Trouver mon chemin dans l'errance

https://www.youtube.com/watch?gl=FR&hl=fr&v=f5VkEB0EMAo

C'est bien réussi je trouve, l'histoire se tient avec des mots simples
Bravo

Oui dès le premier jour de notre vie, le décompte s’égrène, avec le sentiment, parfois de presque toucher du bout de l'âme cette fuyante éternité...presque un supplice! lol
S'évader ou se résigner...pas le choix!

A ton texte, j'ose un autre écho un peu plus noir, mais pas si tant...lol
Un peu plus à slamer peut-être?
La vie me prend

J'aimé te lire encore une fois

Tof

Claude a écrit:

C'est bien réussi je trouve, l'histoire se tient avec des mots simples
Bravo

Merci à toi. Je n'ai pas l'habitude d'employer des mots qui sortent des sentiers battus. Un poème se doit d'être compris par tout à chacun aussi je laisse à d'autres l'usage de mots dont le dictionnaire est indispensable à en comprendre le sens, puis le sens donné dans le texte. Il y a tant de choses à dire, tant à offrir simplement avec de jolis mots simples.
Merci pour ton aimable commentaire.

tofka a écrit:

Oui dès le premier jour de notre vie, le décompte s’égrène, avec le sentiment, parfois de presque toucher du bout de l'âme cette fuyante éternité...presque un supplice! lol
S'évader ou se résigner...pas le choix!

A ton texte, j'ose un autre écho un peu plus noir, mais pas si tant...lol
Un peu plus à slamer peut-être?
La vie me prend

J'aimé te lire encore une fois

Tof

Merci Tofka. J'irai voir ce texte que tu me cites. Quant à ce poème, j'avoue que la mélodie et la musique de ce chant religieux m'ont toujours fait vibrer et que ce soir, en quelques jets de plume, je n'ai pas résister à l'envie d'écrire avec cette mélodie en tête.
Poétiquement

Je trouve également que c'est bien réussi! Bravo, l'ami!
Bien amicalement,

pagnolesque a écrit:

Ma route me mène vers Dieu,
Sachant que dans sa bienveillance
Il a fleuri pour moi ce lieu.

Pour mon compte je ne suis pas si certaine que Dieu soit jardinier, je suis le ême chemin que toi et le plus lentement possible

Anje a écrit:

pagnolesque a écrit:

Ma route me mène vers Dieu,
Sachant que dans sa bienveillance
Il a fleuri pour moi ce lieu.

Pour mon compte je ne suis pas si certaine que Dieu soit jardinier, je suis le ême chemin que toi et le plus lentement possible

Peut-être que nous n'avons pas les mêmes maux ni les mêmes souffrances. En ce qui concerne les jardins de Dieu, je crois qu'il n'a pas besoin d'être jardinier et pour cela je m'en réfère au "psaume de la création"... Il n'était ni jardinier, ni potier... simplement pasteur ou berger pour un troupeau qui s'égarait déjà il y a des millénaires.

Ithaque a écrit:

Je trouve également que c'est bien réussi! Bravo, l'ami!
Bien amicalement,

Merci Ithaque. Toujours un plaisir que de lire tes commentaires.

Amitiés

Un texte réaliste terriblement triste par le sentiment inéluctable qu'il dégage, même si
l'écriture reflète une forme de résilience qui par moment semble aller vers la joie.
Bien exprimé cette ambivalence, sur un fait des plus tristes et pourtant tellement courant et affreusement "naturel".


Merci de ce partage pagnol.

Evelyne* a écrit:

Un texte réaliste terriblement triste par le sentiment inéluctable qu'il dégage, même si
l'écriture reflète une forme de résilience qui par moment semble aller vers la joie.
Bien exprimé cette ambivalence, sur un fait des plus tristes et pourtant tellement courant et affreusement "naturel".


Merci de ce partage pagnol.

Partir ainsi, en ayant la foi, c'est partir dans la joie sans avoir peur de la mort. Après tout, ce n'est pas tant la mort qui fait peur, c'est la façon dont nous y parviendrons.
Merci pour ton commentaire et ton analyse toujours aussi pertinente.

joli, de quoi mourir pépér
Sans oublié qu'on peu vivre la paix dans l'âme et trouver le paradis sur terre.

PS: celui qui trouve ça triste a rien compris a rien sans vouloir vexer personne, suffit de pas être borné (mort né).

Léo a écrit:

joli, de quoi mourir pépér

PS: celui qui trouve ça triste a rien compris a rien sans vouloir vexer personne

Merci de ton passage Léo. Oui, partir pépère lol ! une bonne expression. Pour l'avoir déjà frôlée à maintes reprises, je crois savoir maintenant que l'important est de partir le coeur serein et de ne pas pleurer sur son sort puisqu'il est le même pour tous.
Amicalement

c'est tjs un plaisir. Je dirais même que celui qui ce plein forge son propre enfer

la ou je te suis pas par contre c'est cette vie sans enjeu, l'enjeu c'est justement de partir PPR et vu qu'on peu partir a tout moment l'enjeu c'est d'être tout le temps PPR

Partir serein c'est l'essentiel ! Un peu vieillot mais c'était le rôle de l’extrême-onctionquand elle était pratiquée honnêtement.
Mais avant de mourir, il faut penser à vivre, en profiter sans nuire aux autres parce que la vie ici-bas, j'en ai une vague idée.
Mais la mort j'ignore ! alors d'elle je m'en fous et j'en ris.
Par expérience, on se fait un monde de toutes les premières fois et souvent on en garde un bon souvenir, une découverte insoupçonnée.
Je suis persuadée qu'il en sera pareil de ma mort, à la nuance près que je n'arriverai peut-être pas à convaincre mes proches que mon absence n'est pas si terrible ! Imaginez le silence pour mon compagnon qui se plaint de mon babillage ! Hein ?

