Si toi aussi, tu entends souvent ton cœur parler à ta plume, viens déposer tes escarpins dans l'empreinte de nos pas.
Tu pourras alors alimenter cette rivière afin qu'elle devienne un fleuve prolifique de douceurs où tous, nous venons à notre tour, pour y tremper notre plume féconde.
Et cet affluent de pensées innombrables finit sa course magnifique dans un océan de lumières.
J'aime cet idée de partage.
Elle devrait régir le monde sans aucune faille.
Pour que nous regardions tous dans la même direction.
C'est pour cette raison que nous aimons tant la poésie... Et les poètes !...
Gérard SANDIFORT alias Sandipoete
Forum poétique
Si toi aussi, tu entends souvent ton cœur parler à ta plume, viens déposer tes escarpins dans l'empreinte de nos pas.
Tu pourras alors alimenter cette rivière afin qu'elle devienne un fleuve prolifique de douceurs où tous, nous venons à notre tour, pour y tremper notre plume féconde.
Et cet affluent de pensées innombrables finit sa course magnifique dans un océan de lumières.
J'aime cet idée de partage.
Elle devrait régir le monde sans aucune faille.
Pour que nous regardions tous dans la même direction.
C'est pour cette raison que nous aimons tant la poésie... Et les poètes !...
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UN ENDROIT QUI RESPIRE LE BIEN ÉCRIRE ET L'AMITIÉ
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Nombre de messages : 20 Age : 78 Localisation : France Date d'inscription : 14/04/2021
Sujet: À l’ombre des jamais... Mer 14 Avr 2021 - 15:07
Le temps qui va passant me mène sur la route Emplie du souvenir de ces années jolies, Où les rires en cascade annihilaient les doutes Et me donnait l’espoir de vivre au paradis…
Je n’ai plus de vigueur qui coule dans les veines Et je me sens vieillie, vidée, le corps absent, Mon esprit a perdu son goût pour les rengaines Qu’il écrivait parfois quand naissait le printemps…
Je reste là, cloîtrée, mon fauteuil est le trône D’où je règne sans joie sur ce que fut ma vie, Je ne suis plus qu’une ombre qui peu à peu s’étonne De voir sur son visage des rides à l’infini…
De la pluie au soleil, mes pensées vont et viennent Grises, roses ou bleues elles sont là pourtant, Et c’est sur ce cahier que mon stylo promène Mes songes et mes regrets aux portes du néant…
Aurai-je bien vécu dans mon coin éphémère ? Je me suis tant trompée en parcourant ces jours, Et l’oubli est tombé, sombre sur les repères De ces soirs qui courraient vers la fin du parcours…
Mes yeux ne sourient plus les fêtes sont finies Je reste désormais seule et désabusée, Aux abords du passé je couche mes dénis Sur ce papier usé par l’encre des jamais...
Dernière édition par Fugitive le Jeu 15 Avr 2021 - 11:43, édité 1 fois
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Sujet: Re: À l’ombre des jamais... Jeu 15 Avr 2021 - 7:04
J'aime la forme du poème grâce à ses alexandrins bien formés Il n'y a que le vers vingt et un qui compte un pied de trop Mes yeux ne sourient plus, elles sont finies les fêtes = 13 Je pense au vu de la maîtrise de l'alexandrin qu'il ne s'agit que d'une inattention Cette correction pourrait rendre le poème parfait Mes yeux ne sourient plus car sont finies les fêtes = 12