Souffrance

NB: J ai écris ce poème pendant un pique de douleur où les cachets n'agissaient pas. j ai donc écris via ma douleur. Cela ma permis de penser à autre chose et de rester calme afin de pouvoir m'endormir. 



J'aimerais simplement mourir
Au lieu de continuer à souffrir
D'un certain sens eux je les désir
Ils sont condamné à pouvoir périr

Je n'envie pas leur souffrance
Ni même leur frêle espérance
La plupart aimerai mon existence
Ignorant  le prix de mon impuissance

Prédestiné avant de l'avoir vécu
Mon avenir semble nul et non avenu
Je me sens tellement seul et perdu
Face à cette vie que je n'ai pas voulu

J'ai toujours espérer  tout quitter
Pour partir et pouvoir oublier
Que la douleur ma imprégner
Pour la vie dans sa totalité

Que ce soit de manière physique
Ou bien d'une façon psychologique
Elle est la et perpétuellement m'éduque
Sans que j'ai le choix elle me l'inculque

Je ne viendrai pas a dire que je les envie
Ils sont comme moi dans ce monde démuni
Soumis à cette adversaire qui les punis
Sans leur donner des armes qui les prémunis

Mais la ou moi j'ignore le début de la fin
Eux savent déjà qu il n on plus de destin
Moi je me construit encore et en vain
Qui voudra du déchet que je serai demain

Ceux qui m entoure encore aujourd'hui
M abandonneront à l'heure des ennuis
Dans les ténèbres mon esprit encore luit
Pendant que mon âme elle à déjà  fuit

J'aimerais simplement pouvoir partir
Pour ne plus avoir de futile désir
Laisses moi donc le droit de périr
Tu me gardes pour ton unique plaisir

Tu emportes ceux qui aimerais encore vivre
Les regardant lentement me détruire
Et pour rien je m'efforce à reconstruire
Alors qu'il suffirait de me laisser m'endormir

Cesse dont de jouer avec ma douleur
Que se repose les entrailles de mon coeur
Avant qu'arrive encore un nouveau malheur
Viens me guider loin de mes éternelles peurs.

Arrête donc maintenant ce chaos
Rend mon monde un peu plus beau
Ou emporte moi loin de se fardeau
Injustement  maudit dès le berceau

J'aimerai pouvoir ne plus me réveiller
Pour regarder mon univers s'effondrer
Pendant toutes ses méprisables années
Tu n as fait que joyeusement me torturer.

J'aurais voulu ne jamais venir sur terre
Épargné de la misère qui me vocifère.
Ton humour me met en réelle colère
Cesse donc ton jeux qui m éviscère

Kenfaron tout droit réservé
16.04.2017