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El Fuego Plume de Corail
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| Sujet: Nouvelle chaine Ven 16 Mai 2008 - 22:44 | |
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philippe de neuville Grimoirien
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| Sujet: Re: Nouvelle chaine Sam 22 Mai 2010 - 15:49 | |
| Ce forum est un lieu où l'on s'amuse & rencontre des "écrivaillons" talentueux écrivant leurs inspirations diverses & fécondes. Leurs pseudos reflètent leur caractère poétique & protéiforme, mais aussi divers que convivial. Pourtant, parfois, un "troll" s'aventurait dans ce lieu quelquefois infesté désagréablement par des plumes quelque peu ébouriffées. Néanmoins, on constate que le respect est de mise, surtout chez moi. Nous sommes tous des Parnassiens (& des verlainiens!). Cependant, aussi habiles penseurs , nous rêvons à une Parnassienne (et non à une persienne !) jeune & jolie (faut c'qui faut quoi !...) qui nous inspirerait des vers pas piqués des hannetons. Elle nous dirait des choses que l'on entendrait avec le cœur & l'esprit. Cette femme, ne serait-elle pas celle que l'on appelle...euh, comment était-ce déjà?..Mais qu'importe son nom pourvu qu'elle nous donne l'envie... D'écrire bien sur...moi je l'appellerai Amour parce que c'est la chose principale dans la vie. ( Amour, Aphrodite, Junon ou Vénus étaient ses noms.) Déesses d'hier, prenez la mesure de notre dévotion, et soyez celles qui aujourd'hui, inspirent nos mots si dérisoires, à vouloir vous aimer. Mais déesses d'aujourd'hui, QUI êtes-vous? & OU êtes-vous??. Je me cherche en vous sans vous reconnaitre en moi...Et ce visage qui berce, impassible, les ombres létales du crépuscule endormi hurle et me rappelle à ce juvénile monde de chimères, qui terrorisait mes nuits d'enfant... Ainsi, de doux rêves en sombres cauchemards, la morne ruelle de mes pensées s'élargissait dans un fracas de muettes plaintes et de douleurs inavouées. Pourtant, c'est ici sous ce porche écroulé, eclairé par un lampadaire agonisant, qu'un jour une fée a posé son regard sur mon âme déchirée. Sans y trouver une réelle compassion, je poursuivais donc ma tragédie ambulante à travers quelques fantômes tourbillonnants qui de temps à autres me traversait le corps à bruler le coeur... Un sourire enjoleur, un rictus diabolique et mes maux qui s'égarent dans les labyrintes de l'absence devenue reine, et mes mots crucifiés, abrutis par les clous monstrueux des portes condamnées, se déchiraient au son des âpres caresses, des promesses mensongères de nuits tendres, de matins glorieux... Héros de l'aube sanguinolente, digne représentant du grand Éros, brandissant l'arc forgé par les victimes damnées des Parques. Ainsi il s'en allait, tel Perceval à la quète du saint Graal, en Hadès fuyant le destin prédit par les trois soeurs, et comme le réussit un certain Orphée, il sortit des entrailles nauséabondes de la terre féconde, en y laissant cependant la moitié de son âme valeureuse et inconsolable pour l'éternité. Obscure vision, prédiction incestueuse pour Œdipe l'impie, témoin de l'ignoble cruauté de ces divinités sadiques de l'éther. Comment trouver la paix, le pardon ultime, pour toutes ces douleurs infligées... Une aube blafarde se lève sur cette non existence qui navigue entre les corps mutilés par la monotonie des siècles vicieux. Pourquoi ne pas chercher à se faire un nom? Mais quoi, | |
| | | tofka Gagnant d'un concours sur le forum
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| Sujet: Re: Nouvelle chaine Sam 22 Mai 2010 - 15:51 | |
| Ce forum est un lieu où l'on s'amuse & rencontre des "écrivaillons" talentueux écrivant leurs inspirations diverses & fécondes. Leurs pseudos reflètent leur caractère poétique & protéiforme, mais aussi divers que convivial. Pourtant, parfois, un "troll" s'aventurait dans ce lieu quelquefois infesté désagréablement par des plumes quelque peu ébouriffées. Néanmoins, on constate que le respect est de mise, surtout chez moi. Nous sommes tous des Parnassiens (& des verlainiens!). Cependant, aussi habiles penseurs , nous rêvons à une Parnassienne (et non à une persienne !) jeune & jolie (faut c'qui faut quoi !...) qui nous inspirerait des vers pas piqués des hannetons. Elle nous dirait des choses que l'on entendrait avec le cœur & l'esprit. Cette femme, ne serait-elle pas celle que l'on appelle...euh, comment était-ce déjà?..Mais qu'importe son nom pourvu qu'elle nous donne l'envie... D'écrire bien sur...moi je l'appellerai Amour parce que c'est la chose principale dans la vie. ( Amour, Aphrodite, Junon ou Vénus étaient ses noms.) Déesses d'hier, prenez la mesure de notre dévotion, et soyez celles qui aujourd'hui, inspirent nos mots si dérisoires, à vouloir vous aimer. Mais déesses d'aujourd'hui, QUI êtes-vous? & OU êtes-vous??. Je me cherche en vous sans vous reconnaitre en moi...Et ce visage qui berce, impassible, les ombres létales du crépuscule endormi hurle et me rappelle à ce juvénile monde de chimères, qui terrorisait mes nuits d'enfant... Ainsi, de doux rêves en sombres cauchemards, la morne ruelle de mes pensées s'élargissait dans un fracas de muettes plaintes et de douleurs inavouées. Pourtant, c'est ici sous ce porche écroulé, eclairé par un lampadaire agonisant, qu'un jour une fée a posé son regard sur mon âme déchirée. Sans y trouver une réelle compassion, je poursuivais donc ma tragédie ambulante à travers quelques fantômes tourbillonnants qui de temps à autres me traversait le corps à bruler le coeur... Un sourire enjoleur, un rictus diabolique et mes maux qui s'égarent dans les labyrintes de l'absence devenue reine, et mes mots crucifiés, abrutis par les clous monstrueux des portes condamnées, se déchiraient au son des âpres caresses, des promesses mensongères de nuits tendres, de matins glorieux... Héros de l'aube sanguinolente, digne représentant du grand Éros, brandissant l'arc forgé par les victimes damnées des Parques. Ainsi il s'en allait, tel Perceval à la quète du saint Graal, en Hadès fuyant le destin prédit par les trois soeurs, et comme le réussit un certain Orphée, il sortit des entrailles nauséabondes de la terre féconde, en y laissant cependant la moitié de son âme valeureuse et inconsolable pour l'éternité. Obscure vision, prédiction incestueuse pour Œdipe l'impie, témoin de l'ignoble cruauté de ces divinités sadiques de l'éther. Comment trouver la paix, le pardon ultime, pour toutes ces douleurs infligées... Une aube blafarde se lève sur cette non existence qui navigue entre les corps mutilés par la monotonie des siècles vicieux. Pourquoi ne pas chercher à se faire un nom? Mais quoi, la nuit n'est-elle jamais vraiment noire? et le jour toujours blanc? Peut-etre que | |
| | | Marc Grimoirien
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| Sujet: Re: Nouvelle chaine Sam 22 Mai 2010 - 15:55 | |
| Ce forum est un lieu où l'on s'amuse & rencontre des "écrivaillons" talentueux écrivant leurs inspirations diverses & fécondes. Leurs pseudos reflètent leur caractère poétique & protéiforme, mais aussi divers que convivial. Pourtant, parfois, un "troll" s'aventurait dans ce lieu quelquefois infesté désagréablement par des plumes quelque peu ébouriffées. Néanmoins, on constate que le respect est de mise, surtout chez moi. Nous sommes tous des Parnassiens (& des verlainiens!). Cependant, aussi habiles penseurs , nous rêvons à une Parnassienne (et non à une persienne !) jeune & jolie (faut c'qui faut quoi !...) qui nous inspirerait des vers pas piqués des hannetons. Elle nous dirait des choses que l'on entendrait avec le cœur & l'esprit. Cette femme, ne serait-elle pas celle que l'on appelle...euh, comment était-ce déjà?..Mais qu'importe son nom pourvu qu'elle nous donne l'envie... D'écrire bien sur...moi je l'appellerai Amour parce que c'est la chose principale dans la vie. ( Amour, Aphrodite, Junon ou Vénus étaient ses noms.) Déesses d'hier, prenez la mesure de notre dévotion, et soyez celles qui aujourd'hui, inspirent nos mots si dérisoires, à vouloir vous aimer. Mais déesses d'aujourd'hui, QUI êtes-vous? & OU êtes-vous??. Je me cherche en vous sans vous reconnaitre en moi...Et ce visage qui berce, impassible, les ombres létales du crépuscule endormi hurle et me rappelle à ce juvénile monde de chimères, qui terrorisait mes nuits d'enfant... Ainsi, de doux rêves en sombres cauchemards, la morne ruelle de mes pensées s'élargissait dans un fracas de muettes plaintes et de douleurs inavouées. Pourtant, c'est ici sous ce porche écroulé, eclairé par un lampadaire agonisant, qu'un jour une fée a posé son regard sur mon âme déchirée. Sans y trouver une réelle compassion, je poursuivais donc ma tragédie ambulante à travers quelques fantômes tourbillonnants qui de temps à autres me traversait le corps à bruler le coeur... Un sourire enjoleur, un rictus diabolique et mes maux qui s'égarent dans les labyrintes de l'absence devenue reine, et mes mots crucifiés, abrutis par les clous monstrueux des portes condamnées, se déchiraient au son des âpres caresses, des promesses mensongères de nuits tendres, de matins glorieux... Héros de l'aube sanguinolente, digne représentant du grand Éros, brandissant l'arc forgé par les victimes damnées des Parques. Ainsi il s'en allait, tel Perceval à la quète du saint Graal, en Hadès fuyant le destin prédit par les trois soeurs, et comme le réussit un certain Orphée, il sortit des entrailles nauséabondes de la terre féconde, en y laissant cependant la moitié de son âme valeureuse et inconsolable pour l'éternité. Obscure vision, prédiction incestueuse pour Œdipe l'impie, témoin de l'ignoble cruauté de ces divinités sadiques de l'éther. Comment trouver la paix, le pardon ultime, pour toutes ces douleurs infligées... Une aube blafarde se lève sur cette non existence qui navigue entre les corps mutilés par la monotonie des siècles vicieux. Pourquoi ne pas chercher à se faire un nom? Mais quoi, la nuit n'est-elle jamais vraiment noire? et le jour toujours blanc? Peut-etre que si je me crève le regard, je parviendrais à pénétrer dans le palais poussiéreux des vieux toits pourris, à travers lesquels | |
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| Sujet: Re: Nouvelle chaine Sam 22 Mai 2010 - 15:57 | |
