le ruban de vie

Douceur

Printemps

Neige

Amour

Rêveries

Dispute

Fenêtre

Autoroute

Maîtres

Chine

DOUCEUR du souvenir qui cettte nuit m'entraine

Au PRINTEMPS de mes jours, quand pas encor la NEIGE

N'éclairait mes cheveux hier d'un noir d'ébène

Et que l'AMOUR d'alors b'était pas sacrilège

REVERIES du passé où l'émoi des serments

DISPUTE à présent la place aux sentiments

venus blanchir le jour qui point à la FENËTRE

Me faisant oublier que ma fin est secrète .

Mes jours à présent rejoingnent l'AUTOROUTE

s'ajoutant inflexibles et sans l'ombre d'un doute

A ce ruban de vie dont les ans sont les MAITRES

Jamais ne verrai la CHINE aux lointains kilomètres . ,

Sincèrement bravo pour ce ruban de vie ClaireLyse !

Avec ces mots, tu as composé un poème fort émouvant

et de surcroît l'alexandrin domine.

Amitiés poétiques

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Membre ContributeurSurfeur

SOMMAIRE DU GRIMOIRE DE SURFEUR

Tu nous as fait cadeau de ton écrit à 4 heures du matin !
Tu ne dors plus ?

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Gérard SANDIFORT, alias Sandipoete
le ruban de vie Vieux-10

Solum telum ego tolerare ? Pluma !
La seule arme que je tolère ? La plume !...

jE ne dors pas "souvent"..... LOL. C'est la nuit que les douleurs se réveillent

Ma pauvre amie...
Je t'embrasse amicalement

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Gérard SANDIFORT, alias Sandipoete
le ruban de vie Vieux-10

Solum telum ego tolerare ? Pluma !
La seule arme que je tolère ? La plume !...

Superbe CLAIRELYSE ! Hélas le temps qui passe laisse des traces...Courage !

Avec mon amitié.

Roger.

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Roger MASSÉ

Merci chère CLAIRELYSE pour ce ruban de vie. ( Il m’en a rappelé un autre !)
Ah ! que tu as bien raison ! comme un ruban la vie se déroule et les souvenirs heureusement restent encore présents. Mais les douleurs par contre,elles sont là, et ne veulent plus nous lâcher !

Bravo ! superbe ton poème.
Hubert.
Une Rose

CLAIRELYSE a écrit:: Douceur Printemps Neige Amour Rêveries Dispute Fenêtre Autoroute Maîtres Chine

Vies sinistrées

La douceur du printemps, en ce mois de mai
Fait oublier la neige et l'amour confiné
Lorsque les rêveries font fit de la dispute
S'ouvre la fenêtre alourdissant la chute

L’autoroute de la vie tracée par des maîtres
Aux convois funèbres formé par le virus traître
De la Chine à l'Europe, tout le globe en prime
Aux armes citoyens, le monde se confine

C'est le renversement l'ordinaire qui bascule
Tous âges confondus pour que l’ennemi recule
Aïeux parents enfants entre nous des barrières
Masqués aux sentiments des cœurs qui se serrent

Quand viendra le jour, de la gloire si attendue
Où les masques tomberont on sera dans les rues
Pour fêter la liberté qui est si chère à nos cœurs
Citoyens soyons prudents, il n'est pas encore l'heure.

Nandy le 15 mai 2020

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Bonjour Invité MerciSandi

Magnifique Tigresse !

Bises.

Roger.

Qu'Ils étaient de Douceur

Mes Printemps de saveur

Sans la Neige d'antan

Et je parlais d'Amour

Rêveries de l'instant

Espérant que l'humour

Le Dispute à l'horreur

Derrière ma Fenêtre

À portée d'Autoroute

Où les fracas sont Maîtres

Il faut que que coûte

Et sans plier l'échine

Que j'observe la Chine

Tigresse a écrit:

CLAIRELYSE a écrit:: Douceur Printemps Neige Amour Rêveries Dispute Fenêtre Autoroute Maîtres Chine

Vies sinistrées

La douceur du printemps, en ce mois de mai
Fait oublier la neige et l'amour confiné
Lorsque les rêveries font fit de la dispute
S'ouvre la fenêtre alourdissant la chute

L’autoroute de la vie tracée par des maîtres
Aux convois funèbres formé par le virus traître
De la Chine à l'Europe, tout le globe en prime
Aux armes citoyens, le monde se confine

C'est le renversement l'ordinaire qui bascule
Tous âges confondus pour que l’ennemi recule
Aïeux parents enfants entre nous des barrières
Masqués aux sentiments des cœurs qui se serrent

Quand viendra le jour, de la gloire si attendue
Où les masques tomberont on sera dans les rues
Pour fêter la liberté qui est si chère à nos cœurs
Citoyens soyons prudents, il n'est pas encore l'heure.

Nandy le 15 mai 2020

Voilà un poème qui fera date , ma jumelle.... on aura des souvneirs, mais saura t'on profiter des leçons ? Le monde va t'il vraimen changer? Moi je garde ton rire... tes yeux noirs et nos souvnirs de sorties où la fraternité et le goût du revoir était comun à tous et toutes.

Roger Massé a écrit:: Qu'Ils étaient de Douceur
Mes Printemps de saveur
Sans la Neige d'antan
Et je parlais d'Amour
Rêveries de l'instant

Espérant que l'humour
Le Dispute à l'horreur
Derrière ma Fenêtre
À portée d'Autoroute
Où les fracas sont Maîtres
Il faut que que coûte
Et sans plier l'échine
Que j'observe la Chine

SUPERPBE ET ressemblant tellement aux sentimentfs qui animent tous ceux qui ont connu "nos temps"