Dans un ciel dépeuplé d'oiseaux

Une sorte de métaphore réussie,et puis la guerre explicité dans le bons sens,on n'en veut plus mais les ventes d'armes continuent ha oui c'est plus des guerres c'est des conflits,Ta colombe de la paix personne en veut vraiment chez les marchands

Merci infiniment, SNOOPY07 !

Roger.

j'aime beaucoup votre poème ;
 si seulement les chants des oiseaux pouvaient apaiser les coeurs des hommes...

Merci infiniment pour la visite et le pertinent commentaire, adele93 !

Amicalement.

Roger.

Merci de ta visite, Gérard ! Hélas, dans notre monde il se passe des évènements épouvantables et des êtres inhumains agissent comme de sauvages animaux!

Quand l'intelligence prendra-t-elle le pas sur la haine ?

Amicalement.

Roger.

Bonsoir Roger,
Comme je me l'étais promis, j'ai passé une partie de ma journée à une opération exploratoire du produit des quelque dix années d'existence du site. Me constituant d'aventure un très court recueil personnel, appelé à s'étoffer, de textes qui m'ont particulièrement touché. Parmi lesquels, en majorité, plusieurs de tes écrits que j'estime dignes d'une anthologie - mais qui suis-je pour ainsi m'exprimer... La délicatesse, la touche discrète, la très savante humilité qui rendent ton propos si humain.
Verdun fut certainement un de ces univers sans oiseaux, où prospéraient les rats. Le Vietnam en fut un autre, dans l'étendue des défoliations. Ton poème me fait me remémorer une situation de mon vécu, au premier degré : les soldats s'entraînant au tir du M16 sur les moindres moineaux en plein cœur de Danang... Tout comme toi, je ne pourrais souffrir l'enfer d'un monde qui se serait à ce point déshumanisé que les oiseaux se seraient tus à jamais.

Bonjour Lucien,

Je suis très touché par ton passage sur mes mots et ton généreux commentaire. Merci infiniment !

Amitiés.

Roger.

Tu connais certainement cette chanson de Lorca, longtemps interdite sous le régime de Franco, parce que l'évocation de la colombe assassinée était insupportable au dictateur :

En la calle de los Muros
han matado una paloma,
han matado una paloma.
Yo cortaré con mis manos
las flores de su corona,
las flores de su corona...