LA DOUCEUR DU FOYER

LA DOUCEUR DU FOYER

Le temps n'existe pas dans ma demeure là-bas,
Rejoint vite mes pas et notre bonheur sera.
Mais toujours dans tes bras je ne suis jamais las ,
D'être un peu le prélat que ton âme éclaira.

Vient vite te réchauffer au lieu félicité,
Que tes rêves éclairés t'avaient ainsi forgé.
Mais rien qu'à y songer je me suis rapproché,
Nos couleurs se marriées dans un éclat bleuté.

Tes doux rires effrénés qui viennent à me manquer,
Ton sourire adoré qui venait m'embraser.
Mon coeur tant adoré ne peu plus s'exprimer,
Il est désespéré de n'être secondé.

Oh! Douceur du foyer de deux être enlacés,
Tu m'a longtemps manqué mais jamais oublié.
Revient vite mon été pour être à ma porté,
Etre enfin rassemblé , finir notre destinée.