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| | Cette histoire est celle de Jean le Poète | |
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+5Yves Le Guern philippe de neuville lulli Lunessences sandipoete 9 participants | |
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| Sujet: Cette histoire est celle de Jean le Poète Mer 7 Mar 2007 - 15:02 | |
| Rappel du premier message :
CETTE HISTOIRE EST CELLE DE JEAN LE POETE
Jean le Poète était un | |
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apogon Membre d'honneur
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| Sujet: Re: Cette histoire est celle de Jean le Poète Sam 31 Mar 2007 - 22:07 | |
| Jean le Poète était un homme banal qui comprenait bien le Chinois. Il adorait écrire des tas d'énormités. Sa passion était toujours de détailler les limericks (was?), les haïkus que les Européens écrivent sans savoir où les emmèneront les aléas. Libertin, imaginatif mais joueur invétéré, perdant sa fortune et sa notoriété spontanément, il avait rêvé que vivre serait fastueux comme dépenser sans honte ni retenue, pourtant il exagérait beaucoup ! Manger, s'enivrer, forniquer toute effronterie incluse mais écrire, ivresse sensuelle, abrogation de moralité et luxure omniprésente, le coeur toujours prêt d'exploser. Son ambition n'avait point de rivale et sa passion rendait impossible toute démence intellectuelle. Pourtant, souvent déçu, il entreprenait des révisions systématiques de ses abattis qu'il emmitouflait dans une espèce d'adorable pantalon gras, décousu, sans fermeture-éclair. Aujourd'hui, il n'avait point oublié la somme d'efforts fournis par son énorme vit qu'il manipulait toujours dextrement afin d'extraire toute la moelle de son pauvre membre fatigué... Décidément, Jean devait tout faire seul ! Même se vivifier l'esprit qui battait fortement la chamade. Pourtant, sa passion reprenait toujours le dessus en bémol majeur; Quel trublion mirobolant, menteur, casanier, rancunier, obsédé par versifier ce que seul possédait son coeur. Oublier toutes ces niaiseries, stupidités écrites, énormités, pensées réactionnaires débiles qui pervertissaient ses _________________ | |
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| Sujet: Re: Cette histoire est celle de Jean le Poète Lun 2 Avr 2007 - 11:52 | |
| Jean le Poète était un homme banal qui comprenait bien le Chinois. Il adorait écrire des tas d'énormités. Sa passion était toujours de détailler les limericks (was?), les haïkus que les Européens écrivent sans savoir où les emmèneront les aléas. Libertin, imaginatif mais joueur invétéré, perdant sa fortune et sa notoriété spontanément, il avait rêvé que vivre serait fastueux comme dépenser sans honte ni retenue, pourtant il exagérait beaucoup ! Manger, s'enivrer, forniquer toute effronterie incluse mais écrire, ivresse sensuelle, abrogation de moralité et luxure omniprésente, le coeur toujours prêt d'exploser. Son ambition n'avait point de rivale et sa passion rendait impossible toute démence intellectuelle. Pourtant, souvent déçu, il entreprenait des révisions systématiques de ses abattis qu'il emmitouflait dans une espèce d'adorable pantalon gras, décousu, sans fermeture-éclair. Aujourd'hui, il n'avait point oublié la somme d'efforts fournis par son énorme vit qu'il manipulait toujours dextrement afin d'extraire toute la moelle de son pauvre membre fatigué... Décidément, Jean devait tout faire seul ! Même se vivifier l'esprit qui battait fortement la chamade. Pourtant, sa passion reprenait toujours le dessus en bémol majeur; Quel trublion mirobolant, menteur, casanier, rancunier, obsédé par versifier ce que seul possédait son coeur. Oublier toutes ces niaiseries, stupidités écrites, énormités, pensées réactionnaires débiles qui pervertissaient ses oeuvres | |
| | | Yves Le Guern Grimoirien
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| Sujet: Re: Cette histoire est celle de Jean le Poète Lun 2 Avr 2007 - 19:00 | |
| Jean le Poète était un homme banal qui comprenait bien le Chinois. Il adorait écrire des tas d'énormités. Sa passion était toujours de détailler les limericks (was?), les haïkus que les Européens écrivent sans savoir où les emmèneront les aléas. Libertin, imaginatif mais joueur invétéré, perdant sa fortune et sa notoriété spontanément, il avait rêvé que vivre serait fastueux comme dépenser sans honte ni retenue, pourtant il exagérait beaucoup ! Manger, s'enivrer, forniquer toute effronterie incluse mais écrire, ivresse sensuelle, abrogation de moralité et luxure omniprésente, le coeur toujours prêt d'exploser. Son ambition n'avait point de rivale et sa passion rendait impossible toute démence intellectuelle. Pourtant, souvent déçu, il entreprenait des révisions systématiques de ses abattis qu'il emmitouflait dans une espèce d'adorable pantalon gras, décousu, sans fermeture-éclair. Aujourd'hui, il n'avait point oublié la somme d'efforts fournis par son énorme vit qu'il manipulait toujours dextrement afin d'extraire toute la moelle de son pauvre membre fatigué... Décidément, Jean devait tout faire seul ! Même se vivifier l'esprit qui battait fortement la chamade. Pourtant, sa passion reprenait toujours le dessus en bémol majeur; Quel trublion mirobolant, menteur, casanier, rancunier, obsédé par versifier ce que seul possédait son coeur. Oublier toutes ces niaiseries, stupidités écrites, énormités, pensées réactionnaires débiles qui pervertissaient ses oeuvres. Il | |
| | | sandipoete Fondateur
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| Sujet: Re: Cette histoire est celle de Jean le Poète Lun 2 Avr 2007 - 21:42 | |
| Jean le Poète était un homme banal qui comprenait bien le Chinois. Il adorait écrire des tas d'énormités. Sa passion était toujours de détailler les limericks (was?), les haïkus que les Européens écrivent sans savoir où les emmèneront les aléas. Libertin, imaginatif mais joueur invétéré, perdant sa fortune et sa notoriété spontanément, il avait rêvé que vivre serait fastueux comme dépenser sans honte ni retenue, pourtant il exagérait beaucoup ! Manger, s'enivrer, forniquer toute effronterie incluse mais écrire, ivresse sensuelle, abrogation de moralité et luxure omniprésente, le coeur toujours prêt d'exploser. Son ambition n'avait point de rivale et sa passion rendait impossible toute démence intellectuelle. Pourtant, souvent déçu, il entreprenait des révisions systématiques de ses abattis qu'il emmitouflait dans une espèce d'adorable pantalon gras, décousu, sans fermeture-éclair. Aujourd'hui, il n'avait point oublié la somme d'efforts fournis par son énorme vit qu'il manipulait toujours dextrement afin d'extraire toute la moelle de son pauvre membre fatigué... Décidément, Jean devait tout faire seul ! Même se vivifier l'esprit qui battait fortement la chamade. Pourtant, sa passion reprenait toujours le dessus en bémol majeur; Quel trublion mirobolant, menteur, casanier, rancunier, obsédé par versifier ce que seul possédait son coeur. Oublier toutes ces niaiseries, stupidités écrites, énormités, pensées réactionnaires débiles qui pervertissaient ses oeuvres. Il préférait | |
| | | apogon Membre d'honneur
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| Sujet: Re: Cette histoire est celle de Jean le Poète Lun 2 Avr 2007 - 22:54 | |
| Jean le Poète était un homme banal qui comprenait bien le Chinois. Il adorait écrire des tas d'énormités. Sa passion était toujours de détailler les limericks (was?), les haïkus que les Européens écrivent sans savoir où les emmèneront les aléas. Libertin, imaginatif mais joueur invétéré, perdant sa fortune et sa notoriété spontanément, il avait rêvé que vivre serait fastueux comme dépenser sans honte ni retenue, pourtant il exagérait beaucoup ! Manger, s'enivrer, forniquer toute effronterie incluse mais écrire, ivresse sensuelle, abrogation de moralité et luxure omniprésente, le coeur toujours prêt d'exploser. Son ambition n'avait point de rivale et sa passion rendait impossible toute démence intellectuelle. Pourtant, souvent déçu, il entreprenait des révisions systématiques de ses abattis qu'il emmitouflait dans une espèce d'adorable pantalon gras, décousu, sans fermeture-éclair. Aujourd'hui, il n'avait point oublié la somme d'efforts fournis par son énorme vit qu'il manipulait toujours dextrement afin d'extraire toute la moelle de son pauvre membre fatigué... Décidément, Jean devait tout faire seul ! Même se vivifier l'esprit qui battait fortement la chamade. Pourtant, sa passion reprenait toujours le dessus en bémol majeur; Quel trublion mirobolant, menteur, casanier, rancunier, obsédé par versifier ce que seul possédait son coeur. Oublier toutes ces niaiseries, stupidités écrites, énormités, pensées réactionnaires débiles qui pervertissaient ses oeuvres. Il préférait dormir | |
| | | sandipoete Fondateur
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| Sujet: Re: Cette histoire est celle de Jean le Poète Mar 3 Avr 2007 - 10:44 | |
| Jean le Poète était un homme banal qui comprenait bien le Chinois. Il adorait écrire des tas d'énormités. Sa passion était toujours de détailler les limericks (was?), les haïkus que les Européens écrivent sans savoir où les emmèneront les aléas. Libertin, imaginatif mais joueur invétéré, perdant sa fortune et sa notoriété spontanément, il avait rêvé que vivre serait fastueux comme dépenser sans honte ni retenue, pourtant il exagérait beaucoup ! Manger, s'enivrer, forniquer toute effronterie incluse mais écrire, ivresse sensuelle, abrogation de moralité et luxure omniprésente, le coeur toujours prêt d'exploser. Son ambition n'avait point de rivale et sa passion rendait impossible toute démence intellectuelle. Pourtant, souvent déçu, il entreprenait des révisions systématiques de ses abattis qu'il emmitouflait dans une espèce d'adorable pantalon gras, décousu, sans fermeture-éclair. Aujourd'hui, il n'avait point oublié la somme d'efforts fournis par son énorme vit qu'il manipulait toujours dextrement afin d'extraire toute la moelle de son pauvre membre fatigué... Décidément, Jean devait tout faire seul ! Même se vivifier l'esprit qui battait fortement la chamade. Pourtant, sa passion reprenait toujours le dessus en bémol majeur; Quel trublion mirobolant, menteur, casanier, rancunier, obsédé par versifier ce que seul possédait son coeur. Oublier toutes ces niaiseries, stupidités écrites, énormités, pensées réactionnaires débiles qui pervertissaient ses oeuvres. Il préférait dormir, rêvant | |
| | | Yves Le Guern Grimoirien
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| Sujet: Re: Cette histoire est celle de Jean le Poète Mar 3 Avr 2007 - 17:55 | |
