Cri d'alarme

hou ! la! la !
C'est du triste "costaud"....aujourd'hui....

J'espère que tout ce la n'a pas été saisi en de mêmes temps, ni de mêmes espaces....

C'est poutant vrai que tout cela existe....mais nous n'avons que peu de temps en notre seule vie de voir cela changer....bien sûr on fait des efforts pour certains..pour participer à l'évolution collective d'un meilleur demain....

Mais c'est vrai que les enjeux dépassent bien vite nos humbles ambitions de bonheurs....et noient le peu d'effort local ou individuel....que nous cherchons à mettre au service du plus grand nombre...

Trouvons nos places dans des aurores à faire partager..au plus vite.....

Mais où sont les aurores me direz-vous ? ....et bien commençons peut-être par nos plumes....

Qui comme la tienne ouvre des prises de conscience qui sèment les grains d'une conscience collective rassemblée autour des meilleures valeurs pour demain...;

Hou ! la ! la ...j"ai bavardé..mais ce poème m'a vraiment "remuée" .....





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Je serais tenter de dire que ce cri d'alarme est lancé depuis la nuit des temps... la cour des miracles et la pauvreté de ces temps pourraient venir attester mon écrit.
Depuis que le monde est monde il en a été ainsi... les plus forts profitant des plus pauvres, le profit dédaignant le partage, l'égoïsme étroitement lié à la bassesse. Et les caniveaux se perdant dans les hauts du pavé...

D'ailleurs, tenir le haut du pavé, vient tout simplement qu'à l'époque les rues étaient en V incurvé... les gens de la "haute", marchaient donc allègrement au milieu de la route pavée, tandis que le "petit peuple" marchait dans le caniveau où s'accumulaient eau de pluie, déjections et autres...

Les temps n'ont pas changé en plusieurs centaines de siècles, ils ne changeront pas demain.

Mais c'est un bel écrit dans tous les cas.

Amicales pensées

Merci de ta visite, pagnolesque. Comme tu le dis: " les temps n'ont pas changé, il ne changeront pas demain", d'où la nécessité d'aller se restaurer dans la nature, l'air pur, les senteurs, les miroitements, la découverte...
Amitiés.

Roger.

Même si ce constat n'est pas récent comme le dit Pagnolesque, il n'en est pas moins que cette dégradation semble s'accentuer inexorablement.

Ce cri reste nécessaire et il est remarquablement bien modulé.

Amicalement, Pierre

Merci Pierre.

Amicalement.

Roger.

J'aime ce texte, par son message mais aussi par le choix des mots, le mélange des registres ; c'est très bien fait, et ça donne plus de caractère, plus de piquant je trouve.