poétesse

indécise, elle ausculte ses quatrains
cette strophe lui semble t-il s'amuse
et ces vers dont le regard se baisse sont sans entrain
cette poésie là fait rougir sa muse

ses vers reposent sous des quatrains ombragés
les phrases silencieuses méprisent la rime
la prose installe sa morgue déphasée
et mon tout est sans conteste une ruine

la poétesse, de rage, insulte sa famille
en premier les vers réagissent
ils hèlent les mots qui dînaient en ville
la muse éffarée en oublie son rôle de muette

enfin !la poésie clama son innocence
HOMERE sortit de sa tombe érudite
lut ce poème en grande instance
par la "vox populi" la scène fut publique

raymonde verney

Bonjour Raymonde, je ne comprends pas pourquoi ce poème est resté sans commentaires, il est original et interpelle un peu quand le manque d'inspiration se fait sentir!!! Mon cas en ce moment!!
Ou est ma muse à moi???
Lunessences :Bisous:

merci à toi lunessences souvent j'écris sans inspiration je me donne un sujet et puis voilà
ensuite mon don somnolent s'éveille doucement
je ne crains rien quant à ton inspiration
bisous
raymonde

Bonjour Raymonde, merci pour ta réponse rassurante, je commençais à avoir des craintes.
Bonne journée à toi.
Lunessences :Bisous:

non fais comme moi choisis un sujet et puis écris c'est pour cette raion que j'aime les concours
bonne journée à toi
raymonde