| Jean le Poète était un homme banal qui comprenait bien le Chinois. Il adorait écrire des tas d'énormités. Sa passion était toujours de détailler les limericks (was?), les haïkus que les Européens écrivent sans savoir où les emmèneront les aléas. Libertin, imaginatif mais joueur invétéré, perdant sa fortune et sa notoriété spontanément, il avait rêvé que vivre serait fastueux comme dépenser sans honte ni retenue, pourtant il exagérait beaucoup ! Manger, s'enivrer, forniquer toute effronterie incluse mais écrire, ivresse sensuelle, abrogation de moralité et luxure omniprésente, le coeur toujours prêt d'exploser. Son ambition n'avait point de rivale et sa passion rendait impossible toute démence intellectuelle. Pourtant, souvent déçu, il entreprenait des révisions systématiques de ses abattis qu'il emmitouflait dans une espèce d'adorable pantalon gras, décousu, sans fermeture-éclair. Aujourd'hui, il n'avait point oublié la somme d'efforts fournis par son énorme vit qu'il manipulait toujours dextrement afin d'extraire toute la moelle de son pauvre membre fatigué... Décidément, Jean devait tout faire seul ! Même se vivifier l'esprit qui battait fortement la chamade. Pourtant, sa passion reprenait toujours le dessus en bémol majeur; Quel trublion mirobolant, menteur, casanier, rancunier, obsédé par versifier ce que seul possédait son coeur. Oublier toutes ces niaiseries, stupidités écrites, énormités, pensées réactionnaires débiles qui pervertissaient ses oeuvres. Il préférait dormir, rêvant en | |
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| Sujet: Re: Cette histoire est celle de Jean le Poète Mar 3 Avr 2007 - 17:56 | |
| Jean le Poète était un homme banal qui comprenait bien le Chinois. Il adorait écrire des tas d'énormités. Sa passion était toujours de détailler les limericks (was?), les haïkus que les Européens écrivent sans savoir où les emmèneront les aléas. Libertin, imaginatif mais joueur invétéré, perdant sa fortune et sa notoriété spontanément, il avait rêvé que vivre serait fastueux comme dépenser sans honte ni retenue, pourtant il exagérait beaucoup ! Manger, s'enivrer, forniquer toute effronterie incluse mais écrire, ivresse sensuelle, abrogation de moralité et luxure omniprésente, le coeur toujours prêt d'exploser. Son ambition n'avait point de rivale et sa passion rendait impossible toute démence intellectuelle. Pourtant, souvent déçu, il entreprenait des révisions systématiques de ses abattis qu'il emmitouflait dans une espèce d'adorable pantalon gras, décousu, sans fermeture-éclair. Aujourd'hui, il n'avait point oublié la somme d'efforts fournis par son énorme vit qu'il manipulait toujours dextrement afin d'extraire toute la moelle de son pauvre membre fatigué... Décidément, Jean devait tout faire seul ! Même se vivifier l'esprit qui battait fortement la chamade. Pourtant, sa passion reprenait toujours le dessus en bémol majeur; Quel trublion mirobolant, menteur, casanier, rancunier, obsédé par versifier ce que seul possédait son coeur. Oublier toutes ces niaiseries, stupidités écrites, énormités, pensées réactionnaires débiles qui pervertissaient ses oeuvres. Il préférait dormir, rêvant en poète | |
| | | Yves Le Guern Grimoirien
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| Sujet: Re: Cette histoire est celle de Jean le Poète Mar 3 Avr 2007 - 21:32 | |
| Jean le Poète était un homme banal qui comprenait bien le Chinois. Il adorait écrire des tas d'énormités. Sa passion était toujours de détailler les limericks (was?), les haïkus que les Européens écrivent sans savoir où les emmèneront les aléas. Libertin, imaginatif mais joueur invétéré, perdant sa fortune et sa notoriété spontanément, il avait rêvé que vivre serait fastueux comme dépenser sans honte ni retenue, pourtant il exagérait beaucoup ! Manger, s'enivrer, forniquer toute effronterie incluse mais écrire, ivresse sensuelle, abrogation de moralité et luxure omniprésente, le coeur toujours prêt d'exploser. Son ambition n'avait point de rivale et sa passion rendait impossible toute démence intellectuelle. Pourtant, souvent déçu, il entreprenait des révisions systématiques de ses abattis qu'il emmitouflait dans une espèce d'adorable pantalon gras, décousu, sans fermeture-éclair. Aujourd'hui, il n'avait point oublié la somme d'efforts fournis par son énorme vit qu'il manipulait toujours dextrement afin d'extraire toute la moelle de son pauvre membre fatigué... Décidément, Jean devait tout faire seul ! Même se vivifier l'esprit qui battait fortement la chamade. Pourtant, sa passion reprenait toujours le dessus en bémol majeur; Quel trublion mirobolant, menteur, casanier, rancunier, obsédé par versifier ce que seul possédait son coeur. Oublier toutes ces niaiseries, stupidités écrites, énormités, pensées réactionnaires débiles qui pervertissaient ses oeuvres. Il préférait dormir, rêvant en poète attardé | |
| | | sandipoete Fondateur
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| Sujet: Re: Cette histoire est celle de Jean le Poète Mer 4 Avr 2007 - 9:22 | |
| Jean le Poète était un homme banal qui comprenait bien le Chinois. Il adorait écrire des tas d'énormités. Sa passion était toujours de détailler les limericks (was?), les haïkus que les Européens écrivent sans savoir où les emmèneront les aléas. Libertin, imaginatif mais joueur invétéré, perdant sa fortune et sa notoriété spontanément, il avait rêvé que vivre serait fastueux comme dépenser sans honte ni retenue, pourtant il exagérait beaucoup ! Manger, s'enivrer, forniquer toute effronterie incluse mais écrire, ivresse sensuelle, abrogation de moralité et luxure omniprésente, le coeur toujours prêt d'exploser. Son ambition n'avait point de rivale et sa passion rendait impossible toute démence intellectuelle. Pourtant, souvent déçu, il entreprenait des révisions systématiques de ses abattis qu'il emmitouflait dans une espèce d'adorable pantalon gras, décousu, sans fermeture-éclair. Aujourd'hui, il n'avait point oublié la somme d'efforts fournis par son énorme vit qu'il manipulait toujours dextrement afin d'extraire toute la moelle de son pauvre membre fatigué... Décidément, Jean devait tout faire seul ! Même se vivifier l'esprit qui battait fortement la chamade. Pourtant, sa passion reprenait toujours le dessus en bémol majeur; Quel trublion mirobolant, menteur, casanier, rancunier, obsédé par versifier ce que seul possédait son coeur. Oublier toutes ces niaiseries, stupidités écrites, énormités, pensées réactionnaires débiles qui pervertissaient ses oeuvres. Il préférait dormir, rêvant en poète attardé qu'il | |
| | | Yves Le Guern Grimoirien
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| Sujet: Re: Cette histoire est celle de Jean le Poète Mer 4 Avr 2007 - 9:34 | |
| Jean le Poète était un homme banal qui comprenait bien le Chinois. Il adorait écrire des tas d'énormités. Sa passion était toujours de détailler les limericks (was?), les haïkus que les Européens écrivent sans savoir où les emmèneront les aléas. Libertin, imaginatif mais joueur invétéré, perdant sa fortune et sa notoriété spontanément, il avait rêvé que vivre serait fastueux comme dépenser sans honte ni retenue, pourtant il exagérait beaucoup ! Manger, s'enivrer, forniquer toute effronterie incluse mais écrire, ivresse sensuelle, abrogation de moralité et luxure omniprésente, le coeur toujours prêt d'exploser. Son ambition n'avait point de rivale et sa passion rendait impossible toute démence intellectuelle. Pourtant, souvent déçu, il entreprenait des révisions systématiques de ses abattis qu'il emmitouflait dans une espèce d'adorable pantalon gras, décousu, sans fermeture-éclair. Aujourd'hui, il n'avait point oublié la somme d'efforts fournis par son énorme vit qu'il manipulait toujours dextrement afin d'extraire toute la moelle de son pauvre membre fatigué... Décidément, Jean devait tout faire seul ! Même se vivifier l'esprit qui battait fortement la chamade. Pourtant, sa passion reprenait toujours le dessus en bémol majeur; Quel trublion mirobolant, menteur, casanier, rancunier, obsédé par versifier ce que seul possédait son coeur. Oublier toutes ces niaiseries, stupidités écrites, énormités, pensées réactionnaires débiles qui pervertissaient ses oeuvres. Il préférait dormir, rêvant en poète attardé qu'il voulait Textes protégés par © Copyright N° 79Z516A Invité de m'avoir lu. | |
| | | sandipoete Fondateur
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| Sujet: Re: Cette histoire est celle de Jean le Poète Mer 4 Avr 2007 - 9:46 | |
| Jean le Poète était un homme banal qui comprenait bien le Chinois. Il adorait écrire des tas d'énormités. Sa passion était toujours de détailler les limericks (was?), les haïkus que les Européens écrivent sans savoir où les emmèneront les aléas. Libertin, imaginatif mais joueur invétéré, perdant sa fortune et sa notoriété spontanément, il avait rêvé que vivre serait fastueux comme dépenser sans honte ni retenue, pourtant il exagérait beaucoup ! Manger, s'enivrer, forniquer toute effronterie incluse mais écrire, ivresse sensuelle, abrogation de moralité et luxure omniprésente, le coeur toujours prêt d'exploser. Son ambition n'avait point de rivale et sa passion rendait impossible toute démence intellectuelle. Pourtant, souvent déçu, il entreprenait des révisions systématiques de ses abattis qu'il emmitouflait dans une espèce d'adorable pantalon gras, décousu, sans fermeture-éclair. Aujourd'hui, il n'avait point oublié la somme d'efforts fournis par son énorme vit qu'il manipulait toujours dextrement afin d'extraire toute la moelle de son pauvre membre fatigué... Décidément, Jean devait tout faire seul ! Même se vivifier l'esprit qui battait fortement la chamade. Pourtant, sa passion reprenait toujours le dessus en bémol majeur; Quel trublion mirobolant, menteur, casanier, rancunier, obsédé par versifier ce que seul possédait son coeur. Oublier toutes ces niaiseries, stupidités écrites, énormités, pensées réactionnaires débiles qui pervertissaient ses oeuvres. Il préférait dormir, rêvant en poète attardé, qu'il voulait glorifier | |
| | | philippe de neuville Grimoirien
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| Sujet: Re: Cette histoire est celle de Jean le Poète Sam 7 Avr 2007 - 16:52 | |
| Jean le Poète était un homme banal qui comprenait bien le Chinois. Il adorait écrire des tas d'énormités. Sa passion était toujours de détailler les limericks (was?), les haïkus que les Européens écrivent sans savoir où les emmèneront les aléas. Libertin, imaginatif mais joueur invétéré, perdant sa fortune et sa notoriété spontanément, il avait rêvé que vivre serait fastueux comme dépenser sans honte ni retenue, pourtant il exagérait beaucoup ! Manger, s'enivrer, forniquer toute effronterie incluse mais écrire, ivresse sensuelle, abrogation de moralité et luxure omniprésente, le coeur toujours prêt d'exploser. Son ambition n'avait point de rivale et sa passion rendait impossible toute démence intellectuelle. Pourtant, souvent déçu, il entreprenait des révisions systématiques de ses abattis qu'il emmitouflait dans une espèce d'adorable pantalon gras, décousu, sans fermeture-éclair. Aujourd'hui, il n'avait point oublié la somme d'efforts fournis par son énorme vit qu'il manipulait toujours dextrement afin d'extraire toute la moelle de son pauvre membre fatigué... Décidément, Jean devait tout faire seul ! Même se vivifier l'esprit qui battait fortement la chamade. Pourtant, sa passion reprenait toujours le dessus en bémol majeur; Quel trublion mirobolant, menteur, casanier, rancunier, obsédé par versifier ce que seul possédait son coeur. Oublier toutes ces niaiseries, stupidités écrites, énormités, pensées réactionnaires débiles qui pervertissaient ses oeuvres. Il préférait dormir, rêvant en poète attardé, qu'il voulait glorifier tardivement, Textes protégés par © Copyright N° 79Z516A In Pace cum Patribus (devise des Neuville) | |
