Les Arbres et les Hommes.

Invité

Les Arbres et les Hommes.

Les arbres blancs figés pareil à des statues,
Dans le soir qui descend sous son manteau neigeux,
Les arbres souffrent autant
Par ce temps
Que Mes Frères livrés dans la rue de l’oubli
La rue qui tue
La rue sans jeu
Et l’arbre plie !

L’homme va recherchant la survie de son âme
En quelque abri sans lieu mais en bien des détours
Et Il en souffre autant
Par ce temps
Que les arbres brûlés de neige à l’horizon
De la rue drame
Rue sans amour
Rue sans saison !

Les hommes et les arbres sont Frères partout
Comme il nous appartient de les aider en l’heure ;
Ils ont froid tout autant
Par ce temps
Et nous restons sans mot, sans geste, sans regard
Comme ainsi n’importe où
Se pose le malheur
Qui nous égare !

Tristesse ! Va la vie comme triste le chant
Des oiseaux, un à un, qui tombent sur la terre ;
Ainsi le blanc du soir qui tombe sur les champs
Comme sont à genoux les Arbres et Mes Frères !

Les Arbres et les Hommes. Dsc_0010

Alain Girard

Le 7 02 2018-02-07

Très structuré mais un peu répétitif " arbres ( ce qu'est normal ) et " frères " mais sinon j'apprécie car je pense que tu as fait jadis des textes meilleurs, ce n'est que subjectif ; c'est mon avis sans t'offenser.

Textes protégés par © Copyright N° 79Z516A
Florian P. ( c'est FLORIAN pas FABIEN Merci ! )

" C'est en partant de rien ; qu'on arrive à tout " Anonyme

Auprès de mon arbre je vivais heureux comme le chante Brassens. Bravo Alain !

Amitiés.

Roger.

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