Un cri de l'ici-bas

Invité

Un cri de l'ici-bas

Par les Êtres qu'on a mis « enfin » sur la touche,
Par Celui qui, jamais, ne put ouvrir la bouche
Et Tous Ceux qui, demain, périront sous vos yeux
Lorsque il devient certain que le monde est sans lieu
Et que l'on nous fait croire en d'impossibles lois,
Définies par l'esprit mais jamais par la foi ;
Par l'extrême douleur d'un peuple en son fossé
Dont personne ne veut dire : « c'en est assez ! »
Je persiste et je signe auprès de Jean Ferrat
Que l'on coupe des mains qui n'avaient plus de bras
Et par l’outrecuidance où rougit notre front,
De ce gouvernement banqui/er de Macron
Je porte, sous vos yeux, de ma piètre vergogne,
Un cri de l'ici-bas auquel chacun se cogne !

Alain Girard

Le 30 07 2017

À Macron.

Il y a trop de différences
Entre un peuple crevant de faim
Et un Roi dont l'indifférence
Tuera l'espoir du genre humain

Mais je sais que le peuple France
Veut chasser ce nouveau pantin
Qui s'est assis sûr la souffrance
Des sans-dent face à leur destin

Ce n'est pas la maigre pitance
Miettes restant de tes festins
Que tu laisses avec arrogance
Qui remplira leurs intestins

Et tu verras le front de France
À qui tu veux briser l'entrain
Rechercher dans sa souvenance
La fierté d'un passé lointain

L'envie monte dans la sous France
Quand l'avenir est incertain
Du Paca jusqu'en Haut de France
Chômeurs ou bosseurs sans destin

Crieront de leur voix sombre et rance
Au gouvernement souverain
Un cri vomi dans la sous France
Coupons la tête du pantin !

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Gérard SANDIFORT, alias Sandipoete
Un cri de l'ici-bas Vieux-10

Solum telum ego tolerare ? Pluma !
La seule arme que je tolère ? La plume !...

Bonjour Alain,

Comme le dit si bien Gérard, les Français (malheureusement dans leur majorité) ont élu un "pantin" qui ne fait que succéder à un autre. Ils ont encore choisi "le paraître" sans réfléchir à ses effets qu'ils ne vont pas tarder à déplorer.

Amitiés
Jeannie.

Invité

Merci infiniment Gérard pour Tes vers qui parlent fort
et qui me rejoignent, cela ne fait que confirmer que nous
sommes issus de la même "couche sociale" celle qui combat!

Toutes Mes Amitiés!

Alain

Invité

Bonsoir Jeannie,

j'avais le sentiment d'être seul à écrire quant à ce pouvoir
en place, cela me réchauffe le cœur de lire: Gérard, et toi aussi
comme Raymonde Verney qui a répondu à mon premier texte
concernant Les Supers Banquiers qui, bien sûr, vont nous "bouffer"
le caviars sur le dos, comme le chanta Coluche!

Bisous Ma Chère Amie