| | | apogon Membre d'honneur
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| Sujet: Re: Cette histoire est celle de Jean le Poète Mer 11 Avr 2007 - 0:19 | |
| Jean le Poète était un homme banal qui comprenait bien le Chinois. Il adorait écrire des tas d'énormités. Sa passion était toujours de détailler les limericks (was?), les haïkus que les Européens écrivent sans savoir où les emmèneront les aléas. Libertin, imaginatif mais joueur invétéré, perdant sa fortune et sa notoriété spontanément, il avait rêvé que vivre serait fastueux comme dépenser sans honte ni retenue, pourtant il exagérait beaucoup ! Manger, s'enivrer, forniquer toute effronterie incluse mais écrire, ivresse sensuelle, abrogation de moralité et luxure omniprésente, le coeur toujours prêt d'exploser. Son ambition n'avait point de rivale et sa passion rendait impossible toute démence intellectuelle. Pourtant, souvent déçu, il entreprenait des révisions systématiques de ses abattis qu'il emmitouflait dans une espèce d'adorable pantalon gras, décousu, sans fermeture-éclair. Aujourd'hui, il n'avait point oublié la somme d'efforts fournis par son énorme vit qu'il manipulait toujours dextrement afin d'extraire toute la moelle de son pauvre membre fatigué... Décidément, Jean devait tout faire seul ! Même se vivifier l'esprit qui battait fortement la chamade. Pourtant, sa passion reprenait toujours le dessus en bémol majeur; Quel trublion mirobolant, menteur, casanier, rancunier, obsédé par versifier ce que seul possédait son coeur. Oublier toutes ces niaiseries, stupidités écrites, énormités, pensées réactionnaires débiles qui pervertissaient ses oeuvres. Il préférait dormir, rêvant en poète attardé, qu'il voulait glorifier tardivement, les Textes protégés par © Copyright N° 79Z516A ^----^ (='Y'=) (")_(")
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| | | philippe de neuville Grimoirien
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| Sujet: Re: Cette histoire est celle de Jean le Poète Mer 11 Avr 2007 - 8:12 | |
| Jean le Poète était un homme banal qui comprenait bien le Chinois. Il adorait écrire des tas d'énormités. Sa passion était toujours de détailler les limericks (was?), les haïkus que les Européens écrivent sans savoir où les emmèneront les aléas. Libertin, imaginatif mais joueur invétéré, perdant sa fortune et sa notoriété spontanément, il avait rêvé que vivre serait fastueux comme dépenser sans honte ni retenue, pourtant il exagérait beaucoup ! Manger, s'enivrer, forniquer toute effronterie incluse mais écrire, ivresse sensuelle, abrogation de moralité et luxure omniprésente, le coeur toujours prêt d'exploser. Son ambition n'avait point de rivale et sa passion rendait impossible toute démence intellectuelle. Pourtant, souvent déçu, il entreprenait des révisions systématiques de ses abattis qu'il emmitouflait dans une espèce d'adorable pantalon gras, décousu, sans fermeture-éclair. Aujourd'hui, il n'avait point oublié la somme d'efforts fournis par son énorme vit qu'il manipulait toujours dextrement afin d'extraire toute la moelle de son pauvre membre fatigué... Décidément, Jean devait tout faire seul ! Même se vivifier l'esprit qui battait fortement la chamade. Pourtant, sa passion reprenait toujours le dessus en bémol majeur; Quel trublion mirobolant, menteur, casanier, rancunier, obsédé par versifier ce que seul possédait son coeur. Oublier toutes ces niaiseries, stupidités écrites, énormités, pensées réactionnaires débiles qui pervertissaient ses oeuvres. Il préférait dormir, rêvant en poète attardé, qu'il voulait glorifier tardivement, les oeuvres Textes protégés par © Copyright N° 79Z516A In Pace cum Patribus (devise des Neuville) | |
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| Sujet: Re: Cette histoire est celle de Jean le Poète Jeu 12 Avr 2007 - 11:38 | |
| Jean le Poète était un homme banal qui comprenait bien le Chinois. Il adorait écrire des tas d'énormités. Sa passion était toujours de détailler les limericks (was?), les haïkus que les Européens écrivent sans savoir où les emmèneront les aléas. Libertin, imaginatif mais joueur invétéré, perdant sa fortune et sa notoriété spontanément, il avait rêvé que vivre serait fastueux comme dépenser sans honte ni retenue, pourtant il exagérait beaucoup ! Manger, s'enivrer, forniquer toute effronterie incluse mais écrire, ivresse sensuelle, abrogation de moralité et luxure omniprésente, le coeur toujours prêt d'exploser. Son ambition n'avait point de rivale et sa passion rendait impossible toute démence intellectuelle. Pourtant, souvent déçu, il entreprenait des révisions systématiques de ses abattis qu'il emmitouflait dans une espèce d'adorable pantalon gras, décousu, sans fermeture-éclair. Aujourd'hui, il n'avait point oublié la somme d'efforts fournis par son énorme vit qu'il manipulait toujours dextrement afin d'extraire toute la moelle de son pauvre membre fatigué... Décidément, Jean devait tout faire seul ! Même se vivifier l'esprit qui battait fortement la chamade. Pourtant, sa passion reprenait toujours le dessus en bémol majeur; Quel trublion mirobolant, menteur, casanier, rancunier, obsédé par versifier ce que seul possédait son coeur. Oublier toutes ces niaiseries, stupidités écrites, énormités, pensées réactionnaires débiles qui pervertissaient ses oeuvres. Il préférait dormir, rêvant en poète attardé, qu'il voulait glorifier tardivement, les oeuvres exacerbées | |
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| Sujet: Re: Cette histoire est celle de Jean le Poète Jeu 12 Avr 2007 - 16:40 | |
| Jean le Poète était un homme banal qui comprenait bien le Chinois. Il adorait écrire des tas d'énormités. Sa passion était toujours de détailler les limericks (was?), les haïkus que les Européens écrivent sans savoir où les emmèneront les aléas. Libertin, imaginatif mais joueur invétéré, perdant sa fortune et sa notoriété spontanément, il avait rêvé que vivre serait fastueux comme dépenser sans honte ni retenue, pourtant il exagérait beaucoup ! Manger, s'enivrer, forniquer toute effronterie incluse mais écrire, ivresse sensuelle, abrogation de moralité et luxure omniprésente, le coeur toujours prêt d'exploser. Son ambition n'avait point de rivale et sa passion rendait impossible toute démence intellectuelle. Pourtant, souvent déçu, il entreprenait des révisions systématiques de ses abattis qu'il emmitouflait dans une espèce d'adorable pantalon gras, décousu, sans fermeture-éclair. Aujourd'hui, il n'avait point oublié la somme d'efforts fournis par son énorme vit qu'il manipulait toujours dextrement afin d'extraire toute la moelle de son pauvre membre fatigué... Décidément, Jean devait tout faire seul ! Même se vivifier l'esprit qui battait fortement la chamade. Pourtant, sa passion reprenait toujours le dessus en bémol majeur; Quel trublion mirobolant, menteur, casanier, rancunier, obsédé par versifier ce que seul possédait son coeur. Oublier toutes ces niaiseries, stupidités écrites, énormités, pensées réactionnaires débiles qui pervertissaient ses oeuvres. Il préférait dormir, rêvant en poète attardé, qu'il voulait glorifier tardivement, les oeuvres exacerbées d'orgasmes Textes protégés par © Copyright N° 79Z516A In Pace cum Patribus (devise des Neuville) | |
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| Sujet: Re: Cette histoire est celle de Jean le Poète Jeu 12 Avr 2007 - 17:11 | |
| Jean le Poète était un homme banal qui comprenait bien le Chinois. Il adorait écrire des tas d'énormités. Sa passion était toujours de détailler les limericks (was?), les haïkus que les Européens écrivent sans savoir où les emmèneront les aléas. Libertin, imaginatif mais joueur invétéré, perdant sa fortune et sa notoriété spontanément, il avait rêvé que vivre serait fastueux comme dépenser sans honte ni retenue, pourtant il exagérait beaucoup ! Manger, s'enivrer, forniquer toute effronterie incluse mais écrire, ivresse sensuelle, abrogation de moralité et luxure omniprésente, le coeur toujours prêt d'exploser. Son ambition n'avait point de rivale et sa passion rendait impossible toute démence intellectuelle. Pourtant, souvent déçu, il entreprenait des révisions systématiques de ses abattis qu'il emmitouflait dans une espèce d'adorable pantalon gras, décousu, sans fermeture-éclair. Aujourd'hui, il n'avait point oublié la somme d'efforts fournis par son énorme vit qu'il manipulait toujours dextrement afin d'extraire toute la moelle de son pauvre membre fatigué... Décidément, Jean devait tout faire seul ! Même se vivifier l'esprit qui battait fortement la chamade. Pourtant, sa passion reprenait toujours le dessus en bémol majeur; Quel trublion mirobolant, menteur, casanier, rancunier, obsédé par versifier ce que seul possédait son coeur. Oublier toutes ces niaiseries, stupidités écrites, énormités, pensées réactionnaires débiles qui pervertissaient ses oeuvres. Il préférait dormir, rêvant en poète attardé, qu'il voulait glorifier tardivement, les oeuvres exacerbées d'orgasmes vivifiants | |
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| Sujet: Re: Cette histoire est celle de Jean le Poète Jeu 12 Avr 2007 - 17:31 | |
| Jean le Poète était un homme banal qui comprenait bien le Chinois. Il adorait écrire des tas d'énormités. Sa passion était toujours de détailler les limericks (was?), les haïkus que les Européens écrivent sans savoir où les emmèneront les aléas. Libertin, imaginatif mais joueur invétéré, perdant sa fortune et sa notoriété spontanément, il avait rêvé que vivre serait fastueux comme dépenser sans honte ni retenue, pourtant il exagérait beaucoup ! Manger, s'enivrer, forniquer toute effronterie incluse mais écrire, ivresse sensuelle, abrogation de moralité et luxure omniprésente, le coeur toujours prêt d'exploser. Son ambition n'avait point de rivale et sa passion rendait impossible toute démence intellectuelle. Pourtant, souvent déçu, il entreprenait des révisions systématiques de ses abattis qu'il emmitouflait dans une espèce d'adorable pantalon gras, décousu, sans fermeture-éclair. Aujourd'hui, il n'avait point oublié la somme d'efforts fournis par son énorme vit qu'il manipulait toujours dextrement afin d'extraire toute la moelle de son pauvre membre fatigué... Décidément, Jean devait tout faire seul ! Même se vivifier l'esprit qui battait fortement la chamade. Pourtant, sa passion reprenait toujours le dessus en bémol majeur; Quel trublion mirobolant, menteur, casanier, rancunier, obsédé par versifier ce que seul possédait son coeur. Oublier toutes ces niaiseries, stupidités écrites, énormités, pensées réactionnaires débiles qui pervertissaient ses oeuvres. Il préférait dormir, rêvant en poète attardé, qu'il voulait glorifier tardivement, les oeuvres exacerbées d'orgasmes vivifiants et revigorants Textes protégés par © Copyright N° 79Z516A In Pace cum Patribus (devise des Neuville) | |