| Ce forum est un lieu où l'on s'amuse & rencontre des "écrivaillons" talentueux écrivant leurs inspirations diverses & fécondes. Leurs pseudos reflètent leur caractère poétique & protéiforme, mais aussi divers que convivial. Pourtant, parfois, un "troll" s'aventurait dans ce lieu quelquefois infesté désagréablement par des plumes quelque peu ébouriffées. Néanmoins, on constate que le respect est de mise, surtout chez moi. Nous sommes tous des Parnassiens (& des verlainiens!). Cependant, aussi habiles penseurs , nous rêvons à une Parnassienne (et non à une persienne !) jeune & jolie (faut c'qui faut quoi !...) qui nous inspirerait des vers pas piqués des hannetons. Elle nous dirait des choses que l'on entendrait avec le cœur & l'esprit. Cette femme, ne serait-elle pas celle que l'on appelle...euh, comment était-ce déjà?..Mais qu'importe son nom pourvu qu'elle nous donne l'envie... D'écrire bien sur...moi je l'appellerai Amour parce que c'est la chose principale dans la vie. ( Amour, Aphrodite, Junon ou Vénus étaient ses noms.) Déesses d'hier, prenez la mesure de notre dévotion, et soyez celles qui aujourd'hui, inspirent nos mots si dérisoires, à vouloir vous aimer. Mais déesses d'aujourd'hui, QUI êtes-vous? & OU êtes-vous??. Je me cherche en vous sans vous reconnaitre en moi...Et ce visage qui berce, impassible, les ombres létales du crépuscule endormi hurle et me rappelle à ce juvénile monde de chimères, qui terrorisait mes nuits d'enfant... Ainsi, de doux rêves en sombres cauchemards, la morne ruelle de mes pensées s'élargissait dans un fracas de muettes plaintes et de douleurs inavouées. Pourtant, c'est ici sous ce porche écroulé, eclairé par un lampadaire agonisant, qu'un jour une fée a posé son regard sur mon âme déchirée. Sans y trouver une réelle compassion, je poursuivais donc ma tragédie ambulante à travers quelques fantômes tourbillonnants qui de temps à autres me traversait le corps à bruler le coeur... Un sourire enjoleur, un rictus diabolique et mes maux qui s'égarent dans les labyrintes de l'absence devenue reine, et mes mots crucifiés, abrutis par les clous monstrueux des portes condamnées, se déchiraient au son des âpres caresses, des promesses mensongères de nuits tendres, de matins glorieux... Héros de l'aube sanguinolente, digne représentant du grand Éros, brandissant l'arc forgé par les victimes damnées des Parques. Ainsi il s'en allait, tel Perceval à la quète du saint Graal, en Hadès fuyant le destin prédit par les trois soeurs, et comme le réussit un certain Orphée, il sortit des entrailles nauséabondes de la terre féconde, en y laissant cependant la moitié de son âme valeureuse et inconsolable pour l'éternité. Obscure vision, prédiction incestueuse pour Œdipe l'impie, témoin de l'ignoble cruauté de ces divinités sadiques de l'éther. Comment trouver la paix, le pardon ultime, pour toutes ces douleurs infligées... Une aube blafarde se lève sur cette non existence qui navigue entre les corps mutilés par la monotonie des siècles vicieux. Pourquoi ne pas chercher à se faire un nom? Mais quoi, la nuit n'est-elle jamais vraiment noire? et le jour toujours blanc? Peut-etre que si je me crève le regard, je parviendrais à pénétrer dans le palais poussiéreux des vieux toits pourris, à travers lesquels le vent de la misère s'engouffre, et apercevoir enfin une | |
| | | Marc Grimoirien
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| Sujet: Re: Nouvelle chaine Sam 22 Mai 2010 - 16:08 | |
| Ce forum est un lieu où l'on s'amuse & rencontre des "écrivaillons" talentueux écrivant leurs inspirations diverses & fécondes. Leurs pseudos reflètent leur caractère poétique & protéiforme, mais aussi divers que convivial. Pourtant, parfois, un "troll" s'aventurait dans ce lieu quelquefois infesté désagréablement par des plumes quelque peu ébouriffées. Néanmoins, on constate que le respect est de mise, surtout chez moi. Nous sommes tous des Parnassiens (& des verlainiens!). Cependant, aussi habiles penseurs , nous rêvons à une Parnassienne (et non à une persienne !) jeune & jolie (faut c'qui faut quoi !...) qui nous inspirerait des vers pas piqués des hannetons. Elle nous dirait des choses que l'on entendrait avec le cœur & l'esprit. Cette femme, ne serait-elle pas celle que l'on appelle...euh, comment était-ce déjà?..Mais qu'importe son nom pourvu qu'elle nous donne l'envie... D'écrire bien sur...moi je l'appellerai Amour parce que c'est la chose principale dans la vie. ( Amour, Aphrodite, Junon ou Vénus étaient ses noms.) Déesses d'hier, prenez la mesure de notre dévotion, et soyez celles qui aujourd'hui, inspirent nos mots si dérisoires, à vouloir vous aimer. Mais déesses d'aujourd'hui, QUI êtes-vous? & OU êtes-vous??. Je me cherche en vous sans vous reconnaitre en moi...Et ce visage qui berce, impassible, les ombres létales du crépuscule endormi hurle et me rappelle à ce juvénile monde de chimères, qui terrorisait mes nuits d'enfant... Ainsi, de doux rêves en sombres cauchemards, la morne ruelle de mes pensées s'élargissait dans un fracas de muettes plaintes et de douleurs inavouées. Pourtant, c'est ici sous ce porche écroulé, eclairé par un lampadaire agonisant, qu'un jour une fée a posé son regard sur mon âme déchirée. Sans y trouver une réelle compassion, je poursuivais donc ma tragédie ambulante à travers quelques fantômes tourbillonnants qui de temps à autres me traversait le corps à bruler le coeur... Un sourire enjoleur, un rictus diabolique et mes maux qui s'égarent dans les labyrintes de l'absence devenue reine, et mes mots crucifiés, abrutis par les clous monstrueux des portes condamnées, se déchiraient au son des âpres caresses, des promesses mensongères de nuits tendres, de matins glorieux... Héros de l'aube sanguinolente, digne représentant du grand Éros, brandissant l'arc forgé par les victimes damnées des Parques. Ainsi il s'en allait, tel Perceval à la quète du saint Graal, en Hadès fuyant le destin prédit par les trois soeurs, et comme le réussit un certain Orphée, il sortit des entrailles nauséabondes de la terre féconde, en y laissant cependant la moitié de son âme valeureuse et inconsolable pour l'éternité. Obscure vision, prédiction incestueuse pour Œdipe l'impie, témoin de l'ignoble cruauté de ces divinités sadiques de l'éther. Comment trouver la paix, le pardon ultime, pour toutes ces douleurs infligées... Une aube blafarde se lève sur cette non existence qui navigue entre les corps mutilés par la monotonie des siècles vicieux. Pourquoi ne pas chercher à se faire un nom? Mais quoi, la nuit n'est-elle jamais vraiment noire? et le jour toujours blanc? Peut-etre que si je me crève le regard, je parviendrais à pénétrer dans le palais poussiéreux des vieux toits pourris, à travers lesquels le vent de la misère s'engouffre, et apercevoir enfin une goutte de soie pure sur son manteau atrophié , sur sa strophe | |
| | | cartouche Plume de Bois
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| Sujet: Re: Nouvelle chaine Mer 2 Juin 2010 - 15:42 | |
| Ce forum est un lieu où l'on s'amuse & rencontre des "écrivaillons" talentueux écrivant leurs inspirations diverses & fécondes. Leurs pseudos reflètent leur caractère poétique & protéiforme, mais aussi divers que convivial. Pourtant, parfois, un "troll" s'aventurait dans ce lieu quelquefois infesté désagréablement par des plumes quelque peu ébouriffées. Néanmoins, on constate que le respect est de mise, surtout chez moi. Nous sommes tous des Parnassiens (& des verlainiens!). Cependant, aussi habiles penseurs , nous rêvons à une Parnassienne (et non à une persienne !) jeune & jolie (faut c'qui faut quoi !...) qui nous inspirerait des vers pas piqués des hannetons. Elle nous dirait des choses que l'on entendrait avec le cœur & l'esprit. Cette femme, ne serait-elle pas celle que l'on appelle...euh, comment était-ce déjà?..Mais qu'importe son nom pourvu qu'elle nous donne l'envie... D'écrire bien sur...moi je l'appellerai Amour parce que c'est la chose principale dans la vie. ( Amour, Aphrodite, Junon ou Vénus étaient ses noms.) Déesses d'hier, prenez la mesure de notre dévotion, et soyez celles qui aujourd'hui, inspirent nos mots si dérisoires, à vouloir vous aimer. Mais déesses d'aujourd'hui, QUI êtes-vous? & OU êtes-vous??. Je me cherche en vous sans vous reconnaitre en moi...Et ce visage qui berce, impassible, les ombres létales du crépuscule endormi hurle et me rappelle à ce juvénile monde de chimères, qui terrorisait mes nuits d'enfant... Ainsi, de doux rêves en sombres cauchemards, la morne ruelle de mes pensées s'élargissait dans un fracas de muettes plaintes et de douleurs inavouées. Pourtant, c'est ici sous ce porche écroulé, eclairé par un lampadaire agonisant, qu'un jour une fée a posé son regard sur mon âme déchirée. Sans y trouver une réelle compassion, je poursuivais donc ma tragédie ambulante à travers quelques fantômes tourbillonnants qui de temps à autres me traversait le corps à bruler le coeur... Un sourire enjoleur, un rictus diabolique et mes maux qui s'égarent dans les labyrintes de l'absence devenue reine, et mes mots crucifiés, abrutis par les clous monstrueux des portes condamnées, se déchiraient au son des âpres caresses, des promesses mensongères de nuits tendres, de matins glorieux... Héros de l'aube sanguinolente, digne représentant du grand Éros, brandissant l'arc forgé par les victimes damnées des Parques. Ainsi il s'en allait, tel Perceval à la quète du saint Graal, en Hadès fuyant le destin prédit par les trois soeurs, et comme le réussit un certain Orphée, il sortit des entrailles nauséabondes de la terre féconde, en y laissant cependant la moitié de son âme valeureuse et inconsolable pour l'éternité. Obscure vision, prédiction incestueuse pour Œdipe l'impie, témoin de l'ignoble cruauté de ces divinités sadiques de l'éther. Comment trouver la paix, le pardon ultime, pour toutes ces douleurs infligées... Une aube blafarde se lève sur cette non existence qui navigue entre les corps mutilés par la monotonie des siècles vicieux. Pourquoi ne pas chercher à se faire un nom? Mais quoi, la nuit n'est-elle jamais vraiment noire? et le jour toujours blanc? Peut-etre que si je me crève le regard, je parviendrais à pénétrer dans le palais poussiéreux des vieux toits pourris, à travers lesquels le vent de la misère s'engouffre, et apercevoir enfin une goutte de soie pure sur son manteau atrophié , sur sa strophe inachevée | |
| | | philippe de neuville Grimoirien
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| Sujet: Re: Nouvelle chaine Lun 7 Juin 2010 - 19:44 | |
