Lorsque l'enfant paraît

Invité

Lorsque l'enfant paraît
bien humblement selon Victor Hugo

et le Texte de Raymonde

Lorsque l'enfant paraît parmi cent mille roses
Éblouit, en ses yeux,
La vertu qui repose
Auprès de son vrai Dieu
Son regard, sa beauté, ses gestes que l'on croit
Décimés sur la vie de son immense croix
Et que chacun suppose,

Soit que le ciel obscur évoque les mésanges
Comme une immensité dont balbutient les anges,
Les arbres se toucher,
Quand l'Enfant, d'outre tombe, évince le surcroît
Négociée, passagère, et tout ce que l'on croit
Dont on ne sait marcher !

Quelquefois j'ai blotti auprès de Toi mon âme
En mon incognito comme un bouquet de flamme
Dont je lève le poing
Enfant de ma beauté, Enfant de mon histoire
A ma petite pluie dont naît mon écritoire
Où le Mot est un point !

La nuit, la nuit, la nuit, pleure sur l'apostrophe
Où l'on entend gémir quelques petites strophes
Comme reflet ruisseau
Dont l'amour sait le jour et sa médiocrité
Nomme la pluie des morts Celle des libertés
Comme fut soi le sot !

L'Enfant, dit l'Enfant Grecque, dit l'Enfant aux yeux bleus
De par la Poésie, De Mon si Cher Hugo
Depuis qu'Il écrivit : Je nie les silencieux
Depuis qu'Il combattit dessus les barricades
Comme Che Guevara
Et ce qu'il approuva :

« Je veux dit l'Enfant Grecque, de la poudre et des balles !

Invité

magnifique! alain quel talent!
merci de m'avoir citée c'est gentil de votre part
amitiés
raymonde :tournesol

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