Anje a écrit:

Partir serein c'est l'essentiel ! un peu vieillot mais c'était le rôle de l’extrême-onction quand elle était pratiquer honnêtement.
Mais avant de mourir, il faut penser à vivre en profiter sans nuire aux autres parce que la vie ici-bas, j'en ai une vague idée
mais la mort j'ignore alors d'elle j'en fous et j'en ris.
Par expérience, on se fait un monde de toutes les premières fois et souvent on en garde un bon souvenir, une découverte insoupçonnée,
je suis persuadée qu'il en sera pareil de ma mort, à la nuance près que je n'arriverai peut-être pas à convaincre mes proches que mon absence n'est pas si terrible ! Imaginez le silence pour mon compagnon qui se plaint de mon babillage ! Hein ?

Du mal, je l'avoue, à suivre ton ou tes idée(s) dans ton commentaire... je suppose que tu remets en doute le rôle des prêtres dans l'acte même de l'extrême-onction ce que, personnellement j'ai du mal à saisir d'autant plus que la foi m'a été d'un grand secours.
Profiter de la vie sans nuire aux autres ? Je ne pense pas avoir dans ce poème laissé entendre qu'il fallait nuire à son prochain, je l'ai écrit en pensant à ce que j'ai vécu, car moi aussi j'ai de l'expérience et de toute évidence plus que toi puisque j'ai frôlé la mort en 2002 puis en 2010 avec 37 jours de coma durant lequel le pronostic vital fut à ce point engagé que les médecins décidèrent de prévenir ma fille pour qu'elle même informe ma famille qu'il n'y avait plus d'espoir. Durant ce coma j'ai vu des personnes mortes depuis bien des années, j'ai vécu l'enfer sans jeu de mot car, malgré les maladies, le cerveau lui fonctionnait encore. Lorsque j'ai repris vraiment connaissance un certain 22 janvier 2011 à la surprise générale, j'étais entièrement paralysé et dans l'impossibilité de parler puisque j'avais une trachéotomie et une assistance cardio-respiratoire ! Et plus que tout, j'étais complètement désorienté car entré conscient en décembre pensant à un AVC, on m'annonçait plus d'un mois plus tard qu'on était déjà le 22 janvier que par là même, j'avais raté un Noël et un jour de l'an prévu de longue date avec mes enfants et pour lesquels tout était déjà prêt, cadeaux, courses, menus.
Alors dire qu'on se fout de la mort est relativement outrageant pour celles et ceux qui l'ont "presque" connue. Alors, PAR EXPERIENCE, si on peut ne pas craindre la mort, on ne doit surtout pas se foutre de la façon dont elle nous prendra.
Enfin, l'étrangeté de ton commentaire tient dans le fait que tu ne traites pas du sujet sur la forme ou le fond (si ce n'est en donnant ta propre idée) ce qui le rend pour moi peu compréhensible.
Désolé pour cette incompréhension, mais quand je ne comprends pas, tout comme quand je n'aime pas je le dis, ce qui chez moi peut être une défaut.

Je ne remets pas en cause le rôle des prêtres bien au contraire mais la disparition de ce rôle difficile d'accompagner une personne en fin de vie.

Je n'ai rien dit d'autre qu'il faut apprécier la vie.
La mort, je n'ai pas vécu comme chacun d'entre nous sinon nous ne serions pas là pour en débattre.
Quand je dis je me fous de la mort, je veux dire que chaque chose en son temps
je refuse de me pourrir la vie en pensant à la mort dont j'ignore tout.
Inutile de prendre ombrage de mon commentaire qui ne se voulait pas insultant. Amicalement Anje

Anje a écrit:

Je ne remets pas en cause le rôle des prêtres bien au contraire mais la disparition de ce rôle difficile d'accompagner une personne en fin de vie.

Je n'ai rien dit d'autre qu'il faut apprécier la vie.
La mort, je n'ai pas vécu comme chacun d'entre nous sinon nous ne serions pas là pour en débattre.
Quand je dis je me fous de la mort, je veux dire que chaque chose en son temps
je refuse de me pourrir la vie en pensant à la mort dont j'ignore tout.
Inutile de prendre ombrage de mon commentaire qui ne se voulait pas insultant. Amicalement Anje

Désolé, je n'avais rien compris, comme je l'ai dit, à ton commentaire, et comme je l'ai dit aussi, lorsque je ne comprends pas ou lorsque je n'aime pas je ne m'en cache pas. Si j'ai conté en détail ce qui m'est arrivé c'est pour te faire comprendre que oui il faut profiter de la vie car à tout instant la mort peut venir rôder, mais en aucun cas je n'ai pris ombrage car depuis deux ans maintenant, il en faut bien plus pour me mettre hors de moi.
Poétiquement