| Ce forum est un lieu où l'on s'amuse & rencontre des "écrivaillons" talentueux écrivant leurs inspirations diverses & fécondes. Leurs pseudos reflètent leur caractère poétique & protéiforme, mais aussi divers que convivial. Pourtant, parfois, un "troll" s'aventurait dans ce lieu quelquefois infesté désagréablement par des plumes quelque peu ébouriffées. Néanmoins, on constate que le respect est de mise, surtout chez moi. Nous sommes tous des Parnassiens (& des verlainiens!). Cependant, aussi habiles penseurs , nous rêvons à une Parnassienne (et non à une persienne !) jeune & jolie (faut c'qui faut quoi !...) qui nous inspirerait des vers pas piqués des hannetons. Elle nous dirait des choses que l'on entendrait avec le cœur & l'esprit. Cette femme, ne serait-elle pas celle que l'on appelle...euh, comment était-ce déjà?..Mais qu'importe son nom pourvu qu'elle nous donne l'envie... D'écrire bien sur...moi je l'appellerai Amour parce que c'est la chose principale dans la vie. ( Amour, Aphrodite, Junon ou Vénus étaient ses noms.) Déesses d'hier, prenez la mesure de notre dévotion, et soyez celles qui aujourd'hui, inspirent nos mots si dérisoires, à vouloir vous aimer. Mais déesses d'aujourd'hui, QUI êtes-vous? & OU êtes-vous??. Je me cherche en vous sans vous reconnaitre en moi...Et ce visage qui berce, impassible, les ombres létales du crépuscule endormi hurle et me rappelle à ce juvénile monde de chimères, qui terrorisait mes nuits d'enfant... Ainsi, de doux rêves en sombres cauchemards, la morne ruelle de mes pensées s'élargissait dans un fracas de muettes plaintes et de douleurs inavouées. Pourtant, c'est ici sous ce porche écroulé, eclairé par un lampadaire agonisant, qu'un jour une fée a posé son regard sur mon âme déchirée. Sans y trouver une réelle compassion, je poursuivais donc ma tragédie ambulante à travers quelques fantômes tourbillonnants qui de temps à autres me traversait le corps à bruler le coeur... Un sourire enjoleur, un rictus diabolique et mes maux qui s'égarent dans les labyrintes de l'absence devenue reine, et mes mots crucifiés, abrutis par les clous monstrueux des portes condamnées, se déchiraient au son des âpres caresses, des promesses mensongères de nuits tendres, de matins glorieux... Héros de l'aube sanguinolente, digne représentant du grand Éros, brandissant l'arc forgé par les victimes damnées des Parques. Ainsi il s'en allait, tel Perceval à la quète du saint Graal, en Hadès fuyant le destin prédit par les trois soeurs, et comme le réussit un certain Orphée, il sortit des entrailles nauséabondes de la terre féconde, en y laissant cependant la moitié de son âme valeureuse et inconsolable pour l'éternité. Obscure vision, prédiction incestueuse pour Œdipe l'impie, témoin de l'ignoble cruauté de ces divinités sadiques de l'éther. Comment trouver la paix, le pardon ultime, pour toutes ces douleurs infligées... Une aube blafarde se lève sur cette non existence qui navigue entre les corps mutilés par la monotonie des siècles vicieux. Pourquoi ne pas chercher à se faire un nom? Mais quoi, la nuit n'est-elle jamais vraiment noire? et le jour toujours blanc? Peut-etre que si je me crève le regard, je parviendrais à pénétrer dans le palais poussiéreux des vieux toits pourris, à travers lesquels le vent de la misère s'engouffre, et apercevoir enfin une goutte de soie pure sur son manteau atrophié , sur sa strophe inachevée en bas de page à droite...Mais enfin quoi, ce nom | |
| | | Marc Grimoirien
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| Sujet: Re: Nouvelle chaine Lun 7 Juin 2010 - 22:18 | |
| Ce forum est un lieu où l'on s'amuse & rencontre des "écrivaillons" talentueux écrivant leurs inspirations diverses & fécondes. Leurs pseudos reflètent leur caractère poétique & protéiforme, mais aussi divers que convivial. Pourtant, parfois, un "troll" s'aventurait dans ce lieu quelquefois infesté désagréablement par des plumes quelque peu ébouriffées. Néanmoins, on constate que le respect est de mise, surtout chez moi. Nous sommes tous des Parnassiens (& des verlainiens!). Cependant, aussi habiles penseurs , nous rêvons à une Parnassienne (et non à une persienne !) jeune & jolie (faut c'qui faut quoi !...) qui nous inspirerait des vers pas piqués des hannetons. Elle nous dirait des choses que l'on entendrait avec le cœur & l'esprit. Cette femme, ne serait-elle pas celle que l'on appelle...euh, comment était-ce déjà?..Mais qu'importe son nom pourvu qu'elle nous donne l'envie... D'écrire bien sur...moi je l'appellerai Amour parce que c'est la chose principale dans la vie. ( Amour, Aphrodite, Junon ou Vénus étaient ses noms.) Déesses d'hier, prenez la mesure de notre dévotion, et soyez celles qui aujourd'hui, inspirent nos mots si dérisoires, à vouloir vous aimer. Mais déesses d'aujourd'hui, QUI êtes-vous? & OU êtes-vous??. Je me cherche en vous sans vous reconnaitre en moi...Et ce visage qui berce, impassible, les ombres létales du crépuscule endormi hurle et me rappelle à ce juvénile monde de chimères, qui terrorisait mes nuits d'enfant... Ainsi, de doux rêves en sombres cauchemards, la morne ruelle de mes pensées s'élargissait dans un fracas de muettes plaintes et de douleurs inavouées. Pourtant, c'est ici sous ce porche écroulé, eclairé par un lampadaire agonisant, qu'un jour une fée a posé son regard sur mon âme déchirée. Sans y trouver une réelle compassion, je poursuivais donc ma tragédie ambulante à travers quelques fantômes tourbillonnants qui de temps à autres me traversait le corps à bruler le coeur... Un sourire enjoleur, un rictus diabolique et mes maux qui s'égarent dans les labyrintes de l'absence devenue reine, et mes mots crucifiés, abrutis par les clous monstrueux des portes condamnées, se déchiraient au son des âpres caresses, des promesses mensongères de nuits tendres, de matins glorieux... Héros de l'aube sanguinolente, digne représentant du grand Éros, brandissant l'arc forgé par les victimes damnées des Parques. Ainsi il s'en allait, tel Perceval à la quète du saint Graal, en Hadès fuyant le destin prédit par les trois soeurs, et comme le réussit un certain Orphée, il sortit des entrailles nauséabondes de la terre féconde, en y laissant cependant la moitié de son âme valeureuse et inconsolable pour l'éternité. Obscure vision, prédiction incestueuse pour Œdipe l'impie, témoin de l'ignoble cruauté de ces divinités sadiques de l'éther. Comment trouver la paix, le pardon ultime, pour toutes ces douleurs infligées... Une aube blafarde se lève sur cette non existence qui navigue entre les corps mutilés par la monotonie des siècles vicieux. Pourquoi ne pas chercher à se faire un nom? Mais quoi, la nuit n'est-elle jamais vraiment noire? et le jour toujours blanc? Peut-etre que si je me crève le regard, je parviendrais à pénétrer dans le palais poussiéreux des vieux toits pourris, à travers lesquels le vent de la misère s'engouffre, et apercevoir enfin une goutte de soie pure sur son manteau atrophié , sur sa strophe inachevée en bas de page à droite...Mais enfin quoi, ce nom nommé par le non du nomade est aussi | |
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| Sujet: Re: Nouvelle chaine Ven 11 Juin 2010 - 0:07 | |
| Ce forum est un lieu où l'on s'amuse & rencontre des "écrivaillons" talentueux écrivant leurs inspirations diverses & fécondes. Leurs pseudos reflètent leur caractère poétique & protéiforme, mais aussi divers que convivial. Pourtant, parfois, un "troll" s'aventurait dans ce lieu quelquefois infesté désagréablement par des plumes quelque peu ébouriffées. Néanmoins, on constate que le respect est de mise, surtout chez moi. Nous sommes tous des Parnassiens (& des verlainiens!). Cependant, aussi habiles penseurs , nous rêvons à une Parnassienne (et non à une persienne !) jeune & jolie (faut c'qui faut quoi !...) qui nous inspirerait des vers pas piqués des hannetons. Elle nous dirait des choses que l'on entendrait avec le cœur & l'esprit. Cette femme, ne serait-elle pas celle que l'on appelle...euh, comment était-ce déjà?..Mais qu'importe son nom pourvu qu'elle nous donne l'envie... D'écrire bien sur...moi je l'appellerai Amour parce que c'est la chose principale dans la vie. ( Amour, Aphrodite, Junon ou Vénus étaient ses noms.) Déesses d'hier, prenez la mesure de notre dévotion, et soyez celles qui aujourd'hui, inspirent nos mots si dérisoires, à vouloir vous aimer. Mais déesses d'aujourd'hui, QUI êtes-vous? & OU êtes-vous??. Je me cherche en vous sans vous reconnaitre en moi...Et ce visage qui berce, impassible, les ombres létales du crépuscule endormi hurle et me rappelle à ce juvénile monde de chimères, qui terrorisait mes nuits d'enfant... Ainsi, de doux rêves en sombres cauchemards, la morne ruelle de mes pensées s'élargissait dans un fracas de muettes plaintes et de douleurs inavouées. Pourtant, c'est ici sous ce porche écroulé, eclairé par un lampadaire agonisant, qu'un jour une fée a posé son regard sur mon âme déchirée. Sans y trouver une réelle compassion, je poursuivais donc ma tragédie ambulante à travers quelques fantômes tourbillonnants qui de temps à autres me traversait le corps à bruler le coeur... Un sourire enjoleur, un rictus diabolique et mes maux qui s'égarent dans les labyrintes de l'absence devenue reine, et mes mots crucifiés, abrutis par les clous monstrueux des portes condamnées, se déchiraient au son des âpres caresses, des promesses mensongères de nuits tendres, de matins glorieux... Héros de l'aube sanguinolente, digne représentant du grand Éros, brandissant l'arc forgé par les victimes damnées des Parques. Ainsi il s'en allait, tel Perceval à la quète du saint Graal, en Hadès fuyant le destin prédit par les trois soeurs, et comme le réussit un certain Orphée, il sortit des entrailles nauséabondes de la terre féconde, en y laissant cependant la moitié de son âme valeureuse et inconsolable pour l'éternité. Obscure vision, prédiction incestueuse pour Œdipe l'impie, témoin de l'ignoble cruauté de ces divinités sadiques de l'éther. Comment trouver la paix, le pardon ultime, pour toutes ces douleurs infligées... Une aube blafarde se lève sur cette non existence qui navigue entre les corps mutilés par la monotonie des siècles vicieux. Pourquoi ne pas chercher à se faire un nom? Mais quoi, la nuit n'est-elle jamais vraiment noire? et le jour toujours blanc? Peut-etre que si je me crève le regard, je parviendrais à pénétrer dans le palais poussiéreux des vieux toits pourris, à travers lesquels le vent de la misère s'engouffre, et apercevoir enfin une goutte de soie pure sur son manteau atrophié , sur sa strophe inachevée en bas de page à droite...Mais enfin quoi, ce nom nommé par le non du nomade est aussi le nom d'une aubade à | |
