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Si toi aussi, tu entends souvent ton cœur parler à ta plume, viens déposer tes escarpins dans l'empreinte de nos pas.
Tu pourras alors alimenter cette rivière afin qu'elle devienne un fleuve prolifique de douceurs où tous, nous venons à notre tour, pour y tremper notre plume féconde.
Et cet affluent de pensées innombrables finit sa course magnifique dans un océan de lumières.
J'aime cet idée de partage.
Elle devrait régir le monde sans aucune faille.
Pour que nous regardions tous dans la même direction.
C'est pour cette raison que nous aimons tant la poésie... Et les poètes !...
Gérard SANDIFORT alias Sandipoete
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Si toi aussi, tu entends souvent ton cœur parler à ta plume, viens déposer tes escarpins dans l'empreinte de nos pas.
Tu pourras alors alimenter cette rivière afin qu'elle devienne un fleuve prolifique de douceurs où tous, nous venons à notre tour, pour y tremper notre plume féconde.
Et cet affluent de pensées innombrables finit sa course magnifique dans un océan de lumières.
J'aime cet idée de partage.
Elle devrait régir le monde sans aucune faille.
Pour que nous regardions tous dans la même direction.
C'est pour cette raison que nous aimons tant la poésie... Et les poètes !...
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 Pareillement.

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MessageSujet: Pareillement.   Pareillement. EmptyJeu 5 Mar 2015 - 21:05

Pareillement.


C'est bien trop de souffrance à vivre ou à mourir
Et bien trop de semblants les Êtres de la rue
Pareillement chacun pour chacun accourir
Comme si l'on croyait à ce qu'on ne croit plus !

Les méandres songeurs d'interpellati/ons
Par les fleuves grondants indisposent l’Écrit
Pareillement chacun pour chacun l'acti/on
Enflammée d'un désert dont naissent tant de cris !

Un baiser sur Ta bouche ou bien mon corps en feu
Est-ce cela l'amour pareillement la mort ?
Dis-moi ce que je suis si tu en sais le jeu
A toi même pareils, de l'amour, ses remords !

Le ciel pareillement comme un pauvre pareil
Décline des rumeurs où se nomme mon pas,
C'est ainsi que le sourd ouvre grand ses oreilles
Et que –- pareillement - je suis... où Tu n'es pas !

Si la passion chantait aux cœurs des inconnus
Pareillement blottis comme pareille une âme
On entendrait l'amour que dessinent les nues
Lorsque un homme s'en vient aux secrets d'une Femme !

Mais c'est trop de souffrance à vivre ou à mourir
Et bien trop de pareils, pareillement surfaits !
L'objet de l'irraison n'est que l'objet d'un rire
Et la vie s’agglutine à la vie qu'on défait !

A l'étang des beautés, pareilles les fleurs même,
En ce tout petit lieu comme un grand songe exquis
Pareillement T'aimer de tout ce que tu aimes...
Un écho jette au loin : «  Mais qui es-tu, Toi... Qui ?


Alain Girard

Le 5 03 2015

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Pareillement.
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