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Si toi aussi, tu entends souvent ton cœur parler à ta plume, viens déposer tes escarpins dans l'empreinte de nos pas.
Tu pourras alors alimenter cette rivière afin qu'elle devienne un fleuve prolifique de douceurs où tous, nous venons à notre tour, pour y tremper notre plume féconde.
Et cet affluent de pensées innombrables finit sa course magnifique dans un océan de lumières.
J'aime cet idée de partage.
Elle devrait régir le monde sans aucune faille.
Pour que nous regardions tous dans la même direction.
C'est pour cette raison que nous aimons tant la poésie... Et les poètes !...
Gérard SANDIFORT alias Sandipoete
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Si toi aussi, tu entends souvent ton cœur parler à ta plume, viens déposer tes escarpins dans l'empreinte de nos pas.
Tu pourras alors alimenter cette rivière afin qu'elle devienne un fleuve prolifique de douceurs où tous, nous venons à notre tour, pour y tremper notre plume féconde.
Et cet affluent de pensées innombrables finit sa course magnifique dans un océan de lumières.
J'aime cet idée de partage.
Elle devrait régir le monde sans aucune faille.
Pour que nous regardions tous dans la même direction.
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 trois poèmes

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Andre Rotella
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Andre Rotella

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trois poèmes Empty
MessageSujet: trois poèmes   trois poèmes EmptyMar 28 Mar 2006 - 23:54

MON RECUEIL DE PHOTO.

Disposée dans un recueil chic de poussière,
Les photographies, assoiffées par le temps démolisseur
Montrent des ascendants radiants d'une faveur
Morte à jamais au fond d'un ossuaire.

Une jeune conjointe en robe de fleur,
Gouvernée d'un militaire au sourire coursier,
Borde un communiant drapé dans la naïveté
D'une solennité à la joie étonnante.

Un fragile jeune juché sur un tracteur
Prochain d’un homme en tee-shirt de bateleur,
Contraint dans l’éclat d'une gloire somptueuse.

Une débile gosse, qui étreint sur son cœur
Un baigneur vêtu d’étonnante façon,
M'appelle à distribuer sa joie habituelle.

André Rotella

Négociant enfant.

Dans mon enfance déjà, je savais faire des affaires
Je négocier des peaux de lapins mes frères
J’avais la fibre du commerce et le porte monnaie vidé
A neuf ans je prenais des cours à l’école du commerce
Ce n’était pas HEC mais là que personne ne vous berce
Je criais pi, po, peau de lapin déjà dés le matin
Les paysans me reconnaissaient de loin
J’étais un négociant en chambre
J’achetais pour les autres et tout était à vendre
Malgré la guerre les riches étaient friands de belles fourrures
Moi le gamin je ne voyais que le présent et ignorait le futur
J’apprenais sur le tas le verbe acheter et vendre
Le vrai travail d’un négociant en chambre
Je courrais la campagne où on m’appelait lapin
J’ai connu des canailles et même de gros vilains
C’était en pleine guerre et les gendarmes planquaient
Les maquisards étaient partout où moi je négociais
Mon cri différait quand je voyais le képi en ballade
Les gars de la forêt connaissaient mon aubade
Il disaient c’est André qui nous fait un coucou
Je délaissais l’école mais pas l’actualité
Je savais quand et où l’allemand et sa moto passé
C’est moi qui le chantait et le disait partout
J’étais un négociant en chambre j’avais juste neuf ans
J’achetais les peaux de lapin de l’aube au crépuscule
Ma vie a toujours eu des scrupules
La nuit souvent surprenait mon emploi du temps
C’était l’époque dure où le CPE n’existait pas
Les heures ne comptaient pas en supplément
Moi sans CPE je me faisais un peu de ronds
Les hommes n’en avaient guère, les femmes pas
J’étais en même temps esclave et patron
Je vendais mes pauvres affaires au plus offrant
Un rien une misère mais c’était un peu d’argent
J’avais neuf ans c’était la guerre et j’étais négociant
Pas de contrat en poche ni d’études secondaires
J’avais choisi le commerce sans regarder plus avant
Je ne visais pas plus haut que le primaire
Moi enfant de la misère l’école c’était du vent
Moi l’ancien négociant enfant
Je n’espérais pas en savoir autant
Lapin comme me le disait les gens
Je suis fier de mon cheminement.
Celui d’un négociant enfant.

