"Je t'absous dans l'absolu abyssal de nos vie d'agriculteur en-jardineur de terre arable, arabe ?"
Pas d'anaphore, Anna parle trop fort pour couvrir le bruit de l'aspirateur râleur. Il y a du bestial en elle, rien qu'à voir son capharnaüm, sa vous rendrai un cafard mélancolique, pas son chat de chine, lui, il supporte tout tant qu'on lui donne sa pâté -de luxe- à heure fixe. Il réclame à corps et à cri sur le coups de huit heure qu'on le couve, couvre de câlin et de bouffe. Anna ne crois en rien, le crucifié au dessus de sa porte est là pour faire bien, il est plus délétère qu'autre chose, avec un peu de bol, c'est la varice qu'il nous refilera, mieux vaut filer avant. D'ailleurs, avant qu'elle ne s'installe -instable- ici, c'était un désert, du jaune sur papier peint, horrible sa va s'en dire, mais quand la clinquante et étincelante est arriver, sa nous a fait un choc. C'était y a longtemps, pas tant que sa, mais en apiculteur avisé je me suis saisi d'un extincteur pour éteindre tout se faux feu de forêt en strass et plume. Anna est une fiction, enfin, elle devrai l'être sa serrait plus reposant, surtout si elle vivait dans une autre galaxie... Mais non, elle est là, immobile, inéluctablement et avec tout ses globule blanc fonctionnel, c'est pas son christ pourri qui la rendra malade, tant pis pour nous, Dieu ne nous ferra pas grâce. De façon hypothétique on a posé une hypothèque sur sa bicoque en bordel, sa nous aurais rien rapporte, on a jeter l'hypothèse dans la marre des illusions perdu, c'était certain, elle ne valais pas un clou Anna, son chat et ses impatience jaune, de toute façon il est improbable que quelqu'un eux déboursé un centime pour son merdiez, non, vraiment, on l'a sur le dos, et pour longtemps encore, avec ces iris dans les cheveux et son jardin en champ de bataille irisé par le soleil couchant. Sa en jette mais sa fouette l'humidité rance à heure du thé. Depuis tout se temps, on lui connais pas de liaison, ni avec un homme, ni avec un chien, rien de rien, tout les jours le manège quotidien, une horloge bien graissé à l'huile. Enfin, qui aurait voulus affronter son entre au allure médiévale de crasse et de pourriture à la nature si sauvage et inaccueillant ? Pourtant, l'Anna elle est jolie avec son nez aquilin de sorcière datant d'après la Grimm compagnie, ses ongles cassé et ses dents noir et inégale à force de manger du pain pourrit. Oui, elle vous ferrait tomber en pâmoison sur son paillasson, sans mal. Quand on la connais un peu, de vu, de loin, on le sais, elle raffole des vieux bout de papier plus ou moins propre, elle utilise des craie pastel, parce qu'elle pense que passer un coup de tel sa vaut moins le cou que ces croûtes. Comme elle peu pas en vivre, elle va partout "piedibus", façon de dire qu'elle à pas le fric pour y allez en bus, alors elle use ces chaussures, elle est précieuse et pas prête à prêter un kopeck à qui que se soit, non elle garde tout -le peu qu'elle à- pour elle. La nuit tomber, Anna, elle allume des photophores un peu partout dans son pyjama délaver, et lover dans un bocal il y a son python qui siffle, elle dit qu'il ronronne -mais le sommelier à peine franchis la porte à reculer face aux serpent, on plaisante pas avec le venin et toute ses tarentules en liberté dans la pièce draper de tulle et de tissus déchirer. De ma fenêtre je suis comme au théâtre, le théâtre de sa vie bien régler jusque dans sa folie, jolie, qui la fait tintinnabuler en bulle de non sens, mieux qu'un pinson en parade. C'est pas le tramway du désir, il serait mal nommé, mais malgré tout Anna, en secret je l'appelle la vénérable et je lui déposes des myriades de craie pastel violette pour ces tableau exécrable. Je lui doit bien sa, à la passeuse de temps. De ma fenêtre, Anna vit dans son taudis et je la regarde.