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| Sujet: Re: Cette histoire est celle de Jean le Poète Dim 15 Avr 2007 - 9:38 | |
| Jean le Poète était un homme banal qui comprenait bien le Chinois. Il adorait écrire des tas d'énormités. Sa passion était toujours de détailler les limericks (was?), les haïkus que les Européens écrivent sans savoir où les emmèneront les aléas. Libertin, imaginatif mais joueur invétéré, perdant sa fortune et sa notoriété spontanément, il avait rêvé que vivre serait fastueux comme dépenser sans honte ni retenue, pourtant il exagérait beaucoup ! Manger, s'enivrer, forniquer toute effronterie incluse mais écrire, ivresse sensuelle, abrogation de moralité et luxure omniprésente, le coeur toujours prêt d'exploser. Son ambition n'avait point de rivale et sa passion rendait impossible toute démence intellectuelle. Pourtant, souvent déçu, il entreprenait des révisions systématiques de ses abattis qu'il emmitouflait dans une espèce d'adorable pantalon gras, décousu, sans fermeture-éclair. Aujourd'hui, il n'avait point oublié la somme d'efforts fournis par son énorme vit qu'il manipulait toujours dextrement afin d'extraire toute la moelle de son pauvre membre fatigué... Décidément, Jean devait tout faire seul ! Même se vivifier l'esprit qui battait fortement la chamade. Pourtant, sa passion reprenait toujours le dessus en bémol majeur; Quel trublion mirobolant, menteur, casanier, rancunier, obsédé par versifier ce que seul possédait son coeur. Oublier toutes ces niaiseries, stupidités écrites, énormités, pensées réactionnaires débiles qui pervertissaient ses oeuvres. Il préférait dormir, rêvant en poète attardé, qu'il voulait glorifier tardivement, les oeuvres exacerbées d'orgasmes vivifiants et revigorants. Un Textes protégés par © Copyright N° 79Z516A Invité de m'avoir lu. | |
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| Sujet: Re: Cette histoire est celle de Jean le Poète Dim 15 Avr 2007 - 15:04 | |
| Jean le Poète était un homme banal qui comprenait bien le Chinois. Il adorait écrire des tas d'énormités. Sa passion était toujours de détailler les limericks (was?), les haïkus que les Européens écrivent sans savoir où les emmèneront les aléas. Libertin, imaginatif mais joueur invétéré, perdant sa fortune et sa notoriété spontanément, il avait rêvé que vivre serait fastueux comme dépenser sans honte ni retenue, pourtant il exagérait beaucoup ! Manger, s'enivrer, forniquer toute effronterie incluse mais écrire, ivresse sensuelle, abrogation de moralité et luxure omniprésente, le coeur toujours prêt d'exploser. Son ambition n'avait point de rivale et sa passion rendait impossible toute démence intellectuelle. Pourtant, souvent déçu, il entreprenait des révisions systématiques de ses abattis qu'il emmitouflait dans une espèce d'adorable pantalon gras, décousu, sans fermeture-éclair. Aujourd'hui, il n'avait point oublié la somme d'efforts fournis par son énorme vit qu'il manipulait toujours dextrement afin d'extraire toute la moelle de son pauvre membre fatigué... Décidément, Jean devait tout faire seul ! Même se vivifier l'esprit qui battait fortement la chamade. Pourtant, sa passion reprenait toujours le dessus en bémol majeur; Quel trublion mirobolant, menteur, casanier, rancunier, obsédé par versifier ce que seul possédait son coeur. Oublier toutes ces niaiseries, stupidités écrites, énormités, pensées réactionnaires débiles qui pervertissaient ses oeuvres. Il préférait dormir, rêvant en poète attardé, qu'il voulait glorifier tardivement, les oeuvres exacerbées d'orgasmes vivifiants et revigorants. Un matin Textes protégés par © Copyright N° 79Z516A In Pace cum Patribus (devise des Neuville) | |
| | | raymonde Invité
| Sujet: Re: Cette histoire est celle de Jean le Poète Dim 15 Avr 2007 - 19:16 | |
| [Jean le Poète était un homme banal qui comprenait bien le Chinois. Il adorait écrire des tas d'énormités. Sa passion était toujours de détailler les limericks (was?), les haïkus que les Européens écrivent sans savoir où les emmèneront les aléas. Libertin, imaginatif mais joueur invétéré, perdant sa fortune et sa notoriété spontanément, il avait rêvé que vivre serait fastueux comme dépenser sans honte ni retenue, pourtant il exagérait beaucoup ! Manger, s'enivrer, forniquer toute effronterie incluse mais écrire, ivresse sensuelle, abrogation de moralité et luxure omniprésente, le coeur toujours prêt d'exploser. Son ambition n'avait point de rivale et sa passion rendait impossible toute démence intellectuelle. Pourtant, souvent déçu, il entreprenait des révisions systématiques de ses abattis qu'il emmitouflait dans une espèce d'adorable pantalon gras, décousu, sans fermeture-éclair. Aujourd'hui, il n'avait point oublié la somme d'efforts fournis par son énorme vit qu'il manipulait toujours dextrement afin d'extraire toute la moelle de son pauvre membre fatigué... Décidément, Jean devait tout faire seul ! Même se vivifier l'esprit qui battait fortement la chamade. Pourtant, sa passion reprenait toujours le dessus en bémol majeur; Quel trublion mirobolant, menteur, casanier, rancunier, obsédé par versifier ce que seul possédait son coeur. Oublier toutes ces niaiseries, stupidités écrites, énormités, pensées réactionnaires débiles qui pervertissaient ses oeuvres. Il préférait dormir, rêvant en poète attardé, qu'il voulait glorifier tardivement, les oeuvres exacerbées d'orgasmes vivifiants et revigorants. Un matin saoulé
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| Sujet: Re: Cette histoire est celle de Jean le Poète Lun 16 Avr 2007 - 0:03 | |
| [Jean le Poète était un homme banal qui comprenait bien le Chinois. Il adorait écrire des tas d'énormités. Sa passion était toujours de détailler les limericks (was?), les haïkus que les Européens écrivent sans savoir où les emmèneront les aléas. Libertin, imaginatif mais joueur invétéré, perdant sa fortune et sa notoriété spontanément, il avait rêvé que vivre serait fastueux comme dépenser sans honte ni retenue, pourtant il exagérait beaucoup ! Manger, s'enivrer, forniquer toute effronterie incluse mais écrire, ivresse sensuelle, abrogation de moralité et luxure omniprésente, le coeur toujours prêt d'exploser. Son ambition n'avait point de rivale et sa passion rendait impossible toute démence intellectuelle. Pourtant, souvent déçu, il entreprenait des révisions systématiques de ses abattis qu'il emmitouflait dans une espèce d'adorable pantalon gras, décousu, sans fermeture-éclair. Aujourd'hui, il n'avait point oublié la somme d'efforts fournis par son énorme vit qu'il manipulait toujours dextrement afin d'extraire toute la moelle de son pauvre membre fatigué... Décidément, Jean devait tout faire seul ! Même se vivifier l'esprit qui battait fortement la chamade. Pourtant, sa passion reprenait toujours le dessus en bémol majeur; Quel trublion mirobolant, menteur, casanier, rancunier, obsédé par versifier ce que seul possédait son coeur. Oublier toutes ces niaiseries, stupidités écrites, énormités, pensées réactionnaires débiles qui pervertissaient ses oeuvres. Il préférait dormir, rêvant en poète attardé, qu'il voulait glorifier tardivement, les oeuvres exacerbées d'orgasmes vivifiants et revigorants. Un matin saoulé d'amertume Textes protégés par © Copyright N° 79Z516A In Pace cum Patribus (devise des Neuville) | |
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| Sujet: Re: Cette histoire est celle de Jean le Poète Lun 16 Avr 2007 - 18:29 | |
| Jean le Poète était un homme banal qui comprenait bien le Chinois. Il adorait écrire des tas d'énormités. Sa passion était toujours de détailler les limericks (was?), les haïkus que les Européens écrivent sans savoir où les emmèneront les aléas. Libertin, imaginatif mais joueur invétéré, perdant sa fortune et sa notoriété spontanément, il avait rêvé que vivre serait fastueux comme dépenser sans honte ni retenue, pourtant il exagérait beaucoup ! Manger, s'enivrer, forniquer toute effronterie incluse mais écrire, ivresse sensuelle, abrogation de moralité et luxure omniprésente, le coeur toujours prêt d'exploser. Son ambition n'avait point de rivale et sa passion rendait impossible toute démence intellectuelle. Pourtant, souvent déçu, il entreprenait des révisions systématiques de ses abattis qu'il emmitouflait dans une espèce d'adorable pantalon gras, décousu, sans fermeture-éclair. Aujourd'hui, il n'avait point oublié la somme d'efforts fournis par son énorme vit qu'il manipulait toujours dextrement afin d'extraire toute la moelle de son pauvre membre fatigué... Décidément, Jean devait tout faire seul ! Même se vivifier l'esprit qui battait fortement la chamade. Pourtant, sa passion reprenait toujours le dessus en bémol majeur; Quel trublion mirobolant, menteur, casanier, rancunier, obsédé par versifier ce que seul possédait son coeur. Oublier toutes ces niaiseries, stupidités écrites, énormités, pensées réactionnaires débiles qui pervertissaient ses oeuvres. Il préférait dormir, rêvant en poète attardé, qu'il voulait glorifier tardivement, les oeuvres exacerbées d'orgasmes vivifiants et revigorants. Un matin saoulé d'amertume par Textes protégés par © Copyright N° 79Z516A Invité de m'avoir lu. | |
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| Sujet: Re: Cette histoire est celle de Jean le Poète Lun 16 Avr 2007 - 19:43 | |
| Jean le Poète était un homme banal qui comprenait bien le Chinois. Il adorait écrire des tas d'énormités. Sa passion était toujours de détailler les limericks (was?), les haïkus que les Européens écrivent sans savoir où les emmèneront les aléas. Libertin, imaginatif mais joueur invétéré, perdant sa fortune et sa notoriété spontanément, il avait rêvé que vivre serait fastueux comme dépenser sans honte ni retenue, pourtant il exagérait beaucoup ! Manger, s'enivrer, forniquer toute effronterie incluse mais écrire, ivresse sensuelle, abrogation de moralité et luxure omniprésente, le coeur toujours prêt d'exploser. Son ambition n'avait point de rivale et sa passion rendait impossible toute démence intellectuelle. Pourtant, souvent déçu, il entreprenait des révisions systématiques de ses abattis qu'il emmitouflait dans une espèce d'adorable pantalon gras, décousu, sans fermeture-éclair. Aujourd'hui, il n'avait point oublié la somme d'efforts fournis par son énorme vit qu'il manipulait toujours dextrement afin d'extraire toute la moelle de son pauvre membre fatigué... Décidément, Jean devait tout faire seul ! Même se vivifier l'esprit qui battait fortement la chamade. Pourtant, sa passion reprenait toujours le dessus en bémol majeur; Quel trublion mirobolant, menteur, casanier, rancunier, obsédé par versifier ce que seul possédait son coeur. Oublier toutes ces niaiseries, stupidités écrites, énormités, pensées réactionnaires débiles qui pervertissaient ses oeuvres. Il préférait dormir, rêvant en poète attardé, qu'il voulait glorifier tardivement, les oeuvres exacerbées d'orgasmes vivifiants et revigorants. Un matin saoulé d'amertume par de l'absinthe Textes protégés par © Copyright N° 79Z516A In Pace cum Patribus (devise des Neuville) | |
