une nuit en enfer

Des maux terribles à l’accrue des mots muets et atones sans valeur insignifiants en cet espace d'usure verrouillé même aux initiés à cette alchimie ,cet arc-en-ciel ,mon  jeu sacré des métaphores  nonobstant cet effort d’élucubration inspiré de muse au philtre des  sirènes je ne cueille que ces grappes prématurés  , fanés à  l’ère du réchauffement climatique  de souffrance et douleur
Sachez mes chers poètes que le génie des vénitien aux latins mythiquement est vénérer même par les dieu x
Hélas ! De nos jours ni don ni talents rien que des mise en scènes de skechards   au symbole des réussites et des triomphes gratuit mais au su et au vu de monsieur tout le monde qui approuve applaudit  légalement officiellement plutôt officieusement suite aux parnasses…
Alors, il est grand temps de boire en silence la cigüe empoisonnée de ses vers, endure son mal comme un bourdon banni  aveugle  à la croisée des vents loin de sa colonie meurt de faim et de froid
Âme noble ! je t’apprends à patienter  en cette  nuit sacrée  au fond des abimes  si tu prêchera demain  le beau aux futures générations  , l’amour des étoiles  le chant des oiseaux  à l’archet des vents  aspirer à cet idéal
Douleur et souffrance tumultueuses  en ce cœur blessé à chaque pas crache ces viscères d’esprit vomit ces misères d’ennui spleen noir des  atrocités des ténèbres en cet enfer des nuits