André Rotella.

La statue stoïque.

Enveloppée dans le froid de mon loup pétré,
Je dresse ma mélancolie à l’entrée de la cité
Où, du lever du jour au crépuscule les autos passent
En polluant ma détente et j’en passe.

Quand posés sur mon seuil un couple de passionnés
Dont l’amour se soulage en caresses fiévreuses,
Je prie le secours d'une tempête houleuse
À submerger leurs regards de soupirs blessés.

J’objecte mon dédain aux oiseaux bavards
Dont les colombins salissent mon visage hagard,
Clos sur le labyrinthe de mes regrets cachés.

Je propose ma présence au muet vigile
Dont les rondes dérident le jardin débile
Où mon buste se désagrége en débris cendreux.

André Rotella

Le printemps c’est tout ceci.

Flotter, volatiles, aux ailes lestes,
Vers le ciel d’été
Où l’astre ouvre la journée
D'une aube à la gaieté céleste.
Gazouillez, accueillantes sternes,
Un cantique au bonheur rural.
Racontez-nous des balivernes,
Vers le firmament estival.
Sifflez, merles, des refrains
Déridez d'un parfum florissant,
Afin que votre chœur passionnant
Instaure une paix éternelle
Volez, oiseaux, à tire-d'aile.
En ce lever du jour, devant le micro,
Sur le fil qui emporte à l'autre bout du monde,
Dans le cœur du web, ma pensée vagabonde
Pour détruire mes ingrats maux.
Durant le temps où je regarde une colonie de couleurs
Agencer une peinture en moins d'une seconde,
Je me laisse enchanter par l'épeire féconde
Qui brode son rets dans le fond de mon cœur.
La galaxie croule en restes nocifs,
Habilement recopié en clichés alternatifs
Par la fée exaltée cachée dans mon cadran
Mes mains sorcières tiennent la barre
De mon confortable domaine, à l'abri de l’écran
Que le futur règle de son ongle barbare.

André Rotella.

Voici mes deux poèmes pour le concours.

Déesse amoureuse.

Dès qu'elle ouvre les yeux, le blafard matin
Encourage le soleil à l’éclat séculaire
À enflammer son corps dont les courbes légendaires
Affichent hardiment leur robe d’organsin.

Dans les joyeux éclats de son rire illuminé
Vénus nue, distante à la durée qui se déroule,
Ballotte sensuellement, sous mon regard affamé,
Les anneaux duvetés de sa chevelure sous moule.

Quand sa pose amoureuse, dans le calme, me convie
À dissimuler d’étreintes son abdomen plein d’envie,
Je dissémine sur sa chair de radiants tremblements.

L’onde de l’envie qui s’abat sur ma divinité
Rehausse son éclat d'une telle qualité
Que je crée un tableau de primitifs frôlements.

André Rotella.

Promenade citadine.
De parvis animé en avenue impassible,
Le promeneur isolé parcoure la ville
Où l’astre du soir anime une joie plausible
À la chorégraphie continuelle des filles faciles.

Touriste sans équipage, il sillonne la cité
A la fortune des secteurs dont les murs tag gés
De devise en la gloire d'une dur autonomie
Avive en son sein un trouble d’envie.

Malgré cela l’obscurité s’affaire d'emmener
Les humains vers leur logis affectueux de jouissance,
Il parcoure les ruelles sous la sélénite en surveillance.

Dans la source riante d'une paire de flics,
Il continue son aventure, avant de s'immobiliser
Sur un siège où le reçoit un mendiant plein d’éthique.

André Rotella.

L’orange de l’univers.

Le rond universel orangé surgit
De derrière les monts neigeux.
C’est ainsi que revit la vie
Pour les peuples heureux et malheureux.

Le firmament est rosâtre saumon
Pastels et cuivre les tons
Ils Bariolent le bel azur bleu
Pour les peuples heureux et malheureux.

Le rond doucement ambre
En ce début d’après-midi de septembre
Il rayonne de mille feux
Pour les peuples heureux et malheureux.