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| Sujet: Re: Cette histoire est celle de Jean le Poète Mar 17 Avr 2007 - 18:16 | |
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| Sujet: Re: Cette histoire est celle de Jean le Poète Mar 17 Avr 2007 - 19:30 | |
| Jean le Poète était un homme banal qui comprenait bien le Chinois. Il adorait écrire des tas d'énormités. Sa passion était toujours de détailler les limericks (was?), les haïkus que les Européens écrivent sans savoir où les emmèneront les aléas. Libertin, imaginatif mais joueur invétéré, perdant sa fortune et sa notoriété spontanément, il avait rêvé que vivre serait fastueux comme dépenser sans honte ni retenue, pourtant il exagérait beaucoup ! Manger, s'enivrer, forniquer toute effronterie incluse mais écrire, ivresse sensuelle, abrogation de moralité et luxure omniprésente, le coeur toujours prêt d'exploser. Son ambition n'avait point de rivale et sa passion rendait impossible toute démence intellectuelle. Pourtant, souvent déçu, il entreprenait des révisions systématiques de ses abattis qu'il emmitouflait dans une espèce d'adorable pantalon gras, décousu, sans fermeture-éclair. Aujourd'hui, il n'avait point oublié la somme d'efforts fournis par son énorme vit qu'il manipulait toujours dextrement afin d'extraire toute la moelle de son pauvre membre fatigué... Décidément, Jean devait tout faire seul ! Même se vivifier l'esprit qui battait fortement la chamade. Pourtant, sa passion reprenait toujours le dessus en bémol majeur; Quel trublion mirobolant, menteur, casanier, rancunier, obsédé par versifier ce que seul possédait son coeur. Oublier toutes ces niaiseries, stupidités écrites, énormités, pensées réactionnaires débiles qui pervertissaient ses oeuvres. Il préférait dormir, rêvant en poète attardé, qu'il voulait glorifier tardivement, les oeuvres exacerbées d'orgasmes vivifiants et revigorants. Un matin saoulé d'amertume par de l'absinthe frelatée, il eut Textes protégés par © Copyright N° 79Z516A In Pace cum Patribus (devise des Neuville) | |
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| Sujet: Re: Cette histoire est celle de Jean le Poète Mer 18 Avr 2007 - 8:57 | |
| Jean le Poète était un homme banal qui comprenait bien le Chinois. Il adorait écrire des tas d'énormités. Sa passion était toujours de détailler les limericks (was?), les haïkus que les Européens écrivent sans savoir où les emmèneront les aléas. Libertin, imaginatif mais joueur invétéré, perdant sa fortune et sa notoriété spontanément, il avait rêvé que vivre serait fastueux comme dépenser sans honte ni retenue, pourtant il exagérait beaucoup ! Manger, s'enivrer, forniquer toute effronterie incluse mais écrire, ivresse sensuelle, abrogation de moralité et luxure omniprésente, le coeur toujours prêt d'exploser. Son ambition n'avait point de rivale et sa passion rendait impossible toute démence intellectuelle. Pourtant, souvent déçu, il entreprenait des révisions systématiques de ses abattis qu'il emmitouflait dans une espèce d'adorable pantalon gras, décousu, sans fermeture-éclair. Aujourd'hui, il n'avait point oublié la somme d'efforts fournis par son énorme vit qu'il manipulait toujours dextrement afin d'extraire toute la moelle de son pauvre membre fatigué... Décidément, Jean devait tout faire seul ! Même se vivifier l'esprit qui battait fortement la chamade. Pourtant, sa passion reprenait toujours le dessus en bémol majeur; Quel trublion mirobolant, menteur, casanier, rancunier, obsédé par versifier ce que seul possédait son coeur. Oublier toutes ces niaiseries, stupidités écrites, énormités, pensées réactionnaires débiles qui pervertissaient ses oeuvres. Il préférait dormir, rêvant en poète attardé, qu'il voulait glorifier tardivement, les oeuvres exacerbées d'orgasmes vivifiants et revigorants. Un matin saoulé d'amertume par de l'absinthe frelatée, il eut comme Textes protégés par © Copyright N° 79Z516A Invité de m'avoir lu. | |
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| Sujet: Re: Cette histoire est celle de Jean le Poète Mer 18 Avr 2007 - 12:49 | |
| Jean le Poète était un homme banal qui comprenait bien le Chinois. Il adorait écrire des tas d'énormités. Sa passion était toujours de détailler les limericks (was?), les haïkus que les Européens écrivent sans savoir où les emmèneront les aléas. Libertin, imaginatif mais joueur invétéré, perdant sa fortune et sa notoriété spontanément, il avait rêvé que vivre serait fastueux comme dépenser sans honte ni retenue, pourtant il exagérait beaucoup ! Manger, s'enivrer, forniquer toute effronterie incluse mais écrire, ivresse sensuelle, abrogation de moralité et luxure omniprésente, le coeur toujours prêt d'exploser. Son ambition n'avait point de rivale et sa passion rendait impossible toute démence intellectuelle. Pourtant, souvent déçu, il entreprenait des révisions systématiques de ses abattis qu'il emmitouflait dans une espèce d'adorable pantalon gras, décousu, sans fermeture-éclair. Aujourd'hui, il n'avait point oublié la somme d'efforts fournis par son énorme vit qu'il manipulait toujours dextrement afin d'extraire toute la moelle de son pauvre membre fatigué... Décidément, Jean devait tout faire seul ! Même se vivifier l'esprit qui battait fortement la chamade. Pourtant, sa passion reprenait toujours le dessus en bémol majeur; Quel trublion mirobolant, menteur, casanier, rancunier, obsédé par versifier ce que seul possédait son coeur. Oublier toutes ces niaiseries, stupidités écrites, énormités, pensées réactionnaires débiles qui pervertissaient ses oeuvres. Il préférait dormir, rêvant en poète attardé, qu'il voulait glorifier tardivement, les oeuvres exacerbées d'orgasmes vivifiants et revigorants. Un matin saoulé d'amertume par de l'absinthe frelatée, il eut comme une | |
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| Sujet: Re: Cette histoire est celle de Jean le Poète Mer 18 Avr 2007 - 15:42 | |
| Jean le Poète était un homme banal qui comprenait bien le Chinois. Il adorait écrire des tas d'énormités. Sa passion était toujours de détailler les limericks (was?), les haïkus que les Européens écrivent sans savoir où les emmèneront les aléas. Libertin, imaginatif mais joueur invétéré, perdant sa fortune et sa notoriété spontanément, il avait rêvé que vivre serait fastueux comme dépenser sans honte ni retenue, pourtant il exagérait beaucoup ! Manger, s'enivrer, forniquer toute effronterie incluse mais écrire, ivresse sensuelle, abrogation de moralité et luxure omniprésente, le coeur toujours prêt d'exploser. Son ambition n'avait point de rivale et sa passion rendait impossible toute démence intellectuelle. Pourtant, souvent déçu, il entreprenait des révisions systématiques de ses abattis qu'il emmitouflait dans une espèce d'adorable pantalon gras, décousu, sans fermeture-éclair. Aujourd'hui, il n'avait point oublié la somme d'efforts fournis par son énorme vit qu'il manipulait toujours dextrement afin d'extraire toute la moelle de son pauvre membre fatigué... Décidément, Jean devait tout faire seul ! Même se vivifier l'esprit qui battait fortement la chamade. Pourtant, sa passion reprenait toujours le dessus en bémol majeur; Quel trublion mirobolant, menteur, casanier, rancunier, obsédé par versifier ce que seul possédait son coeur. Oublier toutes ces niaiseries, stupidités écrites, énormités, pensées réactionnaires débiles qui pervertissaient ses oeuvres. Il préférait dormir, rêvant en poète attardé, qu'il voulait glorifier tardivement, les oeuvres exacerbées d'orgasmes vivifiants et revigorants. Un matin saoulé d'amertume par de l'absinthe frelatée, il eut comme une fulguration Textes protégés par © Copyright N° 79Z516A ^----^ (='Y'=) (")_(")
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| Sujet: Re: Cette histoire est celle de Jean le Poète Mer 18 Avr 2007 - 17:34 | |
| Jean le Poète était un homme banal qui comprenait bien le Chinois. Il adorait écrire des tas d'énormités. Sa passion était toujours de détailler les limericks (was?), les haïkus que les Européens écrivent sans savoir où les emmèneront les aléas. Libertin, imaginatif mais joueur invétéré, perdant sa fortune et sa notoriété spontanément, il avait rêvé que vivre serait fastueux comme dépenser sans honte ni retenue, pourtant il exagérait beaucoup ! Manger, s'enivrer, forniquer toute effronterie incluse mais écrire, ivresse sensuelle, abrogation de moralité et luxure omniprésente, le coeur toujours prêt d'exploser. Son ambition n'avait point de rivale et sa passion rendait impossible toute démence intellectuelle. Pourtant, souvent déçu, il entreprenait des révisions systématiques de ses abattis qu'il emmitouflait dans une espèce d'adorable pantalon gras, décousu, sans fermeture-éclair. Aujourd'hui, il n'avait point oublié la somme d'efforts fournis par son énorme vit qu'il manipulait toujours dextrement afin d'extraire toute la moelle de son pauvre membre fatigué... Décidément, Jean devait tout faire seul ! Même se vivifier l'esprit qui battait fortement la chamade. Pourtant, sa passion reprenait toujours le dessus en bémol majeur; Quel trublion mirobolant, menteur, casanier, rancunier, obsédé par versifier ce que seul possédait son coeur. Oublier toutes ces niaiseries, stupidités écrites, énormités, pensées réactionnaires débiles qui pervertissaient ses oeuvres. Il préférait dormir, rêvant en poète attardé, qu'il voulait glorifier tardivement, les oeuvres exacerbées d'orgasmes vivifiants et revigorants. Un matin saoulé d'amertume par de l'absinthe frelatée, il eut comme une fulguration cervicale Textes protégés par © Copyright N° 79Z516A In Pace cum Patribus (devise des Neuville) | |
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| Sujet: Re: Cette histoire est celle de Jean le Poète Mer 18 Avr 2007 - 19:01 | |
| Jean le Poète était un homme banal qui comprenait bien le Chinois. Il adorait écrire des tas d'énormités. Sa passion était toujours de détailler les limericks (was?), les haïkus que les Européens écrivent sans savoir où les emmèneront les aléas. Libertin, imaginatif mais joueur invétéré, perdant sa fortune et sa notoriété spontanément, il avait rêvé que vivre serait fastueux comme dépenser sans honte ni retenue, pourtant il exagérait beaucoup ! Manger, s'enivrer, forniquer toute effronterie incluse mais écrire, ivresse sensuelle, abrogation de moralité et luxure omniprésente, le coeur toujours prêt d'exploser. Son ambition n'avait point de rivale et sa passion rendait impossible toute démence intellectuelle. Pourtant, souvent déçu, il entreprenait des révisions systématiques de ses abattis qu'il emmitouflait dans une espèce d'adorable pantalon gras, décousu, sans fermeture-éclair. Aujourd'hui, il n'avait point oublié la somme d'efforts fournis par son énorme vit qu'il manipulait toujours dextrement afin d'extraire toute la moelle de son pauvre membre fatigué... Décidément, Jean devait tout faire seul ! Même se vivifier l'esprit qui battait fortement la chamade. Pourtant, sa passion reprenait toujours le dessus en bémol majeur; Quel trublion mirobolant, menteur, casanier, rancunier, obsédé par versifier ce que seul possédait son coeur. Oublier toutes ces niaiseries, stupidités écrites, énormités, pensées réactionnaires débiles qui pervertissaient ses oeuvres. Il préférait dormir, rêvant en poète attardé, qu'il voulait glorifier tardivement, les oeuvres exacerbées d'orgasmes vivifiants et revigorants. Un matin saoulé d'amertume par de l'absinthe frelatée, il eut comme une fulguration cervicale malfaisante | |