| | | Marc Grimoirien
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| Sujet: Re: Nouvelle chaine Ven 11 Juin 2010 - 11:40 | |
| Ce forum est un lieu où l'on s'amuse & rencontre des "écrivaillons" talentueux écrivant leurs inspirations diverses & fécondes. Leurs pseudos reflètent leur caractère poétique & protéiforme, mais aussi divers que convivial. Pourtant, parfois, un "troll" s'aventurait dans ce lieu quelquefois infesté désagréablement par des plumes quelque peu ébouriffées. Néanmoins, on constate que le respect est de mise, surtout chez moi. Nous sommes tous des Parnassiens (& des verlainiens!). Cependant, aussi habiles penseurs , nous rêvons à une Parnassienne (et non à une persienne !) jeune & jolie (faut c'qui faut quoi !...) qui nous inspirerait des vers pas piqués des hannetons. Elle nous dirait des choses que l'on entendrait avec le cœur & l'esprit. Cette femme, ne serait-elle pas celle que l'on appelle...euh, comment était-ce déjà?..Mais qu'importe son nom pourvu qu'elle nous donne l'envie... D'écrire bien sur...moi je l'appellerai Amour parce que c'est la chose principale dans la vie. ( Amour, Aphrodite, Junon ou Vénus étaient ses noms.) Déesses d'hier, prenez la mesure de notre dévotion, et soyez celles qui aujourd'hui, inspirent nos mots si dérisoires, à vouloir vous aimer. Mais déesses d'aujourd'hui, QUI êtes-vous? & OU êtes-vous??. Je me cherche en vous sans vous reconnaitre en moi...Et ce visage qui berce, impassible, les ombres létales du crépuscule endormi hurle et me rappelle à ce juvénile monde de chimères, qui terrorisait mes nuits d'enfant... Ainsi, de doux rêves en sombres cauchemards, la morne ruelle de mes pensées s'élargissait dans un fracas de muettes plaintes et de douleurs inavouées. Pourtant, c'est ici sous ce porche écroulé, eclairé par un lampadaire agonisant, qu'un jour une fée a posé son regard sur mon âme déchirée. Sans y trouver une réelle compassion, je poursuivais donc ma tragédie ambulante à travers quelques fantômes tourbillonnants qui de temps à autres me traversait le corps à bruler le coeur... Un sourire enjoleur, un rictus diabolique et mes maux qui s'égarent dans les labyrintes de l'absence devenue reine, et mes mots crucifiés, abrutis par les clous monstrueux des portes condamnées, se déchiraient au son des âpres caresses, des promesses mensongères de nuits tendres, de matins glorieux... Héros de l'aube sanguinolente, digne représentant du grand Éros, brandissant l'arc forgé par les victimes damnées des Parques. Ainsi il s'en allait, tel Perceval à la quète du saint Graal, en Hadès fuyant le destin prédit par les trois soeurs, et comme le réussit un certain Orphée, il sortit des entrailles nauséabondes de la terre féconde, en y laissant cependant la moitié de son âme valeureuse et inconsolable pour l'éternité. Obscure vision, prédiction incestueuse pour Œdipe l'impie, témoin de l'ignoble cruauté de ces divinités sadiques de l'éther. Comment trouver la paix, le pardon ultime, pour toutes ces douleurs infligées... Une aube blafarde se lève sur cette non existence qui navigue entre les corps mutilés par la monotonie des siècles vicieux. Pourquoi ne pas chercher à se faire un nom? Mais quoi, la nuit n'est-elle jamais vraiment noire? et le jour toujours blanc? Peut-etre que si je me crève le regard, je parviendrais à pénétrer dans le palais poussiéreux des vieux toits pourris, à travers lesquels le vent de la misère s'engouffre, et apercevoir enfin une goutte de soie pure sur son manteau atrophié , sur sa strophe inachevée en bas de page à droite...Mais enfin quoi, ce nom nommé par le non du nomade est aussi le nom d'une aubade à l'aumône de platine. Comment peut-on être aussi naïf? La Pythie m'avait pourtant prévenu, les découvertes | |
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| Sujet: Re: Nouvelle chaine Ven 11 Juin 2010 - 12:03 | |
| Ce forum est un lieu où l'on s'amuse & rencontre des "écrivaillons" talentueux écrivant leurs inspirations diverses & fécondes. Leurs pseudos reflètent leur caractère poétique & protéiforme, mais aussi divers que convivial. Pourtant, parfois, un "troll" s'aventurait dans ce lieu quelquefois infesté désagréablement par des plumes quelque peu ébouriffées. Néanmoins, on constate que le respect est de mise, surtout chez moi. Nous sommes tous des Parnassiens (& des verlainiens!). Cependant, aussi habiles penseurs , nous rêvons à une Parnassienne (et non à une persienne !) jeune & jolie (faut c'qui faut quoi !...) qui nous inspirerait des vers pas piqués des hannetons. Elle nous dirait des choses que l'on entendrait avec le cœur & l'esprit. Cette femme, ne serait-elle pas celle que l'on appelle...euh, comment était-ce déjà?..Mais qu'importe son nom pourvu qu'elle nous donne l'envie... D'écrire bien sur...moi je l'appellerai Amour parce que c'est la chose principale dans la vie. ( Amour, Aphrodite, Junon ou Vénus étaient ses noms.) Déesses d'hier, prenez la mesure de notre dévotion, et soyez celles qui aujourd'hui, inspirent nos mots si dérisoires, à vouloir vous aimer. Mais déesses d'aujourd'hui, QUI êtes-vous? & OU êtes-vous??. Je me cherche en vous sans vous reconnaitre en moi...Et ce visage qui berce, impassible, les ombres létales du crépuscule endormi hurle et me rappelle à ce juvénile monde de chimères, qui terrorisait mes nuits d'enfant... Ainsi, de doux rêves en sombres cauchemards, la morne ruelle de mes pensées s'élargissait dans un fracas de muettes plaintes et de douleurs inavouées. Pourtant, c'est ici sous ce porche écroulé, eclairé par un lampadaire agonisant, qu'un jour une fée a posé son regard sur mon âme déchirée. Sans y trouver une réelle compassion, je poursuivais donc ma tragédie ambulante à travers quelques fantômes tourbillonnants qui de temps à autres me traversait le corps à bruler le coeur... Un sourire enjoleur, un rictus diabolique et mes maux qui s'égarent dans les labyrintes de l'absence devenue reine, et mes mots crucifiés, abrutis par les clous monstrueux des portes condamnées, se déchiraient au son des âpres caresses, des promesses mensongères de nuits tendres, de matins glorieux... Héros de l'aube sanguinolente, digne représentant du grand Éros, brandissant l'arc forgé par les victimes damnées des Parques. Ainsi il s'en allait, tel Perceval à la quète du saint Graal, en Hadès fuyant le destin prédit par les trois soeurs, et comme le réussit un certain Orphée, il sortit des entrailles nauséabondes de la terre féconde, en y laissant cependant la moitié de son âme valeureuse et inconsolable pour l'éternité. Obscure vision, prédiction incestueuse pour Œdipe l'impie, témoin de l'ignoble cruauté de ces divinités sadiques de l'éther. Comment trouver la paix, le pardon ultime, pour toutes ces douleurs infligées... Une aube blafarde se lève sur cette non existence qui navigue entre les corps mutilés par la monotonie des siècles vicieux. Pourquoi ne pas chercher à se faire un nom? Mais quoi, la nuit n'est-elle jamais vraiment noire? et le jour toujours blanc? Peut-etre que si je me crève le regard, je parviendrais à pénétrer dans le palais poussiéreux des vieux toits pourris, à travers lesquels le vent de la misère s'engouffre, et apercevoir enfin une goutte de soie pure sur son manteau atrophié , sur sa strophe inachevée en bas de page à droite...Mais enfin quoi, ce nom nommé par le non du nomade est aussi le nom d'une aubade à l'aumône de platine. Comment peut-on être aussi naïf? La Pythie m'avait pourtant prévenu, les découvertes amazones au galbes si | |
| | | Marc Grimoirien
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| Sujet: Re: Nouvelle chaine Ven 11 Juin 2010 - 12:08 | |
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| Sujet: Re: Nouvelle chaine Ven 11 Juin 2010 - 14:01 | |
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| Sujet: Re: Nouvelle chaine Ven 11 Juin 2010 - 14:43 | |
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| Sujet: Re: Nouvelle chaine Ven 11 Juin 2010 - 15:04 | |
| Ce forum est un lieu où l'on s'amuse & rencontre des "écrivaillons" talentueux écrivant leurs inspirations diverses & fécondes. Leurs pseudos reflètent leur caractère poétique & protéiforme, mais aussi divers que convivial. Pourtant, parfois, un "troll" s'aventurait dans ce lieu quelquefois infesté désagréablement par des plumes quelque peu ébouriffées. Néanmoins, on constate que le respect est de mise, surtout chez moi. Nous sommes tous des Parnassiens (& des verlainiens!). Cependant, aussi habiles penseurs , nous rêvons à une Parnassienne (et non à une persienne !) jeune & jolie (faut c'qui faut quoi !...) qui nous inspirerait des vers pas piqués des hannetons. Elle nous dirait des choses que l'on entendrait avec le cœur & l'esprit. Cette femme, ne serait-elle pas celle que l'on appelle...euh, comment était-ce déjà?..Mais qu'importe son nom pourvu qu'elle nous donne l'envie... D'écrire bien sur...moi je l'appellerai Amour parce que c'est la chose principale dans la vie. ( Amour, Aphrodite, Junon ou Vénus étaient ses noms.) Déesses d'hier, prenez la mesure de notre dévotion, et soyez celles qui aujourd'hui, inspirent nos mots si dérisoires, à vouloir vous aimer. Mais déesses d'aujourd'hui, QUI êtes-vous? & OU êtes-vous??. Je me cherche en vous sans vous reconnaitre en moi...Et ce visage qui berce, impassible, les ombres létales du crépuscule endormi hurle et me rappelle à ce juvénile monde de chimères, qui terrorisait mes nuits d'enfant... Ainsi, de doux rêves en sombres cauchemards, la morne ruelle de mes pensées s'élargissait dans un fracas de muettes plaintes et de douleurs inavouées. Pourtant, c'est ici sous ce porche écroulé, eclairé par un lampadaire agonisant, qu'un jour une fée a posé son regard sur mon âme déchirée. Sans y trouver une réelle compassion, je poursuivais donc ma tragédie ambulante à travers quelques fantômes tourbillonnants qui de temps à autres me traversait le corps à bruler le coeur... Un sourire enjoleur, un rictus diabolique et mes maux qui s'égarent dans les labyrintes de l'absence devenue reine, et mes mots crucifiés, abrutis par les clous monstrueux des portes condamnées, se déchiraient au son des âpres caresses, des promesses mensongères de nuits tendres, de matins glorieux... Héros de l'aube sanguinolente, digne représentant du grand Éros, brandissant l'arc forgé par les victimes damnées des Parques. Ainsi il s'en allait, tel Perceval à la quète du saint Graal, en Hadès fuyant le destin prédit par les trois soeurs, et comme le réussit un certain Orphée, il sortit des entrailles nauséabondes de la terre féconde, en y laissant cependant la moitié de son âme valeureuse et inconsolable pour l'éternité. Obscure vision, prédiction incestueuse pour Œdipe l'impie, témoin de l'ignoble cruauté de ces divinités sadiques de l'éther. Comment trouver la paix, le pardon ultime, pour toutes ces douleurs infligées... Une aube blafarde se lève sur cette non existence qui navigue entre les corps mutilés par la monotonie des siècles vicieux. Pourquoi ne pas chercher à se faire un nom? Mais quoi, la nuit n'est-elle jamais vraiment noire? et le jour toujours blanc? Peut-etre que si je me crève le regard, je parviendrais à pénétrer dans le palais poussiéreux des vieux toits pourris, à travers lesquels le vent de la misère s'engouffre, et apercevoir enfin une goutte de soie pure sur son manteau atrophié , sur sa strophe inachevée en bas de page à droite...Mais enfin quoi, ce nom nommé par le non du nomade est aussi le nom d'une aubade à l'aumône de platine. Comment peut-on être aussi naïf? La Pythie m'avait pourtant prévenu, les découvertes amazones aux galbes ithyphalliques, les étoiles crevées à coups de phallus étrangement romantiques. Où est passé le pâle hymen des vierges cavalières en armure de satin pubien? Ce glorieux apparat qui fit baver princes et rois | |
