Quand la tristesse tourne a la haine

Quand la tristesse tourne à la haine



Je voudrais mourir pour voir tes larmes couler
Et déçu de résultat, revenir pour te tuer
Et te faire partir pour toujours !
Je ne te dis pas adieu mon amour 
Mais à jamais car là où iras
Est pire que ce ne sera l'enfer pour moi
Cet enfer ne me sera qu'un paradis 
D'où je te regarderai souffrir le long de ta seconde vie !
Tu n'es qu'une page non tournée et en envoutante,
Page illisible et permanente,
Page que je voudrais être blanche,
Page de ce livre appelé "vie"
Page qui me blesse mais que pourtant je lis,
Page que j'aurais voulu laisser blanche !
   Cœur brisé et sentiments enlevés,
   Emotions Ressenties pour les regretter,
   Lueur d'espoir qui a faite vite a s'éteindre,
   Incompréhension et doute que j'ai fait vite à craindre,
   Au final tu as décidé de partir...
Mais compte sur moi pour t'en faire souffrir
Avant je ne voulais que ton bonheur
Maintenant je te veux vivre ta dernière heure
Ton agonie serait le plus beau spectacle 
J'ai déjà la lame à main prêt à t'abattre
La lame à la main prêt à trancher
Cette même gorge que j'ai embrassée 
Je veux t'entendre crier de souffrance 
Et me supplier mais je t'abandonne, comme tu l'as fait, et j'avance
Tu es partie et je devrais en souffrir ??!!!
Mais ça ne me fait que te haïr
La souffrance je l'ai trop ressentie 
Pour l'avoir juste car tu es partie
J'écris encore pour toi
Mais je ne sais même pas pourquoi 
Chercher les mots m'énerve 
Mais ça palis l'envie de te tailler les veines
Écrire en pensant à toi me rend fou
Mais ça plais l'envie de te mettre la corde autour du cou

Un seul de mes poèmes a suffi à t'avoir pour moi...
...combien en faudra-t-il pour que tu partes vraiment cette fois ??!!!!

Il est, hélas, ces ces amours qui ne vous quittent jamais. Crois en un "vieux", certaines blessures ne se referment pas. Ce n'est point là de la haine que tu éprouves, mais bel et bien du désespoir, c'est ce que je pense. Lorsque "l'aimée" vous quitte, on sombre dans le désespoir qui revêt bien des formes différentes... Mais lorsque c'est un "grand amour" qui se termine, le désespoir est cette fois si grand qu'on a bien du mal à savoir si on hait ou si on aime de façon désespérée...
Pour "te consoler" du "boff" de ton poème, disons qu'il s'agit d'une prose dans laquelle tu mets à nu le mal et la souffrance qui t'habitent.
Moi j'ai bien aimé, certes je n'aurais jamais écrit en ces termes mon ressenti tant mon grand amour fut beau, cela n'empêche pas que toute cette souffrance engendrée par la séparation me laissa une certaine forme de colère que Seul l'amour que j'éprouve toujours m'ont empêcher de dépeindre.

Ouh c'était l'orage !
Rassurez-vous, je crois que nous passons tous par des colères qui paraissent aussi excessives que celles-ci. Tant qu'elles ne sont pas suivies d'actes...
Une exaspération que j'ai partagé, presque avec empathie...Pour l'autre..(sourire).

Un ressenti.... assez violent ^^ Mais je comprends tout à fait tes sentiments, on est tous passé par là et c'est jamais évident. Je pense, comme pagnolesque, que c'est plus du désespoir que tu ressens, et non de la haine. Quand on aime vraiment une personne, je ne pense pas que soit possible de se mettre à la haïr, peu importe le mal qu'elle a pu nous faire. On essaye de se convaincre qu'on la déteste (je le sais, je l'ai fait), mais on fond c'est juste un profond désespoir, que tu as très bien dépeint, selon moi.

S'il te plait... Relis-toi...
Tu oublies même des mots :
Mais à jamais car là où iras (à mon avis, il manque le sujet)
Je viendrai finir ma lecture lorsque tu auras corrigé.