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| Sujet: Re: Cette histoire est celle de Jean le Poète Mer 18 Avr 2007 - 19:21 | |
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| Sujet: Re: Cette histoire est celle de Jean le Poète Mer 18 Avr 2007 - 19:41 | |
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| Sujet: Re: Cette histoire est celle de Jean le Poète Jeu 19 Avr 2007 - 7:21 | |
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| Sujet: Re: Cette histoire est celle de Jean le Poète Jeu 19 Avr 2007 - 7:51 | |
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| Sujet: Re: Cette histoire est celle de Jean le Poète Jeu 19 Avr 2007 - 8:25 | |
| Jean le Poète était un homme banal qui comprenait bien le Chinois. Il adorait écrire des tas d'énormités. Sa passion était toujours de détailler les limericks (was?), les haïkus que les Européens écrivent sans savoir où les emmèneront les aléas. Libertin, imaginatif mais joueur invétéré, perdant sa fortune et sa notoriété spontanément, il avait rêvé que vivre serait fastueux comme dépenser sans honte ni retenue, pourtant il exagérait beaucoup ! Manger, s'enivrer, forniquer toute effronterie incluse mais écrire, ivresse sensuelle, abrogation de moralité et luxure omniprésente, le coeur toujours prêt d'exploser. Son ambition n'avait point de rivale et sa passion rendait impossible toute démence intellectuelle. Pourtant, souvent déçu, il entreprenait des révisions systématiques de ses abattis qu'il emmitouflait dans une espèce d'adorable pantalon gras, décousu, sans fermeture-éclair. Aujourd'hui, il n'avait point oublié la somme d'efforts fournis par son énorme vit qu'il manipulait toujours dextrement afin d'extraire toute la moelle de son pauvre membre fatigué... Décidément, Jean devait tout faire seul ! Même se vivifier l'esprit qui battait fortement la chamade. Pourtant, sa passion reprenait toujours le dessus en bémol majeur; Quel trublion mirobolant, menteur, casanier, rancunier, obsédé par versifier ce que seul possédait son coeur. Oublier toutes ces niaiseries, stupidités écrites, énormités, pensées réactionnaires débiles qui pervertissaient ses oeuvres. Il préférait dormir, rêvant en poète attardé, qu'il voulait glorifier tardivement, les oeuvres exacerbées d'orgasmes vivifiants et revigorants. Un matin saoulé d'amertume par de l'absinthe frelatée, il eut comme une fulguration cervicale malfaisante, une sorte d'illumination rimbaldienne utopique | |
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| Sujet: Re: Cette histoire est celle de Jean le Poète Jeu 19 Avr 2007 - 8:41 | |
| Jean le Poète était un homme banal qui comprenait bien le Chinois. Il adorait écrire des tas d'énormités. Sa passion était toujours de détailler les limericks (was?), les haïkus que les Européens écrivent sans savoir où les emmèneront les aléas. Libertin, imaginatif mais joueur invétéré, perdant sa fortune et sa notoriété spontanément, il avait rêvé que vivre serait fastueux comme dépenser sans honte ni retenue, pourtant il exagérait beaucoup ! Manger, s'enivrer, forniquer toute effronterie incluse mais écrire, ivresse sensuelle, abrogation de moralité et luxure omniprésente, le coeur toujours prêt d'exploser. Son ambition n'avait point de rivale et sa passion rendait impossible toute démence intellectuelle. Pourtant, souvent déçu, il entreprenait des révisions systématiques de ses abattis qu'il emmitouflait dans une espèce d'adorable pantalon gras, décousu, sans fermeture-éclair. Aujourd'hui, il n'avait point oublié la somme d'efforts fournis par son énorme vit qu'il manipulait toujours dextrement afin d'extraire toute la moelle de son pauvre membre fatigué... Décidément, Jean devait tout faire seul ! Même se vivifier l'esprit qui battait fortement la chamade. Pourtant, sa passion reprenait toujours le dessus en bémol majeur; Quel trublion mirobolant, menteur, casanier, rancunier, obsédé par versifier ce que seul possédait son coeur. Oublier toutes ces niaiseries, stupidités écrites, énormités, pensées réactionnaires débiles qui pervertissaient ses oeuvres. Il préférait dormir, rêvant en poète attardé, qu'il voulait glorifier tardivement, les oeuvres exacerbées d'orgasmes vivifiants et revigorants. Un matin saoulé d'amertume par de l'absinthe frelatée, il eut comme une fulguration cervicale malfaisante, une sorte d'illumination rimbaldienne utopique et Textes protégés par © Copyright N° 79Z516A In Pace cum Patribus (devise des Neuville) | |
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| Sujet: Re: Cette histoire est celle de Jean le Poète Jeu 19 Avr 2007 - 9:05 | |
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| Sujet: Re: Cette histoire est celle de Jean le Poète Jeu 19 Avr 2007 - 16:32 | |
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| Sujet: Re: Cette histoire est celle de Jean le Poète Jeu 19 Avr 2007 - 19:41 | |
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| Sujet: Re: Cette histoire est celle de Jean le Poète Jeu 19 Avr 2007 - 20:35 | |
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| Sujet: Re: Cette histoire est celle de Jean le Poète Jeu 19 Avr 2007 - 20:45 | |
| Jean le Poète était un homme banal qui comprenait bien le Chinois. Il adorait écrire des tas d'énormités. Sa passion était toujours de détailler les limericks (was?), les haïkus que les Européens écrivent sans savoir où les emmèneront les aléas. Libertin, imaginatif mais joueur invétéré, perdant sa fortune et sa notoriété spontanément, il avait rêvé que vivre serait fastueux comme dépenser sans honte ni retenue, pourtant il exagérait beaucoup ! Manger, s'enivrer, forniquer toute effronterie incluse mais écrire, ivresse sensuelle, abrogation de moralité et luxure omniprésente, le coeur toujours prêt d'exploser. Son ambition n'avait point de rivale et sa passion rendait impossible toute démence intellectuelle. Pourtant, souvent déçu, il entreprenait des révisions systématiques de ses abattis qu'il emmitouflait dans une espèce d'adorable pantalon gras, décousu, sans fermeture-éclair. Aujourd'hui, il n'avait point oublié la somme d'efforts fournis par son énorme vit qu'il manipulait toujours dextrement afin d'extraire toute la moelle de son pauvre membre fatigué... Décidément, Jean devait tout faire seul ! Même se vivifier l'esprit qui battait fortement la chamade. Pourtant, sa passion reprenait toujours le dessus en bémol majeur; Quel trublion mirobolant, menteur, casanier, rancunier, obsédé par versifier ce que seul possédait son coeur. Oublier toutes ces niaiseries, stupidités écrites, énormités, pensées réactionnaires débiles qui pervertissaient ses oeuvres. Il préférait dormir, rêvant en poète attardé, qu'il voulait glorifier tardivement, les oeuvres exacerbées d'orgasmes vivifiants et revigorants. Un matin saoulé d'amertume par de l'absinthe frelatée, il eut comme une fulguration cervicale malfaisante, une sorte d'illumination rimbaldienne utopique et positive, pleine comme une cuve de Textes protégés par © Copyright N° 79Z516A Invité de m'avoir lu. | |
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| Sujet: Re: Cette histoire est celle de Jean le Poète Jeu 19 Avr 2007 - 21:23 | |
| Jean le Poète était un homme banal qui comprenait bien le Chinois. Il adorait écrire des tas d'énormités. Sa passion était toujours de détailler les limericks (was?), les haïkus que les Européens écrivent sans savoir où les emmèneront les aléas. Libertin, imaginatif mais joueur invétéré, perdant sa fortune et sa notoriété spontanément, il avait rêvé que vivre serait fastueux comme dépenser sans honte ni retenue, pourtant il exagérait beaucoup ! Manger, s'enivrer, forniquer toute effronterie incluse mais écrire, ivresse sensuelle, abrogation de moralité et luxure omniprésente, le coeur toujours prêt d'exploser. Son ambition n'avait point de rivale et sa passion rendait impossible toute démence intellectuelle. Pourtant, souvent déçu, il entreprenait des révisions systématiques de ses abattis qu'il emmitouflait dans une espèce d'adorable pantalon gras, décousu, sans fermeture-éclair. Aujourd'hui, il n'avait point oublié la somme d'efforts fournis par son énorme vit qu'il manipulait toujours dextrement afin d'extraire toute la moelle de son pauvre membre fatigué... Décidément, Jean devait tout faire seul ! Même se vivifier l'esprit qui battait fortement la chamade. Pourtant, sa passion reprenait toujours le dessus en bémol majeur; Quel trublion mirobolant, menteur, casanier, rancunier, obsédé par versifier ce que seul possédait son coeur. Oublier toutes ces niaiseries, stupidités écrites, énormités, pensées réactionnaires débiles qui pervertissaient ses oeuvres. Il préférait dormir, rêvant en poète attardé, qu'il voulait glorifier tardivement, les oeuvres exacerbées d'orgasmes vivifiants et revigorants. Un matin saoulé d'amertume par de l'absinthe frelatée, il eut comme une fulguration cervicale malfaisante, une sorte d'illumination rimbaldienne utopique et positive, pleine comme une cuve de connaissances | |
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| Sujet: Re: Cette histoire est celle de Jean le Poète Jeu 19 Avr 2007 - 23:05 | |
| Jean le Poète était un homme banal qui comprenait bien le Chinois. Il adorait écrire des tas d'énormités. Sa passion était toujours de détailler les limericks (was?), les haïkus que les Européens écrivent sans savoir où les emmèneront les aléas. Libertin, imaginatif mais joueur invétéré, perdant sa fortune et sa notoriété spontanément, il avait rêvé que vivre serait fastueux comme dépenser sans honte ni retenue, pourtant il exagérait beaucoup ! Manger, s'enivrer, forniquer toute effronterie incluse mais écrire, ivresse sensuelle, abrogation de moralité et luxure omniprésente, le coeur toujours prêt d'exploser. Son ambition n'avait point de rivale et sa passion rendait impossible toute démence intellectuelle. Pourtant, souvent déçu, il entreprenait des révisions systématiques de ses abattis qu'il emmitouflait dans une espèce d'adorable pantalon gras, décousu, sans fermeture-éclair. Aujourd'hui, il n'avait point oublié la somme d'efforts fournis par son énorme vit qu'il manipulait toujours dextrement afin d'extraire toute la moelle de son pauvre membre fatigué... Décidément, Jean devait tout faire seul ! Même se vivifier l'esprit qui battait fortement la chamade. Pourtant, sa passion reprenait toujours le dessus en bémol majeur; Quel trublion mirobolant, menteur, casanier, rancunier, obsédé par versifier ce que seul possédait son coeur. Oublier toutes ces niaiseries, stupidités écrites, énormités, pensées réactionnaires débiles qui pervertissaient ses oeuvres. Il préférait dormir, rêvant en poète attardé, qu'il voulait glorifier tardivement, les oeuvres exacerbées d'orgasmes vivifiants et revigorants. Un matin saoulé d'amertume par de l'absinthe frelatée, il eut comme une fulguration cervicale malfaisante, une sorte d'illumination rimbaldienne utopique et positive, pleine comme une cuve de connaissances savantes Textes protégés par © Copyright N° 79Z516A In Pace cum Patribus (devise des Neuville) | |
