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Si toi aussi, tu entends souvent ton cœur parler à ta plume, viens déposer tes escarpins dans l'empreinte de nos pas.
Tu pourras alors alimenter cette rivière afin qu'elle devienne un fleuve prolifique de douceurs où tous, nous venons à notre tour, pour y tremper notre plume féconde.
Et cet affluent de pensées innombrables finit sa course magnifique dans un océan de lumières.
J'aime cet idée de partage.
Elle devrait régir le monde sans aucune faille.
Pour que nous regardions tous dans la même direction.
C'est pour cette raison que nous aimons tant la poésie... Et les poètes !...
Gérard SANDIFORT alias Sandipoete
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Si toi aussi, tu entends souvent ton cœur parler à ta plume, viens déposer tes escarpins dans l'empreinte de nos pas.
Tu pourras alors alimenter cette rivière afin qu'elle devienne un fleuve prolifique de douceurs où tous, nous venons à notre tour, pour y tremper notre plume féconde.
Et cet affluent de pensées innombrables finit sa course magnifique dans un océan de lumières.
J'aime cet idée de partage.
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 Rome

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Paul
Grimoirien
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Paul

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Rome Empty
MessageSujet: Rome   Rome EmptyMar 13 Mar 2007 - 21:08

Rome, Rome au revoir, j’y penserais toujours
Je ne sais pas si l’homme est grand, Rome au retour
Mais dans tes viale notre cœur s’éleva
Le mien y cherche encor’ comment ne vivre pas.
Je ne suis plus cynique ! Je rentre différent
Sans pouvoir dire enfin que j’étais souriant.
J’espère bêtement que les routes pavées
Auront le souvenir de toute l’avancée !
De l’homme sur son cœur, d’élèves sur la ville.
Les fontaines d’églises ont eu la vie facile.
Jamais vraiment moi-même complètement vous.
J’ai marché la semaine en me tordant le cou
Pour observer mon mois et le laisser souffler.
Vous êtes tous des mieux, adieu mal formulé
Qui n’explique pas plus que je n’ai su le faire
Toute l’admiration que je ne sais que taire,
Qui rend mon cœur si gros qu’il tâche ma chemise,
Alors rouge sur blanc s’affiche ma bêtise.
Je rentre dans Paris sans comprendre pourquoi,
Les voix de mes amis ne rendent fou que moi,
Ma propre chambre enfin fou le camp elle aussi !
Je prends quatre cent trains dont aucun ne m’emmènent
Dans ce monde goûté ou s’abîme la haine.
J’ai vécu tous les gens plus que la langue elle-même
Et sans parler du tout j’ai compris mon problème.
Peut être en l’écrivant ou dans vos propre yeux
J’ai lu la main des gens, j’ai lu le monde envieux.
Nous vécûmes ensemble une vie d’inaction
De débauche passive et de complications.
On dira trop bientôt à l’aube du supplice
Que l’oisiveté est mère de tous les fils.
Nous sommes réunis dans la ville lumière,
Visages délavés où les larmes séchèrent
Sous le soleil de Rome sans nous prévenir
Chacun s’épris de l’autre en guise d’avenir.
Nous baisions la clarté depuis nos lèvres riches.
Mais aujourd’hui l’on souffre à la lumière chiche
De quelques lampadaires au vitrage violet
Que Paris planta là le jour où l’on partait.
Trois jours d’exaltation, à dire « j’ai vécu »
Le lendemain j’étais de nouveau dans la rue
Cherchant au panthéon un air de Colisée.
C’est triste je compris de m’être comporté
En homme raisonnable, alors je devins fou,
Parce que j’en aimais certains, j’oubliai tout.
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