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| Sujet: Re: Nouvelle chaine Ven 11 Juin 2010 - 23:40 | |
| Ce forum est un lieu où l'on s'amuse & rencontre des "écrivaillons" talentueux écrivant leurs inspirations diverses & fécondes. Leurs pseudos reflètent leur caractère poétique & protéiforme, mais aussi divers que convivial. Pourtant, parfois, un "troll" s'aventurait dans ce lieu quelquefois infesté désagréablement par des plumes quelque peu ébouriffées. Néanmoins, on constate que le respect est de mise, surtout chez moi. Nous sommes tous des Parnassiens (& des verlainiens!). Cependant, aussi habiles penseurs , nous rêvons à une Parnassienne (et non à une persienne !) jeune & jolie (faut c'qui faut quoi !...) qui nous inspirerait des vers pas piqués des hannetons. Elle nous dirait des choses que l'on entendrait avec le cœur & l'esprit. Cette femme, ne serait-elle pas celle que l'on appelle...euh, comment était-ce déjà?..Mais qu'importe son nom pourvu qu'elle nous donne l'envie... D'écrire bien sur...moi je l'appellerai Amour parce que c'est la chose principale dans la vie. ( Amour, Aphrodite, Junon ou Vénus étaient ses noms.) Déesses d'hier, prenez la mesure de notre dévotion, et soyez celles qui aujourd'hui, inspirent nos mots si dérisoires, à vouloir vous aimer. Mais déesses d'aujourd'hui, QUI êtes-vous? & OU êtes-vous??. Je me cherche en vous sans vous reconnaitre en moi...Et ce visage qui berce, impassible, les ombres létales du crépuscule endormi hurle et me rappelle à ce juvénile monde de chimères, qui terrorisait mes nuits d'enfant... Ainsi, de doux rêves en sombres cauchemards, la morne ruelle de mes pensées s'élargissait dans un fracas de muettes plaintes et de douleurs inavouées. Pourtant, c'est ici sous ce porche écroulé, eclairé par un lampadaire agonisant, qu'un jour une fée a posé son regard sur mon âme déchirée. Sans y trouver une réelle compassion, je poursuivais donc ma tragédie ambulante à travers quelques fantômes tourbillonnants qui de temps à autres me traversait le corps à bruler le coeur... Un sourire enjoleur, un rictus diabolique et mes maux qui s'égarent dans les labyrintes de l'absence devenue reine, et mes mots crucifiés, abrutis par les clous monstrueux des portes condamnées, se déchiraient au son des âpres caresses, des promesses mensongères de nuits tendres, de matins glorieux... Héros de l'aube sanguinolente, digne représentant du grand Éros, brandissant l'arc forgé par les victimes damnées des Parques. Ainsi il s'en allait, tel Perceval à la quète du saint Graal, en Hadès fuyant le destin prédit par les trois soeurs, et comme le réussit un certain Orphée, il sortit des entrailles nauséabondes de la terre féconde, en y laissant cependant la moitié de son âme valeureuse et inconsolable pour l'éternité. Obscure vision, prédiction incestueuse pour Œdipe l'impie, témoin de l'ignoble cruauté de ces divinités sadiques de l'éther. Comment trouver la paix, le pardon ultime, pour toutes ces douleurs infligées... Une aube blafarde se lève sur cette non existence qui navigue entre les corps mutilés par la monotonie des siècles vicieux. Pourquoi ne pas chercher à se faire un nom? Mais quoi, la nuit n'est-elle jamais vraiment noire? et le jour toujours blanc? Peut-etre que si je me crève le regard, je parviendrais à pénétrer dans le palais poussiéreux des vieux toits pourris, à travers lesquels le vent de la misère s'engouffre, et apercevoir enfin une goutte de soie pure sur son manteau atrophié , sur sa strophe inachevée en bas de page à droite...Mais enfin quoi, ce nom nommé par le non du nomade est aussi le nom d'une aubade à l'aumône de platine. Comment peut-on être aussi naïf? La Pythie m'avait pourtant prévenu, les découvertes amazones aux galbes ithyphalliques, les étoiles crevées à coups de phallus étrangement romantiques. Où est passé le pâle hymen des vierges cavalières en armure de satin pubien? Ce glorieux apparat qui fit baver princes et rois et tomber à genoux les plus intrépides guerriers | |
| | | philippe de neuville Grimoirien
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| Sujet: Re: Nouvelle chaine Dim 13 Juin 2010 - 17:56 | |
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| Sujet: Re: Nouvelle chaine Mar 15 Juin 2010 - 2:05 | |
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| | | Marc Grimoirien
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| Sujet: Re: Nouvelle chaine Mar 15 Juin 2010 - 23:09 | |
| Ce forum est un lieu où l'on s'amuse & rencontre des "écrivaillons" talentueux écrivant leurs inspirations diverses & fécondes. Leurs pseudos reflètent leur caractère poétique & protéiforme, mais aussi divers que convivial. Pourtant, parfois, un "troll" s'aventurait dans ce lieu quelquefois infesté désagréablement par des plumes quelque peu ébouriffées. Néanmoins, on constate que le respect est de mise, surtout chez moi. Nous sommes tous des Parnassiens (& des verlainiens!). Cependant, aussi habiles penseurs , nous rêvons à une Parnassienne (et non à une persienne !) jeune & jolie (faut c'qui faut quoi !...) qui nous inspirerait des vers pas piqués des hannetons. Elle nous dirait des choses que l'on entendrait avec le cœur & l'esprit. Cette femme, ne serait-elle pas celle que l'on appelle...euh, comment était-ce déjà?..Mais qu'importe son nom pourvu qu'elle nous donne l'envie... D'écrire bien sur...moi je l'appellerai Amour parce que c'est la chose principale dans la vie. ( Amour, Aphrodite, Junon ou Vénus étaient ses noms.) Déesses d'hier, prenez la mesure de notre dévotion, et soyez celles qui aujourd'hui, inspirent nos mots si dérisoires, à vouloir vous aimer. Mais déesses d'aujourd'hui, QUI êtes-vous? & OU êtes-vous??. Je me cherche en vous sans vous reconnaitre en moi...Et ce visage qui berce, impassible, les ombres létales du crépuscule endormi hurle et me rappelle à ce juvénile monde de chimères, qui terrorisait mes nuits d'enfant... Ainsi, de doux rêves en sombres cauchemards, la morne ruelle de mes pensées s'élargissait dans un fracas de muettes plaintes et de douleurs inavouées. Pourtant, c'est ici sous ce porche écroulé, eclairé par un lampadaire agonisant, qu'un jour une fée a posé son regard sur mon âme déchirée. Sans y trouver une réelle compassion, je poursuivais donc ma tragédie ambulante à travers quelques fantômes tourbillonnants qui de temps à autres me traversait le corps à bruler le coeur... Un sourire enjoleur, un rictus diabolique et mes maux qui s'égarent dans les labyrintes de l'absence devenue reine, et mes mots crucifiés, abrutis par les clous monstrueux des portes condamnées, se déchiraient au son des âpres caresses, des promesses mensongères de nuits tendres, de matins glorieux... Héros de l'aube sanguinolente, digne représentant du grand Éros, brandissant l'arc forgé par les victimes damnées des Parques. Ainsi il s'en allait, tel Perceval à la quète du saint Graal, en Hadès fuyant le destin prédit par les trois soeurs, et comme le réussit un certain Orphée, il sortit des entrailles nauséabondes de la terre féconde, en y laissant cependant la moitié de son âme valeureuse et inconsolable pour l'éternité. Obscure vision, prédiction incestueuse pour Œdipe l'impie, témoin de l'ignoble cruauté de ces divinités sadiques de l'éther. Comment trouver la paix, le pardon ultime, pour toutes ces douleurs infligées... Une aube blafarde se lève sur cette non existence qui navigue entre les corps mutilés par la monotonie des siècles vicieux. Pourquoi ne pas chercher à se faire un nom? Mais quoi, la nuit n'est-elle jamais vraiment noire? et le jour toujours blanc? Peut-etre que si je me crève le regard, je parviendrais à pénétrer dans le palais poussiéreux des vieux toits pourris, à travers lesquels le vent de la misère s'engouffre, et apercevoir enfin une goutte de soie pure sur son manteau atrophié , sur sa strophe inachevée en bas de page à droite...Mais enfin quoi, ce nom nommé par le non du nomade est aussi le nom d'une aubade à l'aumône de platine. Comment peut-on être aussi naïf? La Pythie m'avait pourtant prévenu, les découvertes amazones aux galbes ithyphalliques, les étoiles crevées à coups de phallus étrangement romantiques. Où est passé le pâle hymen des vierges cavalières en armure de satin pubien? Ce glorieux apparat qui fit baver princes et rois et tomber à genoux les plus intrépides guerriers semble tombé en totale désuétude aujourd'hui. Cette toison sacrée, Walhalla si sensuel et bruyant avec son val qui rit à la lueur de | |
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| Sujet: Re: Nouvelle chaine Jeu 17 Juin 2010 - 15:42 | |
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| | | philippe de neuville Grimoirien
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| Sujet: Re: Nouvelle chaine Sam 19 Juin 2010 - 14:36 | |
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| | | Claude Grimoirien
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| Sujet: Re: Nouvelle chaine Jeu 19 Aoû 2010 - 20:01 | |