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| Sujet: Re: Cette histoire est celle de Jean le Poète Ven 20 Avr 2007 - 17:56 | |
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| Sujet: Re: Cette histoire est celle de Jean le Poète Ven 20 Avr 2007 - 18:00 | |
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| Sujet: Re: Cette histoire est celle de Jean le Poète Ven 20 Avr 2007 - 18:21 | |
| Jean le Poète était un homme banal qui comprenait bien le Chinois. Il adorait écrire des tas d'énormités. Sa passion était toujours de détailler les limericks (was?), les haïkus que les Européens écrivent sans savoir où les emmèneront les aléas. Libertin, imaginatif mais joueur invétéré, perdant sa fortune et sa notoriété spontanément, il avait rêvé que vivre serait fastueux comme dépenser sans honte ni retenue, pourtant il exagérait beaucoup ! Manger, s'enivrer, forniquer toute effronterie incluse mais écrire, ivresse sensuelle, abrogation de moralité et luxure omniprésente, le coeur toujours prêt d'exploser. Son ambition n'avait point de rivale et sa passion rendait impossible toute démence intellectuelle. Pourtant, souvent déçu, il entreprenait des révisions systématiques de ses abattis qu'il emmitouflait dans une espèce d'adorable pantalon gras, décousu, sans fermeture-éclair. Aujourd'hui, il n'avait point oublié la somme d'efforts fournis par son énorme vit qu'il manipulait toujours dextrement afin d'extraire toute la moelle de son pauvre membre fatigué... Décidément, Jean devait tout faire seul ! Même se vivifier l'esprit qui battait fortement la chamade. Pourtant, sa passion reprenait toujours le dessus en bémol majeur; Quel trublion mirobolant, menteur, casanier, rancunier, obsédé par versifier ce que seul possédait son coeur. Oublier toutes ces niaiseries, stupidités écrites, énormités, pensées réactionnaires débiles qui pervertissaient ses oeuvres. Il préférait dormir, rêvant en poète attardé, qu'il voulait glorifier tardivement, les oeuvres exacerbées d'orgasmes vivifiants et revigorants. Un matin saoulé d'amertume par de l'absinthe frelatée, il eut comme une fulguration cervicale malfaisante, une sorte d'illumination rimbaldienne utopique et positive, pleine comme une cuve de connaissances savantes et bouillonnantes diamétralement Textes protégés par © Copyright N° 79Z516A In Pace cum Patribus (devise des Neuville) | |
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| Sujet: Re: Cette histoire est celle de Jean le Poète Ven 20 Avr 2007 - 18:28 | |
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| Sujet: Re: Cette histoire est celle de Jean le Poète Ven 20 Avr 2007 - 18:33 | |
| Jean le Poète était un homme banal qui comprenait bien le Chinois. Il adorait écrire des tas d'énormités. Sa passion était toujours de détailler les limericks (was?), les haïkus que les Européens écrivent sans savoir où les emmèneront les aléas. Libertin, imaginatif mais joueur invétéré, perdant sa fortune et sa notoriété spontanément, il avait rêvé que vivre serait fastueux comme dépenser sans honte ni retenue, pourtant il exagérait beaucoup ! Manger, s'enivrer, forniquer toute effronterie incluse mais écrire, ivresse sensuelle, abrogation de moralité et luxure omniprésente, le coeur toujours prêt d'exploser. Son ambition n'avait point de rivale et sa passion rendait impossible toute démence intellectuelle. Pourtant, souvent déçu, il entreprenait des révisions systématiques de ses abattis qu'il emmitouflait dans une espèce d'adorable pantalon gras, décousu, sans fermeture-éclair. Aujourd'hui, il n'avait point oublié la somme d'efforts fournis par son énorme vit qu'il manipulait toujours dextrement afin d'extraire toute la moelle de son pauvre membre fatigué... Décidément, Jean devait tout faire seul ! Même se vivifier l'esprit qui battait fortement la chamade. Pourtant, sa passion reprenait toujours le dessus en bémol majeur; Quel trublion mirobolant, menteur, casanier, rancunier, obsédé par versifier ce que seul possédait son coeur. Oublier toutes ces niaiseries, stupidités écrites, énormités, pensées réactionnaires débiles qui pervertissaient ses oeuvres. Il préférait dormir, rêvant en poète attardé, qu'il voulait glorifier tardivement, les oeuvres exacerbées d'orgasmes vivifiants et revigorants. Un matin saoulé d'amertume par de l'absinthe frelatée, il eut comme une fulguration cervicale malfaisante, une sorte d'illumination rimbaldienne utopique et positive, pleine comme une cuve de connaissances savantes et bouillonnantes diamétralement incrustées sous Textes protégés par © Copyright N° 79Z516A In Pace cum Patribus (devise des Neuville) | |
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| Sujet: Re: Cette histoire est celle de Jean le Poète Ven 20 Avr 2007 - 18:47 | |
| Jean le Poète était un homme banal qui comprenait bien le Chinois. Il adorait écrire des tas d'énormités. Sa passion était toujours de détailler les limericks (was?), les haïkus que les Européens écrivent sans savoir où les emmèneront les aléas. Libertin, imaginatif mais joueur invétéré, perdant sa fortune et sa notoriété spontanément, il avait rêvé que vivre serait fastueux comme dépenser sans honte ni retenue, pourtant il exagérait beaucoup ! Manger, s'enivrer, forniquer toute effronterie incluse mais écrire, ivresse sensuelle, abrogation de moralité et luxure omniprésente, le coeur toujours prêt d'exploser. Son ambition n'avait point de rivale et sa passion rendait impossible toute démence intellectuelle. Pourtant, souvent déçu, il entreprenait des révisions systématiques de ses abattis qu'il emmitouflait dans une espèce d'adorable pantalon gras, décousu, sans fermeture-éclair. Aujourd'hui, il n'avait point oublié la somme d'efforts fournis par son énorme vit qu'il manipulait toujours dextrement afin d'extraire toute la moelle de son pauvre membre fatigué... Décidément, Jean devait tout faire seul ! Même se vivifier l'esprit qui battait fortement la chamade. Pourtant, sa passion reprenait toujours le dessus en bémol majeur; Quel trublion mirobolant, menteur, casanier, rancunier, obsédé par versifier ce que seul possédait son coeur. Oublier toutes ces niaiseries, stupidités écrites, énormités, pensées réactionnaires débiles qui pervertissaient ses oeuvres. Il préférait dormir, rêvant en poète attardé, qu'il voulait glorifier tardivement, les oeuvres exacerbées d'orgasmes vivifiants et revigorants. Un matin saoulé d'amertume par de l'absinthe frelatée, il eut comme une fulguration cervicale malfaisante, une sorte d'illumination rimbaldienne utopique et positive, pleine comme une cuve de connaissances savantes et bouillonnantes diamétralement incrustées sous la Textes protégés par © Copyright N° 79Z516A Invité de m'avoir lu. | |
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| Sujet: Re: Cette histoire est celle de Jean le Poète Ven 20 Avr 2007 - 19:01 | |
| Jean le Poète était un homme banal qui comprenait bien le Chinois. Il adorait écrire des tas d'énormités. Sa passion était toujours de détailler les limericks (was?), les haïkus que les Européens écrivent sans savoir où les emmèneront les aléas. Libertin, imaginatif mais joueur invétéré, perdant sa fortune et sa notoriété spontanément, il avait rêvé que vivre serait fastueux comme dépenser sans honte ni retenue, pourtant il exagérait beaucoup ! Manger, s'enivrer, forniquer toute effronterie incluse mais écrire, ivresse sensuelle, abrogation de moralité et luxure omniprésente, le coeur toujours prêt d'exploser. Son ambition n'avait point de rivale et sa passion rendait impossible toute démence intellectuelle. Pourtant, souvent déçu, il entreprenait des révisions systématiques de ses abattis qu'il emmitouflait dans une espèce d'adorable pantalon gras, décousu, sans fermeture-éclair. Aujourd'hui, il n'avait point oublié la somme d'efforts fournis par son énorme vit qu'il manipulait toujours dextrement afin d'extraire toute la moelle de son pauvre membre fatigué... Décidément, Jean devait tout faire seul ! Même se vivifier l'esprit qui battait fortement la chamade. Pourtant, sa passion reprenait toujours le dessus en bémol majeur; Quel trublion mirobolant, menteur, casanier, rancunier, obsédé par versifier ce que seul possédait son coeur. Oublier toutes ces niaiseries, stupidités écrites, énormités, pensées réactionnaires débiles qui pervertissaient ses oeuvres. Il préférait dormir, rêvant en poète attardé, qu'il voulait glorifier tardivement, les oeuvres exacerbées d'orgasmes vivifiants et revigorants. Un matin saoulé d'amertume par de l'absinthe frelatée, il eut comme une fulguration cervicale malfaisante, une sorte d'illumination rimbaldienne utopique et positive, pleine comme une cuve de connaissances savantes et bouillonnantes diamétralement incrustées sous la caboche Textes protégés par © Copyright N° 79Z516A In Pace cum Patribus (devise des Neuville) | |
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| Sujet: Re: Cette histoire est celle de Jean le Poète Ven 20 Avr 2007 - 19:04 | |
| Jean le Poète était un homme banal qui comprenait bien le Chinois. Il adorait écrire des tas d'énormités. Sa passion était toujours de détailler les limericks (was?), les haïkus que les Européens écrivent sans savoir où les emmèneront les aléas. Libertin, imaginatif mais joueur invétéré, perdant sa fortune et sa notoriété spontanément, il avait rêvé que vivre serait fastueux comme dépenser sans honte ni retenue, pourtant il exagérait beaucoup ! Manger, s'enivrer, forniquer toute effronterie incluse mais écrire, ivresse sensuelle, abrogation de moralité et luxure omniprésente, le coeur toujours prêt d'exploser. Son ambition n'avait point de rivale et sa passion rendait impossible toute démence intellectuelle. Pourtant, souvent déçu, il entreprenait des révisions systématiques de ses abattis qu'il emmitouflait dans une espèce d'adorable pantalon gras, décousu, sans fermeture-éclair. Aujourd'hui, il n'avait point oublié la somme d'efforts fournis par son énorme vit qu'il manipulait toujours dextrement afin d'extraire toute la moelle de son pauvre membre fatigué... Décidément, Jean devait tout faire seul ! Même se vivifier l'esprit qui battait fortement la chamade. Pourtant, sa passion reprenait toujours le dessus en bémol majeur; Quel trublion mirobolant, menteur, casanier, rancunier, obsédé par versifier ce que seul possédait son coeur. Oublier toutes ces niaiseries, stupidités écrites, énormités, pensées réactionnaires débiles qui pervertissaient ses oeuvres. Il préférait dormir, rêvant en poète attardé, qu'il voulait glorifier tardivement, les oeuvres exacerbées d'orgasmes vivifiants et revigorants. Un matin saoulé d'amertume par de l'absinthe frelatée, il eut comme une fulguration cervicale malfaisante, une sorte d'illumination rimbaldienne utopique et positive, pleine comme une cuve de connaissances savantes et bouillonnantes diamétralement incrustées sous la caboche cabossée Textes protégés par © Copyright N° 79Z516A Invité de m'avoir lu. | |
