l'espoir.

encore un ancien texte... à cette époque, je ne réussissais pas à être léger, voire drôle, dans mes textes. j'étais un auteur "sérieux", moi, madame, quand j'étais jeune !



L’ESPOIR...

L'espoir s'en est allé d'où le chagrin s'installe.
De tant de jolis yeux je vois couler des pleurs
Et de la terre humide où sont fauchées les fleurs,
Un lourd parfum de mort tout doucement s'exhale.

De tes si jolis yeux je vois couler des pleurs.
Ils pourraient nettoyer cette terre trop sale
D'où le parfum de mort à chaque instant s'exhale
Qui aide à faire ainsi survivre le malheur.

On ne peut nettoyer cette terre trop sale,
Nous manquons pour cela de l'humaine chaleur.
C'est elle qui permet de survivre au malheur
Et sans elle on entend l'humanité qui râle.

Qui souffre et ne demande qu'un peu de chaleur
Pour que puisse changer ce monde sans morale.
Oh, vous tous, écoutez l'humanité qui râle,
La triste humanité qui se noie dans ses pleurs.