| Ce forum est un lieu où l'on s'amuse & rencontre des "écrivaillons" talentueux écrivant leurs inspirations diverses & fécondes. Leurs pseudos reflètent leur caractère poétique & protéiforme, mais aussi divers que convivial. Pourtant, parfois, un "troll" s'aventurait dans ce lieu quelquefois infesté désagréablement par des plumes quelque peu ébouriffées. Néanmoins, on constate que le respect est de mise, surtout chez moi. Nous sommes tous des Parnassiens (& des verlainiens!). Cependant, aussi habiles penseurs , nous rêvons à une Parnassienne (et non à une persienne !) jeune & jolie (faut c'qui faut quoi !...) qui nous inspirerait des vers pas piqués des hannetons. Elle nous dirait des choses que l'on entendrait avec le cœur & l'esprit. Cette femme, ne serait-elle pas celle que l'on appelle...euh, comment était-ce déjà?..Mais qu'importe son nom pourvu qu'elle nous donne l'envie... D'écrire bien sur...moi je l'appellerai Amour parce que c'est la chose principale dans la vie. ( Amour, Aphrodite, Junon ou Vénus étaient ses noms.) Déesses d'hier, prenez la mesure de notre dévotion, et soyez celles qui aujourd'hui, inspirent nos mots si dérisoires, à vouloir vous aimer. Mais déesses d'aujourd'hui, QUI êtes-vous? & OU êtes-vous??. Je me cherche en vous sans vous reconnaitre en moi...Et ce visage qui berce, impassible, les ombres létales du crépuscule endormi hurle et me rappelle à ce juvénile monde de chimères, qui terrorisait mes nuits d'enfant... Ainsi, de doux rêves en sombres cauchemards, la morne ruelle de mes pensées s'élargissait dans un fracas de muettes plaintes et de douleurs inavouées. Pourtant, c'est ici sous ce porche écroulé, eclairé par un lampadaire agonisant, qu'un jour une fée a posé son regard sur mon âme déchirée. Sans y trouver une réelle compassion, je poursuivais donc ma tragédie ambulante à travers quelques fantômes tourbillonnants qui de temps à autres me traversait le corps à bruler le coeur... Un sourire enjoleur, un rictus diabolique et mes maux qui s'égarent dans les labyrintes de l'absence devenue reine, et mes mots crucifiés, abrutis par les clous monstrueux des portes condamnées, se déchiraient au son des âpres caresses, des promesses mensongères de nuits tendres, de matins glorieux... Héros de l'aube sanguinolente, digne représentant du grand Éros, brandissant l'arc forgé par les victimes damnées des Parques. Ainsi il s'en allait, tel Perceval à la quète du saint Graal, en Hadès fuyant le destin prédit par les trois soeurs, et comme le réussit un certain Orphée, il sortit des entrailles nauséabondes de la terre féconde, en y laissant cependant la moitié de son âme valeureuse et inconsolable pour l'éternité. Obscure vision, prédiction incestueuse pour Œdipe l'impie, témoin de l'ignoble cruauté de ces divinités sadiques de l'éther. Comment trouver la paix, le pardon ultime, pour toutes ces douleurs infligées... Une aube blafarde se lève sur cette non existence qui navigue entre les corps mutilés par la monotonie des siècles vicieux. Pourquoi ne pas chercher à se faire un nom? Mais quoi, la nuit n'est-elle jamais vraiment noire? et le jour toujours blanc? Peut-etre que si je me crève le regard, je parviendrais à pénétrer dans le palais poussiéreux des vieux toits pourris, à travers lesquels le vent de la misère s'engouffre, et apercevoir enfin une goutte de soie pure sur son manteau atrophié , sur sa strophe inachevée en bas de page à droite...Mais enfin quoi, ce nom nommé par le non du nomade est aussi le nom d'une aubade à l'aumône de platine. Comment peut-on être aussi naïf? La Pythie m'avait pourtant prévenu, les découvertes amazones aux galbes ithyphalliques, les étoiles crevées à coups de phallus étrangement romantiques. Où est passé le pâle hymen des vierges cavalières en armure de satin pubien? Ce glorieux apparat qui fit baver princes et rois et tomber à genoux les plus intrépides guerriers semble tombé en totale désuétude aujourd'hui. Cette toison sacrée, Walhalla si sensuel et bruyant avec son val qui rit à la lueur des combats que sa beauté innocente ne reconnaissait pas, qu'en avez-vous donc fait ? Je | |
| | | philippe de neuville Grimoirien
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| Sujet: Re: Nouvelle chaine Sam 21 Aoû 2010 - 14:36 | |
| [b][i] -------------------------------------------------------------------------------- Ce forum est un lieu où l'on s'amuse & rencontre des "écrivaillons" talentueux écrivant leurs inspirations diverses & fécondes. Leurs pseudos reflètent leur caractère poétique & protéiforme, mais aussi divers que convivial. Pourtant, parfois, un "troll" s'aventurait dans ce lieu quelquefois infesté désagréablement par des plumes quelque peu ébouriffées. Néanmoins, on constate que le respect est de mise, surtout chez moi. Nous sommes tous des Parnassiens (& des verlainiens!). Cependant, aussi habiles penseurs , nous rêvons à une Parnassienne (et non à une persienne !) jeune & jolie (faut c'qui faut quoi !...) qui nous inspirerait des vers pas piqués des hannetons. Elle nous dirait des choses que l'on entendrait avec le cœur & l'esprit. Cette femme, ne serait-elle pas celle que l'on appelle...euh, comment était-ce déjà?..Mais qu'importe son nom pourvu qu'elle nous donne l'envie... D'écrire bien sur...moi je l'appellerai Amour parce que c'est la chose principale dans la vie. ( Amour, Aphrodite, Junon ou Vénus étaient ses noms.) Déesses d'hier, prenez la mesure de notre dévotion, et soyez celles qui aujourd'hui, inspirent nos mots si dérisoires, à vouloir vous aimer. Mais déesses d'aujourd'hui, QUI êtes-vous? & OU êtes-vous??. Je me cherche en vous sans vous reconnaitre en moi...Et ce visage qui berce, impassible, les ombres létales du crépuscule endormi hurle et me rappelle à ce juvénile monde de chimères, qui terrorisait mes nuits d'enfant... Ainsi, de doux rêves en sombres cauchemards, la morne ruelle de mes pensées s'élargissait dans un fracas de muettes plaintes et de douleurs inavouées. Pourtant, c'est ici sous ce porche écroulé, eclairé par un lampadaire agonisant, qu'un jour une fée a posé son regard sur mon âme déchirée. Sans y trouver une réelle compassion, je poursuivais donc ma tragédie ambulante à travers quelques fantômes tourbillonnants qui de temps à autres me traversait le corps à bruler le coeur... Un sourire enjoleur, un rictus diabolique et mes maux qui s'égarent dans les labyrintes de l'absence devenue reine, et mes mots crucifiés, abrutis par les clous monstrueux des portes condamnées, se déchiraient au son des âpres caresses, des promesses mensongères de nuits tendres, de matins glorieux... Héros de l'aube sanguinolente, digne représentant du grand Éros, brandissant l'arc forgé par les victimes damnées des Parques. Ainsi il s'en allait, tel Perceval à la quète du saint Graal, en Hadès fuyant le destin prédit par les trois soeurs, et comme le réussit un certain Orphée, il sortit des entrailles nauséabondes de la terre féconde, en y laissant cependant la moitié de son âme valeureuse et inconsolable pour l'éternité. Obscure vision, prédiction incestueuse pour Œdipe l'impie, témoin de l'ignoble cruauté de ces divinités sadiques de l'éther. Comment trouver la paix, le pardon ultime, pour toutes ces douleurs infligées... Une aube blafarde se lève sur cette non existence qui navigue entre les corps mutilés par la monotonie des siècles vicieux. Pourquoi ne pas chercher à se faire un nom? Mais quoi, la nuit n'est-elle jamais vraiment noire? et le jour toujours blanc? Peut-etre que si je me crève le regard, je parviendrais à pénétrer dans le palais poussiéreux des vieux toits pourris, à travers lesquels le vent de la misère s'engouffre, et apercevoir enfin une goutte de soie pure sur son manteau atrophié , sur sa strophe inachevée en bas de page à droite...Mais enfin quoi, ce nom nommé par le non du nomade est aussi le nom d'une aubade à l'aumône de platine. Comment peut-on être aussi naïf? La Pythie m'avait pourtant prévenu, les découvertes amazones aux galbes ithyphalliques, les étoiles crevées à coups de phallus étrangement romantiques. Où est passé le pâle hymen des vierges cavalières en armure de satin pubien? Ce glorieux apparat qui fit baver princes et rois et tomber à genoux les plus intrépides guerriers semble tombé en totale désuétude aujourd'hui. Cette toison sacrée, Walhalla si sensuel et bruyant avec son val qui rit à la lueur des combats que sa beauté innocente ne reconnaissait pas, qu'en avez-vous donc fait ? Je me pose la question avec une angoisse certaine ! Où
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| | | Marc Grimoirien
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| Sujet: Re: Nouvelle chaine Sam 28 Aoû 2010 - 1:19 | |
| Ce forum est un lieu où l'on s'amuse & rencontre des "écrivaillons" talentueux écrivant leurs inspirations diverses & fécondes. Leurs pseudos reflètent leur caractère poétique & protéiforme, mais aussi divers que convivial. Pourtant, parfois, un "troll" s'aventurait dans ce lieu quelquefois infesté désagréablement par des plumes quelque peu ébouriffées. Néanmoins, on constate que le respect est de mise, surtout chez moi. Nous sommes tous des Parnassiens (& des verlainiens!). Cependant, aussi habiles penseurs , nous rêvons à une Parnassienne (et non à une persienne !) jeune & jolie (faut c'qui faut quoi !...) qui nous inspirerait des vers pas piqués des hannetons. Elle nous dirait des choses que l'on entendrait avec le cœur & l'esprit. Cette femme, ne serait-elle pas celle que l'on appelle...euh, comment était-ce déjà?..Mais qu'importe son nom pourvu qu'elle nous donne l'envie... D'écrire bien sur...moi je l'appellerai Amour parce que c'est la chose principale dans la vie. ( Amour, Aphrodite, Junon ou Vénus étaient ses noms.) Déesses d'hier, prenez la mesure de notre dévotion, et soyez celles qui aujourd'hui, inspirent nos mots si dérisoires, à vouloir vous aimer. Mais déesses d'aujourd'hui, QUI êtes-vous? & OU êtes-vous??. Je me cherche en vous sans vous reconnaitre en moi...Et ce visage qui berce, impassible, les ombres létales du crépuscule endormi hurle et me rappelle à ce juvénile monde de chimères, qui terrorisait mes nuits d'enfant... Ainsi, de doux rêves en sombres cauchemards, la morne ruelle de mes pensées s'élargissait dans un fracas de muettes plaintes et de douleurs inavouées. Pourtant, c'est ici sous ce porche écroulé, eclairé par un lampadaire agonisant, qu'un jour une fée a posé son regard sur mon âme déchirée. Sans y trouver une réelle compassion, je poursuivais donc ma tragédie ambulante à travers quelques fantômes tourbillonnants qui de temps à autres me traversait le corps à bruler le coeur... Un sourire