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| Sujet: Re: Cette histoire est celle de Jean le Poète Ven 20 Avr 2007 - 19:23 | |
| Jean le Poète était un homme banal qui comprenait bien le Chinois. Il adorait écrire des tas d'énormités. Sa passion était toujours de détailler les limericks (was?), les haïkus que les Européens écrivent sans savoir où les emmèneront les aléas. Libertin, imaginatif mais joueur invétéré, perdant sa fortune et sa notoriété spontanément, il avait rêvé que vivre serait fastueux comme dépenser sans honte ni retenue, pourtant il exagérait beaucoup ! Manger, s'enivrer, forniquer toute effronterie incluse mais écrire, ivresse sensuelle, abrogation de moralité et luxure omniprésente, le coeur toujours prêt d'exploser. Son ambition n'avait point de rivale et sa passion rendait impossible toute démence intellectuelle. Pourtant, souvent déçu, il entreprenait des révisions systématiques de ses abattis qu'il emmitouflait dans une espèce d'adorable pantalon gras, décousu, sans fermeture-éclair. Aujourd'hui, il n'avait point oublié la somme d'efforts fournis par son énorme vit qu'il manipulait toujours dextrement afin d'extraire toute la moelle de son pauvre membre fatigué... Décidément, Jean devait tout faire seul ! Même se vivifier l'esprit qui battait fortement la chamade. Pourtant, sa passion reprenait toujours le dessus en bémol majeur; Quel trublion mirobolant, menteur, casanier, rancunier, obsédé par versifier ce que seul possédait son coeur. Oublier toutes ces niaiseries, stupidités écrites, énormités, pensées réactionnaires débiles qui pervertissaient ses oeuvres. Il préférait dormir, rêvant en poète attardé, qu'il voulait glorifier tardivement, les oeuvres exacerbées d'orgasmes vivifiants et revigorants. Un matin saoulé d'amertume par de l'absinthe frelatée, il eut comme une fulguration cervicale malfaisante, une sorte d'illumination rimbaldienne utopique et positive, pleine comme une cuve de connaissances savantes et bouillonnantes diamétralement incrustées sous la caboche cabossée qui Textes protégés par © Copyright N° 79Z516A In Pace cum Patribus (devise des Neuville) | |
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| Sujet: Re: Cette histoire est celle de Jean le Poète Ven 20 Avr 2007 - 19:35 | |
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| Sujet: Re: Cette histoire est celle de Jean le Poète Ven 20 Avr 2007 - 19:43 | |
| Jean le Poète était un homme banal qui comprenait bien le Chinois. Il adorait écrire des tas d'énormités. Sa passion était toujours de détailler les limericks (was?), les haïkus que les Européens écrivent sans savoir où les emmèneront les aléas. Libertin, imaginatif mais joueur invétéré, perdant sa fortune et sa notoriété spontanément, il avait rêvé que vivre serait fastueux comme dépenser sans honte ni retenue, pourtant il exagérait beaucoup ! Manger, s'enivrer, forniquer toute effronterie incluse mais écrire, ivresse sensuelle, abrogation de moralité et luxure omniprésente, le coeur toujours prêt d'exploser. Son ambition n'avait point de rivale et sa passion rendait impossible toute démence intellectuelle. Pourtant, souvent déçu, il entreprenait des révisions systématiques de ses abattis qu'il emmitouflait dans une espèce d'adorable pantalon gras, décousu, sans fermeture-éclair. Aujourd'hui, il n'avait point oublié la somme d'efforts fournis par son énorme vit qu'il manipulait toujours dextrement afin d'extraire toute la moelle de son pauvre membre fatigué... Décidément, Jean devait tout faire seul ! Même se vivifier l'esprit qui battait fortement la chamade. Pourtant, sa passion reprenait toujours le dessus en bémol majeur; Quel trublion mirobolant, menteur, casanier, rancunier, obsédé par versifier ce que seul possédait son coeur. Oublier toutes ces niaiseries, stupidités écrites, énormités, pensées réactionnaires débiles qui pervertissaient ses oeuvres. Il préférait dormir, rêvant en poète attardé, qu'il voulait glorifier tardivement, les oeuvres exacerbées d'orgasmes vivifiants et revigorants. Un matin saoulé d'amertume par de l'absinthe frelatée, il eut comme une fulguration cervicale malfaisante, une sorte d'illumination rimbaldienne utopique et positive, pleine comme une cuve de connaissances savantes et bouillonnantes diamétralement incrustées sous la caboche cabossée qui fumait abondamment Textes protégés par © Copyright N° 79Z516A In Pace cum Patribus (devise des Neuville) | |
| | | Yves Le Guern Grimoirien
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| Sujet: Re: Cette histoire est celle de Jean le Poète Ven 20 Avr 2007 - 20:57 | |
| Jean le Poète était un homme banal qui comprenait bien le Chinois. Il adorait écrire des tas d'énormités. Sa passion était toujours de détailler les limericks (was?), les haïkus que les Européens écrivent sans savoir où les emmèneront les aléas. Libertin, imaginatif mais joueur invétéré, perdant sa fortune et sa notoriété spontanément, il avait rêvé que vivre serait fastueux comme dépenser sans honte ni retenue, pourtant il exagérait beaucoup ! Manger, s'enivrer, forniquer toute effronterie incluse mais écrire, ivresse sensuelle, abrogation de moralité et luxure omniprésente, le coeur toujours prêt d'exploser. Son ambition n'avait point de rivale et sa passion rendait impossible toute démence intellectuelle. Pourtant, souvent déçu, il entreprenait des révisions systématiques de ses abattis qu'il emmitouflait dans une espèce d'adorable pantalon gras, décousu, sans fermeture-éclair. Aujourd'hui, il n'avait point oublié la somme d'efforts fournis par son énorme vit qu'il manipulait toujours dextrement afin d'extraire toute la moelle de son pauvre membre fatigué... Décidément, Jean devait tout faire seul ! Même se vivifier l'esprit qui battait fortement la chamade. Pourtant, sa passion reprenait toujours le dessus en bémol majeur; Quel trublion mirobolant, menteur, casanier, rancunier, obsédé par versifier ce que seul possédait son coeur. Oublier toutes ces niaiseries, stupidités écrites, énormités, pensées réactionnaires débiles qui pervertissaient ses oeuvres. Il préférait dormir, rêvant en poète attardé, qu'il voulait glorifier tardivement, les oeuvres exacerbées d'orgasmes vivifiants et revigorants. Un matin saoulé d'amertume par de l'absinthe frelatée, il eut comme une fulguration cervicale malfaisante, une sorte d'illumination rimbaldienne utopique et positive, pleine comme une cuve de connaissances savantes et bouillonnantes diamétralement incrustées sous la caboche cabossée qui fumait abondamment lorsque Textes protégés par © Copyright N° 79Z516A Invité de m'avoir lu. | |
| | | philippe de neuville Grimoirien
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| Sujet: Re: Cette histoire est celle de Jean le Poète Ven 20 Avr 2007 - 23:32 | |
| Jean le Poète était un homme banal qui comprenait bien le Chinois. Il adorait écrire des tas d'énormités. Sa passion était toujours de détailler les limericks (was?), les haïkus que les Européens écrivent sans savoir où les emmèneront les aléas. Libertin, imaginatif mais joueur invétéré, perdant sa fortune et sa notoriété spontanément, il avait rêvé que vivre serait fastueux comme dépenser sans honte ni retenue, pourtant il exagérait beaucoup ! Manger, s'enivrer, forniquer toute effronterie incluse mais écrire, ivresse sensuelle, abrogation de moralité et luxure omniprésente, le coeur toujours prêt d'exploser. Son ambition n'avait point de rivale et sa passion rendait impossible toute démence intellectuelle. Pourtant, souvent déçu, il entreprenait des révisions systématiques de ses abattis qu'il emmitouflait dans une espèce d'adorable pantalon gras, décousu, sans fermeture-éclair. Aujourd'hui, il n'avait point oublié la somme d'efforts fournis par son énorme vit qu'il manipulait toujours dextrement afin d'extraire toute la moelle de son pauvre membre fatigué... Décidément, Jean devait tout faire seul ! Même se vivifier l'esprit qui battait fortement la chamade. Pourtant, sa passion reprenait toujours le dessus en bémol majeur; Quel trublion mirobolant, menteur, casanier, rancunier, obsédé par versifier ce que seul possédait son coeur. Oublier toutes ces niaiseries, stupidités écrites, énormités, pensées réactionnaires débiles qui pervertissaient ses oeuvres. Il préférait dormir, rêvant en poète attardé, qu'il voulait glorifier tardivement, les oeuvres exacerbées d'orgasmes vivifiants et revigorants. Un matin saoulé d'amertume par de l'absinthe frelatée, il eut comme une fulguration cervicale malfaisante, une sorte d'illumination rimbaldienne utopique et positive, pleine comme une cuve de connaissances savantes et bouillonnantes diamétralement incrustées sous la caboche cabossée qui fumait abondamment lorsque vint Textes protégés par © Copyright N° 79Z516A In Pace cum Patribus (devise des Neuville) | |
| | | sandipoete Fondateur
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| Sujet: Re: Cette histoire est celle de Jean le Poète Sam 21 Avr 2007 - 10:52 | |
| Jean le Poète était un homme banal qui comprenait bien le Chinois. Il adorait écrire des tas d'énormités. Sa passion était toujours de détailler les limericks (was?), les haïkus que les Européens écrivent sans savoir où les emmèneront les aléas. Libertin, imaginatif mais joueur invétéré, perdant sa fortune et sa notoriété spontanément, il avait rêvé que vivre serait fastueux comme dépenser sans honte ni retenue, pourtant il exagérait beaucoup ! Manger, s'enivrer, forniquer toute effronterie incluse mais écrire, ivresse sensuelle, abrogation de moralité et luxure omniprésente, le coeur toujours prêt d'exploser. Son ambition n'avait point de rivale et sa passion rendait impossible toute démence intellectuelle. Pourtant, souvent déçu, il entreprenait des révisions systématiques de ses abattis qu'il emmitouflait dans une espèce d'adorable pantalon gras, décousu, sans fermeture-éclair. Aujourd'hui, il n'avait point oublié la somme d'efforts fournis par son énorme vit qu'il manipulait toujours dextrement afin d'extraire toute la moelle de son pauvre membre fatigué... Décidément, Jean devait tout faire seul ! Même se vivifier l'esprit qui battait fortement la chamade. Pourtant, sa passion reprenait toujours le dessus en bémol majeur; Quel trublion mirobolant, menteur, casanier, rancunier, obsédé par versifier ce que seul possédait son coeur. Oublier toutes ces niaiseries, stupidités écrites, énormités, pensées réactionnaires débiles qui pervertissaient ses oeuvres. Il préférait dormir, rêvant en poète attardé, qu'il voulait glorifier tardivement, les oeuvres exacerbées d'orgasmes vivifiants et revigorants. Un matin saoulé d'amertume par de l'absinthe frelatée, il eut comme une fulguration cervicale malfaisante, une sorte d'illumination rimbaldienne utopique et positive, pleine comme une cuve de connaissances savantes et bouillonnantes diamétralement incrustées sous la caboche cabossée qui fumait abondamment lorsque vint Marie-Qunégonde | |
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