœur parler à ta plume, viens déposer tes escarpins dans l'empreinte de nos pas.
Tu pourras alors alimenter cette rivière afin qu'elle devienne un fleuve prolifique de douceurs où tous, nous venons à notre tour, pour y tremper notre plume féconde.
Et cet affluent de pensées innombrables finit sa course magnifique dans un océan de lumières.
J'aime cet idée de partage.
Elle devrait régir le monde sans aucune faille.
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 « J’aurais été soldat, si je n’étais Poète ! »

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« J’aurais été soldat, si je n’étais Poète ! » Empty
MessageSujet: « J’aurais été soldat, si je n’étais Poète ! »   « J’aurais été soldat, si je n’étais Poète ! » EmptyVen 25 Mai 2018 - 20:11

« J’aurais été soldat, si je n’étais Poète * ! »

Puis il pleuvait des jours comme des stratagèmes
Epuisés de rigueur et d’abomination
Là, sous le nez du temps, ses malheureux « Je T’aime ! »
Epurés d’armes lourdes en flagrant délit
Dans cette obscurité (au-delà des conflits !)
Pour des idées de Gueux en toute aberration !

Par sa Grand Bonté Victor Hugo nous dit :
« J’aurais été soldat, si je n’étais Poète *! »
J’aurais été un jours simplement : « Vendredi * »
Si pour fuire ce monde il en fut suffisant
Mais c’est ainsi la vie, le passage des ans
Et je ne suis plus bon qu’à voir ce que vous êtes !

Entre mes mains n’est plus le moyen de donner,
Ni celui de combattre et pour sauver des vies ;
Mais il n’est pas question, ici, de pardonner ;
La mémoire est un lieu qui habite les rêves,
Lorsque à genoux le monde ne connaît de trêve,
Et qu’on efface un Homme, une Femme, un Enfant
D’une envie
Sacrilège
En pièges
Que pourfend

La Terre qui recule en gouffres désœuvrés
N’offre plus de chemin quand La Jeunesse meurt
Et les Pouvoirs français nous feraient approuver
L’attente d’être en vie et de savoir : « Pourquoi ? »
Nos Enfants sont-ils morts au parvis de chez quoi
Outre leur impuissance… Et les Pouvoirs demeurent !

Alain Girard

Le  25 05 2018

Copyright. Tous Droits Réservés.


 * « J’aurais été soldat, si je n’étais Poète ! »Victor Hugo


 *
Le 29 septembre 1759[1], Robinson Crusoé est à bord du navire La Virginie faisant route vers le Chili. Une tempête frappe le navire violemment. Seul survivant du naufrage, Robinson se retrouve sur une île déserte qu'il nommera « Speranza », livré à lui-même avec Tenn le chien de La Virginie. Sa solitude va le contraindre à faire preuve d'ingéniosité, de persévérance et de courage, afin de survivre dans ce monde sauvage. Jusqu'au jour où, se croyant abandonné de tous, il se lie avec un indigène qu'il surnomme « Vendredi ». Une occasion de quitter l'île se présente : un navire s'arrête sur l'île pour sauver Robinson. Mais il refuse de s'en aller, contrairement à Vendredi. Robinson ne reste cependant pas seul, le petit Jean que Robinson renomma Dimanche, le mousse du bateau White Bird, le rejoignant pour vivre avec lui sur Speranza.



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« J’aurais été soldat, si je n’étais Poète ! »
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