L’océan céleste savoureuse glace aimée
Rattrape le rond ambré
Le temps est tranquille et lumineux
Pour les peuples heureux et malheureux.
Le palet du ciel sur l'étendue descend
Les oiseaux gazouillent au firmament
Le jour se dissipe heureux
Pour les peuples heureux et malheureux.
Des fritures colorées
Planent sur la mousse irisée
L’océan est d’un blanc laiteux
Pour les peuples heureux et malheureux.

Le disque à nouveau colore
Le ciel brusquement se dore
Dernier regard sur l’océan des cieux
Pour les peuples heureux et malheureux.

Tout se fond, se confond
L’océan la voûte et les monts
C’est la fin du jour radieux
Pour les peuples heureux et malheureux.

L’ellipse vermeille s’est submergée
Dans l'eau d’un océan argenté
Tout est vide et secret des lieux
Pour les peuples heureux et malheureux.

André Rotella.




Jeux Interdits.

Mon regard fixe la ligne bleuté,
Elle se maquille les yeux
Le mascara en fait une beauté
Son vrai but et ultime voeu
Est ce moment personnel !
Cet instant superficiel !
L’instant fragile, le moment volé !
A la durée, à l’éternité.
Je la vois entière, elle était moins hier,
Je la vois riante et fière
Je la vois accueillante
Elle se montre patiente.
Mes yeux sont plongés dans le ciel en feu
Elle n’a pourtant fait de désaveu
Je la vois blafarde, elle pâlit
Puis, soudain elle resplendit
Elle se met à clignoter
Plus jolie qu’une fée
L’instant tant espéré est enfin là
Mais le rendez-vous échouera encore une fois
Lui l’amoureux d’un temps
Il a traversé le firmament
Pour aller voir sa belle presque éteinte
Dans son ombre elle s’est peinte
Puis elle a disparu dans le néant
La voila pour huit jours aux abonnés absents
Les oiseaux sous la voûte céleste
Lui font un concert pour sa sieste
Ils lui babillent les amours interdits
De l’astre du jour et la sélénite de nuit.

André Rotella.

Pour cette Pâques 2006 sans changement.

Si le sentiment te propose
Consigne un mot, un pressentiment
Pour que maintenant les paroles
Se taisent et que commence la prose
Pour que règne finalement
Sur la planète comme au firmament
La paix absolue
Sans le bourdonnement lent
Du souverain qui est le temps
En dissimulant le martèlement
Du coeur que tes mots font feu.
Expire de tes tripes suppliciées
Le mot voeu
Et étouffe cette assommante résonance
Qui se réfléchit sur ma philosophie
Et finit sur l’apparence de vie
En une clameur qui hache
Le fragment de discernement
Restant à nourrir l’esprit vorace.
Consigne pour que le vrai soi s'éternise,
Insiste à être en outre et qui plus est
De la fin agitée de ton encéphale
Consigne durant qui reste
Avant que ton trouble ne se disperse
En ton unité comme une gorgée
De capiteux vin de messe
Piégeant tes notions, tes adresses
Et l’impression que tu tiens
A mon examen.
Chétifs soient-ils, nourris les bien
Des plus brillantes représentations que tu as.
La fusion de ma matière grise
Me contraint à finir précipitamment mes discussions
Mais ne vous en faites pas pour tant
Je retournerai par peu importe quelle ouverture,
M’ouvrant une passe parmi la folie
De cet Univers,
Par les voies psychiques ou physiques
Je reviendrai augmenté, en force suprême
Pour fréquenter ceux qui n'auront rien réalisé
Pour garder la malédiction
Et le démon agaçant de ma sensualité.
Alors sortez votre stylo ami, répétiteur
Et écrivez, écrivez que vous pleurer
Puis reposez en paix.
Vous aurez l'immortalité pour regretter
Pensez qu'il n'y a qu'une mince peau
Entre l’esprit et le délire.
Je quitte ce monde de pêcheur
Mon encéphale se tari, se décompose
Salut, mon discernement.

André Rotella.