enjoleur, un rictus diabolique et mes maux qui s'égarent dans les labyrintes de l'absence devenue reine, et mes mots crucifiés, abrutis par les clous monstrueux des portes condamnées, se déchiraient au son des âpres caresses, des promesses mensongères de nuits tendres, de matins glorieux... Héros de l'aube sanguinolente, digne représentant du grand Éros, brandissant l'arc forgé par les victimes damnées des Parques. Ainsi il s'en allait, tel Perceval à la quète du saint Graal, en Hadès fuyant le destin prédit par les trois soeurs, et comme le réussit un certain Orphée, il sortit des entrailles nauséabondes de la terre féconde, en y laissant cependant la moitié de son âme valeureuse et inconsolable pour l'éternité. Obscure vision, prédiction incestueuse pour Œdipe l'impie, témoin de l'ignoble cruauté de ces divinités sadiques de l'éther. Comment trouver la paix, le pardon ultime, pour toutes ces douleurs infligées... Une aube blafarde se lève sur cette non existence qui navigue entre les corps mutilés par la monotonie des siècles vicieux. Pourquoi ne pas chercher à se faire un nom? Mais quoi, la nuit n'est-elle jamais vraiment noire? et le jour toujours blanc? Peut-etre que si je me crève le regard, je parviendrais à pénétrer dans le palais poussiéreux des vieux toits pourris, à travers lesquels le vent de la misère s'engouffre, et apercevoir enfin une goutte de soie pure sur son manteau atrophié , sur sa strophe inachevée en bas de page à droite...Mais enfin quoi, ce nom nommé par le non du nomade est aussi le nom d'une aubade à l'aumône de platine. Comment peut-on être aussi naïf? La Pythie m'avait pourtant prévenu, les découvertes amazones aux galbes ithyphalliques, les étoiles crevées à coups de phallus étrangement romantiques. Où est passé le pâle hymen des vierges cavalières en armure de satin pubien? Ce glorieux apparat qui fit baver princes et rois et tomber à genoux les plus intrépides guerriers semble tombé en totale désuétude aujourd'hui. Cette toison sacrée, Walhalla si sensuel et bruyant avec son val qui rit à la lueur des combats que sa beauté innocente ne reconnaissait pas, qu'en avez-vous donc fait ? Je me pose la question avec une angoisse certaine ! Où sont donc passées ces lèvres autrefois si envoûtantes? Mais où | |
| | | philippe de neuville Grimoirien
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| Sujet: Re: Nouvelle chaine Sam 28 Aoû 2010 - 15:15 | |
| Ce forum est un lieu où l'on s'amuse & rencontre des "écrivaillons" talentueux écrivant leurs inspirations diverses & fécondes. Leurs pseudos reflètent leur caractère poétique & protéiforme, mais aussi divers que convivial. Pourtant, parfois, un "troll" s'aventurait dans ce lieu quelquefois infesté désagréablement par des plumes quelque peu ébouriffées. Néanmoins, on constate que le respect est de mise, surtout chez moi. Nous sommes tous des Parnassiens (& des verlainiens!). Cependant, aussi habiles penseurs , nous rêvons à une Parnassienne (et non à une persienne !) jeune & jolie (faut c'qui faut quoi !...) qui nous inspirerait des vers pas piqués des hannetons. Elle nous dirait des choses que l'on entendrait avec le cœur & l'esprit. Cette femme, ne serait-elle pas celle que l'on appelle...euh, comment était-ce déjà?..Mais qu'importe son nom pourvu qu'elle nous donne l'envie... D'écrire bien sur...moi je l'appellerai Amour parce que c'est la chose principale dans la vie. ( Amour, Aphrodite, Junon ou Vénus étaient ses noms.) Déesses d'hier, prenez la mesure de notre dévotion, et soyez celles qui aujourd'hui, inspirent nos mots si dérisoires, à vouloir vous aimer. Mais déesses d'aujourd'hui, QUI êtes-vous? & OU êtes-vous??. Je me cherche en vous sans vous reconnaitre en moi...Et ce visage qui berce, impassible, les ombres létales du crépuscule endormi hurle et me rappelle à ce juvénile monde de chimères, qui terrorisait mes nuits d'enfant... Ainsi, de doux rêves en sombres cauchemards, la morne ruelle de mes pensées s'élargissait dans un fracas de muettes plaintes et de douleurs inavouées. Pourtant, c'est ici sous ce porche écroulé, eclairé par un lampadaire agonisant, qu'un jour une fée a posé son regard sur mon âme déchirée. Sans y trouver une réelle compassion, je poursuivais donc ma tragédie ambulante à travers quelques fantômes tourbillonnants qui de temps à autres me traversait le corps à bruler le coeur... Un sourire enjoleur, un rictus diabolique et mes maux qui s'égarent dans les labyrintes de l'absence devenue reine, et mes mots crucifiés, abrutis par les clous monstrueux des portes condamnées, se déchiraient au son des âpres caresses, des promesses mensongères de nuits tendres, de matins glorieux... Héros de l'aube sanguinolente, digne représentant du grand Éros, brandissant l'arc forgé par les victimes damnées des Parques. Ainsi il s'en allait, tel Perceval à la quète du saint Graal, en Hadès fuyant le destin prédit par les trois soeurs, et comme le réussit un certain Orphée, il sortit des entrailles nauséabondes de la terre féconde, en y laissant cependant la moitié de son âme valeureuse et inconsolable pour l'éternité. Obscure vision, prédiction incestueuse pour Œdipe l'impie, témoin de l'ignoble cruauté de ces divinités sadiques de l'éther. Comment trouver la paix, le pardon ultime, pour toutes ces douleurs infligées... Une aube blafarde se lève sur cette non existence qui navigue entre les corps mutilés par la monotonie des siècles vicieux. Pourquoi ne pas chercher à se faire un nom? Mais quoi, la nuit n'est-elle jamais vraiment noire? et le jour toujours blanc? Peut-etre que si je me crève le regard, je parviendrais à pénétrer dans le palais poussiéreux des vieux toits pourris, à travers lesquels le vent de la misère s'engouffre, et apercevoir enfin une goutte de soie pure sur son manteau atrophié , sur sa strophe inachevée en bas de page à droite...Mais enfin quoi, ce nom nommé par le non du nomade est aussi le nom d'une aubade à l'aumône de platine. Comment peut-on être aussi naïf? La Pythie m'avait pourtant prévenu, les découvertes amazones aux galbes ithyphalliques, les étoiles crevées à coups de phallus étrangement romantiques. Où est passé le pâle hymen des vierges cavalières en armure de satin pubien? Ce glorieux apparat qui fit baver princes et rois et tomber à genoux les plus intrépides guerriers semble tombé en totale désuétude aujourd'hui. Cette toison sacrée, Walhalla si sensuel et bruyant avec son val qui rit à la lueur des combats que sa beauté innocente ne reconnaissait pas, qu'en avez-vous donc fait ? Je me pose la question avec une angoisse certaine ! Où sont donc passées ces lèvres autrefois si envoûtantes? Mais où Donc? qui le dira? quel oracle bienveillant saura le dire?? Je me Textes protégés par © Copyright N° 79Z516A In Pace cum Patribus (devise des Neuville) | |
| | | Marc Grimoirien
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| Sujet: Re: Nouvelle chaine Lun 25 Oct 2010 - 19:43 | |
| Ce forum est un lieu où l'on s'amuse & rencontre des "écrivaillons" talentueux écrivant leurs inspirations diverses & fécondes. Leurs pseudos reflètent leur caractère poétique & protéiforme, mais aussi divers que convivial. Pourtant, parfois, un "troll" s'aventurait dans ce lieu quelquefois infesté désagréablement par des plumes quelque peu ébouriffées. Néanmoins, on constate que le respect est de mise, surtout chez moi. Nous sommes tous des Parnassiens (& des verlainiens!). Cependant, aussi habiles penseurs , nous rêvons à une Parnassienne (et non à une persienne !) jeune & jolie (faut c'qui faut quoi !...) qui nous inspirerait des vers pas piqués des hannetons. Elle nous dirait des choses que l'on entendrait avec le cœur & l'esprit. Cette femme, ne serait-elle pas celle que l'on appelle...euh, comment était-ce déjà?..Mais qu'importe son nom pourvu qu'elle nous donne l'envie... D'écrire bien sur...moi je l'appellerai Amour parce que c'est la chose principale dans la vie. ( Amour, Aphrodite, Junon ou Vénus étaient ses noms.) Déesses d'hier, prenez la mesure de notre dévotion, et soyez celles qui aujourd'hui, inspirent nos mots si dérisoires, à vouloir vous aimer. Mais déesses d'aujourd'hui, QUI êtes-vous? & OU êtes-vous??. Je me cherche en vous sans vous reconnaitre en moi...Et ce visage qui berce, impassible, les ombres létales du crépuscule endormi hurle et me rappelle à ce juvénile monde de chimères, qui terrorisait mes nuits d'enfant... Ainsi, de doux rêves en sombres cauchemards, la morne ruelle de mes pensées s'élargissait dans un fracas de muettes plaintes et de douleurs inavouées. Pourtant, c'est ici sous ce porche écroulé, eclairé par un lampadaire agonisant, qu'un jour une fée a posé son regard sur mon âme déchirée. Sans y trouver une réelle compassion, je poursuivais donc ma tragédie ambulante à travers quelques fantômes tourbillonnants qui de temps à autres me traversait le corps à bruler le coeur... Un sourire enjoleur, un rictus diabolique et mes maux qui s'égarent dans les labyrintes de l'absence devenue reine, et mes mots crucifiés, abrutis par les clous monstrueux des portes condamnées, se déchiraient au son des âpres caresses, des promesses mensongères de nuits tendres, de matins glorieux... Héros de l'aube sanguinolente, digne représentant du grand Éros, brandissant l'arc forgé par les victimes damnées des Parques. Ainsi il s'en allait, tel Perceval à la quète du saint Graal, en Hadès fuyant le destin prédit par les trois soeurs, et comme le réussit un certain Orphée, il sortit des entrailles nauséabondes de la terre féconde, en y laissant cependant la moitié de son âme valeureuse et inconsolable pour l'éternité. Obscure vision, prédiction incestueuse pour Œdipe l'impie, témoin de l'ignoble cruauté de ces divinités sadiques de l'éther. Comment trouver la paix, le pardon ultime, pour toutes ces douleurs infligées... Une aube blafarde se lève sur cette non existence qui navigue entre les corps mutilés par la monotonie des siècles vicieux. Pourquoi ne pas chercher à se faire un nom? Mais quoi, la nuit n'est-elle jamais vraiment noire? et le jour toujours blanc? Peut-etre que si je me crève le regard, je parviendrais à pénétrer dans le palais poussiéreux des vieux toits pourris, à travers lesquels le vent de la misère s'engouffre, et apercevoir enfin une goutte de soie pure sur son manteau atrophié , sur sa strophe inachevée en bas de page à droite...Mais enfin quoi, ce nom nommé par le non du nomade est aussi le nom d'une aubade à l'aumône de platine. Comment peut-on être aussi naïf? La Pythie m'avait pourtant prévenu, les découvertes amazones aux galbes ithyphalliques, les étoiles crevées à coups de phallus étrangement romantiques. Où est passé le pâle hymen des vierges cavalières en armure de satin pubien? Ce glorieux apparat qui fit baver princes et rois et tomber à genoux les plus intrépides guerriers semble tombé en totale désuétude aujourd'hui. Cette toison sacrée, Walhalla si sensuel et bruyant avec son val qui rit à la lueur des combats que sa beauté innocente ne reconnaissait pas, qu'en avez-vous donc fait ? Je me pose laquestion avec une angoisse certaine ! Où sont donc passées ces lèvresautrefois si envoûtantes? Mais où Donc? qui le dira? quel oraclebienveillant saura le dire?? Je me dissèque le coeur, mais n´y trouve qu´une insaissisable gangrène, une abstraite douleur qui me plonge dans les profondeurs de | |
