Aimer, savoir l’aimer(2- conquête)
Ou la trilogie de l’amour
Nous voilà là revenu ce n’est tracas
Tu iras faire un jour une fiesta de pacha
Ce jour où l’amour t’offrira tous ses jours
Sur un velours où les caresses sortent du bourg
Pour courir vers un corps qui ne veut plus souffrir
Mais y faire murir ce fruit qui demande à s’épanouir
Mais comment se fait, ce même chemin se va léger
Avance tes pas pressés qu’ils aillent la chercher
Je sais ! Ne soit obsédé par ton boulot obligé
Il faut s’inquiéter du temps dépassé et tronqué
Il sera idéal que son instant soit en soit tout égal
A ton ardeur en récital pour lui offrir le subliminal
Maintenant que son cœur tu as entrepris en semant
Sur ses yeux scintillant le beau de ton corps rayonnant
Il te faut conquérir le lit de son esprit, beau défi à sertir
Il est de ta plume d’avenir des mots qu’il te faut entretenir
Comme des bijoux, diamants gantés sur son guilledou
Quand elle voudra qu’il retrouve la douceur de tes joues
Ta plume serait-elle frein ! Donne alors à ta parole le certain
Ses couleurs en bons refrains pour fusionner son demain
Tes promesses laisse-les se porter même dans l’imparfait
N’accepte aucun rappel, originales qu’elles soient prodiguées
Il faut donner à l’aimée le croire de tourtes les beautés
Il te sera temps de dévoiler ce qui ne fut un ton parfait
Si tu veux l’accaparer au mieux de ta lucidité des reflets
Soigne tes habits de piété, pour rehausse sa sensibilité
Trop serait un déni, elle pourrait croire à une supercherie
Ton grand souci sera de rehausser son buste fleuri
Prend gout de son tailleur et que tes yeux copies ses envies
Drape ta mode d’identique pour que son désir soit surpris
N’oublie pas que les femmes aiment à être complimenter
Son nez est-il laid, trop beau votre sourire vous m’étonnez
Son cheveu mal peigné, elle est l’aventurière que vous désirez
Tout son corps, tout son esprit, son âme, seront éloge aisé
Tu te dois da ns l’humour de l’éblouir de ta faconde facilité
Par ton désir de la voir se plier comme un roseau comblé
Mon ami construit ce qui sert ton héritage pour devise
Fasse qu’il soit solide, l’éternité te seras alors promise
Mais soit persévérant rien ne se bâtit sans patience
Ton chemin, ton chemin foule le comme une référence
Qui te conduit sur les sommets où l’amour est roi
La pente est rude mais rêve à ce jour de grande joie
Les femmes ont un cœur sensible elles s’émeuvent
Devant une larme qui suinte sur ta joue pieuse:
Tu trouveras toujours un sujet pour t’émouvoir
Un animal écrasé que tu n’as point à ton devoir
Affectueuse elle voudra t’en donner un autre dis lui
Que tu ne veuilles souffrir s’il n’est pour elle ta seule survie
Profite peut être alors pour la remercier d’un petit baiser
Car il se peut que son cœur mis à mal en soit affecté
Il recherche à enfermer son émotion dans ton palais
Ne te reste pas trop longtemps dans sa cour, abandonné
Elle pourrait le prendre mal et une claque venir retomber
Toutes les terres tu le sais ne produisent un exclusif fruit
Au contraire il en est de toutes qualités et couleurs servies
Il te faudra découvrir ce que ton aimée souhaiterait à te dire
A te donner, à te proposer, à t’assurer de ce qu’elle aspire
Ainsi tu seras sur que vos cœurs pourront se conjuguer
Au même temps, présent indicatif d’un amour renouvelé
Je vois tu es heureux, la conquête te sied, belle quête
Ton enquête sur la bonté de son âme n’a besoin de requête
Il te faut poursuivre le chemin pour t’imprégner malin
De son entrain pour la vie amoureuse du chaque matin
Mais Il est des actes que tu ne pourras œuvrer en son pacte
Ne craque pas, avance, joue avec le défi de ses frasques
☼₣€
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