Brise légère.

Ma plume devient sarcastique,

Et mon esprit anémié

N’a plus son élan artistique,

Dieu me l’a excommunié.

Mais enfin que devrais-je faire,

Pour raviver tout son éclat,

Et que je puisse enfin parfaire,

Mes vers qui sont en reliquat.

Car hélas, c’est le grand silence,

Rien, aucune inspiration,

Aucun élan de connivence,

N’efface l’inanition.

Hélas mon esprit reste amorphe,

Aucune idée ne veut germer ;

Cela devient la catastrophe

Et je finis par déprimer.

Quels sont ces pas dans la ruelle ?

Talons frappant le macadam,

L'inspiration, cette cruelle,

Vient souriant entres ses dents

Et me voici avec mes ailes,

L'esprit coquin est revenu,

L’œil dévêtant la jouvencelle

Que j’aperçois, là toute nue.

Malgré sa magnifique robe,

Voici l’imagination

Qui, de la robe, me dérobe,

Ses couleurs constellation.

Puis j’aperçois ses seins très fermes

Et ses hanches qui, en tanguant,

Imprègnent l’œil et l’épiderme,

Je trouve ça extravaguant.

C’est comme si c’était un rêve,

Qui m’assaille tel un brigand

Sans jamais y avoir de trêve

Et j’écris ça en le taguant.

Bonjour ... Même en taNguant, tes vers se tiennent bien droits et beaux, comme un soleil radiant ton inspiration... j'adore quand les vers en rimes sont de connivence avec l'humour Bravo

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Bonjour Invité MerciSandi

Belle lecture, une plume qui a en elle plein de ressources . Bravo

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