Sous les regards des cieux

Quand avides les flots venaient avec ardeur
Boire le flamboiement de l'or du crépuscule,
La mer menait au port, voguant avec candeur,
Un bateau attardé qui dansait minuscule.

Le ciel déjà s'ambrait sous les fauves reflets
Que l'air faisait vibrer dans l'intense lumière,
En dessinant sur l'onde un mystérieux ballet,
Qui déployait ardent sa grâce coutumière.

Puis l'ombre brunissait en se teintant de bleu,
Les vagues miroitant qui s'ornaient des dentelles
De ces éclats d'argent dont le soir fabuleux,
Dans les cieux éclairait de nombreuses prunelles.

superbe poème rendant bien l'ambiance magique des derniers feux du jour... j'adore

Bonjour et merci ELYSELLA,

Un coucher de soleil a toujours pour moi un côté un peu mystérieux.

Amitiés
Jeannie.

Nous parler de la mer
et de la nuit qui tombe
avec au bout du doigt
cette sensibilité,
jette dans nos prunelles
la vitrine d'un orfèvre
aux diamants fabuleux.

Tu donnes envie de remonter sur les bateaux...

Merci Jeannie;

Ventpré

Si j'ai une préférence pour les paysages montagnards, j'aime aussi la mer et les mystères qu'elle recèle quand la tombée du jour sait si harmonieusement la colorer.
Alors à bientôt de te lire pour ta prochaine sortie en bateau !

Amicales bises
Jeannie.

Superbe, Jeannie !

Bises amicales.

Roger.

Bonsoir et merci Roger,

Ce crépuscule m'a paru tellement beau qu'il fallait bien la mer pout lui servir de miroir !

Amicales bises
Jeannie.

» La lumière des Cieux
» Il n'avait d'horizon que la couleur des cieux.
» Quand les cieux sont dans l'ombre
» Balade vers les cieux
» QUAND TU REVIENS DES CIEUX