Marchand de larmes

Un jour est née sur cette planète terre,
Une nouvelle espèce de grands horizons.
Oubliant ses anciens, découvrant la lumière.
Riche du temps, prêt à conquérir les saisons !

Gagnant une à une toutes les merveilles,
Sous l'épopée de légendaires racines.
Forgeant son avenir, lui même il dessine
des forces d'univers qui de loin surveillent...

Erudit de notre mère, tue son présent
Sur les traces d'un empire, le coeur vaillant !
Dans son génie et au delà des océans,
Il terrassa les frontières des continents...

De savoir en sagesse, le fil d'avenir
Se tisse en ses mains. Percer les secrets
et revoir son destin, prêt à imaginer
tout ce que la nature ne saurait nous dire !




Vainqueur ou bien victime de son apogée !
N'aura t'il fallu que l'ennui comme ration,
Pour nourrir l'opulence de quelques années
Que notre monde a épargné sur des millions...

S'il n'y avait pas eu l'image si réelle, j'aurais cru lire un conte fantastique, promettant un monde meilleur et non pas pire.
J'aime ta façon de le dire, nous faire rêver et nous montrer le pire .... c'est vrai que le réel ne promet pas de jolies choses pour notre nature au futur

Joli à lire :

Mais pour les trois dernière strophes, le sujet "IL"
se rapporte bien à :

"Une nouvelle espèce de grands horizons." ?
Le sujet traité est donc "une nouvelle espèce" et non pas "grands horizons" ?

Cela ne m'a pas empêché de comprendre le fond du poème, comme l'a envisagé Tigresse, et en fait, il est intéressant.

C'est marrant, en lisant ton poème, puis les commentaires, je m'aperçois que je n'avais pas du tout la même vision.
J'étais parti sur les conquistadores et sur l'Ouest Américain... je ne sais pas pourquoi, peut-être ton passage sur les frontières et les continents.
Comme quoi toute poésie peut être interprétée selon le lecteur et ce qu'il ressent.
J'ai bien aimé, quoi qu'il en soit.
Amicalement

cruelle realité.....
l'adition va etre salée.....
j'aime bien

Merci à vous tous !