Yérushalaïm
Jérusalem, toi la ville sainte qu’on dit éternelle
Toi qui les siècles a traversé silencieuse
Ville au monde sans similitude réelle
Actuellement tu es anéantie
Tes enfants assassinés et la Palestine trahie.
La ville de la paix n’est plus un lieu mythique
Elle est celle des blindés et des sionistes ravis
Un repaire de voleurs d’Etat affermis
Tu es la ville de soudards fanatiques
Jamais nous n’aurions pensé à cette pratique.

Le calvaire du christ, c’est terminé.
Tu vas, tu racoles, en toute précarité
Vers les abîmes de ton équipée
Les Rabbins sont les Sanhédrins du passé
Les requins font ici leur solennité.

Les durs se proclament prophètes
Ils ont prophétisé la défaite.
Chasser les vrais propriétaires
Et devenir la loi austère.

Curieuse duperie, curieuse approche
Pour les frères du sauveur
La vraie justice attend son heure
Sur le mont des oliviers elle s’approche.

André Rotella

Amour de mes veines.
Attendre continuellement ton arrivée à l'aube
Mon corps pâle se reflétant dans des soies noires
Je ne suis déjà plus le pop corn éclaté dans sa robe
Mais le céleri exsangue qui se meurt de désespoir
De sentir de nouveau dans mon haleine
Le sang, la possession, c’est le rite de l'initiation
Plus sombre dans l'éternel abîme de la séduction
Ambiguë entre vie et mort
Moi dans la foule des maîtresses, le pauvre sort
Dans des mains vouées à des royaumes sans gêne
Tu t'es déjà englué dans mon sang
Dégoût bloqué sur mon oreiller mécontent
En attendant une autre nuit de délire
J’ai dérivé vers une nouvelle partie
De mon âme débordée, détruite, finie
Désobéissante dans ces avalanches de désirs
Elles ont coulé à la manière de larmes humides
Dans mon imprévu pubis, et mes seins transis
Ils ne sont déjà plus rouges mes avides
La même couleur de tes yeux de glace
Si je ne suis pas encore acquise
Je ne tiens plus en place
Je penche comme la tour de pise
Sache que tu m'as convertie au pire
La souveraine d’une royauté inquiétante
Où tout est délayé mais où rien n’est désolé
Entre le haut et le bas commence la longue attente.

André Rotella.

Lyrisme agreste.
Seul avec mon poème au bord de l’Isle fière
Qui caracole dans une décoration sublime et altière
Je me laisse bercer par le chant de joie
Des passériformes, qui planent au-dessus de moi.

Sur mon papier ébloui par les douces clartés
D'un astre déclinant aux faisceaux prodigieux
Je réunis un rosaire de couplets bienheureux
Oubliant tous mes ennuis passés.

Dans la boîte calme de la nature en bourgeons,
Je devine un avenir dont les accents enjoués
Inspirent à mes rimes une allégresse bon ton
Sans me soucier des années écoulées.

Enivré par un parterre d’arômes indomptés,
Que disperse un vent à l'élytre intrigant,
J’orne mon carnet d'aspect luxuriant.
En pensant aux vers de la destinée.

André Rotella

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MessageSujet: trois poèmes   trois poèmes EmptyLun 3 Avr 2006 - 20:14

J'aime ta plume poétique André.
Et là... Tu nous a gaté. Trois voir quatre poèmes d'un coup.
Merci! Que dire d'autre !
Si !... Encore...

Bisous^^

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trois poèmes Vieux-10Solum telum ego tolerare ? Pluma !
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MessageSujet: Re: trois poèmes   trois poèmes EmptyJeu 27 Avr 2006 - 12:57

Merci André...
J'ai engrangé tes poèmes à cette place sur le forum.
Je les déplacerai plus tard aux endroits plus adéquats.
Mais je tenais à ce que les membres, et même les autres puissent profiter tout de suite de ta magnifique main poétique.

Vite... Le boulot m'attend...
Retraite, où est tu ma belle retraite ?...

Bisous^^

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MessageSujet: voilà   trois poèmes EmptyMer 17 Mai 2006 - 12:17

vos poésies sont d'un large regard ...un jeune garçon court encore dans votre coeur....le petit d'autrefois....

il tombe parfois et se couronne le genou....

Yuiliel

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julienne
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