Isabelle

j'ai failli passer à côté d'une poésie délicieuse
si j'ai bien compris il s'agit d'un doux souvenir d'une dame qui vous plaisait et qui
était gentille avec vous sans arrière pensée
bises

Raymonde Verney a écrit:

j'ai failli passer à côté d'une poésie délicieuse
si j'ai bien compris il s'agit d'un doux souvenir d'une dame qui vous plaisait et qui
était gentille avec vous sans arrière pensée
bises

Bonsoir Raymonde,
Oui tout à fait. Dans mon job je voyageais beaucoup pour expliquer le fonctionnement et les possibilités d'un logiciel informatique. Cette semaine là j'étais à Carvin (près de Lille) pour un audit dans une usine qui fabrique des emballages en carton. Isabelle était tout à la fois hôtesse d'accueil et secrétaire dans cette société.
Un grand bonheur d'être accueilli chaque matin par elle.
Et mon petit poème remis pour son plaisir ... et le mien.
bisous

De tendres souvenirs ancrés dans la mémoire.
Ce genre de rencontre ne s'oublie pas et provoque immanquablement des regrets parfaitement exprimés dans ce texte.

C.Fonteux a écrit:

De tendres souvenirs ancrés dans la mémoire.
Ce genre de rencontre ne s'oublie pas et provoque immanquablement des regrets parfaitement exprimés dans ce texte.

Bonjour Monsieur Fonteux.
Vous habitez le Grand Est me semble t il ? Où ça plus précisément. Vous savez j'agite en région parisienne près de Versailles mais j'ai aussi beaucoup voyagé pour mon travail dans toute la France !

Goebel Jeannie a écrit:

Bonjour Christian Roze,

Une rencontre pleine d'espoir !

Amitiés
Jeannie.

Et sans suite, quoique, ce petit poème !
Faut que j'en publie d'autres
Amicalement
Christian

Tu es réveillée ; je suis dans un demi sommeil
Tu m'embrasses ici, là, partout, de ta bouche vermeille
Jusqu'à ce que vers ta nudité, mon arbre de vie se dresse
Lequel tu enfourches déjà dans une forte et tendre caresse

Au petit jour blême, ensemble, nous glissons.
Nous glissons l'un sur l'autre, à l'unisson.
Tu me laisses, dans ton jardin secret, fouiller
Et le calice de ta fleur intime de mouiller.

Comme le jardinier veillant à sa croissance,
Je m'attarde sur le pistil de ta jouissance,
Et me retient de conclure par trop d'ardeur
Une si belle glisse qui fait déjà notre bonheur.

Il faut que le jeu dure, que tu sois bien prise
Que je sois très longtemps sous ton emprise
Que tous nos sens soient encore surexcités
A ne plus savoir où sont nos extrémités.

Nous essayons diverses approches ou positions,
Comme si nous n'en savions plus l'excitation ;
Ta préférée ou je suis soumis, te plais, je le sais bien,
Celle-là, trop animale dis-tu, pourtant me convient.

Ce soir, je suis le maitre de nos jeux, le dominant,
Qui te prend fort comme un fougueux amant,
De mes mains te tiens les hanches fermement
Tandis que dans ton humus se meut mon sarment.

Quelle douceur que cette glisse longue et ferme
Qui se termine par un jaillissement de sperme
Et nous fait crier et jouir de concert au petit jour
Comme pour nous redire la force de notre amour.