Si toi aussi, tu entends souvent ton cœur parler à ta plume, viens déposer tes escarpins dans l'empreinte de nos pas.
Tu pourras alors alimenter cette rivière afin qu'elle devienne un fleuve prolifique de douceurs où tous, nous venons à notre tour, pour y tremper notre plume féconde.
Et cet affluent de pensées innombrables finit sa course magnifique dans un océan de lumières.
J'aime cet idée de partage.
Elle devrait régir le monde sans aucune faille.
Pour que nous regardions tous dans la même direction.
C'est pour cette raison que nous aimons tant la poésie... Et les poètes !...
Gérard SANDIFORT alias Sandipoete
Forum poétique
Si toi aussi, tu entends souvent ton cœur parler à ta plume, viens déposer tes escarpins dans l'empreinte de nos pas.
Tu pourras alors alimenter cette rivière afin qu'elle devienne un fleuve prolifique de douceurs où tous, nous venons à notre tour, pour y tremper notre plume féconde.
Et cet affluent de pensées innombrables finit sa course magnifique dans un océan de lumières.
J'aime cet idée de partage.
Elle devrait régir le monde sans aucune faille.
Pour que nous regardions tous dans la même direction.
C'est pour cette raison que nous aimons tant la poésie... Et les poètes !...
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Nombre de messages : 346 Age : 73 Localisation : Ile de France Date d'inscription : 25/08/2011
Sujet: L’oxygène de l’amour. Dim 25 Sep 2011 - 15:31
L’oxygène de l’amour se reflète dans le scintillement de peu ou de tout, Lorsqu’il est pur il n’y a pas de remous, Simplement les paroles d’une personne, Et le tout Paris résonne.
L’oxygène de l’amour n’est pas dans ce que l’on croit, Dans une mèche égarée de l’homme, Où un silence qui se donne, Dans le rêve de la tromperie qui se noie.
L’homme se rassure en cherchant la mère, Et la femme, le père, Dans ce cas l’amour se montre hypocrite, Alors il se consume très vite.
L’homme est un moteur parfois antipathique, Il n’a de cesse que sa libido électrique, Il s’éparpille souvent dans un refrain sympathique, Où jusqu’à violer dans des paroles symboliques.
La femme est le complément de l’homme, A condition de ne pas rencontrer un regard qui frôle, Simplement elle recherche un sentiment, Pour elle, la pure sincérité et dans le vent.
La sincérité, l’homme n’en a pas souvent, Il lâche sa proie dans le courant, La femme rêve dans les sentiments, Et pourtant, et pourtant.
L’homme aime sa femme par soustraction d’une autre, Pour ne pas la tromper il garde la tête haute, Mais sa vérité est ailleurs, Pour se rassurer dans les frayeurs.
La femme n’est pas seulement l’équation de l’homme, Elle est en rivalité dans les cœurs qui s’abandonnent, Pour ne pas se laisser écrasée devant un macho, Elle préfère les gestes tendres d’un rigolo.
L’amour ressemble à des discours sans fin, Où sa tête et son cerveau ne peuvent rien, Il se résume dans le craquement d’une allumette, Et alors là c’est la fête.
La jalousie est un poison qui a un prix, Celui des trois fois rien dans le mépris, Simplement se révéler dans sa vérité, Pour partir dans des chemins égarés.
A l’amour je préfère l’amitié, Qui seule sait me regarder, Dans une singularité bien conservée, Où ma vie entière est entamée.
L’amour est souvent un défit sur la vie, Mais l’amitié est ma seule harmonie, Qui me rassure quand elle est sincère, Mais cela ne date pas d’hier.