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Si toi aussi, tu entends souvent ton cœur parler à ta plume, viens déposer tes escarpins dans l'empreinte de nos pas.
Tu pourras alors alimenter cette rivière afin qu'elle devienne un fleuve prolifique de douceurs où tous, nous venons à notre tour, pour y tremper notre plume féconde.
Et cet affluent de pensées innombrables finit sa course magnifique dans un océan de lumières.
J'aime cet idée de partage.
Elle devrait régir le monde sans aucune faille.
Pour que nous regardions tous dans la même direction.
C'est pour cette raison que nous aimons tant la poésie... Et les poètes !...
Gérard SANDIFORT alias Sandipoete
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Et cet affluent de pensées innombrables finit sa course magnifique dans un océan de lumières.
J'aime cet idée de partage.
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 Ce que j'écris

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AuteurMessage
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MessageSujet: Ce que j'écris   Ce que j'écris EmptyVen 6 Juil 2018 - 20:36

Aux Poètes

J'avance prudemment au bord de la falaise
Et découvre, à mes pieds, l'océan rouge et or
Au coucher du soleil lorsqu'il tombe et s'apaise
A l'horizon des jours! Et sans le moindre effort;

Il décline des vers tout au fond de ma tête
Ainsi même le chant d'Aragon, de Lorca;
Leur murmure m'effleure en une douce fête
Où s'en vient simplement, effacer mon tracas

Monsieur Victor Hugo, ses drames et ses joies
"La Légende des siècles" toujours en mon âme
Et Lui comme un îlot de son immense foi
Me rappelle l'Enfant de l'Homme et de la Femme!

Oh Poètes du vent, Poètes de l'histoire
Dessinée par vos vers qui donnent le frisson
Et dans mon coeur - Amis - je garde l'écritoire
Où j 'ai vécu vos vies en si tendres leçons!

J'avançais prudemment au bord de la falaise,
L'océan blotissait le ciel en sa beauté,
L'or avait des cheveux ainsi qu'une diérèse
Et parmi les Ecrits, j'étais en liberté!

Impunément je vis l'horizon s'assombrire
En cette adversité qui ne ressemble à rien
Et si j'ai tant pleuré, je ne savais plus rire
... J'étais déjà le corps de l'âme d'un vaurien!

Le pas ne fit qu'un saut du surssaut de la vie!
Je n'entendis l'amour, je ne sus rien de moi!
Et le gouffre profond qui me faisait envie
Accueillit mes douleurs, mes gestes, mes émois!

J'avance prudemment au bord de la falaise
Et découvre, à mes pieds, l'océan rouge et or
Au coucher du soleil lorsqu'il tombe et s'apaise
A l'horizon des jours! Et sans le moindre effort!

Alain Girard

Le 3 07 2018

Copyright. Tous Droits Réservés.

----------------------------

Dieu qu'il est bon d'aimer.

Par le doux, par le froid, la chaleur et l'ivresse
En de multiples vies survenues des beautés,
Parmi la floraison de l'âge, la jeunesse,
Au-delà de partout, en toute liberté:

Dieu qu'il est bon d'aimer!

Lorsque à tous les chemins se confondent les plaies,
Les douceurs et les joies, les sanglots et les âmes,
Que l'infiniment beau aurait pu être laid,
Qu'un homme fait l'amour aux secrets d'une femme:

Dieu qu'il est bon d'aimer!

Et puis dans le reflet des Êtres si violents
Parsemés sur la terre en des lieux qu'Ils détruisent,
Il est - même la mort - comme semés au vent
Les amours les plus grands et que rien n'amenuise:

Dieu qu'il est bon d'aimer!

Parmi les champs de blé, les tulipes, les roses
Dont je fais un bouquet pour Toi qui passe là,
Parmi le gré du temps toute métamorphose
Induit la Poésie à redire cela:

Dieu qu'il est bon d'aimer!

Avec ou sans l'amour, avant lui ou après
Lorsque chacun d'un pas, d'un geste, se souvient,
Evoquant la chanson celle que l'on agré
Le regard est au ciel dont le ciel nous parvient:

Dieu qu'il est bon d'aimer!

Mais j'ai perdu mon coeur, mon âme, ma chanson
Sur des rives d'azur où soudain il a plu...
C'était entre ceci et cela, sans façon!
Et moi... Je n'aime plus!

Copyright. Tous Droits Réservés.
Le 5 07 2018

Alain Girard

-------------------------------

J'ai pleuré bien souvent.

De ces femmes pleurant et que j'ai tant aimées
Dans l'espoir d'effacer les larmes de leurs corps
Lorsque mes illusions étaient comme affamées
Où le rêve et la vie savent le même accord:

Je croyais être moi!

J'ai longé bien des murs, attendu sous la pluie
La tendre silhouet/te en mon âme couchée
Pour celle qui aimait lorsque j'étais celui
Qui, d'un rien, se fit doux et cela l'a touchée:

Mais est-ce bien moi?

Mon corps se parfumait de tendresse imparfaite
Et quel que fut mon âge ou ma vie désolée,
Je leurs offris l'histoire où le coeur est en fête
Espérant, au fond d'Elles, ne rien affoler!

Et cela était moi!

Te souvient-il de moi "qui vins à ta rencontre * "
En un simple sourire et qu'on ne donne plus
Comme furent nos corps, l'un contre l'un, tout contre
A la page du livre que tu n'as pas lu:

Où j'avais mes émois?

J'ai pleuré bien souvent pour l'amour d'une femme
Et de l'adolescence et parmi tous les jours
Que ma vie chevaucha de mon coeur à mon âme
J'ai pleuré, j'ai pleuré d'un véritable amour:

Et cela était moi!

A présent, sous le fil, de mes mésaventures
Je m'endors dans la nuit de mon incognito!
La Femme a ses secrets blessés en devanture
Et, de ses jolies fesses, nous dit: " à bientôt!"

Mais... Plus pour moi!

Alain Girard


Georges Brassens:

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Le 6 07 2018
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* Louis Aragon
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