Malentendus

Qui touche qui ?

Quand on saborde, et singe, et nu
Qui Saint-Pressionne ? ou Saint-Téresse ?
Feu mêle à flamme et mâle venu,
Centime en bas comme d’hab’ laisse.

Quel leurre est-il ?

Il est tailleur, thune est pas là,
C’est Polka reine au prénom Claire,
Faussant blanc des nuits qu’encre là
En vers mine ou rassurant cher.

Quel jour on naît ?

Je n’ai pas dit : manche à balai.
J’en panse pas moins féroce crime,
Quand la violence de l’amo… naît
L’amer crédule à l’insu prime.

Qu’est-ce qu’on va se mettre où ?

Car et ne me contredis pas,
Quand triste enlise eux n’ont que d’œil
Pour dévoiler noir le trépas,
Dessins sans torse avant ton seuil.

pas facile à colmprendre mais original
sur le vif je te propose , un verre de vin,



vingt verres, non je ne bus de vin
je vins peut être en vain
prendre le verrre avant le vers
vers celui ci me suis tourné, est 't'il vert?
ver de terre pour enrichier mon vers
lis ces vers je te preterai mon verre
encore un vilngt pour comprensre mon vin


amituié ppoétiques

Féra

Bonjour Féra,

Merci pour le verre, les vers, je me suis evertué dans celui là (mais bon, pas de victime, balle à blanc sans armes blanches) mais en vain

La cuisine, c'est pour le fond une vieille chanson des rita mitsouko (quelle heure est-il, quel jour on n'est...) et les autres vers isolés des coins de carnets...

Mais bon le but c'était d'écrire un poême avec deux sens, un écrit et un oral (sur le modèle du titre de Floc par exemple "en vide absence"/nvie d'absence, ou et singe et nu/ et s'ingenue ici). C'est trés difficile de faire plus d'une phrase en gardant un petit fond de cohérence quand même.

Merci d'être passée !

J'adore ce genre de poésie.
Tu aimes jouer avec les mots et c'est un régal à lire.
Ou un régal à lyre, c'est comme tu veux...