Le temps d un printemps

Recueil : Le temps d un printemps_______________________


Preface:




A laquelle des saisons, t’oublierais je !?



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Il n y a nul répit à l usure de mes bougies !
Encore, je me réveille avec ce goût de sel !
Mon amour est bel et bien une mer infinie
Et ton souvenir demeure toujours la houle

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Des papillons et des abeilles sautent sans soucie
De fleur en fleur comme si on joue à la marelle
Encore un autre printemps sans toi qui me sourit
Et moi, en ermite dans mon gourbi, je m exile !

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Déjà des voix de répétitions m atteignent l ouie
L amour sera l unique muse de ses ménestrels
L inertie, spleen et la nuit comme mon égérie
Je rimerais la peine aux échos des rossignols

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A perte de vue, s exhibe en madras et tapis
Une verdure colorée par des fleurs et myrtilles
Je regarde de mes fenêtres ouvertes à demi
De partout, on vient à ses bals en paires fidèles !

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«On parfume à la menthe, anis et patchouli ! »
Qu un vent dansant, presse de rapporter en nouvelle
Tôt, il débutent aux pâtis des fêtes et saillis
On offre le nectar et du miel sous le clair ciel !

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Une main tâtera encore ton coin sur les lits
Et je me réveille sur ton absence toujours réelle
Tout autour de moi, on ne sent qu hier aux moisis
Plus morose, j y serais sans toi contre mon épaule !

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Peut être je viendrais dans la cape d une des nuits
A brillante lune et en lanternons quelques lucioles
Prés de cet oued qui jubile dejoie ou rugit
Sans toi, je humerais cet air qui me dessoule !

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Je garde encore des airs ou en accolés ébahis
Des roseaux en flûtes et Les branches comme violoncelles
La brise en concerto nous les jouait jadis
Avec soupirants chants non consonnes et voyelles
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Cette saison est la résurrection dans le cycle de vie
Et déjà en beauté sur la terre des prémices s étalent
La lune en tulipe s épanouit sur une eau qui luit
Aux troncs de trop vivre vieux, on offre des talles.

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Faute d un oublie et ce bon hasard qui réunit
Tant de belles saisons se sont étiolées seules
Comme ton omni souvenir hante celles aux pluies
Et aux vents à qui j aurais du ouvrir mes malles!

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_________________________________________________ Par : _Plume d ailleurs______



___________________________________________________________28/02/2009 22:40




un brouillon que j aimerais bien prendre vos avis sur !
j ai aussi repris mes pinceaux deja bien longtemps j en ai pas usé

Sujet: Le temps d un printemps Aujourd'hui à 0:06 Recueil : Le temps d un printemps_______________________ Preface: A laquelle des saisons, t’oublierais je !? __________________________________ Il n y a nul répit à l usure de mes bougies ! Encore, je me réveille avec ce goût de sel ! Mon amour est bel et bien une mer infinie Et ton souvenir demeure toujours la houle

Bonjour Le_prince,

Ouvrir ses malles au vent c'est une belle expression, peut être un moyen de lanterner quelques lucioles... il y a des petites perles comme celle là dans la langue étrange de tes vers.

le_prince a écrit:

un brouillon que j aimerais bien prendre vos avis sur !

Citation :

Il n y a nul répit à l usure de mes bougies !
Encore, je me réveille avec ce goût de sel !
Mon amour est bel et bien une mer infinie
Et ton souvenir demeure toujours la houle

Il n'y a pas de répit à l'usure de mes bougies.
Je me réveille encore avec ce goût de sel !
Mon amour est bien une mer infinie
Et ton souvenir, dans la houle, reste immortel !

La langue française est d'une grande difficulté et je trouve que tu t'en sors
magnifiquement bien. Il faut persévérer pour que ta Plume d'ailleurs vienne
toujours me rappeler au souvenir de ta rive si chaude.
J'espère que mon humble plume n'aura pas trop dénaturé ton premier quatrain.
Merci d'aimer notre langue autant que je me questionne sur la tienne.

C'est trèsjoli et je trouve que tu t'en sors très bien
En 1999, mes écrits étaient nuls et pauvres...
Avec les années, on se pefectionne et c'est ce qui m'est arrivé

Je te le souhaite sincèrement