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| Sujet: Re: Nouvelle chaine Mer 27 Oct 2010 - 18:47 | |
| Ce forum est un lieu où l'on s'amuse & rencontre des "écrivaillons" talentueux écrivant leurs inspirations diverses & fécondes. Leurs pseudos reflètent leur caractère poétique & protéiforme, mais aussi divers que convivial. Pourtant, parfois, un "troll" s'aventurait dans ce lieu quelquefois infesté désagréablement par des plumes quelque peu ébouriffées. Néanmoins, on constate que le respect est de mise, surtout chez moi. Nous sommes tous des Parnassiens (& des verlainiens!). Cependant, aussi habiles penseurs , nous rêvons à une Parnassienne (et non à une persienne !) jeune & jolie (faut c'qui faut quoi !...) qui nous inspirerait des vers pas piqués des hannetons. Elle nous dirait des choses que l'on entendrait avec le cœur & l'esprit. Cette femme, ne serait-elle pas celle que l'on appelle...euh, comment était-ce déjà?..Mais qu'importe son nom pourvu qu'elle nous donne l'envie... D'écrire bien sur...moi je l'appellerai Amour parce que c'est la chose principale dans la vie. ( Amour, Aphrodite, Junon ou Vénus étaient ses noms.) Déesses d'hier, prenez la mesure de notre dévotion, et soyez celles qui aujourd'hui, inspirent nos mots si dérisoires, à vouloir vous aimer. Mais déesses d'aujourd'hui, QUI êtes-vous? & OU êtes-vous??. Je me cherche en vous sans vous reconnaitre en moi...Et ce visage qui berce, impassible, les ombres létales du crépuscule endormi hurle et me rappelle à ce juvénile monde de chimères, qui terrorisait mes nuits d'enfant... Ainsi, de doux rêves en sombres cauchemards, la morne ruelle de mes pensées s'élargissait dans un fracas de muettes plaintes et de douleurs inavouées. Pourtant, c'est ici sous ce porche écroulé, eclairé par un lampadaire agonisant, qu'un jour une fée a posé son regard sur mon âme déchirée. Sans y trouver une réelle compassion, je poursuivais donc ma tragédie ambulante à travers quelques fantômes tourbillonnants qui de temps à autres me traversait le corps à bruler le coeur... Un sourire enjoleur, un rictus diabolique et mes maux qui s'égarent dans les labyrintes de l'absence devenue reine, et mes mots crucifiés, abrutis par les clous monstrueux des portes condamnées, se déchiraient au son des âpres caresses, des promesses mensongères de nuits tendres, de matins glorieux... Héros de l'aube sanguinolente, digne représentant du grand Éros, brandissant l'arc forgé par les victimes damnées des Parques. Ainsi il s'en allait, tel Perceval à la quète du saint Graal, en Hadès fuyant le destin prédit par les trois soeurs, et comme le réussit un certain Orphée, il sortit des entrailles nauséabondes de la terre féconde, en y laissant cependant la moitié de son âme valeureuse et inconsolable pour l'éternité. Obscure vision, prédiction incestueuse pour Œdipe l'impie, témoin de l'ignoble cruauté de ces divinités sadiques de l'éther. Comment trouver la paix, le pardon ultime, pour toutes ces douleurs infligées... Une aube blafarde se lève sur cette non existence qui navigue entre les corps mutilés par la monotonie des siècles vicieux. Pourquoi ne pas chercher à se faire un nom? Mais quoi, la nuit n'est-elle jamais vraiment noire? et le jour toujours blanc? Peut-etre que si je me crève le regard, je parviendrais à pénétrer dans le palais poussiéreux des vieux toits pourris, à travers lesquels le vent de la misère s'engouffre, et apercevoir enfin une goutte de soie pure sur son manteau atrophié , sur sa strophe inachevée en bas de page à droite...Mais enfin quoi, ce nom nommé par le non du nomade est aussi le nom d'une aubade à l'aumône de platine. Comment peut-on être aussi naïf? La Pythie m'avait pourtant prévenu, les découvertes amazones aux galbes ithyphalliques, les étoiles crevées à coups de phallus étrangement romantiques. Où est passé le pâle hymen des vierges cavalières en armure de satin pubien? Ce glorieux apparat qui fit baver princes et rois et tomber à genoux les plus intrépides guerriers semble tombé en totale désuétude aujourd'hui. Cette toison sacrée, Walhalla si sensuel et bruyant avec son val qui rit à la lueur des combats que sa beauté innocente ne reconnaissait pas, qu'en avez-vous donc fait ? Je me pose laquestion avec une angoisse certaine ! Où sont donc passées ces lèvres autrefois si envoûtantes ? Mais où Donc ? Qui le dira ? Quel oracle bienveillant saura le dire ?? Je me dissèque le coeur, mais n´y trouve qu´une insaissisable gangrène, une abstraite douleur qui me plonge dans les profondeurs de la désolation de mon âme troublée à la recherche de l’invraisemblable vérité... | |
| | | Clairelaromantique Nouvelle plume
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Nombre de messages : 14 Age : 32 Localisation : bordeau Date d'inscription : 05/04/2012
| Sujet: Re: Nouvelle chaine Jeu 5 Avr 2012 - 10:09 | |
| Ce forum est un lieu où l'on s'amuse & rencontre des "écrivaillons" talentueux écrivant leurs inspirations diverses & fécondes. Leurs pseudos reflètent leur caractère poétique & protéiforme, mais aussi divers que convivial. Pourtant, parfois, un "troll" s'aventurait dans ce lieu quelquefois infesté désagréablement par des plumes quelque peu ébouriffées. Néanmoins, on constate que le respect est de mise, surtout chez moi. Nous sommes tous des Parnassiens (& des verlainiens!). Cependant, aussi habiles penseurs , nous rêvons à une Parnassienne (et non à une persienne !) jeune & jolie (faut c'qui faut quoi !...) qui nous inspirerait des vers pas piqués des hannetons. Elle nous dirait des choses que l'on entendrait avec le cœur & l'esprit. Cette femme, ne serait-elle pas celle que l'on appelle...euh, comment était-ce déjà?..Mais qu'importe son nom pourvu qu'elle nous donne l'envie... D'écrire bien sur...moi je l'appellerai Amour parce que c'est la chose principale dans la vie. ( Amour, Aphrodite, Junon ou Vénus étaient ses noms.) Déesses d'hier, prenez la mesure de notre dévotion, et soyez celles qui aujourd'hui, inspirent nos mots si dérisoires, à vouloir vous aimer. Mais déesses d'aujourd'hui, QUI êtes-vous? & OU êtes-vous??. Je me cherche en vous sans vous reconnaitre en moi...Et ce visage qui berce, impassible, les ombres létales du crépuscule endormi hurle et me rappelle à ce juvénile monde de chimères, qui terrorisait mes nuits d'enfant... Ainsi, de doux rêves en sombres cauchemards, la morne ruelle de mes pensées s'élargissait dans un fracas de muettes plaintes et de douleurs inavouées. Pourtant, c'est ici sous ce porche écroulé, eclairé par un lampadaire agonisant, qu'un jour une fée a posé son regard sur mon âme déchirée. Sans y trouver une réelle compassion, je poursuivais donc ma tragédie ambulante à travers quelques fantômes tourbillonnants qui de temps à autres me traversait le corps à bruler le coeur... Un sourire enjoleur, un rictus diabolique et mes maux qui s'égarent dans les labyrintes de l'absence devenue reine, et mes mots crucifiés, abrutis par les clous monstrueux des portes condamnées, se déchiraient au son des âpres caresses, des promesses mensongères de nuits tendres, de matins glorieux... Héros de l'aube sanguinolente, digne représentant du grand Éros, brandissant l'arc forgé par les victimes damnées des Parques. Ainsi il s'en allait, tel Perceval à la quète du saint Graal, en Hadès fuyant le destin prédit par les trois soeurs, et comme le réussit un certain Orphée, il sortit des entrailles nauséabondes de la terre féconde, en y laissant cependant la moitié de son âme valeureuse et inconsolable pour l'éternité. Obscure vision, prédiction incestueuse pour Œdipe l'impie, témoin de l'ignoble cruauté de ces divinités sadiques de l'éther. Comment trouver la paix, le pardon ultime, pour toutes ces douleurs infligées... Une aube blafarde se lève sur cette non existence qui navigue entre les corps mutilés par la monotonie des siècles vicieux. Pourquoi ne pas chercher à se faire un nom? Mais quoi, la nuit n'est-elle jamais vraiment noire? et le jour toujours blanc? Peut-etre que si je me crève le regard, je parviendrais à pénétrer dans le palais poussiéreux des vieux toits pourris, à travers lesquels le vent de la misère s'engouffre, et apercevoir enfin une goutte de soie pure sur son manteau atrophié , sur sa strophe inachevée en bas de page à droite...Mais enfin quoi, ce nom nommé par le non du nomade est aussi le nom d'une aubade à l'aumône de platine. Comment peut-on être aussi naïf? La Pythie m'avait pourtant prévenu, les découvertes amazones aux galbes ithyphalliques, les étoiles crevées à coups de phallus étrangement romantiques. Où est passé le pâle hymen des vierges cavalières en armure de satin pubien? Ce glorieux apparat qui fit baver princes et rois et tomber à genoux les plus intrépides guerriers semble tombé en totale désuétude aujourd'hui. Cette toison sacrée, Walhalla si sensuel et bruyant avec son val qui rit à la lueur des combats que sa beauté innocente ne reconnaissait pas, qu'en avez-vous donc fait ? Je me pose laquestion avec une angoisse certaine ! Où sont donc passées ces lèvres autrefois si envoûtantes ? Mais où Donc ? Qui le dira ? Quel oracle bienveillant saura le dire ?? Je me dissèque le coeur, mais n´y trouve qu´une insaissisable gangrène, une abstraite douleur qui me plonge dans les profondeurs de la désolation de mon âme troublée à la recherche de l’invraisemblable vérité... Cette vérité si profonde ne puisse sortir avec des mots car même les mots n'existe pas, alors troublé, je me plonge dans un bain de noirceur et de douceur, distraite par les rire de mes souvenir, je reste la a attendre la réponse ... | |
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