Quand revient le beau temps

Quand revient le beau temps
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Printemps si fécond qui fait merveille.
Où timide tremblait son âme ingénue,
Une flûte scintille attardée et menue.
De l’hiver finit, un bel ange se réveille,
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Pour m’embaumer à son réveil.
La volupté dans son cœur est parvenue,
La recette est formelle et plus méconnue.
Tout l’éclat d’un très beau soleil.
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Vois toujours au-delà de la forme palpable.
Morne et désespéré plus glacé que l’océan,
Mais la roche est solide debout sans élan.
La chose que chacun trouve très agréable,
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Réchauffe le plus profond de mon cœur.
Dans cet univers ou tout devient oubli,
De toutes ces fleurs je ferai un bon lit.
De cet hiver je n’aurai pas de rancœur,
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Au petit jour je découvre le chemin.
Avec les abeilles le parfum des fleurs,
Calme mon esprit chagrin en pleurs.
Les nuits je remplirai le parchemin,
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De vers que le jour remplit de rêve.
La nuit, où je ne trouve le sommeil,
Plus que jamais porte bon conseil.
Le poète n’a plus jamais une trêve.
J M le 04/02/2023

Bonjour Jean, une ode au printemps que nous attendons tous avec impatience.
Mais n'attendons pas l'arrivé de Phébus pour agrémenter les pages blanches de nos vers colorés.
Bravo et merci pour ce très plaisant partage.
Amitié.
Capricorne.

Bonjour Jean-Marcel,

J’aime bien ces deux vers:

Où timide tremblait son âme ingénue,
Une flûte scintille attardée et menue.

Je pense à l’ange de la carte du tarot, le jugement XX, ou le soleil et la trompette annonce une naissance ou une révélation.

L’arrivée d’une lumière nouvelle est effectivement à célébrer.

Merci pour ce poème.

Amitiés.
Veronique

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Merci Vero. Je ne choisis pas obligatoirement mes vers ils arrivent celon mon inspiration. Bon dimanche

» Quand revient l'automne ...
» Quand revient l’automne
» Le printemps nous revient
» Quand se vivent ces temps à l'ombre de soi-même
» Quand nos povin’ muchneu (Quand nous pouvions glaner)