Coeur submersible

J’entre en gravitation dans l’apnée onirique
Frénésie de l’herbier, dévotion synthétique
Tentation du corail, daurade schizophrène
Communion, damnation, logorrhée d’oxygène
Je capte en confession de décadentes vestales
Confrontant leur folie d’un sang froid amoral
Soupirs existentiels érigés sur la lyre
Flux de mes souvenirs expirés en martyres
Le crotale qui serpente au sein des fours à pains
souffle à mon inconscience des murailles de chagrin
Redonnez-moi l’espoir, torturé sur la route
J’adorais une étoile, suis-je à l’orée du doute ?
Pourrais-je y déroger, retisser une trame ?
Les sentiments se forgent au creuset de nos larmes
La punition est juste, mais triste la couleur
de ce tableau sinistre : ma volonté en pleurs
Difficile d’acter choix quand on ne sait la fin
J’ai les mots bleus au cœur et du baume sur les mains

Hou la la, désolé mais je crois que j'ai encore

j'entends la siréne des six reines
o si reine , l'étoile du berger m'amène
au detour de venus j'enrtrevois ma siréne
je t'offre le voyage si tu trouvves six rennes


amitiés poétiques

Féra

Bonjour Floc,

J'ai beaucoup aimé les quatre premiers vers, un moment de poesie bien attapé, le reste ne m'a pas déplu, bonjour à la daurade schizophrène ! ;)

David

David, je ne manquerai pas de la saluer de ta part lorsque je la croiserai, enfin si elle ne se fait pas